[FLASHFORWWARD] KENYA ❤ Need a little a sweetness in my life

Nous avions décidé de nous installer à New York pour un an. Kenny était à l'apogée de sa carrière et je n'avais pas envie qu'il renonce à cette opportunité. Alors je l'avais suivi et j'en étais heureuse. Mon père assuré encore le travail pour un an encore, même si j'assurais certaine tâche à distance.  Ces derniers temps, je me sentais un peu barbouillée, j'avais quelques vertiges, des vomissements et les seins qui gonflent. Au fond, je savais ce qu'il se passait. Je n'y croyais juste pas. Cela faisait déjà quelques mois qu'avec Kenny, nous essayons d'avoir un second enfant. Cependant, nos emplois du temps respectifs, le stress et la pression que nous avions ne nous aidés pas, sans compté le diabète de mon mari. Pourtant, aujourd'hui, je me disais que c'était peut être la bonne. Mamaaaaaaaan ... Mamaaaaaaan Alessia tirait sur ma robe, elle se tenait droite et apparemment, elle voulait me parler. Elle avait deux ans et demi et elle était si belle, une parfaite petite poupée qui grandissait merveilleusement bien.  Humm , oui ma chérie, je suis là dis-je en l'attrapant dans mes bras sans vraiment la regarder. J'avais le test de grossesse en main, j'avais peur du résultat. Je n'avais pas envie de me faire de faux espoir. Il était 18h30, Kenny était en retard, peut être même qu'il allait rentrer dans la nuit comme il avait fait hier soir à cause de tout le travail qu'il avait. Faim .... me disait-elle en se touchant le ventre. Je riais en me reconnectant à la réalité. Je vais te préparer à manger ma chérie, je crois qu'il reste des pâtes que papa à fait j'ouvrais le frigidaire en posant le petit sachet de couleur marron sur le comptoir. Alessia dans sa chaise haute, je faisais chauffer les pâtes pour les lui donner. Une fois qu'elle fut servie, j'allais au toilette avec mon petit sachet. Il fallait que je le fasse, que je sois fixé, que nous soyons fixés. Un plus, un moins, une barre, deux barres ... j'étais inquiète de ce que j'allais voir. C'est au bout de quelques minutes que je vis un " + " . Soudainement, mes yeux s'écarquillaient. La bouche ouverte en O, il faudrait certainement que je la ferme pour ne pas gober les mouches. J'allais rapidement voir Alessia pour la prendre dans mes bras et la faire tourner doucement avec moi, dans mes bras. Papa et maman vont avoir un bébé ma chérie, tu vas avoir un petit frère ou une petite soeur dis-je avec un énorme sourire, je déposais tout un tas de baiser sur son visage. Je me mettais de la sauce de partout d'ailleurs. Bien qu'elle sache manger toute seule maintenant, elle avait encore du mal à viser. Mais je m'en fichais pas mal. C'est heureuse que je passais la soirée avec ma fille. Kenny m'avait téléphoné, il resterait tard ce soir encore au bureau. J'avais essayé de ne rien laisser transparaître dans ma voix, je voulais lui annoncer d'une certaine manière. C'est aux alentours de 20h30 que j'allais coucher Alessia, puis finalement je m'endormais dans le canapé en attendant Kenny.

