BLEEKER ಇ la vengeance est un plat qui se mange froid...mais dans mon cas, je l'aime chaud !.

Cody & Diamantika ಇ I will kick your sexy ass...or not

Dites-moi s'il existe un homme sur terre qui ne jouerait pas de la même façon que Cody venait de faire soir ? Si vraiment vous connaissez un homme qui respectait proprement la femme, alors je veux bien le rencontrer et l'épouser sur-le-champ. Gosh, le corps d'une femme n'est pas un jeu ! Surtout pas pour Dia et encore moins lorsqu'elle était sincère. J'avais pourtant été honnête en lui avouant que j'avais aimé l'embrasser et il n'aurait pas dû jouer avec moi, avec mon corps, avec ma sincérité. Si j'avais bien horreur d'une chose, c'est bien de ça, qu'on joue alors que moi j'étais sincère, ça me donnait l'impression d'être faible et surtout plus conne que jamais et ça, je ne pouvais le tolérer avec un caractère tel que le mien. Il m'avait attrapé la main dans le but de me retenir, mais je n'avais clairement pas envie de parler, du coup, je la lâchais rapidement avant de me rendre sous la douche et de l'injurier de tous les mots blessants qui puissent exister sur cette terre. S'il avait su lire dans mes pensées, il aurait été choqué. Pas ma faute, j'étais blessée et j'avais vraiment cru qu'à cet instant, il me voulait comme moi je le voulais. En fait, je m'étais trompé et ça m'apprendra. Mais pourquoi j'avais choisi d'écouter mon cœur alors que je ne le faisais presque jamais au risque d'être déçu ?. Encore là, ça me prouvait qu'il fallait plutôt écouter sa raison parce que là au moins, on était certain de ne pas se prendre la tête. C'est en naviguant dans mes pensées que je sentie les paumes de Cody se poser contre mes mains, son corps s'allier au mien, ses lèvres près de mon oreille. « Je ne joue pas si, et seulement si, toi tu ne joues pas. » Je déglutis, parce que vous voyez, même sous l'eau il arrivait à me voler des frissons. Je me redresse complètement afin de me retourner et de lui faire face en plongeant mon regard de braise dans le sien. « Crétin !... Est-ce que j'avais l'air de jouer en t'embrassant ?. » Je passais une main dans mes cheveux pour les remettre en arrière et surtout pour ne plus qu'ils me cachent la vue. « Vous n'êtes carrément pas doué pour détecter les signaux quand il y en a franchement !. » Ouaip, j'avais envie de l'embrasser là toute suite, mais lorsque mon regard baissa vers son bassin, je finis par rire en posant une main sur ma bouche. Excusez-moi, mais c'était plus fort que moi. « Est-ce que tu prends généralement une douche en boxeur ? Parce que hum... cela me prouve encore une fois que t'es pas un humain !. T'es quoi Cody ?. » D'un doigt, je parviens à tirer l'élastique de son boxeur pour le lâcher ensuite contre sa peau laissant un bruit bizarre s'en échapper avant de plaquer ma poitrine contre son torse et d'approcher mon visage près du sien. « Et là ? T'attends quoi pour m'embrasser ?. » Mes lèvres ont rapidement laissé place à un sourire. Peut-être le premier vrai sourire sincère de la soirée. Il ne pourra pas se plaindre que je ne souris jamais et en plus, j'avais la particularité d'avoir un sourire craquant, enfin, c'est ce que disait mon entourage, mais qu'en était-il de Cody ?. Finalement, je laisse une de mes jambes caresser sensuellement et machinalement l'une des siennes, attrapant à nouveau son regard, cette fois-ci rebelle et provocatrice, je ne baisse en aucun cas les yeux.

