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Phoenix (+) Tu était encore dans le public ou tu m'attendait..

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Il répétait qu'il était pas un homme bien en gros et il essayait de m'en persuadé alors je voulais savoir pourquoi il agissait si gentiment avec moi si c'était le cas et ma question semblait le piéger, je souris alors en le regardant. "Une envie?? Hummm ok." Je commençais à le coeur un peu tout de même et malgré ce qu'il pensait il ce dévoilait quand même un peu et donc je pouvais percevoir quelques petites choses chez lui alors non il était pas si prévisible que ça mais un peu quand même. "On va dire que je commence à te connaitre, j'apprends." Je ne le connaissais pas aussi bien que ça, genre je pouvais pas certifier le connaitre par coeur mais j'en savais un peu plus sur lui que tout à l'heure et puis il ce dévoilait rien qu'en menaçant du regard ce type mais avec moi il était pas si méchant ni irrespectueux tandis que certains mecs ne ce gênerait pas pour l'être alors j'étais sure de ce que j'avançais. "Si un peu et tu ne me fait pas peur." Je lui adressa un sourire avant qu'il me dise qu'il allait ce laver les mains, je secoua la tête en le laissant partir et je débarrassa nos plateaux de mon côté avant de fouiller dans mon sac et me désinfecter les mains avec mon gel, je l'attendais ensuite en m'asseyant de nouveau tout en enfilant ma veste et très vite il revenait vers moi, je me redressa alors en passant mon bras dans les lanières de mon sac à main et je le regarda aussi détendu. "T'en a mit du temps juste pour te laver les mains.."
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C'est dingue le nombre de personnes qui pensent me connaitre alors qu'en réalité pas du tout. Moi ça me fait bien rire, de ce fait je lève les yeux au ciel et ne réponds même pas aux remarques de Sally. Je ne lui fais pas peur certes..mais qu'elle ne me dise plus ça parce que je n'aurais pas besoin de masque pour lui faire passer les pires moments de sa vie. Je ne me suis pas rendu compte du temps que j'ai mis dans les toilettes, j'ai tabassé l'homme certes, mais il ne me semble pas avoir été hyper long, pourtant la jolie blonde me fait une remarque. « J'ai préféré me les laver deux fois. » Et je n'ai pas menti car j'ai bien entendu lavé deux fois mes mains. Je me retourne alors et vois le mec que j'ai tabassé sortir des toilettes avec du papiers toilettes collé au nez, et le bras plaqué sur son ventre. Je pose directement mon regard vers Sally, qui de source sûre l'a remarqué et lui dis « Il a dû glisser sur sa pisse et se claquer la tête contre la cuvette. » Je rigole légèrement même si je doute que la blondinette n'a pas très envie de rire face au spectacle qui s'ouvre à elle. Je m'approche de son oreille et lui murmure d'une voix mystérieuse tel un serpent venimeux. « Tu pensais me connaitre ? » Je plaque mes lèvres sur les siennes, non pas pour la charmer, ni parce que j'ai envie mais juste pour lui faire perdre la tête. Je m'éloigne alors d'elle et sors du Fast Food. Je sors une cigarette, et l'allume directement. C'est vrai je fume trop, mais j'aime la petite cigarette après un bon repas et surtout si le dessert fut une bagarre. Je ne sais même pas comment Sally va réagir, si ça se trouve elle va juste se dire que ce n'était qu'une petite bagarre mais je peux faire bien plus que casser la tête de quelqu'un, je peux littéralement tuer et ça ne me dérange absolument pas, bien au contraire.
