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(Finn) When I saw you standing there ♪

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Il se tordit en arrière, se mordant les lèvres dans un gémissement étouffé. Le corps de Willow s'échoua sur le sien, épave vaincue d'une guerre inhumaine. Finn ferma les yeux quelques instants, le temps de retourner à la réalité. Les battements de son cœur se calmèrent aussi rapidement qu'ils avaient augmenté. Lorsqu'il sentit enfin le souffle froid du réel frapper son corps en sueur, il ouvrit les yeux pour redessiner les contours de la voiture. Ses yeux se posèrent sur l'horloge digitale que l'on pouvait toujours discerner comme il n'avait pas complètement coupé le contact. Le temps avait passé à une vitesse fulgurante. Plus personne ne sortait de l'autoroute. Willow était probablement attendue quelque part.
Qu'elle le soit ou non, de toute façon, ils n'avaient plus rien à faire ensemble ce soir.

Finn se décala pour pousser le corps léthargique de la jeune femme sur le côté et regagna sa place sur le siège conducteur. Il saisit son sous-vêtement puis son pantalon, passa sa chemise sans la reboutonner. Sur le sol de l'habitacle, quelque part sous le siège, il retrouva son portable et le réveilla d'un coup de pouce.

« Faites-demi-tour-et-tournez-à-gauche-après-300-mètres. »

Le professeur lâcha le frein à main dans un claquement et remit le contact. La vie reprenait son cours.
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Ma respiration se calme, doucement, alors que mon corps fébrile repose encore sur celui de Finn. Les dernières ondes de plaisir achèvent de me parcourir, alors que la douleur, elle, ne cesse pas et se révèle même davantage à chaque seconde qui passe. Je grince des dents, ça me brûle, ça me lance. Mais il s'en fout, me dégage déjà pour rassembler ses affaires. Je ne m'attendais bien sûr pas à une marque d'affection, mais peut-être pas à être jetée comme un mouchoir sale non plus...

A mon tour, je me redresse, le regard perdu dans la semi-obscurité qui règne encore dans l'habitacle. Je me trouve confuse, j'ai l'impression de redécouvrir cet endroit, de revenir à la réalité. La dure réalité, glauque à en glacer le sang. Je vois que le temps est passé, en un éclair. L'air froid ne tarde pas à me réveiller, d'une façon des plus désagréable en frappant sur ma peau encore humide. Je resserre les cuisses dans un dernier spasme alors que je sens une chaleur s'y répandre. Cette sensation m’écœure, me fait presque honte. Le sentiment de n'avoir été qu'un trou à remplir me prend à la gorge, mais... C'était le deal. Je ne pensais pas qu'une fois l'excitation du moment passée, il ne me resterait plus que ça.

Je crois que j'ai un train de retard. Il est déjà en train de taper sur son téléphone et je n'ai encore rien sur le dos. Rapidement, j'attrape ma culotte. Mais elle est déchirée... Bon, je la laisse ici, discrètement, ça foutra peut-être la merde avec l'une de ses conquêtes et j'en aurais la satisfaction personnelle. J'enfile mon pantalon, mon haut, et tout le reste alors qu'il démarre déjà, sans un mot. Je siège se redresse, moi avec, et je ne peux contenir un léger râle de douleur quand je sens mon intimité torturée se plier.

On ne se dit rien de plus, et il n'y a rien de plus à dire. La voiture arrive devant mon immeuble. Il s'arrête. Je le regarde un instant, soupire. C'est étrange. "A la semaine prochaine." dis-je d'une voix presque naturelle, comme si rien de tout cela ne s'était passé. Et je sors, refermant la portière derrière moi.
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