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Cody était revenu, oui, il était revenu voir Dia malgré la probabilité élevée qu’il se fasse recaler, bien qu’il avait en sa possession l’objet de ses convoitises ou, du moins, ce qu’il croyait l’être. Quand on y réfléchit, peut-être que finalement, c’qu’il voulait n’était pas petit, noir et carré. Peut-être que c’était grand, blanc et ron … Totalement informe en fait. Diamantika, quoi. Il ne l’aurait jamais cru et pourtant, il s’était faufilé dans son dos, dans sa douche, son corps nu contre le sien. Elle se retourna sans la moindre pudeur. Quoiqu’il avait compris qu’elle ne connaissait rien à la pudeur, mais là, elle donnait l’impression de s’offrir à lui sans ménagement, sans craindre qu’il soit un dangereux psychopathe violeur de nana sous la douche. Ça aurait puuuu, quoique sa tronche de gentil le discréditait totalement. Il arqua un sourcil et lâcha du tac-au-tac ; « Ouais, pas moins que tu avais l’air de jouer quand tu m’as embrassé avant de me menotter à ton lit. » Et pas du tout pour un délire à la Christian Grey. C’était méchant, sauvage, et PAS du tout agréable. Mais il secoua frénétiquement la tête de gauche à droite, tentant d’effacer ce traumatisme. D’ailleurs, dès lors que son visage rencontra le jet d’eau, Cody constata un filet rouge qui s’aventurait dans les méandres des tuyaux juste sous leurs pieds. Très vite, il recadra son regard sur Diam, sa poitrine puis son visage, ‘fin surtout sa poitrine – ben ouais, Cody restait un mec en toute circonstance. « Pas touche, Codinosaure ne voulait pas sortir de son nid, lui et moi avions peur que ce soit la douche froide en débarquant. Et là il est pas prêt encore, il lui faut du temps. » ça n’empêcha pas Diam de jouer avec l’élastique qu’elle claqua sur sa peau. Aïe. Il grimaça. Mais il faut dire que quand elle se plaqua contre lui, il en oublia la douleur, elle avait un côté anesthésiant, un peu comme un pansement mercurochrome et en mieux. Parce que le mercurochrome, c’est pas sexy, ça fait mal quand tu l’enlèves et en plus, ça laisse des marques. Quoique, en y réfléchissant, c’était tout à fait Dia. Il enroula ses bras autour de sa taille, cessant totalement de se demander ce qu’il foutait là. Un moment hors du temps, hors de tout, ça faisait du bien parfois. Ce qu’il attendait pour l’embrasser ? Il se mordilla la lèvre inférieure avant de laisser place à un sourire plein de malice. Taquin, il rétorqua ; « Ben … J’attends que tu dises le mot magique. C’est pas parce que tu es la grande prêtresse de Mon Cul qu’un s’il te plaît t’écorchera la figure. On est pas dans ton palais ici, tu ne donnes pas d’ordre. » Et vlaaaaaaan. Non mais si elle a cru que Cody se soumettrait à elle, elle se mettait le doigt dans l’œil (ou la carte mémoire dans la culotte, c’est plus son kiff). Puis il avait le pouvoir. La preuve ? Qui est-ce qui avouait apprécier ses lèvres ? Qui est-ce qui les réclamait carrément ? Puis elle avait tellement de répondant que ça devenait jouissif de l'envoyer bouler.

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« Ouais, pas moins que tu avais l'air de jouer quand tu m'as embrassé avant de me menotter à ton lit. » Bon okey, mais ce n'était pas pareil puisque non seulement, je n'avais pas franchi la barrière de ses lèvres, mais j'avais finalement apprécié le smacker. « On n'peut pas comparer des smacks à de vrais baisers, puis je t'avais même avoué que j'avais apprécié le goût d'tes lèvres alors nop, c'pas du tout pareil. » Dia ou l'éternelle voix de la raison. « Pas touche, Codinosaure ne voulait pas sortir de son nid, lui et moi avions peur que ce soit la douche froide en débarquant. Et là il est pas prêt encore, il lui faut du temps. » Bon, il aurait très bien pu entrer avec son pantalon, ça revenait au même de toute façon ou, il aurait très bien pu ne pas entrer du tout et dire ce qu'il avait à dire à travers la baie vitrée. Mais, le fait qu'il soit sous la douche avec moi, n'était pas pour me dire que codynosaure n'était pas prêt, je ne le crois pas une seule seconde. Histoire de le provoquer, j'ajoute un petit peu de grain de sel by Dia. « Pourquoi ? T'as hontes de lui ? Est-ce que c'est un miniiiiiii Codynosaure ? » pouffais-je de rire parce que je pouvais voir à travers son boxeur mouillé, qu'il n'était pas si petit que ça son bijou de famille. Mais bon, je voulais le pousser un petit peu à bout bien que ça ne me gênait pas qu'il reste en boxeur du moment que je pouvais avoir accès à ses lèvres. Pendant qu'il m'enlaçait la taille, je récupérais le gel de douche derrière moi avant de me re-blottir contre son torse et de passer mes bras autour de son cou. « Ben ... J'attends que tu dises le mot magique. C'est pas parce que tu es la grande prêtresse de Mon Cul qu'un s'il te plaît t'écorchera la figure. On est pas dans ton palais ici, tu ne donnes pas d'ordre. » On était pas dans mon palais ici, mais on était dans ma chambre ça revenait au même chéri. Mon sourire fendait toujours mon visage et mon regard toujours planté dans les yeux du jeune homme. Je laissais lentement courir les doigts de ma main gauche dans sa nuque, puis son épaule afin de s'échouer sur son torse. Mes lèvres quant à elles, se posèrent sur sa clavicule, remontant lentement et sensuellement son cou, effleurant sa lobe d'oreille au passage, parcourant sa joue droite et terminant par se loger à quelques centimètres près de ses lèvres. « Do-mma-ge... » Murmurais-je entre quelques souffles que je faisais exprès de casser histoire de provoquer ses sens. Mais il est clair que je n'allais pas mendier pour avoir un baiser. Alors, ma main droite appuya sur le gel de douche et laissa son liquide s'écraser contre le crâne du lowell. A mon tour, j'en versais un petit peu sur mon corps et remettait le gel à sa place. Il ne voulait pas m'embrasser, très bien, on allait simplement se doucher. C'est faisable aussi n'est-ce pas ?. Mes deux mains vinrent rapidement frotter ses cheveux qui commençait à mousser et là, j'éclatais de rire en allant très vitre histoire de l'aguicher de nouveau. Je crois bien que provoquer Cody, allait vite devenir mon passe-temps favoris.

