TIMOTEI&ALEXYS † pourtant, tout avait bien commencé.

« Ne t’inquiète pas, plus jamais je ne ferais ça... » Surement un moyen de me rassurer. Ca ne fonctionnait pas vraiment étant donné que sous l'impression de la drogue et de l'alcool, on avait tendance à ne plus se rappeler ni même si soucier de quoique ce soit. Il ne pouvait pas faire une telle promesse Timoteï. C'était tout simplement inutile. Mais, je ne lui en voulais pas au contraire, je me contentais de sourire. Et puis, il me demanda ce qu'il s'était passé parce qu'il n'avait aucun souvenir de rien. Alors forcément, je lui expliquais les choses en butant sur quelques mots. C'étiat encore trop frais pour moi, j'avais du mal à m'en remettre. Je pensais vraiment qu'il allait y rester et si ça avait été le cas, croyez-moi je m'en serais voulue. Terriblement voulu. Jamais je ne m'en serais remise. Enfin bref, je lui expliquais vite fait en expliquant que je n'avais rien fait pour l'aider dans le sens que j'aurais du aller le chercher, je n'aurais pas du le laisser jouer sur le bord de la route comme ça. Et puis, c'est à ce moment là qu'il me fit remarqué que je n'aurais pas du être là. Que je souffrais à cause de lui. Non moi, je ne voyais pas les choses de cette manière. Sauf que c'est moi qui t'es traîné à cette soirée... J'aurais du rester avec toi... Et j'auras pas du te laisser tout seul près de la route. Je soupirais en baissant la tête. Je voyais bien qu'il était mal. Et puis tout à coup... « Même si... Je ne me souviens pas de toi. Je ne me souviens plus de rien. » A vrai dire, je ne savais pas quoi répondre. Il laissa sa tête tombée violemment contre l'oreiller et j'entrouvrais la bouche pour parler. J'avais envie de lui dire que ce n'était pas grave mais, j'y arrivais pas. Je pouvais pas dire ça parce que tout ça c'était de ma faute. Il semblait mal, il avait envie de se souvenir. Les médecins ont dit que ça pouvait arriver... Mais j'étais incapable de lui dire s'il allait retrouvait la mémoire, si un jour il allait se souvenir de moi. J'étais incapable de lui dire toutes ces choses. Et s'il devait tout réapprendre ? De quoi est-ce que tu te souviens au juste...?

(Invité)

« Tu n'as tout simplement pas le droit de t'en vouloir. J'étais alcoolisé, j'étais défoncé et je ne sais pas... » Je n'étais tout simplement pas dans mon état normal, si je n'étais pas ainsi, je ne serais sûrement pas dans cet endroit. Elle ne serait pas là au bord de mon lit, les yeux encore rouges. Je me sentais mal pour cette personne, je me sentais mal de la voir culpabiliser, souffrir tout simplement à cause de moi. Je n'étais pas une bonne personne, pourquoi s'attacher à moi ? Tant de question qui restait encore sans réponse. Un soupire, la tête dans l'oreiller. J'avais fermé les yeux, je n'avais plus aucune envie d'être dans cet endroit. Je n'avais plus envie de penser, j'avais besoin de fermer les yeux, besoin de faire le vide. C'était normal d'après le médecin, mais pour moi cela n'était pas normal. J'avais besoin de ces souvenirs, j'avais besoin de ça pour pouvoir me reposer et pouvoir réconforter cette demoiselle au bord de mon lit. Mais, là, j'étais impuissant, je restais toujours dans ce lit et j'allais y rester jusqu'à ce que quelques souvenirs reviennent, jusqu'à ce que mon état se stabilise petit à petit. Mon visage se décomposait de plus en plus, virant au blanc pâle, la chaleur s'engouffrait dans mon corps. Trop de problèmes en seulement quelques minutes, je n'arrivais pas à me calmer. Mon cœur battait rapidement, j'avais l'impression qu'il allait traverser ma propre peau. J'essayais de respirer doucement, de me reprendre en main, mais rien n'était simple. Sa voix me ramenait à la réalité, sa voix me permettait de ne pas lâcher prise, je voulais me battre pour elle, seulement pour elle. Je tournais la tête, ouvrais les yeux dans sa direction. J'avais un regard vide, triste et pourtant j'ouvrais doucement la bouche. Aucun son ne sortait réellement. Je réfléchissais et les premiers trucs qui me venaient, c'était mon prénom et mon âge. « Timoteï, 25 ans. C'est les seules choses... que je me souviens. »

