Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Finn) When I saw you standing there ♪ - Page 2
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


(Finn) When I saw you standing there ♪

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je soupire, il a raison, et ça m'énerve. Le faire dans une voiture, c'eut été un bon sujet de fantasme, ça aussi. Mais vraiment, je crois que je vais devoir me trouver quelqu'un d'autre pour alimenter mon imaginaire si débordant.

Son téléphone se met à vibrer dans mes mains, et je baisse les yeux vers l'écran par pur réflexe. Je fronce les sourcils, relis ce que j'ai cru mal comprendre. Et finalement, je lève un regard confus sur mon professeur dont l'expression confirme ce que je pensais. "Vous êtes gay."

Ces mots m'échappent, mais c'est bien ce que je comprends. Je ne peux m'empêcher d'être un peu déçue, finalement, même si j'étais sur le point d'abandonner tout espoir avec lui. Et je ne lui laisse pas le temps de se justifier -j'aurais peut-être dû, finalement-, j'enchaîne, en me parlant presque à moi-même. "Ca explique tellement de choses. Vos petites manières, votre air précieux." Je ne me rends pas compte que je m'enfonce, je souris même, pressant son portable contre ma poitrine pour l'empêcher de le reprendre immédiatement. Ce message est un vrai cadeau du ciel. "Mais pas de soucis, ça restera notre petit secret." Petit clin d'oeil, j'apprécie de pouvoir me venger, je dirais même que je prends complètement mon pieds. C'est peut-être même mieux que le sexe. Quoique, il reste possible qu'il l'assume tout autant que moi. Mais vu la tête qu'il fait, on ne dirait pas.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Evidemment, dans cette immobilité pleine de klaxon et de cris des gens qui commencent à s'énerver, la jeune femme prend bien le temps de lire le message en question alors que cela ne la concerne pas du tout. Quelle idée de lui avoir fait confiance ! Bien entendu, Willow pressa son portable contre sa poitrine comme une preuve irréfutable et précieuse et Finn du se résoudre à le lui laisser, concentrant son attention du mieux qu'il le pouvait sur la route. Son cœur fit un bon dans sa poitrine et il se sentit logiquement mal à l'aise ; fort heureusement, Léandre avait un surnom dans ses contacts et la jeune femme ne deviendrait jamais de qui il s'agissait. Son danseur préféré n'avait donc aucun souci à se faire.

« J'aime les hommes en tout cas, répondit-il sincèrement. Mais je ne suis pas gay et je peux m'arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence pour vous baiser sur la banquette arrière et vous prouver le contraire, si vous voulez. Je sais que vous rêviez de le faire sous la douche mais nous pouvons toujours ouvrir les fenêtres et attendre qu'il pleuve. »

Il lui lança un regard perçant, sans le moindre sourire, signifiant qu'il ne plaisantait pas. Il ne put cependant jauger sa réaction car la file s'anima de nouveau de sorte qu'ils purent reprendre la route. La file avançait lentement, mais elle avançait. C'était la pire situation du monde. Impossible de sortir de la voiture sur l'autoroute, et impossible d'avancer plus vite à cause des bouchons. Soirée de merde, vraiment.

Finn laissa échapper un soupir profond, entre l'agacement et le soulagement, tandis qu'il passait la seconde vitesse pour accélérer davantage. La jeune femme refuserait sûrement et il n'aurait plus qu'à accélérer pour la déposer chez elle le plus vite possible.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il n'est pas gay, il est comme moi, donc. Je me sens un peu bête, mais je ne regrette tout de même pas ce que j'ai dit. Il n'a pas été tendre avec moi, je ne le serai pas avec lui.

Son regard me trouble franchement, mais je le soutiens jusqu'à ce qu'il le détourne vers la route. Il est grossier, presque violent dans sa manière de parler, de me fixer, et j'aimerais que cela ne me fasse pas ce genre d'effet... C'eut été un étudiant comme moi, je lui aurais sans doute déjà sauté dessus depuis longtemps, sans même prendre la peine de lui demander de se garer sur le bas-côté. Mais la situation est particulière, et j'ai du mal à lire en lui. Je préfère d'abord me taire, et prendre mon mal en patience.