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Pas pareil ? Pas pareil ? Bien sûr que si, c’était pareil. Cody ne s’amusa pas à la contredire puisque qu’importe ce qu’il pouvait apporter à sa défense, elle trouverait moyen de descendre chacun de ses mots. Il commençait à connaître Dia. Et non, contrairement à ce qu’on croit, Dia n’est pas le diminutif de Diamantika mais bien de Diarrhée Verbale. Et bon appétit si vous êtes à table, of course. « Oh, c’est pas parce que ça ne t’a fait aucun effet que ça ne compte pas. » lâcha immédiatement le brunet, presque de mauvaise foi. Mais il valait mieux qu’il ferme sa gueule puisqu’il n’était pas du tout objectif ; ce mec était tellement frustré qu’un moucheron suceur de sang suffirait à l’émoustiller et j’exagère à peine. « Non. J’dirais qu’il fait partie de l’espèce des Codiplodocus. » Wesh, Cody n’a pas un oisillon dans le caleçon, il a carrément Jurassic Park. Sauf que ça mord pas. Bref, arrêtons de parler de la zigounette de Cody, il y avait un tas de sujets à aborder avec Diam, comme par exemple son manque de politesse à son égard. Genre elle a cru qu’elle avait le jeune homme à sa merci, qu’elle n’avait même pas besoin de le séduire, qu’elle l’avait dans le creux de la main … ET BEN NON. Pourtant, chaque caresse sur sa peau et … Non. Elle n’avait qu’à le toucher pour le transcender, pour que tous ses poils se mettent au garde-à-vous, on se serait cru au fin fond de la Laponie tant ces vagues de frissons déferlaient sans relâche contre l’écueil de sa peau. C’était oufissime et, tel un pantin, il se laissa tartiner de gel douche, du moins le temps de redevenir totalement maître de son corps. Réveille-toi Cody, réveille-toi Cody, t’as l’air ridicule parce que t’as une nana à oilpé et couverte de savon d’vant toi et tu bouges pas ton cul quoi. « Vraiment dooo-mmaaaa-geeeeee. » répéta-t-il en tentant de l’imiter pour la déconcentrer, elle qui faisait tellement mousser ses cheveux qu’on aurait dit Michael Jackson du temps des Jackson Five. Cody Jackson a le swaaaAaaaAaaAaag. Il reprit alors le dessus – ouais ils sont debout et dans une douche mais vous m’avez compris – en agrippant les grosses fesses du Diappopotame puis la plaqua avec énergie contre le mur glacial. Son regard se riva dans le sien avant d’exploser littéralement de rire. « Mes pieds glissent. » En effet, ses pieds glissaient sur le carrelage trempé de la baignoire et heureusement pour lui, il se tenait fermement au monstre. Lui qui voulait jouer à l’homme fort, le tout-puissant, il se retrouva à mettre en garde Diamantika ; « Si tu fais un mouvement brusque, j’te préviens, je tombe et je t’emporte dans ma chute. » Ouais, il conservait toujours un semblant de pouvoir. Non mais en vrai, il cherchait un moyen de récupérer son équilibre et il y parviendrait, à condition que Dia ne s’amuse pas à le déconcentrer.

