June & Leandro
Le déshabiller, c’était presque déjà fait non, j’avais déjà enlevé son haut et dans quelques secondes ce serait le reste de ses habits qui allaient partir aussi rapidement que le reste. Est-ce qu’il aimerait ce genre de jeu ? Moi j’adorais en tout cas, j’avais d’ailleurs pas mal d’accessoires que je pourrais maintenant montrer à Leandro même si je suis du genre à utiliser ce genre de trucs avec des mecs que je connais pas pour éviter les jugements.
« C’est presque déjà fait, tu craques si rapidement que dans une demi seconde j’aurais ton corps nue en face de moi… ». Je me mis à rire, oui, je voulais le faire avouer que j’étais si attirante que j’avais ce pouvoir sur lui. Je frissonnais en sentant sa main toucher ma poitrine à travers mon haut, j’adorais être avec Leandro pour ce genre de chose, il y avait, comme la première fois ce genre d’alchimie qui fait qu’il me touchait exactement à l’endroit que je désirais. C’était tellement agréable d’être hyper compatible avec lui, j’étais jamais gênée, enfin pas en matière de sexe en tout cas car je savais que dans tous les cas, ça allait se passer incroyablement bien.
« Je mérite une punition dans ce cas, pour vous avoir offensé Monsieur Spinelli… ». Je baissais les yeux genres honteuses avant de l’embrasser de nouveau voyant mon soutien gorge voler dans ma chambre, purée, c’était le premier garçon que je ramenais dans cette chambre de June-baby. Alors qu’il caressait mes seins, l’envie me fit frémir et je collais davantage son corps contre le mien tandis que ma main passait doucement dans son boxer pour venir doucement caresser son membre. Je l’embrassais tout aussi passionnément, faisant danser nos langues, m’arrêtant une seconde, je lui murmurais
: « Dis moi quel est ton plus grand fantasme Leandro… ». J’étais bien partante pour le réaliser, bon, j’espérais que ça soit pas un truc impossible, genre le faire avec 4 filles parce que là j’aurais du mal à trouver les 3 autres mais si c’était le faire dans un ascenseur j’étais capable d’aller nue sur le pallier pour réaliser ses envies. C’était comme si j’avais pas envie qu’il se lasse de moi, que je lui fasse toujours autant d’effet, que le plaisir soit toujours plus grand en ma compagnie.
CREDIT TO
Accueil
Ça me touchait que June se livre aussi facilement à moi, je l'écoutais donc sans aucun jugement, bien au contraire. Je suis sûr qu'elle est fière de toi, fière de voir ce qu'est devenu sa fille. lui murmurais-je au creux de l'oreille en déposant un baiser sur sa joue. Je ne sais pas la sensation qu'on a lorsqu'on perd un membre de sa famille, je ne pourrais donc pas lui sortir la fameuse phrase 'je sais ce que tu ressens' puisque c'est faux, mais je compatis tout de même à sa douleur, au manque que sa mère peut procurer à sa vie. Puis peu à peu et probablement à force de se tenir la main et de s'embrasser depuis tout à l'heure, l'envie de ne faire qu'un avec elle se fait de plus en plus grand et bien plus persistant. Sauf que soudainement June s'amusa à me taquiner avant de m'embrasser. Je savais pertinemment qu'elle disait cela pour me taquiner et me charrier, cependant je fis semblant de tirer une petite moue, séparant doucement mes lèvres des siennes. Oh .. Qu'est-ce que tu insinues là ? T'es quand même pas en train de dire que je suis pas endurant ? Ne me cherches pas June, sans quoi c'est toi qui va me supplier d'arrêter. disais-je avant de rire à mon tour, mine de rien sa remarque ne m'avait absolument pas blessé, bien au contraire j'aimais bien rigoler et plaisanter avec elle. Puis doucement elle posa ses mains sur mon corps, m'embrassant langoureusement après m'avoir demandé si elle était ma numéro un dans ce domaine. Je souriais tout en continuant de l'embrasser, caressant sensuellement sa langue avec la mienne avant de mettre un terme à notre étreinte, plongeant mon regard dans le sien sans lâcher mon petit sourire du coin des lèvres. Hum je sais pas .. Laisse-moi réfléchir deux secondes .. lui fis-je savoir en faisant semblant de réfléchir histoire de l'embêter à mon tour .. Puis soudainement je posais mes mains sur ses jambes pour la soulever délicatement du sol, la laissant entourer ses jambes autour de ma taille, m'approchant du lit avec elle. Oui, c'est toi la meilleure dans ce domaine.. Et de loin. murmurais-je en la laissant tomber contre son matelas, m'allongeant doucement sur elle pour l'embrasser de nouveau, laissant ma main glisser sous son haut, frôlant son corps de rêve du bout des doigts.