(Invité)

J'sais pas non plus... J'ai soupiré, à la fois perdue et désolée. Parce que ce soir-là, j'ai vraiment pas géré. J'ai vraiment déconné. J'aurais du être là pour lui, j'aurais du faire plus attention à ce qu'il faisait. Au lieu de ça, je me suis contentée de l'engueuler après quoi, j'ai continuer à fumer tranquillement comme si de rien était. Apparemment, c'était pas le cas. Rien était de ma faute. A mes yeux, ça l'était vraiment, vraiment beaucoup. Et je m'en voulais surtout lorsqu'il m'annonça qu'il ne se rappelait de rien si ce n'est son prénom et son âge. Je grimaçais légèrement, je ne savais pas vraiment quoi lui dire. Est-ce que je devais lui donner des détails sur sa vie ? Est-ce que j'étais en position de le faire ? Je n'étais peut-être pas la mieux placée pour faire ça. Il connaissait sans doute quelqu'un qui en savait plus sur sa vie. Je soupirais encore une fois et m'installais plus confortablement sur le rebord du lit pour lui expliquer quelques trucs par ici et par là. Je peux te dire que t'es à la mather house aussi, à l'université à Harvard. J'étais ta bizutrice d'ailleurs et t'étais plutôt un bon élève. Sinon qu'est-ce que je pourrais te dire de plus... Que tu bois, que tu fumes, un vrai dépravé mais, c'est pas grave on est tous comme ça dans la famille. La famille verte je veux dire. Je ne savais pas vraiment quoi dire de plus étant donné qu'on ne se connaissait pas vraiment en y réfléchissant bien.

(Invité)

Elle me faisait un long résumé de ma vie, enfin long et court à la fois. En seulement quelques mots m'avaient suffi pour me cerner. J'avais compris quel genre de mec j'étais, boire, fumer, et coucher à tout vent, cela ne m'étonnait même pas. Je n'avais qu'à regarder ma gueule, blanc comme la mort, des énormes cernes et j'avais parfois l'impression de trembler. Ressentant un manque immense, mais de quoi ? Je devais forcément lui demander, j'étais obligé de me connaître dans les moindres détails... Du moins, si elle me connaissait bien sûr. Car à part être ma bizutrice, était-elle une amie proche ? Je n'en savais rien, c'était toujours autant le trou noir et à vrai dire, elle ne m'éclairait pas sur grande chose. À part être un grand fêtard, je ne savais pas grand-chose. Je tournais ma tête dans sa direction, un petit sourire que je n'avais pas eu depuis mon réveil, elle arrivait à me faire sourire malgré mes problèmes. J'avais l'impression qu'elle me soutenait, qu'elle me guidait et j'espérais la voir près de moi encore pendant un moment. J'avais envie de quitter cet hôpital avec elle, j'avais envie qu'elle m’amène jusque chez moi. Après tout, je pouvais lui faire confiance et seulement à elle. Elle était devenue comme un pilier dans ma vie et j'allais avoir besoin d'elle encore et encore. Pendant des heures, des jours et peut-être des semaines. Je posais mon regard sur elle, tendait ma main dans sa direction pour toucher au bout de mes doigts sa douce joue. « Merci de m'éclairer... Mais, tu as une sale tête, tu devrais aller dormir … Ton prénom ? » Lâchais-je limite embarrassé. Je m'en voulais de ne plus connaître son prénom ou même un surnom.