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Dans la voix de notre cher lowell, il y avait comme un petit excès de frustration lorsque je lui avais dit que ça ne comptait pas de comparer le smacker à l'embrasser. N'empêche que lorsqu'il était dans cet état, il était plutôt sexy vous ne trouvez pas ?. « Non. J'dirais qu'il fait partie de l'espèce des Codiplodocus. » Ce mec, je vous jureeee, autant t'as envie de l'étrangler, autant c'est un clown à lui tout seul. Je me demande même si sa vraie place n'est pas dans un cirque. Ouai Diamantika ou la chercheuse qui veut percer le mystère de cet homme. « Ah carrément !. Mais je n'peux pas juger de toute façon... » Disais-je en roulant des yeux et en faisant semblant de siffloter dans le vent. Mais bien vite, comme il voulait encore jouer à l'homme dur, l'homme des cavernes, l'homme singe, bah ouai, ce n'est pas pour rien que c'est un Codybabouin hé !. Je venais de lui murmurer un mot à quelques centimètres de ses lèvres en commençant à lui ébouriffer les cheveux de gel de douche. Ça faisait du bien de lâcher un peu prise. « Vraiment dooo-mmaaaa-geeeeee. » Dit-il en m'imitant et en terminant par se rebeller. Il m'agrippa les fesses et me plaqua contre le mur glacial et là, je dois dire qu'un énorme frisson s'empara de moi et on pouvait facilement voir les pores de ma chair se réveiller à une vitesse éclair. « Mes pieds glissent. » J'accompagnais ses rires en le voyant essayer de retrouver un certain équilibre, mais le gel de douche n'arrangeait en rien la situation. « Si tu fais un mouvement brusque, j'te préviens, je tombe et je t'emporte dans ma chute. » Sauf que c'est Diamantika et que je fais généralement toujours le contraire. Alors, mes jambes entourent à leurs tours ses fesses afin de le plaque rapidement et assez fort contre moi, Cody perdit malheureusement l'équilibre et quelques secondes plutard me voilà au sol, lui au-dessus de moi. « Ayayayayayaayayay ! » Répétais-je en posant une main sur ma tête qui avait dû surement encaisser tout le choc. Mais lorsque j'ouvris les yeux, je le suprenais à me regarder et ce n'était pas un simple regard. « Pourquoi me regardes-tu de cette façon homme des cavernes ?. » Demandais-je un sourire aux lèvres. Sayez, peut-être qu'il venait de se réveiller et de prendre conscience que j'étais plutôt mignonne à regarder -sans me vanter-. Quoi qu'il en soit, je n'attendis pas vraiment sa réponse. Je me redresse à genoux et le plaque contre le mur, il était assit et moi, rapidement, je pris place sur ses cuisses, plaquant mes paumes contre le mur entre sa tête. « Si monsieur permet, j'aimerais... » Je ne terminais pas ma phrase. Une innocente onde de chaleur me traversa le corps comme si un point plus tiède que la normale se déplaçait sur mon corps, façon aimant. Nos regards se font incendiaires, dans le bon sens du terme. Chacun est plongé dans le puits sans fond de l'autre. Je pose mes mains sur ses joues que je caresse du bout des doigts. Mon sourire ne fait que s'élargir, comme si c'était possible qu'il soit encore plus grand que ce qu'il n'est déjà. J'approche mon visage de son cou et laisse mes narines s'enivrer de son odeur. Sa peau avait une odeur de lavande et quelque chose d'autre de masculin que je n'arrive pas à définir sans compter mon gel de douche au miel. Je finis pas lâcher mon objectif, me refixe sur son visage. Je sens son souffle me chatouiller le visage avec la même douceur que ses caresses. J'ai tout son visage en haute définition et pendant un très court laps de temps, je me prends à examiner chaque détail, les yeux, le nez, la bouche et je dois avouer que je n'avais jamais fait attention à cette perfection. C'est quelqu'un d'intelligent certes, mais il a tout de même quelques défauts qui vont de pair avec ce parfait physique. Oui il reste insolent avec un surplus impressionnant de confiance en lui. Et je suis sûrement en train de tomber dans son piège... Je pouvais sentir nos souffles se mêler et danser et je ne voyais plus rien d'autre que le brun grisé de ses iris pour seul horizon. Un horizon dans lequel je me perdais et appréciais. « J'aimerais... » Une nouvelle fois de plus, je me répétais en en lâchant un fin gémissement histoire d'exciter un peu plus le lowell. Et sans vraiment attendre son consentement, je m'emparais de ses lèvres comme-ci ma vie en dépendait. Là au moins, je n'avais pas à mendier pour avoir un baiser. Je prenais ses lèvres en otage défiant toutes entités ou n'importe qui de venir interrompre ce baiser, ils seront rapidement renvoyés en enfer où peu importe. Pendant que ma langue travers la barrière de ses lèvres, mes mains glissent le long de ses joues pour aller loger son cou près de sa nuque que je serre gentiment entre mes doigts pour intensifier ce baiser qui se voulait maintenant fougueux, vraiment très fougueux.

