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CODY ಇ visite surprise, la meilleure partie de ma vie.

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COKA ಇ  la vie est parfois injuste avec certains
« Voilàààà, Dia fait souvent ça aussi quand le dinosaure rentre dans son enclos. » Empêchez-moi de faire un crime parce que je vous jure que c'est ce que j'allais faire là. Il m'enfonçait de plus en plus et les infirmières allaient finir par me prendre pour une cochonne. « Tu dis ça, mais c'est comme quand tu vas à Disneyland. Tu dis que t'es pas venue pour monter dans les manèges et au final, tu enchaînes trois tour de Space Mountain. Quatre, dans ton cas. » Dia ne l'écoute pas, occupe toi plutôt du petit gars, oui, oui, il n'avait rien dit du tout, t'avais rien entendu également. Et puis de toute façon Codynosaure était en vacances soooo, n'y pense pas du tout. Et quand je décidais enfin de contre attaquer à mon tour, il trouva une énième façon de me descendre plus bas. « Oh, Cody n'est pas le seul à mouiller son caleçon quand Dia caresse le dinosaure. » Là, les infirmières explosèrent de rire. Elles étaient carrément...au sol. J'allais me le faire ce mec, owii, là toute suite j'allais me le faire devant tout le monde !. Eh ohhhhhhhhh ce n'est pas comme vous le pensez hein bandes de perverses ! On ne va pas le faire devant tous ces enfants quand même oh !. Je m'apprêtais à aller l'étrangler jusqu'à ce qu'il me supplie de lui laisser la vie sauve, lorsque l'un des médecins fit son apparition. Je le connaissais bien, disons qu'il appréciait beaucoup ma venue ici. « Ah, Dia, c'est l'heure du bain de soleil des bouts de chou sous le plus beau des rayons de soleil ! » Je lui retourne un sourire avec une envie de m'agenouiller pour le remercier d'être entré à temps pour me sauver de ce pervers de lowell. Par contre, je fus surprise de la suite. « Cody, ça fait plaisir de te voir depuis le temps ! Mais pas de nouvelle bonne nouvelle comme on dit ! Alors, comment va ... » Comment va qui ou quoi ? Il était déjà venu ici auparavant ?. D'ailleurs, Bleeker s'élança rapidement vers le docteur essayant de lui couper tout court à mon plus grand étonnement. Mais je me suis avancée suffisamment pour entendre quelques mots sortir des lèvres de l'étudiant. C'est qui Maggie ? Et pour qui il avait une consultation ici ? Je fronçais les sourcils m'arrêtant sur le coup en lui lançant un regard assez remonté. Il avait des secrets maintenant ?. Quoi qu'il en soit, je retourne récupérer Rosalie afin de retourner dans sa chambre tout en laissant le lowell discuter avec le médecin puisqu'ils avaient visiblement des choses à se dire. De nouveau dans la chambre de Rosa, je demande à la nurse de me laisser lui faire son bain. Chose qu'elle accepta volontiers. Une fois dans la petite salle de bain, j'aide la petite à se déshabiller pour ensuite entrer sous la douche. J'attrape le jet d'eau et m'accroupis dans un premier temps pour la rincer. Elle était toute souriante et cela suffisait pour me redonner le sourire. Je passe maintenant au lavage en lui frottant délicatement le corps, lorsqu'elle me mit un peu de mousse sur le nez. « Petite coquineeee va !. » Affirmais-je en la chatouillant un peu. Cependant, le regard de Rosalie changea, c'était devenu beaucoup plus sérieux. « Dia ?... Ça te dérangerai pas si je t'appelle Maman ? » Est-ce que j'avais bien entendu ? Mon sourire se fit plus large alors que mes yeux s'étaient immédiatement humidifiés, cela me touchait vraiment. Rosalie était orpheline n'ayant pas de parents, mais cependant, elle avait un tuteur qui était lui aussi docteur dans cette hôpital. « Évidemment que ça ne me dérangerai pas Rosa ! Qui ne serait pas heureuse d'avoir une petite fille aussi mignonne et intelligente que toi ?. » Je lui déposais un baiser sur son front avant de la serrer mes bras. Elle pouvait m'appeler maman autant qu'elle voudra si cela pouvait la rendre heureuse. Le bain de la petite terminé, je l'habillais de son pyjama et en me levant, le lowell était déjà là. « T'as une fille ?. » Balançais-je à son visage en allant déposer la blondinette sur lit. Soyons un peu logique, on était dans un hôpital uniquement pour enfant, Qu'est-ce que Cody viendrait faire ici sinon ?. Et puis j'avais bien entendu qu'il avait une consultation pour "elle", sooo, j'en étais arrivée à cette conclusion.