(Invité)

Il ne se souvenait pas. De rien. De rien si ce n'est son prénom et son âge. Il ne savait plus qui il était, qui nous étions. J'essayais de ne rien montrer bien que cette histoire m'inquiétait quelque peu. J'étais en train de me dire que tous ses souvenirs, tous les gens qu'il aimait et aussi ce qu'il aimait avait disparu. Ca fait mal. Pas beaucoup parce qu'il était réveillé mais, ça faisait mal quand même. Est-ce que tout était parti ? Même les personnes qui avaient le plus compté à ses yeux ? Ses parents, sa famille, son ex copine ? Je me mordais légèrement la lèvre, à la fois heureuse de le voir les yeux ouverts et angoissée pour la suite. Je savais que dorénavant, il comptait sur moi. Si je n'avais pas été à la hauteur ce fameux soir, il fallait que je le soit maintenant. Il effleura ma joue, me remerciant avant de me demander d'aler dormir. Enfin, de dire que j'avais une sale tête. Ca me fit légèrement rire. C'st vrai que ça faisait plusieurs jours que je ne dormais pas mais, je m'en faisais pour lui. Merci c'est gentil ! Même si tu ne le souviens pas de moi. J'ai souris et puis, je lui ai simplement rappelé. Je m'appelle Alexys et, je pense pas avoir plus besoin de sommeil que toi. Certes, t'as dormi depuis pas mal de jours mais, je suppose que c'est dur à encaisser tout ça d'un coup non ? Encore et toujours des questions. Je crois que c'est ma spécialité ça. Ce n'était pas très malin de ma part. Mais, j'ai tenté de me rattraper : Tu veux en savoir plus ou tu préfères que je te laisse tranquille pour aujourd'hui ? Car après tout, si je fais bien marcher ma mémoire, je suis certaine de pouvoir lui dire d'autres trucs mais, il a surement besoin de repos également.

(Invité)

J'avais honte de ne pas me souvenir d'elle, et j'avais eu du mal à lui faire comprendre, à lui avouer qu'elle n'était totalement rien pour moi en ce moment même. Un léger soupire, je posais mon regard sur la jeune femme, elle avait les traits tirés, les yeux rougit, la peau pâle. Rien que de la voir ainsi me faisait mal au cœur, mais encore pire avec son état. J'étais fatigué, certes, mais elle, c'était encore pire. Même si madame prétendait le contraire, je savais parfaitement qu'elle mentait. Je ne pouvais pas dire que je la connaissais suffisamment pour le remarquer, mais cela se voyait sur son visage comme un nez au milieu de la figure. Mais, je ne pouvais que sourire, je ne voyais pas quoi faire à part ça. Après tout, je ne savais même pas comment j'étais réellement, l'aurais-je prise dans mes bras ? Un baiser pour la calmer, lui caresser la joue comme je l'avais fait sans vraiment m'en rendre compte . Je me sentais mal, j'avais envie de me décaler et lui faire une place, et c'était ce que j'allais faire. Je posais de nouveau mon regard sur elle, Alexys, un prénom qui lui allait parfaitement et il était magnifique tout comme elle. « Quelqu'un t'a déjà dit que ton prénom était magnifique, tout comme toi ? » J'avais besoin de la faire sourire, de la faire rire, d'apaiser toutes les tensions qui se trouvaient dans cette pièce ou même dans ce bâtiment. Je ne me sentais pas totalement au plus haut de ma forme, mais de lui parler, me permettait d'accuser le choc plus en douceur. Je m'écartai doucement du lit, pour me coller à la barrière de mon lit. Laissant donc une place considérable pour la jeune femme, après tout, personne ne m'avait empêché d'inviter quelqu'un dans mon lit. « C'est vrai que je suis fatigué, mais toi aussi. Donc pose ton cul à côté de moi, comme ça je pourrais t'écouter et tu pourras te reposer. » Au final, je ne lui laissais pas totalement le choix, mon regard insistant s'était posé sur elle.

