Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCODY ಇ visite surprise, la meilleure partie de ma vie. - Page 6
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CODY ಇ visite surprise, la meilleure partie de ma vie.

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COKA ಇ  la vie est parfois injuste avec certains
« Elle est super cette fille. » Répondit-il en caressant mon poignet du bout des doigts. J'aimais quand il était doux, j'aimais ses petits gestes remplis de tendresses. Et suite à mon baiser, Cody ne semblait pas partager mon envie de dormir. Le problème est pourtant là, si nous restions éveillés, nous allons finir par succomber. La tentation à l'état pur. Traîtresse. Et je ne voulais pas qu'une nouvelle fois par ma faute, le lowell se plaigne de lui avoir abimé Codynosaure. C'est que je savais en prendre soin vous voyez, je l'évitais de se faire bobo une nouvelle fois. Mais avec ses lèvres qui effleurèrent les miennes, je peinais à me stabiliser. Faut qu'il arrête, maintenant et toute suite. « Tu dors ? T'es fatiguée ? Assommée ? Tu t'écroules ? T'as pris des somnifères ? Tu crois pas qu'on fait une connerie ? Non, j'ai rien dit, oublie, bonne nuit Kovache. » P'tain arrête je t'en supplie, je peine déjà à me contrôler n'en rajoute pas... me murmurais-je moi-même à l'intérieur de mon cerveau. J'aurais voulu vraiment satisfaire mon bien-aimé, mais je me bloquais à cause de son problème. Je lui avais bien dit que je n'oserais plus toucher Codynosaure de peur et bien ce n'était pas une blague. J'ai vraiment peur de faire quelque chose de travers et le voir de nouveau crier de douleurs. Je voulais vraiment lui donner mon corps ce soir, mais il fallait parfois être raisonnable. Et ce soir, j'avais envie de l'être. Je soupirais bruyamment, me courbait, vénéneuse, reptilienne avant de faire semblant de bailler tout en lâchant quelques mots en même temps que je me retournais sur le côté, donnant ainsi dos au Lowell. « Cesse de trop réfléchir, on ne fait aucune connerie, on dort simplement parce que tu n'es pas en état de m'faire l'amour... Dors maintenant... Parce que moi, je n'arrive plus vraiment à tenir mes paupières... » Je baillais pour de vrai cette fois-ci en posant ma main sur la couverture et en laissant mes cheveux s'étaler en une petite rivière. Libre à lui de venir m'enlacer et me protéger du vent, ou sinon, garder ses distances et s'endormir sans mes bras. Ce que je voulais moi ? Et bien qu'il me serre dans ses bras, sentir son souffle s'écraser sur mon cou, son cœur battre contre mon dos, la chaleur de ses bras me réchauffer. « Cody ?... » Prise d'une dernière pulsion, j'avais envie de tout lui dire, mais quelque chose m'en empêchait, ou devrais-je dire, le sommeil m'emportait, ma voix ne devenait plus qu'un faible murmure. « Je...je... » Ne terminant pas finalement ma phrase que Morphée m'interrompit. Peut-être que lui aussi avait jugé que c'était ni l'heure, ni le jour ou ni le bon moment pour lui avouer mes sentiments. Quoi qu'il en soit, je savais que j'allais devoir le lui dire et ça ne changera pas grand-chose puisque même amoureuse de lui, je veux garder ce qu'on a, ce qui fait qu'on est Coka. Et si un jour il tombait amoureux de moi, on ne sera pas un couple comme les autres et c'est ce qui me plaisait. Je n'avais pas envie de ressembler à tous ces couples nian nian. Nous, on le sera à notre manière. Enfin, ça c'est si le lowell tombait amoureux et ce n'était pas demain la vieille. Mais je garderais toujours espoir parce que je l'aime, je veux que ce soit réciproque et je ferais tout pour arriver à mes fins. Quitte à le mettre en rogne, l'énerver, le provoquer, le faire réagir en sommes.
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Pourtant pas un fervent habitué du retournement de cerveau, il pouvait dire que tout son crâne était en mode upside down à ce moment précis. Ils ne faisaient que dormir dans un endroit des plus romantiques, des plus paradisiaques, des plus coupés du monde. Ils n’avaient fait que passer la journée ensemble, à rire, à s’amuser, auprès d’une fillette aux jours condamnés. Ils n’avaient fait que s’embrasser, se repousser, arrêter, se montrer raisonnable, puis s’enlacer, se poser pour mieux se bercer le temps d’une nuit. Alors ouais, ils n’avaient fait que ça, un enchaînement de petits riens, mais leur relation n’était pas basée sur ça. Elle était basée sur le cul, ce que – malheureusement pour eux – Cody ne pouvait pas donner à Diamantika ce soir. Pourquoi ne râlait-elle pas ? Il échouait à sa mission, à son rôle de donneur d’orgasme, il l’avait connu plus exigeante. « OK, ouais … On dort juste … C’est exceptionnel, ça n’arrivera qu’une fois, c’est pas la mort. » fit-il finalement pour se rassurer. Elle lui fit dos et Cody se redressa légèrement, jetant un coup d’œil au panorama qui s’étirait sous ses yeux. Le ciel, Cambridge, des plaines à perte de vue, des reliefs, le ravin, les courbes de Diamantika. Il se lova enfin de compte contre elle, contre son dos, cherchant ses doigts qu’il entrelaça avec les siens, tout contre la couverture. De son côté, sa jambe fit son chemin entre celles de Dia et ses lèvres se posèrent contre l’épaule légèrement dénudée de l’Eliot. Il se sentait comme perdu en plein désert où, d’un coup, il tombait sur un oasis de chaleur, de bonheur. Il y avait toujours un vent frais qui s’insinuait contre sa peau chaque fois que cette dernière avait le malheur d’être découverte de vêtement, mais qu’importe. Il était bercé par la respiration de Dia, envouté par son odeur corporelle et finalement, tomba dans un profond sommeil. Là, avec elle, perdu au milieu de nulle part, comme à leur habitude. « Tu … ? » Ses paupières s’ouvrirent. Il regarda Dia, enfin le peu d’elle qu’il pouvait discerner sans avoir à lever la tête, c’est-à-dire ses lèvres, sa bouche, sa mâchoire, le creux de son cou, le prolongement de son décolleté. Et pendant cinq littérales minutes aux aguets, il attendit la suite à sa phrase, la suite à leurs histoires. Elle ne vint pas. Cette crétine s’était endormie. Tsssssk. Il se sentait aussi frustré qu’à la fin d’un épisode de Lost. A son tour, difficilement mais sûrement, il trouva le chemin du pays des rêves et le marchand de sable le recouvrit d’un voile de sable.



TO. BE. CONTINUED. :eager:
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