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Le médecin parlait, parlait, paaaaarlaitttt, il n’arrêtait pas et Cody avait juste envie de rejoindre Dia qui croulait sûrement d’envie de lui poser tout un taaas de questions sur le pourquoi du comment Bleeker connaîtrait un pédiatre. Ben ouais quoi, c’est quand même pas un mec à pédiatre. Tu le vois, tu t’dis pas ’tieeeeens ce grand gaillard allergique aux hôpitaux a sûrement un pote médecin’ et ouiiii et NON. Du coup, Cody le coupa quand il se mit à parler de son voilier. Cool, le mec avait carrément un voilier alors que Cody n’avait même pas les moyens de se paye une voiture. Il coupa cours à la conversation, trouvant un prétexte douteux pour échapper à tout – aka un kebab mal digéré, ça ne pardonne pas – avant de rejoindre la chambre de Rosalie. Il se doutait que Dia n’avait pu se réfugier qu’ici, sachant qu’elle avait fusillé le Lowell du regard en tenant la petite dans ses bras. Personnellement, le brunet trouvait que ça ne se faisait pas trop de mêler un enfant à cette bataille, mais encore une fois, il se trouvait des prétextes. Qu’il le veuille ou non, il devrait affronter Dia et sûrement la redoutable question qui y découlait. Il revint dans la chambre au moment où elle quitta la salle de bain avec la petite, toute propre. Il fit un sourire timide, mais l’Eliot ne le calcula MÊME PAS. Du moins, jusqu’à ce qu’elle le cingle d’interrogation, allant droit au but. On pouvait lui reconnaître une chose, elle analysa plutôt bien la situation. Il haussa les épaules et laissa échapper une grimace, cherchant ses mots. « Une de mes colocataires aura quatre ans le mois prochain. » Il faisait bien entendu référence à leur échange de texto de l’autre jour, échange qui s’était terminé étrangement d’ailleurs. Mais ce n’était pas le moment d’y revenir. Rosa, tout sourire, embêtait Cody qui s’était approché du lit, en tirant sur les pans de sa chemise. Amusé, il s’esclaffa et l’embêta en lui chatouillant le nez du bout des doigts. Il tourna la tête vers Dia, et plus solennellement, demanda ; « On peut sortir dans le couloir cinq minutes ? » En fait, il ne lui laissait pas trop le choix. Une fois à l’extérieur de la chambre, Cody veilla machinalement aux personnes qui vadrouillaient dans le corridor avant de se concentrer sur Diamantika, face à lui. « J’veux pas que tu crois que j’ai essayé de te le cacher. Ce n’est pas ça. En général, c'est le genre de renseignement qui fait plutôt fuir les filles. Et même dans le cas contraire, t'aurais peut-être à tout prix voulu la rencontrer et ça m'aurait dérangé. Tu vois, je la protège, je ne veux pas qu’elle s’attache à des gens qui ne sont que de passage dans ma vie. » Et vlaaaan, prends-toi ça Dia. « Et quand on te voit, on s’dit pas que cette fille a la fibre maternelle, on se dit que t’es plutôt le genre à sortir la combinaison antiradiation en contact d’enfants en bas âge. Mais j’avais tout faux et … Maintenant tu le sais. » Qui pense que ce sont les pires explications ever ? *lève la main*
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Dia laisse peut-être voir que c'est une tête à claque, mais elle est plus intelligente qu'elle ne laisse paraître. Non didiouuu ce n'est pas une Kovalevski pour rien. Du coup, en tant que parfaite enquêtrice, grosse mallette de papier et une géante loupe, elle avait analysé les mots, fait le rapprochement avec l'hôpital et en avait conclu que son lowell préféré avait une fille. « Une de mes colocataires aura quatre ans le mois prochain. » Remarquez, quand je le vois jouer avec Rosalie de cette manière, je me dis que je ne peux pas me tromper. Il avait vraiment un instinct paternel et c'était vraiment attendrissant. J'avais presqu'envie de le serrer dans mes bras et le prendre pour un gros doudou vous voyez le genre ?. « On peut sortir dans le couloir cinq minutes ? » Je savais que ça ne me regardait pas, mais j'avais envie de tout savoir sur lui, je sais aussi que je n'aurais pas dû tomber amoureuse de lui, mais ça c'était trop tard. Je n'arrête pas de penser à lui, j'arrive même plus à fermer l'oeil de la nuit quand je l'imagine à mes côtés avec ses bras qui m'entourent, j'en arrivais même à sourire toute seule comme une folle et à en perdre l'appétit alors que j'étais une bouffeuse de première classe. Vous comprenez bien pourquoi j'avais ce besoin de tout savoir sur lui. Certes, j'avais peur de me confesser à lui, mais il va arriver un moment où je ne pourrais plus garder le secret et peu importe si je me fais rejeter par la suite, mais au moins, je me serais libéré pour ne pas le regretter. Je devais juste me préparer mentalement à le lui dire, enfin ça c'est ce que je faisais chaque soir devant mon miroir et d'ailleurs, cette situation me rappelait la première fois que j'ai avoué mes sentiments à Avery et la réponse fut "j'en aime une autre". Goshh depuis ce jour, j'ai peur de m'entraîner devant un miroir et là, c'était plus fort que moi. Du coup, j'espère que lorsque j'aurais le courage de me confesser, Cody ne va pas m'avouer qu'il allait se marier où sinon là je vous jure que je maudis les miroirs à vie. Bref, une fois dans le couloir, je m'adossais au mur en plongeant mon regard dans celui de l'élu de mon coeur (ouaich profite bien de ces doux mots toi ein !). « J'veux pas que tu crois que j'ai essayé de te le cacher. Ce n'est pas ça. En général, c'est le genre de renseignement qui fait plutôt fuir les filles. Et même dans le cas contraire, t'aurais peut-être à tout prix voulu la rencontrer et ça m'aurait dérangé. Tu vois, je la protège, je ne veux pas qu'elle s'attache à des gens qui ne sont que de passage dans ma vie. » Et vlaaannn dans ma gueule. J'eus un gros, mais énorme pincement au coeur. Du coup, je tourne la tête sur le côté n'osant même plus le regarder. « Et quand on te