(Invité)

Je crois que j'aurais fait tout et n'importe quoi pour Timoteï. Il répondait toujours présent pour me remonter le moral, sortir faire la fête et puis, il avait été un très bon bizut. Je crois que je lui en devais une et si je n'avais pas vu utile le fait de dormir ou même partir de sa table de chevet lors de ses jours dans le coma, ce n'est pas aujourd'hui que j'allais craquer. Je devais rester, je devais l'aider, je voulais le retrouver, lui rendre ce que je pensais lui avoir arraché étant donné que je ne tenais en partie responsable de son état actuel. J'aurais du garder un oeil sur lui ce soir là, le laisser rentrer avec cette brune qui se trouvait au People's Républik. Il tenta de détendre l'atmosphère en me faisant un compliment et je ne pus m'empêcher de lui sourire avant de lui répondre d'un air amusé : T'es irrécupérable Tim. T'as vu ma tête ?! Je fais peur à voir ! C'était du Tim tout craché. Sauf qu'il mentait aujourd'hui parce que j'étais pas coiffée, que j'avais les yeux tout rouge, que j'étais crevée et que je me demandais encore comme je faisais pour tenir sur mes deux jambes. D'ailleurs, il dut remarquer le fait que je n'étais pas au meilleur de ma forme mais que j'étais déterminée à rester car, au lieu de me virer ou de me demander de rester tout simplement, il se décala légèrement pour me faire de la place. En tout cas, accident ou non, t'as toujours ton putain de caractère ! Je m'exécutais et pris place à ses côtés. Je posais ma tête contre son épaule, c'était si bon de le savoir sain et sauf et non entre la vie et la mort. Qu'est-ce que tu veux savoir ?

(Invité)

Ces phrases sortaient rapidement de ma bouche, je ne réfléchissais même pas avant. J'avais l'impression qu'elles étaient totalement normales, comme si c'était naturel de dire des choses ainsi. Après tout, je restais tout de même moi, je n'hésitais jamais. Je n'allais pas hésiter sur des mots, j'étais un dragueur, donc pourquoi perdre cette habitude. Même encore dans un lit d’hôpital, j'arrivais à faire rire le monde surtout elle. Il n'y avait qu’elle qui m'intéressait en ce moment même. Je posais de nouveau mon regard sur la jeune femme, elle était sérieuse, mais j'avais réussi à obtenir un grand sourire et même une réplique pour la cerise sur le gâteau. « Je ne comprends pas comment tu n'as pas été encore dans mon lit. » Lâchais en rigolant, je le pensais . Possible, mais je voulais faire planer le doute. Je ne la lâchais pas du regard pour au final lâcher « si, ce n'est pas déjà fait bien sûr » toujours cet air très sérieux sur mon visage, même pas un sourire, même pas un trait qui allait au final me cuire. C'est vrai que malgré mon accident, j'avais toujours un bon caractère, du moins, je m'en apercevais à moitié. Mais, elle qui me connaissait devait bien le remarquer, j'étais toujours le même. Il me manquait seulement la tête ou plus précisément la mémoire. Je me décalais sur mon lit, laissant une place pour la belle brune, elle n'avait pas le choix, elle devait me tenir compagnie jusqu'au bout. Elle devait dormir près de moi, car après tout c'était à moi de prendre soin d'elle. Un grand sourire sur mes lèvres et je lui tirai la langue et balançais-je « Je sais que tu aimes ce caractère, qu'est-ce que tu ferais sans moi ? Pas grande chose. Faut bien t'occuper. » Elle grimpait dans mon lit et se plaçait contre moi, la tête sur mon épaule. J'attrapais sa main que je glissais dans la mienne, jouant avec sa peau. « Tu connais un peu mes amis ? J'ai des ennemis ? Des colocataires ? » Tellement de questions que ma tête allait finir par exploser.

