[FLASHFORWWARD] KENYA ❤ Need a little a sweetness in my life

Je sais bien Kenny ... mais voulu ou pas ... ça m'a quand même fait quelque chose, je l'ai quand même subie dis-je avec une petite grimace et ça, il ne pouvait pas le nier, cependant, je ne lui en voulais pas. Je savais que ce n'était pas de sa faute, que c'était sa maladie, mais cela avait été dur, trop dur pour une femme enceinte qui était bourré d'hormone, qui était à fleur de peau et prête à exploser à la moindre remarque.  J'en doute pas mon amour  je caressais sa joue avec une tendresse folle, comme un trésors, c'était le mien, l'amour de ma vie, l'homme avec qui je voulais être, bien que par moment, je ne cache pas que j'avais envie de le claquer. Mais c'est ça l'amour passionnel non ? La balance entre l'amour et la haine et je peux vous dire que lorsqu'on se fait la haine tous les deux c'est tout aussi plaisant que se faire l'amour, plus sauvage et plus animal.... Wait, pourquoi je suis entrain de penser à ça. Peut être parce qu'il s'accaparait de mes lèvres. Je lui mordillais la lèvre inférieur d'ailleurs, en laissant la lueur de mes yeux se confondre dans les siens.  Oh me parle pas de jumeaux ... j'ai envie de te garder pour moi, un tout petit peu, déjà que c'était compliqué avec Alessia, j'imagine pas avec deux bébés et un enfant. avec trois mioches quoi. Ma main venait se poser au dessus de la sienne, qu'il avait posé sur mon ventre.  Embrasses moi oui, j'avais envie, j'avais envie qu'il m'inonde de son amour.

Des jumeaux ou des triplés. Là je crois qu'Anya allait démissionner si elle en avait et moi, je sais pas je suis partagé entre me dire que ça pouvait être sympa mais aussi un peu galère. Je riais. Vraiment quand je la voyais faire cette tête, je pouvais pas m'en empêcher c'était tellement drôle d'avoir vu ses yeux se décomposer de la sorte. "On sait jamais après tout on choisi pas mais si devait en avoir deux, je supplie Dieu, je vais même à l'église tous les jours si le faut mais je veux au moins un mec." L'appel du cœur. Je me voyais pas avec 4 filles à gérer. "Je pourrais pas vous supportez, enfin…" Qu'est-ce que je disais là. "Si quand même je pourrais vous supportez mais vous allez me ruiner quoi, déjà Alessia faut la voir dans les magasins, puis toi… NANN." Je plongeais ma tête dans le cou d'Anya faussement désespéré car de l'autre coté ma main glissait sur son ventre en le touchant doucement. J'étais heureux, le son de ma voix le laissait entendre en tout cas, c'était pas vraiment un appel à l'aide. Ses mots me faisaient réagir. Embrasse-moi. Il y avait quelque chose de vital dans cette demande, j'aimais me le dire en tout cas, je fermais les yeux en l'embrassant tendrement, dégageant un peu le drap sur elle pour me glisser à sa place, ma main sur sa nuque, l'autre appuyé contre le matelas, je veillais quand même à ne pas peser de tout mon poids sur elle. Elle était enceinte, je me le répétais encore et mon cœur battait à vive allure réagissant aussi à ce baiser qui déviait en des baisers partout sur sa peau dénudée, sur son cou, ses épaules, son buste pour terminer sa route vers son point de départ. Ce soir, j'étais fatigué, je crois même si j'avais voulu lancer la machine, elle se serait enraillé rapidement mais rien ne nous empêchait, ne m'empêchait de la caresser encore et encore.