voit, on s'dit pas que cette fille a la fibre maternelle, on se dit que t'es plutôt le genre à sortir la combinaison antiradiation en contact d'enfants en bas âge. Mais j'avais tout faux et ... Maintenant tu le sais. » Je laisse planer un silence de quelques secondes dans les airs avant de soupirer et de regarder à nouveau le lowell. « Bien sûre que tu avais tout faux ! Évidemment que tu ne pouvais rien savoir...puisque tu t'arrêtes à ça... Cody. » Je balaie mon corps de haut en bas à l'aide de mes mains pour lui montrer qu'il ne s'arrête qu'à mon corps et qu'il ne cherche pas à y voir plus loin. « Certes je te donne mon corps et tu me donnes le tien.... mais rien n'empêche qu'on apprenne plus de choses sur l'un et sur l'autre. L'un n'empêche pas l'autre... » Je marque une courte pause histoire de récupérer un long souffle. « Lorsque tu réaliseras que j'suis plus que ça, il sera peut-être trop tard... » Et là, c'était plutôt un murmure à moi-même. Je tournais de nouveau la tête soupirant une nouvelle fois. « Même si j'aurais souhaité la rencontrer, je comprends que tu veuilles protéger ta fille parce que j'aurais fait pareil. Et j'espère sincèrement qu'elle va bien... » Un sourire se dessina sur les commissures de mes lèvres sachant que je ne pouvais rien dire d'autre, il en avait décidé ainsi et on s'en tiendra à sa décision. Il ne voulait pas que je rencontre sa petite et moi non plus je ne voulais pas m'attacher à elle s'il avait déjà décidé que je serais de passage. « Et moi aussi j'ai appris quelque chose aujourd'hui... C'est que ta fille doit être heureuse d'avoir un père comme toi !... Par contre, vas-y ne jubile pas trop avec ce compliment, ça ne changera pas au fait que je pense que t'es quand même trop pervers à mon goût, j'espère que t'apprends rien de tel à ta fille !. » Je lui tire la langue en grimaçant et en laissant échapper un petit rire par la suite. « Je commence à avoir faim, diiiiiiit ! Tu peux nous ramener quelque chose à manger ?. » Et là je m'approche tout près de son visage en lui faisant les yeux du chat potté. Irrésistible la meuf. Dia ou comment changer de conversation en dix secondes chrono.
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C’est un peu avec regret que Cody évoquait sa paternité avec Diamantika. Il avait été en couple avec Danae pendant quatre mois et jamais elle n’eut l’occasion de rencontrer la petite Jess. Il faut dire qu’il était un vrai papa poule avec sa fille et limite s’il ne checkait pas les casiers judiciaires de chacune de ses petites copines ou de chaque petit copain que Maggie pouvait ramener. ‘Fin elle n’en ramenait pas beaucoup non pluuus, heureusement. Si on devait comparer Maggie à un monument, ce serait plutôt au phare de l’Île de Batz qu’à la tour Eiffel ; par an, trois personnes la montent et uniquement pendant l’été CODY ಇ visite surprise, la meilleure partie de ma vie. - Page 2 387742012 JE T’AIME JESS, JE T’AIME JESS, JE T’AIME JESS. Breeef, il expliqua donc à Dia le pourquoi du comment de son silence quant à sa vie familiale et, à sa grande surprise, se montra plus compréhensive … OK, on l’avait foutu où la Dia qui réagit au quart de tour, la boule de nerf qui explose aussi vite qu’un ballon de baudruche au contact d’une aiguille, qui s’enflamme aussi vite qu’un kovagin au contact d’un codynosaure ? Allôôôô, non mais allô quoi. En plus, elle disait des trucs chelous. Cody arqua un sourcil, puis un autre, en fait, il était tellement perturbé qu’il fit un tango des sourcils, additionné à un regard dur et inquisiteur. Ça ressemblait à rien, mais c’était sa new faceee. « Lorsque je réaliserais quoi ? » Pourquoi sentait-il qu'elle ne répondrait pas ? Gogole traduction, viens à mon secouuuurs ! Et non je n’ai pas failé. Google trad pour l’Anglais, Gogole trad pour le Diaglais. « Elle va … Mieux, on va dire. Même si je pense que les hôpitaux comme ça ne devrait pas exister, pas plus que les maladies, un enfant n’est pas censé avoir besoin d’hôpitaux. » Et bien sûr il faisait autant référence à la situation de Rosa qu’à celle de Jess. « Tu ferais mieux de pas voir ce qu’elle dessine alors … » s’esclaffa-t-il sans en dire plus. Déjà qu’il s’était fait engueuler par Maggie quand elle sut ce qu’il apprit à dessiner à leur fille aïe aïe aïeeeeee. Bon, trêve de blabla ; la madame avait faim et donc l’homme fort se devait de nourrir sa tribu, wesh. « Je vais remplir ta gamelle Kovache, je reviens. » Il partait, oui oui, il comptait partir … Mais d’abord, sa main rencontra l’abdomen de Dia, l’obligeant à se plaquer au mur. Gauche ; personne. Droite ; personne. Et donc ? Une demi-seconde suffit pour que leurs lèvres s’effritent et se pressent, s’épousent et se laissent. Une demi-seconde pour un baiser arraché et sitôt détachés, Cody partit comme un voleur jusqu’à la cafétéria de l’hôpital. Il fallait vraiment qu’il arrête de l’embrasser comme çaaaaa, qu’il calme ses pulsions, un sexfriend embrasse pas sa sexfriend dans les couloirs d’un hôpital pour enfants, c’est écrit noir sur blanc dans le règlement à l’intérieur de sa tête. Ça lui retournait le cerveau et puis le comportement de Dia devenait de plus en plus awkward. Il ne savait pas trop quoi penser. Du coup, au self, il remplit un plateau d’un peu tout ce qu’il trouvait, ça passait du kinder aux pâtes bolo, de la mousse au chocolat à la salade de fruits jolie jolie tu plais à ma mèreuuuuh CODY ಇ visite surprise, la meilleure partie de ma vie. - Page 2 1116103942 Il chassa ses pensées pas belle de sa tête et revint à la chambre de Rosalie en poussant la porte d’un coup de coudes, offrant à ces dames un repas digne d’un grand chef aveugle et amputé des papilles gustatives. « Je suis revenuuuuuu, je sais que vous m’attendiez toutes. » Ou paaaas d’ailleurs, elles avaient des têtes à préparer un mauvais coup.
