Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySEE OUR WORLD IS SLOWLY DYING I'M NOT WASTING NO MORE TIME ❋ JULIETT - Page 5
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SEE OUR WORLD IS SLOWLY DYING I'M NOT WASTING NO MORE TIME ❋ JULIETT

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« Tes lèvres sont le chemin le plus direct vers ton cœur. Tu m'as donné carrément le moyen de te faire rester, t'as pas peur de trop rester justement ? » lui demandait-il avec un petit sourire aux lèvres. Oh pas de risque que le méchant Leo se réveille, ce n'était qu'avec les méchantes filles qu'il s'amusait à devenir méchant garçon, et il était clair qu'elle était loin d'être une vilaine fille. Il n'y avait qu'à voir le temps que ça lui avait pris avant d'oser sauter le pas et embrasser le jeune homme. Bon c'est clair qu'elle était officiellement en couple avec un autre mec, mais sérieusement, à ce moment-là, il en avait un peu rien à faire de ce mec fantôme qui avait lâché Juliett du jour au lendemain. Disons que le temps d'une soirée, le Mather se sentait totalement d'attaque pour lui faire oublier. Une fois dans la chambre du brunet, il lui proposa de sortir, faire un tour, rien que tous les deux, au lieu de ça, la blonde proposa de rester, great, c'était pas lui qui allait se plaindre. La jolie blonde stoppa leurs embrassades, faisant son petit tour dans la chambre de Leo avant de s'arrêter devant une photo, se moquant clairement de la gueule qu'il tirait dessus. Il éclata de rire avant de s'approcher d'elle. « T'es sérieuse ? C'est pas toi qui avait peur que je te vois saoul parce que c'était pas beau à voir ? » Certaine qu'il allait attaquer, elle s'arma d'un oreiller, il s'avança vers elle en ignorant les coups de traversin qu'elle pouvait lui mettre dans la tête, quant à lui, il ne put pas se permettre de prendre un coussin pour lui faire sa fête aussi, on fait pas ça aux filles voyons. Mais il s'approcha encore lui arrachant son oreiller, des mains, applaudissant son pseudo exploit avant de rire. « J'aimerai bien prendre ma revanche vu que j'ai pas vu ta tête quand t'as bu, j'ai pas de moyens à proprement parler de te rendre saoul. » Il passa sa main le long de son bras, s'approchant de nouveau d'elle, croisant son regard ce qui le fit sourire avant qu'il ne l'embrasse de nouveau avant de rompre le baiser. « Mais j'ai ça. » Cette fois-ci, il captura ses lèvres pour de bon, ne lui laissant pas le loisir de l'attaquer avec n'importe quel oreiller ni de se moquer de lui.
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Leo & Juliett ಇ les ailes de la liberté.
« Tes lèvres sont le chemin le plus direct vers ton coeur. Tu m'as donné carrément le moyen de te faire rester, t'as pas peur de trop rester justement ? » Visé, boulé, touché !. Aoutch ! Il me laissait sur le cul une nouvelle fois. Je perdais presque mes mots, mes pensées et me passait en boucle ses paroles. Avait-il vraiment trouvé la faille ?. Si je restais, je serais vraiment en danger pour la suite ?. Non, je pouvais survivre. « Disons que je ne m'pose pas de questions...à trop réfléchir ce n'est pas bon pour la santé et du coup, je vais là où le vent m'emporte et apparemment ce soir, c'est dans tes bras qu'il a décidé de m'emmener...so...» Mais ouai, en clair j'aurais toujours peur. Mais ça, il le savait et le voyait, je n'ai pas besoin de le lui dire. Il m'avait bien cerné, sinon, il n'aurait pas trouvé mon point sensible comme il le disait si bien. Après notre court échange de baisers, je me suis dirigée vers son bureau où j'avais eu la chance de découvrir une photo assez hilarant. Bah je n'ai pas pu m'empêcher de rire. Pas de ma faute s'il avait une de ses têtes là-dessus. « T'es sérieuse ? C'est pas toi qui avait peur que je te vois saoul parce que c'était pas beau à voir ? » C'était vrai, c'était bien moi, mais moi je ne tirais pas ce genre de tête, là vraiment, il battait le record. Et comme je savais qu'il allait se venger, je me suis armée d'un coussin. Bien vite, il se rapprocha et sans que je ne puisse avoir le temps d'attaquer, il me l'arracha des mains. « J'aimerai bien prendre ma revanche vu que j'ai pas vu ta tête quand t'as bu, j'ai pas de moyens à proprement parler de te rendre saoul. » Il rajouta en applaudissant des mains. MAISSSSSSSSSSSSSS, comment il avait fait pour me l'arracher aussi viteeeeeeee ?. C'est injuste. Juliett, t'es genre trop faible pour lui. « Mais j'ai ça. » Concluant ses mots en scellant de nouveau nos lèvres. Baiser que je prolongeais avec tendresse. Je prends doucement le visage de mon partenaire entre mes mains pour accentuer cette étreinte, mais en tournant et reculant, je me suis prise le bord du lit, perdant l'équilibre et tombant sur le lit, lui avec moi. D'ailleurs, ce dernier me cogna le front à l'aide de sien... Je grimaçais légèrement avant d'éclater de rire. Mes mains se retrouvèrent plaquées contre les draps entre ma tête, mes cheveux formant une petite rivière blonde. « Dit donc ! T'as le front en béton toi. » Murmurais-je en cessant mes rires, tandis que je venais de me rendre compte que l'une de ses jambes logeait mon entre-jambe. Et voilà, c'est à croire que ce soir, c'était le soir où je devais remplacer la tomate. Je me mordille la lèvre inférieure laissant mes doigts attraper les bouts de sa chemise que je fis monter lentement pour le laisser retrouver le sol ensuite. C'était un beau spectacle pour mes yeux. Un torse bien battit. Prise d'une pulsion indescriptible, quelques doigts frôlaient timidement son ventre, glissant vers le haut, parcourant ses abdos que je voulais imprégner de chaque détail. Quelle agréable sensation.