Je m'étais légèrement tournée sur le flan de mon ventre pour le regarder. Je souriais à ce qu'il disait jusqu'à en rire. Il serait prêt à aller à l'église tous les jours pour prier et avoir un petit garçon, je trouvais ça touchant.  Comment ça tu pourrais pas nous supporter ?  je faisais mine d'être en colère par ce qu'il venait de me dire, même si je ne l'étais en aucun cas, je comprenais parfaitement ce qu'il voulait dire. Tu crois qu'on serait capable de nous ruiner ? A ce point là ? je riais, c'était mission impossible, chaque mois j'avais de l'argent qui rentrait pour tout mes placements, les immeubles dont j'avais hérité à mes 18 ans. Même si je ne travaillais pas à l'époque, je faisais déjà pas mal d'argent, et aujourd'hui que j'avais pris mes fonctions au palais impérial de Russie, j'avais un salaire. Sans compter Kenny qui en faisait énormément aussi... Non, je ne pensais pas qu'on manquerait de quoique se soit un jour, mais je sais que mon mari voulait inculquer la valeur de l'argent à nos enfants... chose qui m'était beaucoup plus compliqué.  mais j'espère qu'on aura un garçon aussi terminais-je par dire en déposant un baiser contre le dos de sa main. C'est vrai, j'avais envie d'un mini Kenny, de voir les traits parfaits de mon mari dans mon enfant. J'avais mon mini moi, c'était à lui d'avoir le sien. Après si la beauté prend le dessus, c'est pas de ma faute s'il me ressemble (aa) Je sortais de ma torpeur en demandant à Kenny de m'embrasser. J'en avais besoin. Il me regardait avec ce regard qui me disait que j'allais bien avoir droit à ce que je voulais. J'attendais donc patiemment. Ses lèvres se posaient enfin sur les miennes. Il enlevait le drap sur mon corps pour prendre sa place et se mettre juste au dessus de moi. Je souriais en laissant mes mains remonter le long de son dos, sous son débardeur. Mes yeux s'ouvraient lentement quand il déposait tout un tas de baiser contre ma peau dénudé. C'est fou l'effet qu'il me faisait encore malgré toutes ces années. C'est une fois que ses lèvres remontaient sur les miennes que je soufflais un petit Merci  avec un large sourire. Je voyais bien qu'il avait envie de dormir, mais je n'arrivais pas à trouver le sommeil après l'excitation de l'annonce de ma grossesse, qui s'était emparé de moi. Je laissais mes ongles trainer sur l'entièreté de son torse sous son haut. C'est quand que t'enlèves tout ça lui demandais-je un peu déçue.

"Si si je me suis trompé…" Je regardais ailleurs espérant qu'elle pense à autre chose, je devais lui faire croire que oui j'étais capable de supporter des filles avec les gênes d'Anya seulement au fond je me voyais déjà entrain d'essayer de me tuer avec un déodorant tellement, elles me rendaient fou. "Ah mais totalement ! Attend regarde Alessia qui réclame tout le temps un cadeau, puis toi et tes tonnes de chaussures alors avec une ou deux autres filles, oh mon dieu, je vais devoir bosser encore plus." Je reniflais faussement triste, j'avais de l'argent, je gagnais bien ma vie vraiment bien. Anya aussi, elle gagnait même plus que moi mais à nous deux nous faisions partis des plus grandes fortunes du monde. Des baisers parsemés sur sa peau entière, je fermais les yeux un peu. Je l'aimais toujours autant malgré les années passées en sa compagnie, la flamme ne s'était jamais éteinte au contraire, elle brulait plus fortement surtout ce soir. "Merci?" Je fronçais les sourcils. "Si tu me remercies pour des bisous ça me fait un peu peur." Je souriais, frissonnant à ce qu'elle me faisait. "Maintenant." Je me redressais pour retirer mon débardeur, mes muscles se contractaient aux mouvements fait, mes tatouages étaient toujours présents, j'avais rien rajouté de plus même si quelque chose me disait que le prochain viendrait bientôt avec la grossesse de ma femme. Me laissant tomber en arrière, je ramenais Anya contre moi, mes lèvres sur sa tête, mes yeux qui se fermaient, je sombrais peu à peu vers Morphée, j'avais envie de dormir, j'en avais besoin cruellement besoin.

Nous parlions des éventuelles filles que nous pourrions avoir, puis d'Alessia qui réclamait toujours une petite babiole et maintenant c'était mes chaussures qui passaient au crible. Ah non, tu laisses mes chaussures tranquilles, elles n'ont rien à voir dans l'histoire lui dis-je en faisant les gros yeux, regardant mes quelques paires qui étaient sur de sortie, sur le parquet. D'ailleurs, il va falloir que je m'en achète d'autre, elles se sentent seules, elles me l'ont dit .. oui il y'a l'homme qui murmurait à l'oreille des cheveux et moi je murmure à celle des mes chaussures  j'abusais un peu certes, mais c'était juste pour rire un peu, mise à part la partie ou je confirmai que j'allais réellement m'en acheter une nouvelle paire, voir deux ou trois. On ne compte pas quand on aime, c'est ça qu'on dit n'est ce pas ? Parce que je te laisse pas dormir et que tu t'en fou, tu restes éveiller juste pour me faire plaisir, je le vois dis-je en laissant trainer mes ongles sur son torse tout en insinuant qu'il était temps pour monsieur qu'il enlève son débardeur. Je le regardai faire avec un énorme sourire, il contractait ses muscles, je le connaissais depuis le temps et il avait toujours cette envie de me séduire, c'était d'ailleurs plaisant. Il se laissait tomber sur le côté, bien rapidement je me mettais contre lui, ma tête posais contre son torse je m'amusais avec ses petits poil en fermant les yeux. Bonne nuit soufflais en remontant la couverture sur nos deux corps.