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Cody aurait dû se douter que Diamantika ne se montrerait pas obéissante pour un sous, qu'au lieu de faciliter l'équilibre du brunet, au contraire, elle entraînerait sa chute. ET BAAAAAM. Ça ne loupa pas. Il s'éclata les genoux par terre et il sentit ses articulations craquer sous son poids. Aïeeee, qu'on appelle les urgences, le SAMU, SOS hommes en détresse, Captain America et surtout la femme de Captain America. Mais la vue de Dia face à lui l'anesthésia complètement, il devenait insensible à la douleur, comme si son envie d'elle se traduisait chez lui par un semblant d'analgésie. Oui, il avait envie d'elle et pas juste d'un échange charnel entre quatre murs, pas le p'tit coup vite fait bonjour-salut-je-fais-que-passer-au-revoir. Il voulait dessiner ses courbes à l'infini, épouser ses formes en même temps qu'elle épouserait les siennes, connaître par coeur les constellations de grains de beauté sur sa peau ... Fallait qu'il se calme, c'est le diable en personne qu'il matait comme un chaton sur sa boîte de thon (cassdedi à Gus mon chatounet, parce que j'pense que je rp pas assez sur tooooi). Pris sur le crime, il ne pouvait accepter qu'elle ait repéré son regard anormalement insistant sur elle. « Jeeeeeee .... » Il cherchait ses mots. « T'as une tâche, pistache ! » Et t'as un trou pistrouuuu ! Mais j'dirais pas où, c'est pas folichon. Bref, il désigna un rond de buée sur la paroi vitrée de la douche pour faire genre qu'il louchait vraiment dessus depuis toute à l'heure, et pas sur elle. Il ne savait pas si ça suffisait à l'innocenter, en tout cas, Dia reprit vite le dessus et avant même qu'il ne pige ce qui lui arrivait, il avait les fesses congelées contre le bac. De même que pour ses genoux endoloris, il oublia ces sensations désagréables quand Diamantika l'enjamba, au profit de vagues de chaleur qui menaçait dangereusement d'indiquer physiquement tout le désir qu'il avait pour elle. Il ne valait mieux pas. « T'aimerais ...? » murmura-t-il après elle, se laissant bercer par ses lèvres dans son cou, par le souffle sur sa peau qui révélait chez lui des centres sensitifs qu'il n'aurait pas imaginé exister. Et puis même, elle n'avait pas besoin de le toucher. Rien que sa voix. Ses gémissements. Tout. Quatre, trois, deux, un ... La fusée Diamantika percuta la planète Cody et leurs lèvres se joignirent pour sceller cette union, dans une puissante valse dont seules leurs langues connaissaient les pas. Jusqu'à maintenant, les mains de Cody étaient restées inactives, posées sur ses hanches, soumises à ses ondulations. Mais là, dans l'action, ses dernières phalanges se pressèrent dans le creux de ses reins et incita Dia à plaquer son bassin contre le sien. Il se redressa, abandonna le mur sur lequel il s'appuyait et reprit du poil de la bête. Il quitta ses lèvres et se perdit dans son cou jusqu'à la naissance de sa poitrine. Puis il stoppa tout un instant et croisa son regard. Instantanément, il s'immobilisa. « T'es ... » Belle, belle, belle comme le jouuuur. Ouais Cody, c'est le moment où tu dis qu'elle est magnifique, que t'as les yeux qui brillent, que t'as la goutte de salive au coin de la lèvre. « T'es ... » Belle, belle, BELLE. « Tes seins sont vraiment petits. 'fin j'vais faire avec mais je voulais que tu le saches. » J'vous jure qu'il a vraiment essayé de dire qu'elle était belle. Un sourire mutin se glissa sur ses lèvres. Force est de constater qu'il n'avait plus un gramme de gel douche sur lui tant le jet d'eau planté droit sur eux l'avait nettoyé. Ça voulait dire qu'il était temps de sortir d'ici. Il regarda sa montre invisible et annonça ; « Sympa le spectacle, mais là c'est l'heure de l'entracte, donc tu m'excuseras mais ... » Il grimaça en lui faisant signe de bouger ses fesses de ses cuisses. Il la charriait. Dia n'aurait le droit qu'à une courte mi-temps. Cody n'en avait pas fini avec elle.