(Invité)

En tout cas Timoteï, il avait beau avoir eu un accident, avoir été dans le coma et perdu la majorité de sa mémoire, il restait toujours fidèle à lui-même. Plein d'humeur, charmeur comme jamais et souriant comme je le connaissais. J'adorais ça, il arrivait à me remonter le moral, à me faire sourire alors que j'avais été au plus mal ces derniers jours. Ca faisait plaisir de le voir comme ça, vraiment. J'haussais un sourcil et affichant un petit sourire suite à sa remarque. Qu'est-ce que t'en sais qu'on a pas déjà fini dans le même lit ? Après tout, ça aurait pu être le cas vu qu'on avait passé pas mal de soirée ensemble et que la plupart du temps on était défoncés à la fin de chacune d'entre elles. De plus, je vais pas le nier, Tim il était parfait sous tous les angles. Il rectifia ses paroles et je me mis à rire légèrement. Oh on peut toujours rectifier ça ! J'ai affiché un large sourire et je me suis installée à ses côtés. J'ai posé ma tête contre son épaule, il a pris ma main et je lui ai souri. Je confirme, je serais rien sans toi ! Bon ok, peut-être pas non plus mais, j'avais réellement besoin de lui dans ma vie et avec les derniers événements qui se sont produits, je n'ai fait que le constater de plus belle. J'ai réfléchi avant de me lancer : Oh déjà, je peux te dire que t'habiter en colocation à Central Square avec Grace. Elle est mather et... Je crois que votre relation est plutôt... compliquée. Je suis sûre qu'elle t'a déjà sauté dessus une fois et si c'est pas le cas, ça va arriver !

(Invité)

C'est vrai, elle n'avait pas tort, e ne pouvait pas savoir si elle avait terminé dans mon lit ou non. Mais, vu comme elle se comportait, je supposais que non. Du moins, une personne avec qui j'avais couché ne serait pas juste là à attendre. Elle m'aurait déjà embrassé ou pris dans ses bras non ? Enfin, je n'en savais rien et cela n'allait pas changer en seulement quelques minutes. Je rigolais après ses paroles, j'avais donc raison vue la manière dont elle réagissait. Elle me faisait rire, elle arrivait à me faire rire avec seulement quelques mots. Elle était douce, drôle, charmante, bref elle avait toutes les qualités ou bien ? « Juste ta réponse, me suffit pour en décréter que non. » Un petit clin d’œil, j'étais assez intelligent pour remarquer les mimiques de son visage. Le ton qu'elle employait et cette phrase qui voulait tant dire. Je n'étais pas dupe et personne n'aurait réussi à me faire avaler une sottise aussi énorme. Elle riait et ça me faisait un bien énorme de la voir rire, de la voir vivante et non comme un cadavre en décomposition au bord de mon lit. Rectifier ça ? Pourquoi pas après tout, je ne dirais pas non. Enfin peut-être pas en ce moment, mais peut-être dans quelques jours, ou dans une semaine. « C'est quand tu veux. » Lâchais-je rapidement avec un sourire en coin, elle savait que je ne rigolais pas, j'étais sérieux... Du moins sérieux sans vraiment l'être, mais je pensais vraiment ce que je disais. Elle répondait à cette phrase que j'avais balancée rapidement. Je ne le pensais pas vraiment, après tout je n'étais pas ce mec à se balancer des fleurs. Donc j'avais dit ça sur le ton de la rigolade comme la plupart des choses que je disais. Je la laissais se placer contre moi, la tête près de moi et je l'écoutais attentivement. J'étais en colocation avec une jeune femme, je ne savais pas qui, mais je n'allais pas tarder à le savoir. Elle allait sûrement passer, je n'avais plus qu'à retenir son prénom pour ne pas faire tache. « Compliqué ? Tu en sais un peu plus ? Ça m'intrigue cette histoire. » Je regardais ses ongles, pourquoi ? Je ne savais pas tellement, mais je continuais de jouer tout de même avec sa main.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)