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« Lorsque je réaliserais quoi ? » HANN, mais il avait des antennes à la place des oreilles ou quoi ? J'avais pourtant parlé doucement et à moi-même exprès pour que monsieur n'en capte rien. Comment vais-je faire pour me sortir de ce pétrin ?. J'étais en train de toussoter, lorsque mon regard croisa la braguette de son pantalon. Je pose une main sur son épaule que je tapote doucement. « Lorsque tu réaliseras que la braguette de ton pantalon est ouverte et que la couleur de ton boxeur est noir... » J'étouffe un rire dans la paume de mon autre main. « Je l'avais remarqué juste après t'avoir donné un coup de coude dans ton ventre t'aleurs ! Mais te prévenir m'était complètement sortie de la tête. Aaaaaaah je vois maintenant pourquoi les nurses rigolaient !. » Et là, j'explose de rire ne pouvant plus me retenir. En fait, c'était un gros mensonge, je venais à peine de le remarquer, mais c'était magnifiquement tentant de lui faire croire le contraire. « Elle va ... Mieux, on va dire. Même si je pense que les hôpitaux comme ça ne devrait pas exister, pas plus que les maladies, un enfant n'est pas censé avoir besoin d'hôpitaux. » Il me rassura sur sa fille et je partageais également ses pensées. Aucun enfant n'avait le droit d'attraper ces merdes et se retrouver dans un hôpital à attendre qu'un miracle se produise ou juste la fin. « Tant mieux alors et je suis parfaitement d'accord avec toi... Ces merdes auraient pu épargner les enfants... » Et étant spectatrice du calvaire que passe souvent Rosalie, je me dis qu'il devrait y avoir plus de miracles pour les enfants. Et à choisir entre garder ma vie où l'offrir à un de ces enfants, mon choix est vite fait. « Tu ferais mieux de pas voir ce qu'elle dessine alors ... » Qu'est-ce qu'il était en train d’insinuer là ? Ne me dites pas qu'il apprenait à dessiner des choses pervers à sa fille ? Nonnnn, je retire mon compliment SUR-LE-CHAMP !. Cody le perversssssssssssss. Je secoue la tête style, "t'es incroyablement irrécupérable mec". Mais qu'est-ce qu'on va faire de lui sérieusement ?. Remarquez, je ne posais pas de question sur la maman, j'estime avoir peut-être été trop loin pour lui en parlant de sa fille alors je ne voulais pas tellement en rajouter. Mais, j'espère qu'elle ne vivait pas avec lui, sinon je ramasse mes bagages et je m'invite chez lui de gré ou de force et s'il me chasse et bien je dormirais devant sa porte comme une sans abri et voilà, au moins je pourrais garder un œil sur la maman qui pourrait avoir envie de lui refaire un deuxième gosse et elle pourrait le violer aussi, Cody était tellement facile à attacher au lit. Je me retiens cependant de lui demander ce qu'elle dessinait de peur d'aller secourir sa fille et comme il ne voulait pas me la présenter, vaut mieux s'abstenir. C'est donc pour cela que je changeais rapidement de sujet, inventant une possible envie de manger, un pur mensonge. « Je vais remplir ta gamelle Kovache, je reviens. » Soudainement, le lowell me plaqua contre le mur en regardant à droite, puis à gauche et comme une conne, je suivais le mouvement. Ouaich nos têtes dansaient à l'unissons. Mais à peine le visage face à lui, que monsieur kidnappa mes lèvres pour un baiser qui me pétrifia sur place. Il fut court, mais tellement bon, tellement... Je le déteste ! Parce que la cloche de mon cœur s'était mise à sonner tellement fort que je sentais d'énormes frissons me parcourir l'échine. Je gardais même les yeux fermés après qu'il soit partie. Il me laissa la tête dans les nuages et mes quelques doigts caressant les traces de ses lèvres. Sauf qu'en ouvrant les yeux... je les écarquillais en découvrant une infirmière qui venait de sortir d'une chambre juste derrière nous. LE BOULET ! LE BOULET ! LE BOULET !. Il avait regardé sur les côtés, mais pas derrière. Le rouge me monta immédiatement au visage alors que j'offrais un sourire nerveux à la demoiselle tout en me précipitant rapidement dans la chambre de Rosalie. Pourquoi faut-il que ça tombe toujours sur moi ?. Mais une chose est certaine, avec ce baiser, c'était comme si je reprenais quelques forces. Ma petite blondinette m'interpella et me murmura quelque chose à l'oreille, un plan diabolique contre Cody. D'ailleurs, en parlant du loup, le voilà qui montrait le bout de sa queue...queue de n'animaux hein.... « Je suis revenuuuuuu, je sais que vous m'attendiez toutes. » Nos sourires s'étaient transformés en sourires sadiques, presque comme ceux de deux sorcières. « Dépose le plateau quelque part et viens près de nous, on a quelque chose à te dire. » Bleeker s'exécuta et prit place sur le lit. Trop facile. Je lançais un regard à Rosa histoire de donner le feu vert et « A L'ATTAQUEEEEEEEEEEEEE !!!!. » Criais-je en même temps qu'on s'emparait de deux coussins en sautant sur le jeune homme pour le bombarder à coup de coussins. De toute façon, il ne pouvait déjà rien contre moi, mais là, avec une mini Dia en plus, c'était carrément impossible.