Je soupirais. J'avais encore et encore une tonne de paperasse à faire sans compter que je devais gérer ma propre carrière. Depuis le clip qu'Anya et moi avions tourner il y a quelques années, j'avais décidé de me lancer dans une carrière solo, au début se fut assez dur, j'avais connu le succès mais surtout le poids de mon nom était un gros fardeau, on me voyait comme étant le patron qui usait et abusait de son label pour faire de l'argent en plus puis finalement, au fils du temps, les gens c'étaient bien calmé. Je faisais des télévisions en tant que chanteur, patron et aussi un peu comme représentant de la Russie, pays dans lequel à la base on vivait moi, Anya et Alessia. Oui tous les trois nous avions décidés de partir pour se poser à New York, notre vie de famille était en jeu dans cette histoire, Alessia pleurait quant elle me voyait pas trop et Anya, notre couple était pas vraiment au beau fixe. On avait des conditions qui faisaient que nous étions tous les deux loin de l'autre de temps en temps mais le soir, on se retrouvait dans notre bulle comme au premier jour, rien avait vraiment changer, la passion était toujours là seulement de mon coté, ma carrière était bien trop difficile, j'étais usé, j'étais vraiment au bord du gouffre psychologiquement et même quand je téléphonais à mon épouse pour lui dire que je rentrerai plus tard, ça me déchirait le cœur. Je me voyais comme la personne cruelle, comme mon père en fait, une chose que je ne voulais pas. Finalement je décidais de partir vers 20h30, j'avais pas envie de passer une nuit de plus dans un bureau qui commençait à me donner des douleurs de ventre et je voulais rentrer, voir Alessia, voir Anya, elles étaient là pour moi, elles étaient venues pour me soutenir, j'étais même pas capable d'être à mon tour présent totalement pour elles. C'est dans les alentours de 21h10 que j'ouvrais la porte du salon, Anya dormait sur le canapé, ma princesse déjà dans son lit surement. Je posais mes affaires puis j'arrivais vers mon épouse. Attention j'étais là avant 22h limite fallait ouvrir le champagne. "Ma puce…" dis-je en lui caressant doucement le visage. Elle avait l'air fatiguée, un peu blanche aussi. "Tu as mangé?" Je faisais toujours à manger, je me débrouillais le week-end pour faire des plats facile aux filles afin qu'elles mangent plus sainement.

J'avais passé une journée plutôt épuisante. J'avais travaillais avec mon père par téléphone, j'avais appris que j'étais enceinte et je m'étais occupé d'Alessia. C'est vers 21heures que je m'étais endormie devant la télé, dans le grand canapé en cuir. Je ne savais pas vraiment l'heure à laquelle mon mari allait arriver, ces derniers temps, c'était habituelle mais je comprenais aussi que sa carrière n'était pas facile à gérer ces derniers temps. J'avais confiance en lui à cent pour cent. Je ne l'avais pas entendue rentrer et se fut sa douce voix qui me réveillait. J'ouvrais lentement les yeux avec un petit sourire sur les lèvres.  Hey ... qu'elle heure il est ? Je m'étirais un peu en attrapant son visage pour déposer un baiser contre ses lèvres rapide J'ai mangé un peu avec Ale mais j'ai encore faim  je me mordillais un peu la lèvres, je savais pourquoi j'avais un peu plus faim que d'ordinaire, parce que maintenant, je mangeai pour deux. Je me levais en attrapant le petit plaid pour le mettre autour de mes épaules. Alors, pas trop dure ta journée ?  il avait l'air fatiguée, je le voyais sur les traits de son visage. Je mettais rapidement la table dans la cuisine, sur le comptoir, autant qu'on mange rapidement. Je piquais un bout de pain qu'il avait ramené. Vas prendre ta douche, je vais faire des croques monsieur  ça je savais faire et depuis en Presque 2 ans, je m'étais améliorer en cuisine ... un peu.

Mon bébé. Je pensais à ça quand jela regardais, je m'en voulais et intérieurement je me posais des questions sur ma vie professionnelle, je ratais des moments importants, trop important, si j'avais voulu une famille c'était pour vivre avec, pas pour qu'ils soient là à mon retour ou en partant autant se prendre un chien dans ce cas là. "Il est 21h10…" dis-je en souriant à son baiser. Je lui caressais la joue, fou après tout ce temps ça me faisait toujours de l'effet, 3 ans et demi que nous étions en couple. "Reste allonger, je vais…" Seulement elle se levait. "Je peux le faire tu sais." Dis-je en arrivant vers elle. "Non enfin tu connais." En gros oui, chiante et épuisante, j'avais envie de penser à autre chose, j'avais envie d'évasion et de rentrer chez nous en Russie, j'étais bien là-bas tout semblait plus facile. Anya mettait la table, on pouvait tout dire sur elle mais elle restait une femme qui savait comment s'y prendre avec moi, même fatigué comme elle était, elle trouvait le moyen de vouloir me faire à manger. "Hé… Approche..." dis-je en lui prenant les mains pour finalement la prendre dans mes bras. Je l'avais pas fait depuis au moins une bonne semaine, j'avais besoin de réconfort, je frôlais cruellement le burn-out et la sentir contre moi me rappelait aussi que je devais être là pour payer les factures, j'avais cette fichue mentalité qui me rongeait, celle d'un homme macho, au point de s'en rendre malade. "Te tracasse pas, je peux manger du jambon et du pain…" chuchotais-je à son oreille avant de me reculer. "Je prend une douche rapide et je te rejoins." Je lui volais un baiser rapide certes mais un peu plus long que celui qu'on avait échangé tout à l'heure.