On avance doucement. pour ne pas dire au pas, et le malaise est devenu une tension. C'est à la limite de l'insupportable, du malsain ; je m'en mords déjà les doigts. Et finalement, je crois que je craque. "Ca ferait effectivement passer le temps." Je cherche encore à capter son regard, à doser la situation. J'en ai envie, alors si lui aussi, quel pourrait bien être le problème et qui pourrait être au courant ? Je me fous pas mal qu'il me baise et ne me reparle jamais, qu'on ait à faire comme si de rien n'était ; je ne suis pas amoureuse, je crois même que je ne l'apprécie pas trop. Enfin, je soupire. Il a sans doute plus de raisons de se tenir à une morale que moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Vu le niveau d'études qu'il lui dispensait quand elle se rendait à ses cours, elle devait être majeure. Depuis peu de temps, sans doute, mais elle devait l'être. Alors où était le mal ? C'était elle qui avait toutes les cartes en main ; ce n'était pas elle qui finirait en prison si jamais elle dévoilait tout. Comment pouvait-on se retenir quand le pouvoir tout entier reposait dans nos mains ? Pourquoi ne pas l'utiliser ?
S'il ne songeait pas à May tous les soirs, Finn aurait sincèrement pu croire qu'il était gay : la façon dont Willow tournait autour du pot, mêlant jeux de répartie et sous-entendus l'agaçait au plus au point. Lui-même fonçait toujours tête baissée dans ce qui l'attirait. On n'avait qu'une vie et il fallait en profiter.

Mais bordel, décidément, la rupture avec Lydia l'écartait définitivement des gens de son âge dans le domaine du sexe.

Avec soulagement, Finn passa la troisième, sans dire un mot de plus. Les voitures de la file commençaient à s'éloigner légèrement les unes des autres. Le soleil acheva définitivement de se coucher, activant la dépendance des lampadaires pour y voir. Willow lança quelque chose de telle manière que Finn ne sut si elle était sincère ou non. Ca ferait passer le temps ; tu en as envie ? Ou ça ferait passer le temps ; tu es d'accord avec l'idée ? Ne pouvait-elle pas causer en bon américain de sorte qu'ils se comprennent immédiatement, sans malentendus ?
S'il foirait, Willow tournerait tout de suite la situation à son avantage, sans problèmes. Elle était en sécurité alors bon sang, pourquoi ne se lançait-elle pas ?

L'autoroute se lança peu à peu à sa vitesse de croisière sans nouvelles piques. Comme le lui avait indiqué Willow, Finn tourna à la quatrième sortie, ralentissant son allure. Les lampadaires de l'autoroute s'éloignèrent derrière eux pour laisser places à ceux de la périphérie, plus éloignés et moins nombreux. Sans crier gare, Finn tourna sans que le GPS ne le lui ait proposé et s'enfonça dans les profondeurs d'une rue déserte et mal éclairée.

Enfin, il freina et tira son frein à main dans un claquement avant de couper le moteur. Il plongea sa main entre les deux sièges et actionna une manivelle qui fit instantanément pencher le siège de Willow vers l'arrière. S'accoudant sur l'épaulette du sien, Finn se tourna alors vers elle.

« Donc, est-ce que je vous ramène chez vous ou est-ce qu'on se décide enfin à causer dans un langage que nous comprenons tous les deux ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il ne répond pas, je soupire. Je ne l'imaginais pas de cette manière ; évidemment que non. Le voilà qui tourne, quitte l'autoroute ; on s'approche de mon quartier, toujours dans un silence trop pesant, presque vexant. J'en vois bientôt le bout, heureusement. Mais il se trompe de chemin. Je m'apprête à le reprendre ; trop tard, il s'arrête dans cette rue un peu trop sombre, serre le frein à main. Je sens mes sens s'affoler alors que le moteur cesse de gronder et que je prends doucement conscience de la situation.

Soudain, je me sens basculer en arrière et pousse un petit cri de surprise. Mon coeur rate un battement, me fait presque mal, et je tourne vers lui un regard furieux en me redressant sur mes coudes. J'ai beau vouloir faire la fière, celle qui n'a peur de rien, à cet instant je me sens prise au piège entre l'angoisse, la colère et le désir. J'ai une porte de sortie, je peux dire non, je peux même fuir et finir le chemin à pieds en lui tapant un doigt. Mais quelque chose me retient, m'empêche de partir, et il est bien le seul homme présent pour satisfaire ce besoin qui se fait de plus en plus urgent. Mes joues s'enflamment, mes hanches aussi, et j'agrippe le col de sa chemise pour revenir à sa hauteur.

"Taisez-vous, vous êtes insupportable." dis-je sèchement en le tirant vers moi. J'hésite une seconde, alors que mon souffle rencontre le sien dans une légère vapeur. J'eus été tétanisée à l'idée de faire ça deux heures plus tôt. Mais puisqu'il n'est finalement pas meilleur que les autres hommes, qu'il est si brusque, je peux bien me permettre d'être moi-même à mon tour, sans en craindre les conséquences.