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En fait, il n'avait pas grand chose à faire pour la détourner du droit chemin. Juliett avait une philosophie de la vie tout à fait intéressante, qui plaisait bien au brunet, lui qui partageait assez cette vision des choses, laisser venir. Alors ce soir, la blonde était une SDF de ses bras, un fille de la communauté des gens du voyage d'Halberstamie, une touriste de ses lèvres, elle faisait de l'auto-stop et il l'avait embarqué pour un périple nocturne dans sa voiture, c'était peut-être pas grand chose pour les autres, mais pour lui ça en avait assez pour lui donner envie de continuer son petit chemin. « Comme le vent est bien fait, j'ai eu de la chance de te voir t'échouer sur ma plage, j'aurais pu tomber sur bien pire. » Un sourire Frident, avant que la jeune femme décide de jouer les garces un court instant. Le truc c'est qu'il avait vite piger comment la rappeler à l'ordre, collant ses lèvres contre la bouche de Maybelin, il en fallait pas beaucoup au final. Néanmoins, la fille était pas douée avec ses pattes, ou alors elle était douée et elle faisait exprès dans le but de toujours se trouver collée à lui. Aaaaah c'était ça, la coquine ! Quoiqu'il en soit, elle valdingua sur le lit, entraînant Leo dans sa chute, leurs têtes de cognant. « Tu peux parler, t'as la tête dure aussi ma belle ! Tu m'as vraiment fait mal, je suis pas sur de te pardonner un jour. » C'était une nouvelle technique de marquage de territoire peut-être, fini les suçons c'est bien trop old-school, adoptez le bleu sur le front. Tellement plus classe. De toutes les positions inconfortables dans lesquelles Juliett s'était mise avec ses foutus deux pieds gauches, celle-là était quand même la plus intéressante. Il la vit rougir de nouveau ce qui avait tendance à la rendre absolument adorable. Elle lui fit enlever sa chemise, qui finit sa course parterre. « Ma pauvre chemise, tu lui en auras fait voir de toutes les couleurs ce soir. » En tout cas, si elle avait quelque chose contre elle, elle avait vite fini de lui faire payer. Seulement il n'eut pas le temps de faire de l'esprit encore bien longtemps, sentant la main de la Lowell parcourir son torse de bas en haut. Il laissa faire, dégageant son visage de quelques mèches blondes gênantes. Sa main passa sur la cuisse de la jeune femme qui était libre, glissant sous la robe de celle-ci, il lui remonta d'ailleurs un peu, son autre main vint rejoindre celle de Juliett, entrelaçant ses doigts aux siens. Il posa ses lèvres à la naissance de son décolleté, remontant ensuite sur ses lèvres.