Il était 21h30, je regardais la montre que je portais au poignet en souriant un peu  Y'a du progrès, c'est pas négligeable  ce n'était pas un reproche mais juste un peu d'humour, rien de plus.  Mais non t'es fatigué, je vais le faire ça me dérange pas  le plaid autour des épaules, j'allais dans la cuisine, je mettais la table en réfléchissant à ce que j'allais pouvoir faire. Alessia avait terminé le plat de pâte, une vraie goulu comme son père. Mais ça me faisait plaisir de la voir manger comme ça, au moins elle était en bonne santé. Puis faut dire que Kenny cuisinait bien, c'est pas négligeable.  Ah ... demain et un autre jour tu sais oui et ça, j'étais bien placé pour le savoir. Il me prenait dans ses bras, je posais mes mains contre ses épaules avec un immense sourire sur les lèvres.  Ca faisait longtemps  mes jambes pliées en arrière  T'as l'air tout fatigué  je grimaçais en lissant ses cernes. Mon pauvre bébé, il se tuait à la tâche. Mais laisses moi faire si j'en ai envie !  ben oui, ça me faisait plaisir de faire ça. Il m'embrassait un peu plus longtemps que tout à l'heure, j'embrassais ensuite son nez avant qu'il ne me re-dépose, enfin, au sol. Allez bouges tes belles petites fesses alors, je t'attend je lui faisais un clin d'oeil et me mettait aux fourneaux. Fourneaux, c'était bien vite dis.  Au fait t'en veux combien ?  criais-je pour Kenny. C'est une fois la réponse eut que je les terminai pour les mettre au four. Je tapotais mes ongles contre le comptoir en attendant que ça cuisse et en attendant qu'il sorte de la douche. J'avais tellement envie de lui dire ce qu'il se passait, là, dans mon ventre, mais je voulais attendre, j'avais une idée et je savais que ça réaction allait être drôle mais aussi belle. Cette nuit, j'avais une mission commando !

"Trop longtemps." Dis-je en la serrant encore plus fort, je voulais pas la lâcher, je voulais qu'elle reste greffer à moi, tant pis si on pouvait paraitre idiot dans la rue, je voulais être avec elle. "Un peu, demain je pense que je vais rester un peu à la maison." Je parlais boulot, j'étais morose, ailleurs, limite triste, le boulot me plaisait plus autant qu'avant et si je vous dis que je n'avais même pas prit de vacance depuis longtemps, une semaine avec Anya et encore on bossait tous les deux de temps en temps le soir. "Ok ok madame la patronne, je te laisse faire." Je la redéposais un sol volant un baiser amoureux et plus long avant de partir en lui lançant aussi un petit clin d'œil bien coquin à mon tour, ce soir, j'allais la prendre dans mes bras et profiter d'elle, chastement, vraiment je crois que de toute manière mon corps ne suivrait pas. "2 c'est tout !" criais-je pour qu'elle m'entende. Alessia avait un sommeil de dingue, je me souviens encore quand Milo avait aboyé comme pas possible et que mademoiselle dormait encore, je sais pas de qui elle avait héritée mais ce n'était surement pas de moi. Une bonne douche plus tard, je revenais à la cuisine, débardeur blanc, pantalon fin noir, je passais ma main sur mon visage en baillant et me posant sur la chaise de comptoir. "Tu crois que j'ai fais le bon choix?" demandais-je en la regardant sérieusement. "D'avoir voulu tout faire? J'arrive même pas à me dire si je suis heureux dans ce boulot, à une époque j'en avais l'impression puis là, passer mes heures là-bas, dormir parfois sur place, pas vous voir, je pensais pas que je ferais ça un jour." Je me tuais à la tâche, encore et encore, même quand j'avais fais une troisième rechute il y a un peu plus d'un an, j'avais trouvé le moyen d'aller au boulot tous les jours, sans rechigner tellement que mon corps avait fini par lâcher et que j'avais été cloué au lit pendant 1 mois.