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J'avais un père violent et il m'en avait foutu des coups dernièrement, j'avais souvent été amoché et j'avais pas peur de lui alors je n'aurais jamais peur de Phoenix quoi qu'il fasse mais sa m'étonnerait qu'il ce la joue lâche et qu'il tape une femme, il était plus classe que ça et comme je le disais souvent les hommes qui frappait les femmes n'avait pas de couilles et je pense que Phoenix en avait. Bref ce qui est sure c'est que je n'avais pas peur de lui et je lui avais dit avant de lui dire qu'il avait mit du temps pour juste ce laver les mains, oui enfin j'avais eu le temps de débarrasser la table de nos plateaux de me désinfecter les mains et l'attendre sagement à table et sa remarque me fit sourire. "Tu a des tocs ou quoi??" On était prêt à partir sur le coup avant qu'on voit ce type sortir des chiottes, le pauvre il était vraiment amochés et là tout de suite je comprenais, Phoenix avait même pas l'air de s'en vouloir même un tout petit peu, je fronça les sourcils en posant mon regard sur lui après sa remarque. "Tu te fou de ma gueule, en gros tu me prend pour une conne." Ouais j'étais assez énervé mais c'est pas comme ci il lui avait juste mit un coup de poing et stop mais là il l'avait mit dans un sale état et d'ailleurs je me demandais bien pourquoi, ce type me faisait de la peine, j'avais à peine eu le temps de dire ou faire quoi que ce soit qu'il me chuchota ceci et posa ces lèvres sur les miennes, je n'ai même pas eu à me reculer il le fit lui même en sortant dehors. Je soupira avant d'aller vers ce type je voulais l'aider peut être en le soulageant en essayant de calmer la douleur avec un peu d'eau ou même l'accompagner à la clinique ou peu importe le problème c'est qu'il voulait même pas que je l'approche parce qu'il craignait que Phoenix revienne lui casser la figure. Ce type me faisait de la peine et comme j'avais dit moi j'avais pas peur de Phoenix, je sortis dehors pour le rejoindre, j'attrapais sa cigarette et je lui balança sur le sol avant de lui demander. "Tu m'explique qu'est ce qui t'es passer par la tête pour le mettre dans cet état?? Il t'a juste regarder ok, il ne t'a même pas regarder de travers alors c'est quoi le soucis??"
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Quand je lui explique que je me suis lavé deux fois les mains, elle me demande si j'ai des tocs, tout simplement je lève les yeux au ciel et je ne lui réponds pas. Elle ne sait pas ce qu'il s'est passé et ça me fait plus rire qu'autre chose. Mais elle ne tarde pas à le savoir quand l'autre crétin sort des toilettes complétement défiguré. Et j'en suis fier bien entendu. Je n'ai même pas écouté sa dernière remarque, j'ai juste entendu le « Tu te fous de ma gueule en... » Je savoure out doucement ma cigarette, attendant qu'elle se calme, même si ça doit être peine perdue puisqu'elle sort en furie, m'arrache la cigarette de la bouche en la balançant sur le sol « Eeeh putain ! » lui dis-je sur un mauvais ton. Et là elle me fait le serment du siècle, et je la regarde en hochant de la tête, et en souriant moqueur. Rien que pour la narguer, je ressors une cigarette et la rallume, recrachant la fumée de ma première taffe sur son visage, puis lui dis « J'ai pas de souci, mais je vais en avoir un si tu ne me lâches pas d'ici peu Sally.. Je te l'ai dit je n'aime pas que l'on regarde des personnes avec qui je suis. Et son comportement m'a énervé. Dans les toilettes ce con m'a sourit.. Et puis ça faisait longtemps que je n'avais pas frappé quelqu'un.. » Pour moi longtemps signifie moins de douze heures, il faut bien le savoir. Avant qu'elle ne dise quelque chose de plus je reprends « J'ai tenté de te faire comprendre que je n'étais pas celui que tu croyais.. Maintenant, t'as la preuve juste devant ton nez. » Fallait bien qu'elle le sache un jour, même si c'est un peu tard. Et puis vaut mieux tard que jamais. Je continue de fumer, mais ne recrache plus la fumée dans son visage je suis salaud, mais pas à ce point.
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Si il y avait quelque chose que je détestais c'était la violence, autant que mon père avait lever la main sur ma mère et moi m'avait rendu sa douloureux mais sa m'avait surtout mit hors de moi et voir que Phoenix venait de frapper ce pauvre type juste pour un simple regard, il ce prenait à un mec plus faible que lui et je n'appréciais pas ça. J'aurais voulu m'excuser pouvoir porter secours à ce type si seulement il ne m'avait pas repoussé par la peur de ce refaire casser la figure, je sortis alors en affrontant Phoenix, contrairement à ce type moi je n'aimais pas peur de lui et me prendre une claque dans la figure me faisant encore moins peur j'y étais habituer à force et il était pas aussi con que ça pour s'en prendre à une nana, du moins j'espérais pour lui. Il me recracha la fumée à la figure et je le poussa de ma main, il recula d'un pas vu son poids face au mien mais bon j'étais pas prête à me laisser faire sans bronché. "Et alors si il a envie de me regarder c'est mon problème ça, je ne suis pas ta propriété privée et encore mon ta petite amie de un et de deux c'est quoi un sourire, t'as un problème sérieux fait toi soigner." Il avait l'air d'être fière de ce qu'il avait fait et sa me dégoutait. "Très bien tu a gagné je me casse et je te laisse tabasser qui tu veut mais sans moi." Je tourna les talons pour partir d'ici, de toute manière j'étais à pied donc il fallait que je cherche un taxi ou que je rentre à pied.
