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zoie&hedwige - between the lines

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T’inquiète pas. Comme si qu’elle n’allait pas s’inquiéter. Elle en avait de bonnes, quand même, l’acrobate en herbe. Son visage se transforma lorsqu’elle vit le sang sur la main de Zoie. C’était peut-être plus grave, encore plus grave que ce qu’elle voulait bien laisser paraître. Et cet ascenseur qui ne bougeait toujours pas… « Bien sûr que si je m’inquiète ! T’es tombée d’au moins deux mètres, t’aurais pu… » Oui, non. Mieux valait ne pas finir cette phrase, hein. Elle ne savait pas quoi faire, et s’agitait comme une idiote à côté de Zoie, cherchant le meilleur angle, le meilleur geste qui pourrait la soulager. « Tu peux bouger ? T’as mal où ? Dis-moi ce que tu veux que je fasse. » Un vent de panique s’était emparé d’elle. Mais après quelques secondes, elle parvint tout de même à se calmer, et retrouver la raison. Doucement, elle posa sa main sur la jambe de la mather. « Tu sens ma main ? » Juste pour vérifier. Rien d’autre.  
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Elle aurait pu quoi ? Elle était pas en sucre. Elle avait vu pire. Ca ne serait jamais aussi douloureux que de savoir qu'Hedwige appartenait à quelqu'un d'autre. Mais ça, elle se garderait bien de le dire. "Je t'assure, ça va !" Elle essaya de se redresser sur ses coudes. Elle y parvint un peu, mais son bras gauche la faisait définitivement souffrir. Pas au point d'être cassé, à vue de nez, c'était déjà ça." Et Hedwige qui posa sa main sur sa jambe. "Je la sens parfaitement." Et elle la sentait un peu trop. Ca avait accéléré son rythme cardiaque. Et lui avait provoqué des frissons. Ce contact était beaucoup trop agréable. Et pénible, quand elle savait qu'elle n'y avait pas droit. "Arrête de te faire du soucis. La seule chose brisée ici, c'est mon coeur, le reste se porte bien." Plus cash, c'était difficile. Elle avait regardé Hedwige droit dans les yeux. Mais n'attendit pas de réponse de sa part. Elle se redressa un peu plus et constata qu'elle saignait toujours au niveau du cou. Une vilaine estafilade, mais pas de coupure profonde. "Tu pourrais me passer un mouchoir s'il te plait ?"
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Bon okay. Peut-être qu'elle dramatisait un peu trop. Un peu. Mais pour sa défense, la chute avait été spectaculaire. Et l'idée de voir Zoie blessée la paniquait. S'il lui était arrivé quelque chose de plus grave, n'importe quoi, elle ne se le serait jamais pardonné. Comme si qu'elle pouvait vraiment arrêter de se faire du souci. Comme si que c'était seulement possible... Mais Zoie lui fit comprendre que non, elle n'avait pas oublié ce qu'il s'était passé avant. D'une certaine façon, Hedwige aurait préféré qu'elle ait une amnésie passagère, histoire de lui laisser la possibilité de s'occuper d'elle. Mais visiblement elle allait très bien, tellement bien qu'elle avait retrouvé son mordant. Elle retira sa main, s'éloigna doucement, sans même prendre la peine de répondre. Que répondre face à ça ? Elle avait parfaitement raison. Elle attrapa un paquet de mouchoirs de son sac et en donna un à Zoie, « tiens », puis alla se recaler dans son coin. Elle avait bien compris que Zoie n'avait pas besoin d'elle. Ou ne voulait pas d'elle. Enfin... Que pouvait-elle y faire ? A nouveau, elle attrapa son portable. Toujours pas de réseau. Mais mieux valait le fixer lui plutôt que d'affronter encore regard de son ex.