Kenny était sous la douche, je préparais un repas facile et rapide. J'avais faim et Kenny aussi. Alors que les croques monsieur étaient entrain de cuir, j'attendais qu'il revienne. Entre temps, j'avais préparé de la salade, j'avais sortie les ingrédients pour que Kenny puisse faire la vinaigrette. Il savait que je n'étais pas douée pour faire ça. Il était là, assis face à moi, des questions pleins la tête. Le coude sur la table, mon menton dans ma main, je le regardais avec un petit sourire sur les lèvres. Hey ... lèves la tête ma main glissait sur le comptoir pour prendre la sienne, mes doigts cherchaient les siens et c'est une fois fait que je pu les entrelacer. Bien sûr que c'est le bon choix, bien sûr que t'es heureux, c'était ton rêve, c'est ton rêve ! Alors oui, par moment, y'a des moments qui sont difficiles, y'a des moments ou c'est plus dur, mais c'est comme ça .. J'allais près de lui, lui écartant doucement les jambes pour me mettre entre et poser mes mains contre ses joues T'as le droit de prendre du temps pour toi aussi, engages quelqu'un pour lâcher un peu de leste Le four sonnait, je me reculais pour prendre un torchon et sortir la plaque. et voilà monsieur est servis  lui dis-je avec un petit Tadaaaaa.

Je levais la tête, regardant Anya en l'écoutant surtout. Mon rêve se transformait en cauchemars. Elle m'écartait les jambes pour venir contre moi, je la serrais bien fortement, l'écoutant toujours mon plus gros défaut c'était bien ça. Je ne laissais jamais personne prendre la relève, je veux toujours tout faire moi-même. "Je sais pas…" dis-je en posant mon coude sur la table alors qu'elle partait. "Tu sais je me serais bien vu à la maison c'est bête mais on aurait eu une plus grande famille, un autre enfant et tout je pense que j'aurais laissé tomber ma carrière de patron." Car clairement ma carrière d'artiste était toute petite comparée à l'autre rôle que j'avais. Je fermais un peu les yeux en baillant. "Merci !" dis-je content. Je me levais quand même pour faire la sauce vinaigrette, Anya n'était pas très doué pour ça, elle était surtout pas patiente alors que moi oui, je la faisais rapidement, j'avais le coup de main. "Voilà ma faible participation." Riais-je doucement. Même rire sonnait faux limite, je ne savais plus ou j'en étais, j'étais vraiment perdu et demain j'allais rester à la maison, Alessia n'avait pas école en plus, j'allais emmener les filles faire du shopping, profiter d'elles un peu, je pense que ça me permettrait d'y voir plus clair. "Si ta rien de prévu demain, on pourrait sortir tous les trois, j'ai entendu une petite princesse avant-hier faire un caprice pour une histoire de chaussure qu'elle voulait et une maman qui disait non." Je commençais à manger mon coque monsieur, le sourire revenait peu à peu jusqu'à ce que je tourne la tête vers Anya. "Tu vas bien? Je te trouve blanche un peu."