J'effleure ses lèvres et un frisson me parcourt le corps tout entier, me fait déjà vibrer. Mes doigts se posent sur le bouton de sa ceinture de sécurité que je laisse filer sur son torse pour le libérer et l'embrasser sans retenue, enfin. Hostilités déclarées, et pas question de le laisser mener la danse.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lorsqu'elle céda enfin, Finn faillit sortir un truc du genre « C'est pas trop tôt. » mais il fut coupé par le brusque élan de la jeune femme qui saisit sa chemise pour l'embrasser à pleine bouche, sans la moindre retenue. Le choc le surpris mais fut bientôt engloutit par son propre désir de violence ; lorsque l'amour n'entrait pas dans l'équation, Finn se faisait bestial, parce qu'après tout aucun sentiment, aucun compte, aucune sincérité ne se manifestait, si ce n'était celle de leur désir mutuel de sexe. Elle avait envie, il avait envie, pourquoi se priver ? La semaine prochaine, il la verrait certainement en cours et ils se comporteraient l'un envers l'autre comme si rien ne s'était produit. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

La ceinture de Finn remonta contre son torse et il bougea son bras pour se défaire de la lanière de tissu avant de libérer la jeune femme de la sienne. Le levier de vitesse ploya tandis que le professeur basculait au dessus de l'interstice séparant les deux fauteuils pour chevaucher la jeune femme désormais allongée. Il sentait chez elle la douceur brusque de ces femmes qui savent ce qu'elles veulent, rien à voir avec le tendre Léandre qu'il avait pourtant tant aimé pilonner. Les doigts de Finn s'entremêlèrent dans les cheveux de Willow, défaisant sa coiffure de fille trop sage pour faire apparaître la véritable personnalité de la tigresse en manque de sexe. Il mordit doucement sa lèvre, s'enfonçant plus profondément dans le jeu de langue, tandis que sa main libre glissait insidieusement sur la poitrine de la jeune femme.

Aucun verrou, aucune alarme. Elle pouvait s'échapper à tout moment. Pour l'instant, son consentement éclairait l'habitacle d'une lumière chaleureuse qui rendait l'étroitesse du pantalon de Finn aussi insupportable que son comportement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les pieds sur le tableau de bord, les jambes coincées par les siennes, une main qui se balade dans ses cheveux bruns et l'autre qui s'aventure déjà sous sa veste aux effluves caféinées; j'ai un peu de mal à réaliser, la chaleur grimpe très vite, et déjà, les vitres de la voiture se couvrent de buée. Il me mord la lèvre, passe une main sur ma poitrine, et ses gestes me font me cambrer contre lui, lâcher un soupire de satisfaction. J'ai ce sentiment que le temps s'accélère, ralentit en même temps ; pas de sentiments, pas de questions, il n'est pas tendre, pas délicat, mais je m'en fous, je me sens déjà mon ventre se tordre d'envie à l'idée d'aller plus loin.

Il domine, ça me frustre, mais je suis un peu coincée par l’étroitesse de l'endroit. Cela dit, j'aime me battre pour le contrôle, obliger les hommes à user de leur force pour s'imposer. Et je ne doute pas qu'il se prêterait au jeu.

J’entraîne sa veste le long de ses bras, l'en débarrasse sans sommation, et me raccroche à ses lèvres, laissant ma langue se glisser entre ses dents. Mon bassin se lève légèrement, vient se coller au sien, et je devine qu'il est aussi peu patient que moi.

Soit, je n'aime pas me perdre en détours. Je romps notre baiser, et le pousse brusquement de la cuisse pour me retrouver à califourchon sur lui ; il est plus grand que moi et doit se trouver bien à l'étroit, mais cela me fait sourire. Je retire mon manteau, le haut part avec, peu importe. Il fait encore un peu froid pour être en simple lingerie, mais je compte bien sur lui régler le problème. Je le fixe, mes mains froides passent sous sa chemise, remontant sur son torse avant de redescendre doucement en douces griffures jusqu'à sa ceinture.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
L'entreprenante Willow se révélait enfin, à sa grande joie. La petite jeune femme timide des grands couloirs vides semblait bien loin à présent. Finn se débarrassa du dernier souvenir de leur rencontre informelle, sa veste tâchée de café, à l'aide de la jeune femme. Cela le libéra davantage pour prodiguer les mouvements nécessaires à la cambrure de ce corps parfait. Les hanches fermes au centre gonflé de Finn heurtèrent celles de la jeune femme alors qu'il lâchait un soupir de contentement, heureux que les choses tournent ainsi. Sur les vitres, la buée se formait déjà, comme une barrière sur le monde et sur la réalité dont ils se déconnectaient peu à peu.