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"Merci" Zoie attrapa le mouchoir en baissant la tête. Elle était un peu dure avec Hedwige. Elle voulait juste l'aider, et elle l'envoyait voir ailleurs. Mais quelque part, maintenant qu'elle connaissait la vérité, être en présence d'Hedwige était déchirant. Elle déplia en partie le mouchoir et le tamponna contre sa nuque. Elle avait l'air ridicule là par terre, en plein milieu l'ascenseur, alors qu'Hedwige était retournée se glisser contre la paroi. Elle voulut faire de même, et tenta de s'appuyer sur son bras gauche pour se redressa, mais impossible. Elle grimaça. Saleté. Elle dut enlever le mouchoir temporairement pour récupérer sa main droite, s'appuya sur son bras droit, et boita difficilement une fois debout vers le coin derrière elle. Elle se laissa tomber sur le sol. D'accord, elle était amochée, c'est vrai. "T'aurais pu me le dire avant." dit elle tout à coup sans prévenir et sans regarder Hedwige. Elle avait l'air misérable, à moitié démolie physiquement par sa chute, et mentalement par ce qu'elle avait appris. Qu'on la sorte de là bon sang.
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Du coin de l'oeil, elle voyait bien que Zoie avait mal. Mais malgré tout, elle refusait son aide. Et Hedwige ne se voyait pas vraiment la forcer à accepter, ça n'aurait fait qu'empirer les choses. Pourtant elle aurait bien voulu. L'aider, soulager sa peine, même souffrir à sa place, elle l'aurait fait sans hésiter une seule seconde. Mais Zoie était aussi têtue qu'un ÂNE, ce qui rendait les choses franchement compliquées. Comme si qu'elles ne l'étaient pas déjà assez... « Je sais. J'aurais dû. » Bien sûr qu'elle le savait. Beaucoup trop bien même. « Mais je n'avais pas envie que tu t'éloignes. Comme ça. » Elle lui lança un regard furtif, puis se leva à nouveau. Elle tendit la main vers le haut, son portable dans celle-ci, à la recherche du saint-graal cellulaire. Une barre apparut ! « Ah ! » Elle composa le numéro d'urgence affiché sur l'ascenseur... et la ligne était occupée. « Bah oui, bien sûr... » Elle soupira à nouveau, puis se tourna vers Zoie. « Où est-ce que t'as mal ? »
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Fallait savoir. Si elle était avec quelqu'un, elle ne pouvait pas avoir Zoie en même temps. De une, elle ne cautionnait pas la polygamie, de deux, elle était possessive comme pas possible. Et exclusive. Du moins quand elle était très amoureuse. On n'en était pas là. Enfin, dans la tête de Zoie, on n'en était pas là. Dans son coeur, on ne savait pas trop. Elle ne répondit rien et tenta de se redresser un peu pendant qu'Hedwige cherchait le sacro saint réseau. Sans succès. Pour les deux. Le bras de la mather la faisait trop souffrir. "Au bras gauche Hedwige. Mais y a rien de cassé." Pas comme son coeur qui était en miettes, n'est ce pas. Même si elle ne se l'avouerait pas. "Comment tu veux que je ne m'éloigne pas." lâcha-t-elle tout à coup. Zoie, elle ne prévenait jamais avant de se mettre à dire des trucs importants. "T'es avec quelqu'un d'autre. Ca te ferait quoi si je me pointais avec une copine sortie de nulle part ? T'aurais pas envie de prendre de la distance peut-être ?" lança-t-elle les yeux brillants de froideur et de douleur.  