Je tiquais un peu en l'entendant dire qu'il aurait pu laisser tomber sa carrière avec un second bébé. Machinalement je touchais mon ventre, discrètement et rapidement. Je n'avais pas envie qu'il laisse tout tomber. C'était l'entreprise de son père, son héritage. Je voulais qu'il puisse faire les deux.  Non ne dis pas des choses comme ça, avoir une famille ne veut pas dire ne pas avoir de travaille, il faut juste savoir faire la part des choses. Aujourd'hui tu travailles un peu plus parce qu'on est ici, mais quand on retournera en Russie ça sera le contraire, je serais beaucoup plus prise que toi .. faut voir les choses comme ça. Tu vas aussi avoir droit à ton congé paternité ...  je grimaçais un peu en me disant que je venais de faire une bourde, mais il était fatigué, il ne comprendrait pas. et tu pourras profiter de notre princesse  Je caressais sa joue avant d'aller sortir le repas du four. Kenny venait faire l'assaisonnement, je mettais les croques monsieur dans les assiettes et finalement j'éclatais de rire à ce qu'il disait  Tu te rends compte, à deux ans et demi faire des caprices pour des chaussure ... je ne vois pas du tout de qui elle tire je regardais ailleurs, je sais bien que ce côté capricieux était de moi. Non sérieusement, c'était laid, je peux pas laisser ma fille porter ce genre de chose ... puis, c'est pas elle qui décide  Je mangeais mon croque moi aussi lorsqu'il me posait une certaine question. Je me regardais dans la glace en touchant mes joues.  Non, je suis juste un peu fatiguée mais ça va ... t'inquiète pas pour moi, allez manges je croquais un nouveau bout de mon croque monsieur en prenant un peu de salade en même temps  On peut faire ça, on se prend un bon petit déjeuner au starbuck du bas, Alessia avait envie de gouter les nouveaux cookie, du shopping le matin et on va au parc l'après midi ça me faisait plaisir cette journée, bien que je savais que Kenny serait dans un tout autre état d'esprit demain.

Je pense qu'elle ne comprenait pas ce que je vivais actuellement, j'étais épuisé psychologiquement pas, physiquement et elle me disait ça, c'était un tout. "C'est pas ça Anya…" J'haussais les épaules, passait ma main sur mon visage, j'étais vraiment au plus bas de ma forme. "Ouais un bon congé de paternité bien en retard alors." Elle arrivait à me faire sourire, même si au fond égoïstement la seule et unique personne que je voulais à mes cotés c'était elle, Anya était l'être qui pouvait me redonner vie, regardez nous, on parlait sérieusement mais y avait des sourires, des regards qui ne trompaient pas. Je me levais, mes frissons étaient encore bien présent sur ma peau, elle me réconfortait comme le ferait une mère face à son fils, ça ne me dérangeait pas plus que ça alors que je continuais de m'activer à la sauce, je la regardais de temps en temps proposant alors de prendre la journée pour régler cette histoire de chaussure, Alessia m'avait bien fait rire, elle avait fait du boudin pour une paire de chaussure, deux ans et demi quand même. "Ah moi non plus je vois pas du tout de qui elle tient." Dis-je en la regardant avec insistance, le sourire aux lèvres. "Oh si laid que ça? Je regarderai toute manière à coup sur elle va vouloir m'emmener les voir pour que je cède." Et elle connaissait très bien son père, elle savait que je passais beaucoup de chose, parce que j'avais l'impression de me faire pardonner de mon absence ainsi peut être. Mangeant mon croque monsieur désormais assit sur la chaise, scrutant le visage de la russe, elle aussi bossait beaucoup, le décalage horaire lui jouait des tours. "Hum je sais pas si moi j'ai l'air fatigué, je te dis pas toi." Je continuais de manger, c'était bon vraiment, j'avais surement faim en tout cas, la salade aussi était pas mal avec la petite sauce, mon estomac se remplissait rapidement sous mes hochements de tête face au programme de demain. "Genre y a des nouveaux cookies !" Oui j'avais retenu que ça que voulez-vous j'avais beau être diabétique, je restais un bon gros gourmand. "Faut trop qu'on y aille." Tout d'un coup on me retrouvait un peu plus, l'ambiance de la maison, la chaleur de la famille, je me levais pour rincer mon assiette. "Je te propose une incroyable soirée télé avec moi soit dans la chambre soit ici et avec un tas de bêtises à manger et à boire, tu en penses quoi?"