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Je ne suis pas censé savoir moi sa vie passée, qu'elle s'est faite battre par son père et que son enfance fut difficile. Ou si elle me l'a dit, je ne dois plus m'en souvenir.. Bref elle me crie dessus, comme on crie sur un gosse et j'ai juste envie de la laisser s'énerver toute seule, tant ses paroles ne m'atteignent pas. Je souris et ça l'embête, alors c'est une raison de plus pour garder le sourire dessiné sur mes lèvres. Quand elle me dit de me faire soigner, je sers les dents.. C'est plutôt elle qui a un sérieux problème, et les raisons sont variées. Bien sûr que j'ai gagné, même en ne faisant que le strict minimum je gagne toujours. Je hausse des épaules et la regarde s'éloigner admirant son magnifique fessier, après tout pourquoi se gêner ? « Casses toi alors ! » hurlais-je alors. Je termine tranquillement ma cigarette afin d'être certain qu'elle soit loin de moi, puis quitte les lieux et marche d'un pas assuré et fier. Ma voiture est à quelques pas, garée sur le parking du Nirvana. Sans grande surprise je recroise Sally, qui doit attendre après un taxi, je la toise alors lorsque je passe près d'elle, mais ne lui adresse aucun autre regard et encore moins un sourire. Elle a décidé de jouer les Sainte Nitouche c'est son problème plus le miens, mais qu'elle ne se plaigne pas si je ne donne plus signe de vie. Je pensais qu'elle allait comprendre, mais non. Cette situation m'exaspère plus que tout en fait. J'arrive rapidement à ma voiture et tout aussi vite je démarre et quitte Imman Square espérant ne plus croiser la Cabot tant elle m'a énervé !

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Merde j'avais parler trop vite j'avais dis qu'il était loin d'être méchant et j'avais eu l'air sur de moi mais non au contraire il m'avait prouvé le contraire et je lui avais donner raison mais si il était si méchant il m'aurait pas proposé de m'aider pour trouver un autre job et c'est qu'il disait ça pour pas que je reste dans ce genre de boulot qui n'était pas avantageux pour moi et puis il m'avait payer à manger et il était un petit peu attentionné malgré ce qu'il dirait alors oui il disait qu'il était un mauvais gars, il s'en vantait et peut être qu'il était un peu con sur les bords d'après ces dires mais pour moi il y avait toujours du bon en chacun. Je lui avais donner raison et je m'étais barré et il avait fait de même après être revenu et rentrer chez lui alors une fois dans le taxi je comptais faire pareil mais non j'allais pas en rester là, puis on allait pas rester fâcher. Je tentais le coup d'aller chez lui, il m'avait emmené une fois chez lui, un soir quand on avait fini dans son lit et je l'avais asse dit il ne me faisait pas peur et si c'était un vrai homme il ne me lèverait pas la main dessus. J'étais donc en train de me diriger vers chez lui avec le taxi et une fois arriver je donnais un billet au mec et je sortis pour aller devant sa porte, je sonna une fois puis j'attendais une réponse bien décider à me faire entendre.