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KEUWAAAAA, Cody avait la braguette ouverteeee ? N’importe quoiiii euuuh, c’est jour de fête c’est tout. Puis c’est Dia, elle avait fait un tour de passe-passe à base d’illusion, de tour de magie, de lévitation et bim bam bim boum, elle avait ouvert la braguette magique de Cody. Il referma donc l’objet qui suscitait tannnnt d’intérêt, en ajoutant avec la modestie qu’on lui connaissait tant ; « Il est tellement gros, je ne trouve plus de pantalon à ma taille. » Son pénis connaissait une courbe de croissance exponentielle et je trouve ça réellement important d’en informer toute la population. Méga géniale transition pour dire que Cody avait justement pris une assiette de saucisse-purée à la cantine, juste après avoir embrassé Dia. Je sais, vous n’en avez rien à faire du menu du jour mais vous comprendrez vite toute l’importance de ce petit détail par la suite. Il prit une profonde bouffée d’air au moment d’actionner la poignée de Diamantika. Il ne savait pas pourquoi il se prenait autant la tête, pourquoi il s’endiguait autant l’esprit, mais il éprouvait une difficulté certaine pour s’ouvrir aux gens et mine de rien, le simple fait d’avouer à la jeune femme qu’il avait une fille était un grand pas pour lui. En plus il s’était permis de lui rouler une pelle en public, dans un couloir, bon, dans ses souvenirs il n’y avait personne mais il s’était un peu loupé pour le coup, sans le savoir. Et je rectifie, pas une pelle, plutôt une petite pelleté, voire une cuillère. Mais ce n’est qu’un détail. « Je pose ici ? » demanda-t-il en mettant simplement le plateau au pied du lit. T’façon, à moins de faire du trampoline dessus, il ne se renverserait pas … ETTTT BAMMMM. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, il fut assailli par une armée de coussins dans sa tronche. Il tomba en apnée pendant trente secondes, le temps d’élaborer un plan de self-défense et sa main alla directement sur le plateau … AHAHAHAH, vous la voyez venir l’assiette de saucisse-purée ? DIA AUSSI ! Il la tint fermement dans sa main et étala le contenu sur son visage ébahi. « Mmmh, masque naturelle à base de lait, de purée de pomme de terre et, mon ingrédient fétiche, la saucisse de Francfort. D’ailleurs, Rosa, Francfort c’est en Allemagne, un jour tata Dia t’y amènera, promis. » Comment offrir un voyage à l’autre bout du monde à un enfant en une leçooooon. Cody lui promettait de superbes vacances, au frais de la si généreuse Diamantika. Comme monté sur un piston, il se leva d’un bond du lit et glissa le plateau jusqu’à Rosa, parce qu’elle avait le droit de s’amuser même s’il se doutait pertinemment qu’elle avait choisi son camp. À bat le Girl Power ! Cody voulait fonder le clan des gens aux prénoms normaux, N’EST-CE PAS DIAMANTIKA ?! « Je te donne le plateau mais sache que c’est TRÈS vilain de jouer avec la nourriture ! » Ben quoi, ça pourrait marcheeeer. Il se réfugia dans la salle de bain où il se cala derrière la porte pour s’en servir comme d’un bouclier énorme. Il ne trouva pas mieux pour se protéger.
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« Il est tellement gros, je ne trouve plus de pantalon à ma taille. » Par réflexe, je regarde rapidement entre son entre-jambes. LÈVE LES YEUX DIA ! Je relevais rapidement mes yeux avant de froncer les sourcils. J'avais envie de lui répondre qu'il était tellement gros, mais tellement fragile aussi, qu'il se claquait plus rapidement que son ombre. Pas assez résistant le Codynosaure hein ? Mais je savais qu'en disant ça, il allait encore me sortir un argument à la Cody et ça n'en finira jamais tout simplement parce que nous sommes deux têtes de mules qui désirent avoir le dernier mot et comme toujours, c'était moi qui me sacrifiais. Tout de même, cela m'avait surprise qu'il m'embrasse comme ça en public non pas que je n'avais pas apprécié au contraire, j'en étais encore toute retournée, mais ce que je craignais le plus était arrivé puisqu'une infirmière nous avait vus et je fus assez gêné parce qu'on était quand même dans un hôpital. Je sais, je suis accro à ses putains de lèvres. Je ne sais même plus où donner de la tête à cause de lui. Et plus on avançait, plus il m'embrassait, plus je sentais ses mains me toucher, plus je devenais davantage folle de lui. Rosalie voulait qu'on fasse une petite farce à Cody, elle l'aimait bien et ça se voyait. De toute façon, je savais que les enfants kifferaient sa grande folie. Il était fou et il me rendait folle, ouaich, nous étions fous, ils étaient fous et vive l'asile de fous. D'un oui de la tête, Cody posa le plateau au pied du lit et rapidement notre attaque fut exécutée. Nous avons bombardé le lowell à coup de coussins, mais comme c'était Bleeker, il trouva rapidement le moyen de me le faire payer. Monsieur s'empara de la nourriture pour venir l'étaler sur mon visage. J'écarquillais les yeux en me levant rapidement du lit afin de m'enlever un petit tas de purée en grimaçant. « Mmmh, masque naturelle à base de lait, de purée de pomme de terre et, mon ingrédient fétiche, la saucisse de Francfort. D'ailleurs, Rosa, Francfort c'est en Allemagne, un jour tata Dia t'y amènera, promis. » Quel gâchis !. J'étais tenté de lui demander de me retirer tout ça avec sa langue parce que gâcher de la nourriture