Il ne mit que quelques minutes supplémentaires avant de me retirer mon soutien-gorge et de coller son corps contre le miens, nos chaleurs corporelles se mélangeant comme elles l’avaient toujours fait. Bientôt, nos corps ne feraient plus qu’un et, franchement, je n’avais aucunement envie d’attendre. Sa main s’aventura rapidement le long de ma cuisse pour remonter sous ma culotte et je gémis doucement alors qu’il trouvait enfin mon intimité, bien humide. Me tortillant un peu sous lui, je l’aidai en retirant moi-même mon dernier vêtement, le faisant glisser rapidement le long de mes jambes avant de le balancer à travers la pièce. Dans un sourire plein de désir, je glissai ensuite la main sur son boxer, caressant son membre bien dur sous le tissu.
J'embrassais chaque partie de son corps, pour ensuite finir par passer ma main sur son intimité vraiment humide, ravi de lui faire toujours autant d'effet. Je continue de caresser son intimité un petit moment, ravi de l'entendre gémir doucement de la sorte. Sauf qu'elle retire elle même son dernier sous vêtement. Bon ok, au moins je sais qu'elle est pressée. En réalité moi aussi, et elle doit le sentir, parce que mon membre est bien dur. D'ailleurs je viens à sentir sa main sur mon boxer qui commence à mes caresser, laissant alors quelques soupirs de plaisir échapper de ma bouche. Je la regarde avec un regard rempli de désir, alors que je m'occupe moi même aussi de retirer mon boxer. Je colle mon membre contre son intimité, juste histoire de la faire languir et de faire monter le désir. Finalement je m'écarte légèrement pour attraper dans sa table de nuit, la boîte de préservatif que j'avais laissé ici, c'était plus pratique. J'en attrape un pour alors pouvoir l'enfiler. Je me remets ensuite au dessus de Davina, entre ses jambes pour coller mon bassin contre le sien, sans la pénétrer pour le moment, juste en frottant nos deux intimité ensemble.
Aussi pressé que moi, Maxime retire lui-même son boxer pour finalement se retrouver nu au-dessus de moi. Je ne peux m’empêcher de sourire de satisfaction, jetant même un coup d’œil à sa verge en érection laquelle je n’aurai plus la chance de revoir avant un moment, voire jamais. Il la presse contre mon intimité et je me cambre immédiatement, appréhendant la suite avec plaisir et excitation alors que, je le sais bien, il ne fait que jouer pour le moment. Je me mords la lèvre inférieure et il se recule un peu pour prendre un préservatif. Tient, tient, comme il est sage. Au moins je peux présumer qu’il s’est toujours protégé quand il me trompait. Un goût amer m’empli la bouche et je chasse cette pensée aussi vite qu’elle est venue quand il reprend position au-dessus de moi. Je remonte bien les jambes, les écartant pour lui laisser toute la place dont il a besoin alors que je me sens impuissante face à la situation. Je ne peux que profiter du moment et le regarder onduler sensuellement sur moi. Je passe tout de même les mains sur son corps, griffant au passage ses côtes et le regardant bien droit dans les yeux lorsque je pousse un gémissement aussi sexy qu’excitant.
Je sors toujours couvert, avec le nombre de filles avec qui je couche, c'est quand même une obligation. Je n'ai pas envie d'attraper une maladie ou autre. Bref, j'enfile le préservatif, et je glisse une nouvelle fois entre ses jambes. Je fais remonter sa jambe contre ma taille, pour ensuite pouvoir me glisser en elle, laissant échapper un soupir de plaisir. Je commence alors à onduler mon corps au dessus d'elle, faisant tout pour nous donner un maximum de plaisir, à la fois rapide et intense. Je finisais pas gémir de plaisir, alors que je passais ma tête dans son cou pour embrasser sa peau, mordillant légèrement sa peau. Notre dernière fois, alors j'essaye de faire durer le plaisir un maximum. Au bout de plusieurs et longues minutes, j'accélère et je laisse échapper un gémissement plus fort que les précédents, ralentissant ensuite doucement dans mes mouvements.
Une fois le préservatif en place, Maxime replonge en moi, m’arrachant un long soupir alors qu’il bouge en rythme. Mon corps se cambre sous lui alors que le plaisir prend possession de moi, ma tête ne m’étant plus d’aucune aide alors qu’il me fait littéralement grimper au septième ciel. Ses mouvements de plus en plus rapide et précis m’arrachent des cris et des gémissements alors que je lui laboure le dos sous mes ongles plus ou moins long. Tant pis, il aura des marques. Le plaisir devenait de plus en plus intense, pratiquement insoutenable lorsque je sentis enfin que j’atteignais le point de non-retour. Max ralenti et je le serai contre moi, embrassant distraitement son cou et son épaule.