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Avec le temps, Cody finira par me cerner, je n'étais pas toujours facile à vivre, même difficile à dompter, mais je n'en restais pas moins une femme avec un coeur de "femme" qui peut craquer à tout moment sous mes airs de démon sans soeur. Mais concentrons nous sur notre cher conquérant. Suite à notre chute, je ne m'amuse plus à quitter ses yeux, curieuse de voir s'y afficher la moindre trahison de leur part envers son esprit trop secret. Attente récompensée : il avait l'air d'apprécier le petit spectacle de moi allongé sous lui, les cheveux qui formaient une rivière d'eau sur le bac. Et quand j'avais surpris son regard et l'avais questionné, de sa délicieuse bouche, n'en sortait que « Jeeeeeee .... T'as une tâche, pistache ! » Un rire s'échappa de mes lèvres sans ma permission, on va dire que c'était la pire excuse que j'avais entendu de toute ma vie. Évidemment que je ne l'avais pas cru. Je savais reconnaître ce genre de regard et de nos jours, même un gosses pourrait le reconnaître. Je ne n'en répondit rien, faisant semblant de le croire, préférant plutôt passer à la prochaine étape qui était de le plaquer contre le mur carrelé et de prendre tranquillement place sur lui afin de le détailler plus en profondeur et pourquoi pas, franchir l'énorme porte barricader de son âme. Bon pour l'instant je me contentais de franchir ses lèvres, le reste viendra après. Pour renforcer le baiser, je fais glisser une de mes deux mains sur son épaule où j'enferme son muscle d'une fermeté exquise. Mon autre main glisse vers son crâne que j'entremêle à sa chevelure prenant plaisir à triturer sa tignasse. Il bascule dans mon univers, en gouttannnnnnt aux plaisirs charneeeeeeeels BLEEKER ಇ la vengeance est un plat qui se mange froid...mais dans mon cas, je l'aime chaud !. - Page 3 1116103942

BLEEKER ಇ la vengeance est un plat qui se mange froid...mais dans mon cas, je l'aime chaud !. - Page 3 1116103942

(okey c'est version charmante demoiselle mais osef). Lorsque soudainement, il s'attarde sur ma hanche, dans le creux de ma taille trop frêle pour ses grandes mains et plaque mon bassin contre le sien, m'obligeant à lâcher un deuxième petit gémissement. Il se redresse légèrement quittant le mur pour venir loger ses lèvres dans mon cou, les papillons de mon bas ventre refirent surface sans crier gare sur le chant de bataille, A L'ATTAQUEEEE envahissez-moi tout çaaaaaa et plantez pleins de minis Codyvahisseur partouttttt !. Il frôle d'une légèreté la courbe de ma poitrine comme s'il n'était pas au courant de la partie qu'il touchait et ma peau frémit sous le contact de ses lèvres. « T'es ... » J'avais encore les yeux fermés, j'essayais juste de revenir sur la terre ferme, mais c'était difficile et je n'aurais jamais cru qu'un jour tous ce déluges de frissons se feraient à un simple contacte de ce Lowell en particulier. « T'es ... » Répéta-il de nouveau alors que j'ouvre enfin les yeux comme si la belle au bois dormant venait de se réveiller par un baiser de son prince. « Je... ? » Répétais-je après lui en ayant la respiration quelque peut affolée, le regard plongé de nouveau dans le sien attendant je ne sais quoi, mais attendant comme une vulgaire marionnette. « Tes seins sont vraiment petits. 'fin j'vais faire avec mais je voulais que tu le saches. » Et là....c'est le petit cassage d'ambiance, la bande du film qui reculait à une vitesse éclair. Mais au lieu de râler, je laissais mes lèvres s'étirer pour un rire qui résonnait dans toute la pièce. « Sympa le spectacle, mais là c'est l'heure de l'entracte, donc tu m'excuseras mais ... » Me fit-il en faisant signe de me lever. Je grognais presque comme une tigresse enrager ou si vous voulez, une louve. « Oh c'est vrai ! J'allais oublier que c'est aussi l'heure de mon petit en-cas tardive !. » Je bluffais. Mais je me relevais aussitôt sortant de la douche afin de lui tendre un peignoir. Quant à moi, je me sèche les cheveux et j'enfile un chemisier blanc manche longue à boutons que j'ouvre au niveau de ma poitrine d'ailleurs. Je fais glisser le long de mes jambes, une petite culotte que j'enfile. Ensuite, j'ouvre un placard pour faire sortir mon petit bol de nutella. J'attrape la cuillère et me laisse tomber à plat ventre sur le lit en commençant à manger mon chocolat. « Ummmmmmmm. » Et je refis le même bruit à chaque bouchée que j'introduisais dans ma bouche histoire de provoquer le jeune homme. Laissant mes jambes se balancer dans les airs. Faisant semblant de m'intéresser plus à ce que chocolat qu'à Cody. Même soyons honnête, je désirais que ce chocolat soit Cody.