ce n'était pas bien (dixit la meuf qui a fait une bataille de nourriture avec Avery), mais il y avait Rosalie dans la pièce et je voulais lui épargner ça. Je n'étais pas comme ce pervers d'énergumène en face de moi. En guise de réponse, je souris tendrement à ma blondinette avant de filer en douce dans la salle de bain pendant que l'étudiant parlait avec la petite. « Je te donne le plateau mais sache que c'est TRÈS vilain de jouer avec la nourriture ! » Dixit l'homme singe qui venait de m'étaler de la nourriture sur le visage. Azy gobe pas ses mots Rosa !. Pendant ce temps, je me rinçais le visage, puis je passais derrière pour m'emparer de la serviette, lorsque soudainement, Cody fit son entré en se servant de la porte comme bouclier. Dieu soit loué, il ne m'avait pas vu. Je glisse doucement afin de me placer juste derrière lui. Mon index tapota machinalement son épaule. « Ahem !. » Laissais-je échapper en affichant un très beau et large sourire démoniaque. Monsieur se retourna enfin, tandis que ma main s'empara du poignet de la porte que je refermais aussitôt en plaquant le dos du lowell contre celle-ci. Et à peine il ouvra sa bouche, que je pressais fougueusement mes lèvres contre les siennes jusqu'à même approfondir cette échange en m'élançant sur la pointe des pieds de sorte à ce que sa tête soit complètement pressé contre la porte par la force de mes lèvres. Nos lèvres s'épousèrent langoureusement avec délices et ils vécurent heureux pendant quelques minutes où ils se séparèrent pour pouvoir respirer à nouveau. « Maintenant c'est équitable !. » Je parle évidemment du baiser qu'il m'avait donné s'étant enfuit comme un voleur ne me laissant même pas le temps de riposter. « Et t'arrêtes de m'embrasser comme tu le fais dans un lieu public ? Ça me donne des envies pas très catholiques sur place !. » Je recule de quelques pas histoire de mettre une certaine distance à contrecœur, mais préférable pour l'instant. Pas de craquage, pas de craquage, pas de craquage !. « Que vas-tu faire pour te faire pardonner de m'avoir sali le visage ?.... Ummm, je sais ce que je veux !. Un tête-à-tête !... Et ce n'est pas un rendez-vous !. La dernière fois on avait pas pu atteindre l'endroit où tu voulais m'emmener avec ton cher GUS ! Pourquoi pas retenter le coup ce soir ?. » C'est vrai, là on avait nos voitures, soooo aucun risque de tomber en panne. « Deal ?. » Je lui tends la main pour qu'il accepte ou pas le deal. Pour Cody, ce ne sera pas un rendez-vous. Mais pour moi, ce sera notre premier rendez-vous, mais chuuuuuuuuuuuut, c'est un secrettttt MOUAHAHAHAHAHA.
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Saluuuuez l’artisteee, Cody devait s’inscrire à Mastercheeeef, il avait même trouvé un nouveau concept pour faire des économies d’eau – et d’effooort coucou les flemmards ; manger sur le visage de sa bien-aimée. ‘fin, dans le cas Diamantika, ce n’était pas une bien-aimée, plutôt un monstre qu’on aurait aucun scrupule à tartiner de purée de pomme de terre. Après, pour déguster ce plat novateur, il fallait lécher le ‘visassiette’ de haut en bas, de droite à gauche, dans le sens horaire ainsi que dans le sens antihoraire, à votre guise quoi. Maintenant, il donnait les armes pour se lancer dans un combat de titans avec Rosalie, ahahah. Il était tellement à fond dans sa guérilla alimentaire qu’il en oublia totalement l’Eliot qui prit la poudre d’escampette jusqu’à la salle de bain. Ah ben oui, dans tout ça, il avait ruiné son maquillage de pouf-pouf. Non j’déconne, elle était très belle en plus Dia ce soir, elle était tellement mieux quand elle avait un kilo de maquillage en moins sur la tronche. Cody n’avait pas l’impression de galocher un pot de peinture. Fuyant l’adorable Rosa, il se réfugia derrière la porte de la salle de bain, là où, très vite, il fut ramené sur terre par Dia. Dès qu’il looka sa tête par-dessus son épaule, il sursauta et laissa échapper un petit « AAAAAAAAH. » qu’elle est moche. Il lui restait un peu de purée sur le haut du front, à la racine de ses cheveux, mais il ne le lui fit pas remarquer, ça lui plaisait bien l’idée qu’elle aura l’air conne en sortant tout à l’heure dans la rue. Surtout qu'elle l'avait bien laissé avec sa braguette ouverte, HEIN. Puis ses lèvres trouvèrent bien vite le chemin des siennes et ça, Cody ne s’y attendait pas. Pire, il pensait qu’elle le laisserait sur sa faim, qu’elle ferait une Codyade quoi, puisqu’il pratiquait beaucoup ce genre de chose pour l’emmerder mais pas du tout. Il resta figé, les mains à plat contre le bois de la porte, savourant juste l’instant, s’estimant chanceux qu’une fille comme elle ressente le besoin de l’embrasser de la sorte, avec tant de passion, tant de fougue, tant de langue. Trop de langue d’ailleurs, va falloir travailleeeer çaaaa, heureusement qu’ils avaient encore des heures et des heures d’exercice devant eux. « Pardooooon Dia la chaudasse, j’avais oublié qu’un rien t’allume. Surtout que j’étais vachement chaste toute à l’heure. » Un vrai angeee. Maintenant fallait qu’il se fasse pardonner, tsss, ce qu’il ne fallait pas entendeeee. Heureusement qu’il n’eut pas à se triturer longtemps le cerveau pour trouver. « Ce soir ? Pas de souci. On prend ma voiture … Bon, d’accord, la voiture de ma mère. Par contre, ce serait super sympa si