Je sens ses ongles dans mon dos, alors que j'accentuais mes mouvements de vas et viens en elle, gémissant de plaisir. La pièce était rempli de divers gémissements de la jeune femme et de moi aussi, jusqu'à atteindre le septième ciel, chacun notre tour. Je ralentisais mes mouvements jusqu'à m'arrêter entièrement, alors qu'elle me serrait contre elle. Je viens à l'embrasser, pour ensuite me retirer. Je viens à m'occuper de la protection pour aller la jeter et ensuite revenir aux côtés de Davina et lui voler un baiser. Et voilà à partir de maintenant, tout est bien terminé entre nous. " Et voilà un bon souvenir... " Lui dis-je finalement.
Maxime resta en place un moment avant de finalement se retirer, se relevant pour aller jeter le préservatif alors que je me glissais sous les couvertures, ayant soudainement froid alors que la température de mon corps redescendait. Max vint me rejoindre, se collant contre moi et me vola un baiser avant de dire doucement : " Et voilà un bon souvenir... " Je lui jetai un regard en coin, hésitant soudainement entre lui foutre ma main sur la gueule et le mettre à la porte ou me coller contre lui en silence, profitant encore un peu du moment pour redescendre sur terre. J’optai pour la seconde, dessinant distraitement ses abdos du bout du doigt. « Tâche d’être moins stupide avec la prochaine si tu veux la garder… » dis-je dans un quasi murmure.
J'étais partis jeter le préservatif, alors que je retourne près de Davina par la suite. Autant profiter de ce dernier moment ensemble, non ? Je retourne sur le lit, me mettant sous les draps aussi, alors que je viens à me coller un peu à elle. Elle me dit d'être moins stupide avec la prochaine si je veux la garder, alors je souris légèrement. " Je tâcherais de mieux me comporter. " Lui avouais-je en la regardant. Je la laissais caresser légèrement mon torse, alors que je me tournais vers elle pour l'embrasser rapidement sur les lèvres, oui j'en profitais un peu quand même. " Je suis vraiment désolé de t'avoir fait du mal. " Je suis réellement sincère pour le coup, je l'apprécie malgré tout.
" Je tâcherais de mieux me comporter. " J’hochai la tête, silencieuse alors qu’il venait m’embrasser rapidement. Je le regardai sans rien dire, profitant moi aussi de ce moment. " Je suis vraiment désolé de t'avoir fait du mal. " J’hochai la tête une fois de plus. « Mmh.. » le mal était fait maintenant alors rien de nous obligeait à revenir sur le sujet. Je posai ma tête sur son torse au niveau de son épaule et fermai les yeux, caressant toujours sa peau du bout des doigts. Il allait me manquer, c’est certain. Mais c’était certainement mieux ainsi. Au fond, nous formions un couple plutôt étrange et disfonctionnel.
Oui j'essayerais de faire mieux la prochaine fois, s'il y a une prochaine fois tout de même sait-on jamais. J'ignore si un jour j'arriverais à être en couple sérieusement avec une fille sans finir par la tromper. Je l'embrassais rapidement, pour ensuite l'attirer contre moi. Autant profiter du moment ensemble, de notre dernier moment. Je la regardais, alors qu'elle avait sa tête posée contre mon épaule. Je passe ma main sur sa joue délicatement, pour pouvoir la caresser pour ensuite la faire aller dans ses cheveux. Bon et maintenant qu'est ce que je devais faire ? Rester et profiter un peu ou bien partir ? Autant rester encore un peu pour éviter qu'elle me déteste pour de bon.
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Il ne mit que quelques minutes supplémentaires avant de me retirer mon soutien-gorge et de coller son corps contre le miens, nos chaleurs corporelles se mélangeant comme elles l’avaient toujours fait. Bientôt, nos corps ne feraient plus qu’un et, franchement, je n’avais aucunement envie d’attendre. Sa main s’aventura rapidement le long de ma cuisse pour remonter sous ma culotte et je gémis doucement alors qu’il trouvait enfin mon intimité, bien humide. Me tortillant un peu sous lui, je l’aidai en retirant moi-même mon dernier vêtement, le faisant glisser rapidement le long de mes jambes avant de le balancer à travers la pièce. Dans un sourire plein de désir, je glissai ensuite la main sur son boxer, caressant son membre bien dur sous le tissu.