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Rien de cassé. Enfin si, il y avait bien quelque chose de cassé. Mais ni la médecine, ni même un miracle n’aurait pu le réparer…  Hedwige n'était pas médecin, et était incapable de l'aider. Et surtout, elle pensait bien que Zoie n'aurait pas voulu qu'elle s'approche d'elle. Elle acquiesça donc, ne sachant pas trop quoi faire. « D’accord… Dis-moi si je peux faire quelque chose. » Elle tapotait toujours sur son téléphone, espérant naïvement que ça accélèrerait le temps. Faire que ça passe plus vite. Bon sang. Et Zoie qui en remit une couche, la blonde s’immobilisa. Comment voulait-elle qu’elle ne s’éloigne pas ? Comment osait-elle espérer ça ? Elle avait raison. Bien sûr qu’elle avait raison ! Ce que ça lui ferait de la voir avec une autre ? Sa réaction la dernière fois lui en avait donné un aperçu très clair, même si elle avait refusé d’en accepter les implications. Et même maintenant, alors que la vérité lui revenait en pleine face, elle ne voulait pas l’accepter. Elle n’avait pas le droit, tout simplement. « Tu as raison. Tu as complètement raison, okay ? » Ses yeux fuyaient, elle n’avait aucune envie de croiser le regard glacial de son ex. « C’est moi qui ai fait n’importe quoi, qui t’ai fait croire que… que… » Que quoi d’ailleurs, hein ? Elle ne lui avait rien fait croire du tout. Parce que tout ce qui s’était passé, ç’avait été vrai. La réalité, sans le moindre artifice. Elle soupira, et glissa le long de la paroi pour se rasseoir de son côté de la cage. « Je suis désolée, je ne savais pas où j’en étais. » Une larme perla au coin de son œil, mais avec de la chance, Zoie ne la remarquerait pas dans la pénombre. « Je ne sais toujours pas… »
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Elle n'avait pas eu besoin d'Hedwige pour se monter la tête et penser que peut être quelque chose était toujours possible entre elles. Dès le départ, elle avait eu envie de la prendre dans ses bras, de l'embrasser, de retrouver sa place auprès d'elle. C'est vrai, la mather lui avait donné l'impression que ça n'était pas inaccessible. Et elle lui en voulait pour ça. Mais elle avait conscience qu'elle avait une part de responsabilité. La détresse d'Hedwige lui serra le coeur. Parce que c'était de la détresse, qu'elle avait l'impression de voir sans son regard, même fuyant. Elle ne savait pas où elle en était ? Y avait il eu un espoir ? Mieux, elle ne savait toujours pas. Le coeur de Zoie s'emballa. Complètement. Elle perdit tout sens du contrôle. Elle arrêta de réfléchir. Elle oublia même son bras endolori. Elle poussa sur ses jambes pour se redresser, s'appuya contre la paroi de l'ascenseur pour s'aider, claudiqua jusqu'à Hedwige, s'agenouilla devant elle, glissa sa main sous le menton de la jeune femme pour l'obliger à relever la tête. Elle la regarda droit dans les yeux avant de l'embrasser. Passionnément. Sans lui laisser le choix.  
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Elle ne savait pas non. Elle était complètement perdue, incapable de savoir ce qu’il se passait dans son cœur. Pourtant elle le sentait bien, là, au milieu de sa poitrine. Il criait, hurlait de douleur, mais ça faisait tellement mal qu’elle ne savait pas pourquoi. Juste pas. Et Zoie qui s’était levée, elle l’avait entendue, refusant de lever les yeux vers elle. Parce que ça n’était pas possible, qu’elle ne pouvait pas la voir comme ça, dans cet état. C’était juste impossible, mais en même temps, elle ne pouvait rien y faire. Et lorsque la mather s’agenouilla devant elle, elle ne put rien faire. Lorsqu’elle lui attrapa le menton pour l’obliger à la regarder, elle ne put qu’obéir. Et lorsqu’elle l’embrassa, tout explosa. Son cœur, tous ses sens, elle ne répondait plus de rien. Des deux mains, elle attrapa la tête de Zoie, s’accrochant à elle comme au dernier fil de sa vie, comme son cœur lui dictait, comme sa raison lui avait interdit. Et elle lui rendit son baiser, avec autant de passion que la brune. Parce que ça lui avait manqué. Parce qu’elle ne voulait plus jamais que ça s’arrête. Parce que plus rien d'autre n’avait d’importance.
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Zoie aurait franchement pu se prendre une gifle. Mais elle s'en moquait. Elle voulait Hedwige. Elle la voulait plus que n'importe qui ou n'importe quoi d'autre. Il était temps qu'elle le sache. Elle ne pouvait pas croire qu'elle aimait l'autre personne autant qu'elle l'avait aimée. Elle ne voulait pas le croire. Elle refusait de l'envisager. Et la façon dont elle répondit à son baiser la conforta dans cette idée. La sensation des mains d'Hedwige sur son visage était tellement exceptionnelle. Personne d'autre n'avait jamais eu cet effet là sur elle. Son coeur était en train d'exploser dans sa poitrine. Elle continua à l'embrasser. Elle ne voulait pas que ça se termine. Jamais. Elle voulait Hedwige pour elle, pour toujours. Rien que pour elle. Le temps s'était arrêté. Zoie glissa ses mains sur les hanches de la dunster. Son coeur s'emballait. Tout s'emballait. Sa main droite passa sous le haut de son ex sans qu'elle s'en rende vraiment compte. C'était tellement instinctif. Tellement naturel.
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