tu participais aux frais d’essence, c’est que je suis un peu sur la paille … » Il avait OSE. Et oui. « C’est pas comme si c’était un rencard quoi et moi j’suis pour le covoiturage. » Radin, vous avez dit radin ? Puis il s’approcha de Dia et rien que par sa carrure imposante, il la contraignit à se plaquer contre le mur de la salle de bain. Son visage rejoignit le sien et leurs souffles se mêlèrent comme deux vents contraires, sa peau effleura la sienne mais il ne l’embrassa pas. Il se retira et, le sourire mutin, répliqua ; « Enfin Dia, tu pensais à quoi ? Il y a une fille malade dans la pièce à côtéééé. T’es INCORRIGIBLE. Remballe tes pensées pas catholiques. » Sur ce, il sortit de la salle de bain et s’adressa à la petite Rosalie qu’ils avaient abandonné quelques minutes … Enfin tu parleeeeees. Elle en avait profité pour bouffer TOUS les desserts au chocolat. « Dia veut que je m’en aille, Rosa, loin de toi, elle est jalouse depuis qu’elle a vu qu’on était devenus super potes … » Petit moment d’émotion.
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COKA ಇ  la vie est parfois injuste avec certains
Okey, il m'avait surpris t'aleurs, alors je voulais le surprendre également et surtout rendre les choses plus équitables. Mais avec le jeune homme, il fallait que je pèse mes mots dorénavant, car il avait toujours réponse à tout. « Pardooooon Dia la chaudasse, j'avais oublié qu'un rien t'allume. Surtout que j'étais vachement chaste tout à l'heure. » Il m'énerveeeeuh. Parfois, j'avais envie de l'étrangler pour de vrai et qu'il apprenne à se taire cinq secondes au lieu de tout le temps me clasher. Je roulais des yeux avant de répondre. « Tâche de ne pas oublier à l'avenir, ça t'évitera de faire exprès de m'allumer !. » Bah ouai, il n'avait qu'à pas m'embrasser et puis voilà. Toutefois, il accepta le deal. « Ce soir ? Pas de souci. On prend ma voiture ... Bon, d'accord, la voiture de ma mère. Par contre, ce serait super sympa si tu participais aux frais d'essence, c'est que je suis un peu sur la paille ... C'est pas comme si c'était un rencard quoi et moi j'suis pour le covoiturage. » Je fusse heureuse qu'il accepte, mais par contre, je hausse des sourcils en rétorquant. « J'admire vraiment ta galanterie, t'es un parfait exemple !. Marché conclu homme singe !. » Ça m'était égale de toute façon, puis ce n'était pas la mer à boire payer de l'essence. Monsieur s'amusa une nouvelle fois à me plaquer contre le mur de la salle de bain now. Il rapprocha son visage dans le seul but de jouer encore, mais cette fois-ci, je n'étais pas dupe et c'est donc pourquoi je le virais rapidement en tournant la tête sur le côté après avoir tout de même partagé un peu de nos souffles. Okey, j'avais envie de ses lèvres, mais il ne fallait pas que je lui donne l'occasion de se moquer à nouveau. « Enfin Dia, tu pensais à quoi ? Il y a une fille malade dans la pièce à côtéééé. T'es INCORRIGIBLE. Remballe tes pensées pas catholiques. » Un petit rire moqueur m'échappa soudainement. « J'étais en train de penser que c'était plus fort que toi, faut que tu m'allumes juste pour me voir riposter et pouvoir encore te moquer d'moi... Je me fais peut-être avoir la première fois, mais pas la seconde. Alors t'inquiètes, mes pensées catholiques se sont envolées et à bien y réfléchir, j'embrasse divinement mieux que toi... Bleeker !. » Disais-je en le suivant sans plus tarder jusqu'à Rosalie. Certes il embrassait divinement bien, mais ça me faisait jubiler de lui faire croire le contraire. « Dia veut que je m'en aille, Rosa, loin de toi, elle est jalouse depuis qu'elle a vu qu'on était devenus super potes ... » Dit le lowell à la petite en espérant pouvoir la rallier à sa cause. Sauf que Rosalie était plus intelligente qu'il ne croit, je suis certaine qu'elle avait une réponse toute faite pour lui. D'ailleurs, elle se tourna vers moi et me serra dans ses bras. « Il faut pas que tu sois jalouse, je t'aime plus fortttt que tout le monde maman Dia. » Et vlannnnnnnn dans ta POIRE Cody !. J'éclate de rire en caressant les cheveux de la fillette. « Je n'serais jamais jalouse mon ange ! N'écoute pas tout ce qu'il dit, il adore taquiner Dia. » Et du haut du crâne de Rosa, je tirais la langue à ce cher Babouin. Il n'avait pas affaire à une Dia là, mais à deux. Rosa attrapa un mouchoir et vint nettoyer le haut de mon front et quelques mèches de cheveux, je ne captais pas sur le coup, mais quand elle me montra, je compris bien vite. « On dirait qu'un de tes plans vient de tomber à l'eau... face de rat !. » Après la face de babouin, c'était au tour de la face de rat et à cette allure, j'allais revisiter le monde des animaux avec cet homme. Le temps passa à une vitesse lumière, nous ne l'avons même pas senti, car nous avons passé presque toute la journée auprès de Rosalie. Et après un petit au-revoir en câlins et bisous, nous sortions de l'hôpital afin de laisser la fillette se reposer et dormir. Une fois à l'extérieur, je me dirigeais rapidement vers sa voiture, quant à la mienne, je la récupérerais plutard. « Et c'est parti pour le tête-à-tête !. J'espère qu'on n'va pas tomber en panne cette fois-ci !. » J'attendais qu'il déverrouille les portières pour prendre place afin d'aller découvrir ce fameux endroit où avait voulu m'emmener le lowell la dernière fois.