Les choses prirent une tournure qui l'excita particulièrement. En effet la jeune femme au début soumise donna un élan fantastique de sorte que, l'espace de quelques secondes, elle se retrouve à chevaucher Finn de son corps élancé, prête à en découdre avec lui. Pas besoin de mots, pas besoins de « je t'aime ». Oh, c'était tellement mieux ainsi. Pas de bavardages, juste le sexe pur et dur qui vous faisait tant de bien après les dures journées de cours.

La jeune femme se pencha au dessus de lui et Finn se décala suffisamment pou être complètement allongé, ses jambes repliées dans le dos de la demoiselle aux jambes désormais complètement écartées au dessus de lui. Leurs intimités frottaient l'une contre l'autre à travers leurs vêtements et Finn crut deviner au creux des jambes de la jeune demoiselle une humidité qui n'était pas celle du café. Joignant ses lèvres aux siennes dans un baiser torride, il lui abandonna sa langue avant de passer ses mains dans son dos. Une main experte dégrafa le soutien-gorge de la jeune femme, laissant glisser sur sa chemise la poitrine libérée dont il caressa prestement un des membres.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Son habilité était surprenante, et je sursautai même lorsque mon soutien-gorge lâcha. Enfin, je suppose qu'à son âge on a plus d'expérience... Il a quoi ? Dix ans de plus que moi ? C'est un peu intimidant, mais tellement excitant en même temps. Ses caresses m'arrachent un nouveau frisson, et je me cambre plus brusquement, plantant mes dents dans ses lèvres, plaquant mon bassin contre le sien. J'ai envie de lui, c'est de moins en moins contrôlable ; ma respiration s'accélère, mon coeur s'emballe à chacun de ses contacts. J'ai l'impression que je vais exploser d'une seconde à l'autre, c'est insupportable. Mais tellement bon.

Mes mains se posent sur son torse, et je défais enfin les attaches de sa chemise, une à une, glissant mes lèvres sur son cou, sa mâchoire. Ce bout de tissu m'agace. J'en viens finalement à bout, laisse ma peau frôler la sienne, brûlante, douce. Mes joues se teintent de rose alors que je repense à mes fantasmes passés, et me dis que je n'étais finalement pas si loin de la vérité... Il est vraiment beau. Même s'il a un caractère de cochon, je ne peux pas le nier un seul instant.

Je me redresse, mes cheveux retombent sur ma nuque prise d'un frisson par le froid. Et je laisse mes doigts glisser sur les lignes de son corps, en contemplation. Un nouveau sourire, alors que j'arque le sourcil d'un air provocateur, et je pose doucement mes mains sur son entrejambe. Le caressant, d'un geste à peine appuyé, atteignant bien vite la fermeture de son pantalon pour l'ouvrir en délicatesse.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La tension déjà palpable montait d'un cran de minutes en minutes, si tant est que le temps avançait encore dans cette situation là. Les caresses de Finn sur la poitrine de la jeune femme achevèrent d'exciter cette dernière qui, au contact de ses doigts sur les boutons de chair rose, mordit violemment la lèvre du professeur. Ce dernier lâcha un gémissement de douleur qui se mua par la suite en excitation, puisque ses caresses se firent plus appuyées sur cet endroit si sensible qui semblait lui faire grimper les échelons du désir.

La chemise de Finn fut bientôt abandonnée on ne sait où et il en retira rapidement ses bras pour ne pas être gêné dans ses mouvements. Il sentit le regard de la jeune femme découper son corps en fragments qu'elle devait plus ou moins rallier aux pensées érotiques qui la traversaient sous la douche et s'en amusa. Malgré tout il dut lâcher la poitrine de la jeune femme lorsqu'elle se redressa, sensuelle et aguicheuse, arquant son petit sourcil l'air de dire « C'est moi qui contrôle. ». Cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire, il aimait les femmes entreprenantes. Il aimait tout, du moment qu'il ne s'ennuyait pas et qu'il ne faisait pas tout le boulot.

La douceur de la main de la jeune femme au niveau de son entrejambe le surprit mais il lâcha par la suite un digne soupir en regardant la demoiselle dans les yeux. Willow capta son regard tandis qu'elle descendait langoureusement la barquette de son jean. Finn s'appuya sur ses coudes, plongeant ses yeux au plus profond du néant insondable de ceux de son élève, dans lequel il ne pouvait déceler aucune attention. Elle allait le surprendre, il le sentait, et cela ne faisait que l'exciter davantage. Le sang quittait sa tête pour se réfugier dans une autre partie bien précise de son anatomie.

"Montre-moi ce que tu sais faire." la défia-t-il.

Et il attendit qu'elle agisse.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)