CHARLIE A. HARRINGTON - #(456) 309-5720

Alors, pas trop mal à la tête ? Il semblerait que tu saches bien faire la fête. On m'a toujours vanté les bals d'Harvard et pour le coup, j'ai pas été déçu. Oh tu te souviens plus ? Crois moi, t'as été au-dessus. Mais il semblerait qu'il n'y ait pas que de beaux souvenirs qu'il te manque. Qu'en est-il de ce pote avec qui tu as bu un verre ? Ou cette nana que t'as trouvé bien agréable dans sa robe ? Pouf, disparus. J'ai d'ailleurs une belle photo de toi avec @Jaime Winston. Tu trouves pas ça étrange d'avoir été le dernier en contact avec lui ? J'pense pas que les flics laisseraient ça passer. Mais t'sais quoi ? J'suis sympa, j'te laisse le choix. Si tu relèves un p'tit défi que je vais te donner, la photo disparaîtra. Si tu refuses ? Et bien j'espère pour toi que ton futur avocat arrivera à t'innocenter pour la disparition de Jaime. Inutile de te préciser qu'il t'est interdit de demander de l'aide à la police. Ce jeu, c'est rien qu'entre nous deux. Ne me déçois pas. Et n'oublie pas de prendre en compte que le sort de Jaime repose sur tes épaules. un accident est si vite arrivé, ce serait bête d'aller à ses funérailles sous peu.

Défi : renverser quelqu’un avec une voiture.

Bonjour mon cher ami. As-tu vraiment cru que tout était fini ? Que j'allais laisser passer ta rébellion ridicule ? Que ta seule sanction pour m'avoir défié était l'envoi de la photo ? C'est mal me connaître, mon chéri. Tes petits copains retrouvés ne seront jamais en sécurité. Tu ne seras jamais en sécurité. N'as-tu donc pas compris que j'étais partout ? Peut-être qu'à l'instant où tu lis ce message, je serais derrière toi, attendant ta réaction. As-tu eu peur la dernière fois ? Cette fois-ci, tout sera pire. Tu as osé refuser mon petit défi, ton cauchemar ne fait que commencer. Si tu as cru que je n'étais capable que de vous droguer ou vous prendre en photo, tu t'es fourvoyé. Bienvenue en enfer mon cher ami, tu n'es pas prêt pour ce qui arrive. Personne ne pourra t'aider. Ni la police, ni les meilleurs avocats du monde. Tu n'as personne. Si tu as cru que l'amour pouvait me vaincre, tu te fourvoies une nouvelle fois. Je suis partout et je vais faire de ta vie un cauchemar dont tu ne pourras jamais de réveiller. La prochaine fois, tu sauras qu'il faudra m'obéir en fermant ta bouche.