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Ce qu’il aimait par-dessus tout dans sa relation avec Dia, c’était le fait d’être sans cesse dans un rapport de force où les deux partis se frictionnaient afin de prendre le dessus sur l’autre. Le problème – ou leur plus grande qualité, suivant le point de vue duquel on se place – se résumait au fait que ces personnes étaient entières. Vraie. Il n’y avait pas de demi-mesure et comme Cody l’avait si bien dit l’autre jour, une fille comme Diamantika, on la prend entière ou on ne la prend pas du tout. Et bien Cody Bleeker, c’était pareil. Voilà pourquoi, lui, il la prenait toute entière, et là je ne parle pas du côté pervers de la chose parce qu’à ce niveau-là, le Lowell ne la prend plus du tout, pénis cassé = vie sexuelle envolée. Il se pinça la lèvre et haussa les épaules ; « On aura tout le loisir plus tard de déterminer lequel de nous embrasse le plus divinement bien. » Même si on sait que c’est Cody, tsssk. Il maîtrisait un retourné de langue qui n’a rien à envier au tambour d’une machine à laver. Comparaison ultra glamouuuur, I KNOW. Le reste de la journée se déroula sans accro, aux côtés de Diamantika et de Rosalie. M’voyez, Cody aimait tellement les gosses que même quand il laissait sa fille chez son ex, il s’amusait comme un fou avec l’enfant de Dia. Booon, OK, il n’était pas né de la dernière pluie, vues ses hanches fines et sa poitrine ridiculement plate, en aucun cas Rosalie ne pouvait être la fille de la Kovache. Maaaaaaais elles étaient tellement attendrissantes que Cody zappa ce détail.

Fin de la journée oblige, la soirée tombait sur les deux jeunes qui quittaient l’hôpital, des étoiles plein la tête. Ils s’installèrent dans la vieille berline de la mère Bleeker, toutefois très propre grâce à Miss TOC 2014. Elle passait sa vie à nettoyer cette voiture, à croire même qu’elle couchait avec l’aspirateur. Ceci dit, il avait un plutôt gros tuyau … Ouais non, ça ne valait pas celui de Cody, wesh. Il mit le contact et démarra, avant de rire au nez de Diamantika. « Arrête de parler de tête à tête, on dirait qu’on a rendez-vous ou un truc niaiseux dans le genre, berk. » Non mais GENRE quoi, un rendez-vous, Cody Bleeker et Diamantika Kovalevski. Le seul rendez-vous qu’il accepterait, c’est une invitation dans son lit. Non non, ils passaient juste la soirée ensemble, ce ne serait pas la première fois. Ils traversèrent Cambridge en voiture, jusqu’à ce que Cody ait l’idée de s’arrêter devant un restaurant. Il déclara soudainement, comme si ça lui prenait telle une envie de pisser ; « On a oublié le champagne. » Il avait bien un pack de bières dans le coffre mais autant voir les choses en grand wesh. Sans demander l’avis de Dia, sans même l’inviter, il quitta la voiture et entra dans le resto. Il ne s’éternisa pas, il passa l’air de rien à côté d’une table où siégeaient un couple, puis repassa, et repassa une nouvelle fois … Sauf que cette fois-ci, il leur chipa le seau à glace dans lequel se trouvait une grooooosse bouteille de champagne. Devant leurs yeux ébahis et devant aussi ceux du serveur, Cody partit en courant avec le seau sous le bras. Bien sûr, Dia put assister à toute la scène puisqu’il s’était garé devant la grande fenêtre donnant sur la rue, devant laquelle mangeait le couple. Il déboula dans la rue vitesse grand V et se précipita côté conducteur. Il posa son trésor sur les cuisses de Diamantika et démarra au quart de tour pour ne pas être rattrapé. « Mon dieu mon dieu mon dieuuuu, j’ai bien cru qu’ils allaient me rattraper ! C’est que je ne suis plus très endurant à mon âge. » Vingt-cinq ans et déjà des cheveux blancs. Ils s’approchaient petit à petit du fameux lieu magique, en dehors de la ville. Il s’agissait d’un plateau en haut d’une colline, isolé, entouré d’arbres et de buis, coupé du monde, depuis lequel on avait une vue imprenable sur Cambridge. En plus, cette nuit, ils avaient la pleine lune. Si çaaaa, ce n’était pas la classe internationale, hein ! Cody n’était peut-être pas le maître du romantisme, mais il savait déniché quelques trésors.

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