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Dooooonc voilà voilàààà Cody était bien content que ses conneries faisaient rire Dia à gorge déployée, parce que comme on dit 'femme qui rit, à moitié dans ton lit', même si dans leur cas ce serait dans la douche mais il faut dire que trouver une rime avec douche, c'est pas facile … Et 'femme qui se mouche à moitié dans ta douche' c'est pas super sexy non plus. Passons. Mettons fin à ce petit aparté poétique qui ferait pâlir Baudelaire (même si techniquement il est déjà pâle puisque réduit à l'état de squelette, ça doit être le style de mec de Dia du coup) et revenons à nos deux tourtereaux. Attendez, Cody et Diamantika en mode tourtereaux ? OK, laissez-moi cinq minutes, je vais vomir. *cinq minutes plus tard* C'EST BON JE SUIS REVIENDUUUUE. Où en étais-je ? Ah, oui. L'entracte. Entractum en latin, parce qu'il n'y a pas d'heures pour commencer à étudier la langue de nos ancêtres. Il fit comprendre à Dia qu'il était temps de lever ses fesses et elle fit avec une certaine joie, comme si elle attendait sa libération depuis toute à l'heure. OK, Cody ne savait pas trop comment le prendre. « Bon appétit ! » lâcha-t-il mielleusement, presque vexé qu'elle ne fasse rien pour le retenir. Il sortit de la douche après elle et enfila le peignoir qu'elle lui tendit. Il en profita pour retirer son caleçon parce que tout trempé, ce n'était pas agréable. Et puis il se sentait comme un boxeur prêt à monter sur le ring ; il n'aura plus qu'à retirer son peignoir pour enchaîner derechef les rounds avec Dia et cette perspective l'émoustillait. Mais pour le moment, elle goûtait son Nutella sous ses yeux. Il arqua un sourcil et grimpa sur le lit, s'allongea à ses côtés. Une main peu farouche se fraya un chemin sous la chemise de l'Eliot, caressant innocemment son dos. Perplexe, il nota en se pinçant la lèvre ; « C'est donc ça qui explique la circonférence de tes fesses. Bientôt t'auras plus de secret pour moi, va falloir te ressaisir Kovache. » Qu'est-ce qu'il kiffaaaaaait ce surnom. Qu'est-ce qu'il kiffait la charrieeeeer. « Bon, tu lâches çaaaaa. » s'impatienta-t-il en attrapant son poignet pour bloquer l'avancée de la cuillère à sa bouche. Puis elle avait pas le droit de gémir avec une personne (ou un objet …) autre que lui, that's the rules. « Occupe-toi de moi, j'm'ennuie, c'est comme ça que tu traites tes invités ? Pas étonnant que tu n'aies pas d'ami. » conclut-il avec la moue boudeuse d'un enfant de cinq ans. Il se penchait à moitié sur elle, espérant s'éprendre de ses lèvres mais en vain. Puis le côté bouche pleine de Nutella le rebutait un peu, il faut dire.

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spoiler qui sert à que dale mais on le met quand même:

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