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« Comme le vent est bien fait, j'ai eu de la chance de te voir t'échouer sur ma plage, j'aurais pu tomber sur bien pire. » Ou alors bien mieux. Sérieusement, je ne me qualifiais pas de fille exceptionnelle, je savais qu'il y avait bien mieux que moi, qui suis beaucoup trop simple et banale comme nana. Pas le genre à intéresser au premier regard. Mais il est vrai que je suivais mon petit chemin tout peinard. Pas besoin de chercher monts et merveilles. Et pour seule réponse, je lui offrais un sourire en secouant positivement de la tête. Mais bien vite, il avait su me rappeler à l'ordre, me montrant qui de nous deux avait le pouvoir. Évidemment que c'était lui, moi, de mes petites mains fragiles, je ne pouvais rien faire, il avait même gagné d'avance. Nous nous sommes écrasés sur le lit, nous laissant une marque bleue à chacun sur le front. Ouaich, c'était en effet une nouvelle façon de marquer son territoire. Se cogner le front, c'est montrer à quel point tu aimes ton partenaire, bonne publicité n'est-ce pas ?. « Vous oseriez m'en tenir rigueur cher monsieur ? Saviez-vous que c'est une manière comme une autre de marquer son territoire ?. » Dis-je avec un large sourire, bien que rapidement, je me suis rendu compte que mes mots pouvaient porter confusions. Du coup, je me repris rapidement. « Ahemmm, j'plaisente ein... » Fis-je en rougissant autant. Puis, lorsque je remarquais notre position, my gad. Je me suis laissé emporter par cette pulsion qui lui retira sa chemise pour venir explorer son torse nu de mes doigts. Son si joli torse. « Ma pauvre chemise, tu lui en auras fait voir de toutes les couleurs ce soir. » Dit-il alors que je me suis mise à rire. « J'suis certaine qu'elle est heureuse ta chemise en sachant que je prends soin de son sexy maître... » AHHHHHHHH, j'ai dit sexy moi ? J'AI DIt SEXYYYYYYYYYYY. Je pose rapidement une main contre ma bouche, l'air hyper gênée. Néanmoins, je remontais un peu plus haut du lit, suivi de Leo qui posa une main sur ma cuisse afin de la remonter légèrement en même temps que ma robe. Son autre main vint rejoindre une des miennes, entrelaçant nos doigts. Ses lèvres fit un parcours entre la naissance de mon décolleté et mes lèvres. C'était étrange. Ce sentiment. L'impression d'une vague familiarité, mêlée à la découverte pour la première fois du corps de mon amant. Rien que ses caresses produisaient de longs frissons à mon bas-ventre, que je ne pouvais réprimer. Mes lèvres embrassant les siennes, s'entrouvrant légèrement pour laisser passer nos langues afin de s'offrir une danse. De petits soupires de plaisirs s'échappaient furtivement de ma bouche. Si bien que je lui retirais en premier temps, sa ceinture, m'empressant de lui déboutonner son jean. Et une fois fait, à l'aide de mes jambes, je lui faisais glisser son vêtement pour qu'il aille rejoindre sa compagne la chemise. Et de nouveau, mes mains se posèrent au creux de son dos tout en remontant sensuellement jusqu'à sa nuque.
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Un sourire amusé, Leo l'écoutait, s'appuyant sur ses coudes pour ne pas totalement l'écraser sous son poids. Ainsi, la jeune femme voulait marquer son territoire ? C'était une plaisanterie disait-elle, outre qu'il avait quand même assez mal sur le coup, il trouvait ça mignon, il la trouvait mignonne. « Hum tu penseras à moi un moment, quand chaque matin tu verras ton joli petit bleu sur le front. Puis quand il s'effacera j'en referai un d'accord ? » Sur le long terme, on allait sûrement accuser Leo d'être un homme violent qui frappait ses conquêtes pour le plaisir, mais il trouvait ça cool qu'elle pense à lui. Il avait le droit non ? Maintenant qu'elle n'hésitait plus pour lui piquer ses lèvres, pour lui enlever sa chemise. Quand on y pense c'était la suite logique, déjà quand elle lui avait renversé son verre dessus, elle espérait sûrement apercevoir son torse dessus, puis après quand elle était venue s'écraser contre lui par deux fois. Oooooouh la petite coquine hein, il voyait clair dans son jeu une fois torse nu, appréciant le contact de ses doigts sur son ventre. Un rire s'échappa de sa poitrine en l'entendant. Non sérieusement où était passée la fille timide comme tout de toute à l'heure. « Oui occupe-toi bien de lui, elle va t'en vouloir sinon, et elle sera pas la seule. » C'était bizarre, la sensation qu'il avait, leur proximité soudaine, en si peu de temps, c'était déroutant en quelque sorte, mais il avait cessé de se poser des questions sur cette étrange blonde si discrète et pourtant pleine de surprises. Elle le surprenait, sa façon d'avoir fait d'elle le centre de son monde le temps d'une nuit, elle n'avait rien fait pour ça, pourtant les faits étaient là. Ça le secouait, il frissonnait, son pantalon avait perdu la partie, terminant sa chute au sol. Leurs lèvres se mélangeaient, leurs langues, leurs corps, il ne cherchait plus à garder une distance respectable entre eux, ce temps était fini, finies les manières. Il émit un petit grognement satisfait avant de quitter les lèvres de Juliett, la faisant basculer au-dessus de lui. Il se releva légèrement pour défaire la fermeture de sa robe, tâchant de ne pas coincer ses cheveux dedans, puis il souleva celle-ci, dénudant la blonde. Il se rallongea, posant ses yeux sur le corps de la Lowell, un petit sourire aux lèvres. « Tu m'avais caché ça dis-moi ! » Il rit avant de se relever, attrapant la blonde pour l'allonger sur lui, reprenant contact avec ses lèvres tandis que ça s'agitait franchement dans son bas ventre. Ses doigts remontèrent le long de sa colonne vertébrale, venant se loger sous l'attache de son soutient-gorge.
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