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Sur la route, j'ai roulé comme un dingue. Je ne suis pas énervé loin de là, c'est juste une mauvaise habitude. Et puis avec une voiture comme la mienne, comment ne pas rouler vite ? Une fois garé dans l'allée, je sors de ma voiture, prends les clés dans ma poche et entre enfin dans ma villa faisant retentir le claquement de la porte pour signaler à mes gouvernantes mon arrivée. Apocalypse arrive, et me saute dessus. J'attrape sa tête entre mes mains et le caresse, lui donnant un baiser sur son museau avant de le lâcher. Je retire ma veste et la pose sur le canapé de mon salon. Je monte à l'étage afin de me brosser les dents, je ne veux pas avoir une haleine de fast-food toute la soirée. Puis je me mets sous la douche, mais ne reste pas longtemps. Une fois sorti, j'enfile un boxer, un pantalon de survêtement, et je mets un T-Shirt noir simple col en V. Je descends dans la cuisine, puis me sers un verre de whisky. J'allume la télé, puis zappe comme un imbécile. J'ai un mauvais pressentiment, et bizarrement alors que je devrais appeler mes hommes pour venir aux nouvelles je préfère m'abrutir devant la télé. Ne pensant pas être dérangé on sonne à la porte. Directement mon Berger Allemand se pointe devant et aboie sur la porte, je lui fais signe de se taire et très obéissant il s'exécute et s'assoit en prime. J'ouvre la porte et suis face à Sally. Je l'avais oublié celle-là. Je lève les yeux au ciel et dans un soupire je lui dis « Qu'est-ce que tu fiches ici ? T'es perdue ? Ici c'est pas la maison des pauvres. » Je ne lui laisse pas le temps de répondre, que je rajoute. « Ah mais non, t'as pas eu ta dose de cul ce soir et tu penses qu'en venant m'emmerder chez moi tout s'arrangera ? Eh bien non. » Je suis vulgaire mais je m'en fiche, elle a fait la gamine et je ne peux malheureusement rien faire pour elle. Je bois une gorgée de mon verre que j'ai toujours à la main « Dégage de là Mendoza. » Mon chien ne bouge pas, mais je sens qu'il grogne derrière moi.
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Il pouvait jouer au dur, m'insulter si sa l'amusait tant que sa et ce faire passer pour le plus salopards des mecs d'havard je ne comptais pas lui donner la satisfaction de le laisser croire qu'il avait raison et que j'avais soit peur de lui soit que je pensais qu'il était le plus méchant des gars que je pouvais connaitre, il y avait pire que lui, des mecs qui me faisait vraiment peur mais si il était si terrible que ça, sa sonnait à quoi sa proposition de m'aider, il l'avait bien fait pour quelque chose pas gratuitement et puis même quand on était mauvais on était égoïste peu importe les raisons qui nous pousseraient à ne pas l'être. Mon père était une personne méchant alors je m'y connaissais en personne méchante seulement j'avais affirmer devant Phoenix qu'il n'était pas comme ça et j'allais venir lui dire en face que son petit jeu ne marchait pas avec moi, il voulait ce donner cet apparence mais sa ne marchait pas, c'était tellement pas crédible, il s'en foutait de ma gueule certes donc il pouvait être horrible avec moi sans aucun remord mais si il était comme ça c'était pour une raison et pas parce que c'était le plus gros des connards. "Va te faire foutre.." J'entendais son chien grogner derrière mais il était comme le maitre il aboyait beaucoup mais ne me faisait pas peur, Phoenix avait une gueule d'ange, le fait qu'il soit canon aidait peut être à penser qu'il était pas le diable incarné et son chien était aussi pareil, trop mignon pour avoir peur. "Je ne comptais pas te laisser rentrer en pensant que tu avait gagner la partie, tu a beau être con tu est loin de me faire peur et je suis persuadé que tu est tout sauf le type méchant que tu pense être aux yeux des autres, ton numéro ne marche pas."
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Je l'insulte sans gêne, et la dénigre. Je suis certain que pour elle le fait que je lui ai proposé mon aide veut dire que je suis quelqu'un de bon, que j'ai un grand coeur. La pauvre, elle lit trop de romans à l'eau de rose. Lorsqu'elle me dit d'aller me faire foutre, je sers le poing enfonçant mes ongles dans ma peau pour ne pas lui en coller une. Et elle me sort encore le discours habituel, qui dit que je ne suis pas un méchant, que ce n'est qu'une image que je veux me donner et blabla. C'est lassant à la fin. « Oui tu as raison Sally, je suis un très gentil garçon qui t'a baisé plusieurs fois et qui a trouvé ça tellement fantastique que je veux le faire encore ce soir. » dis-je sur un ton sarcastique. Je lance un rictus mauvais, à faire froid dans le dos. Qu'est-ce qu'elle croit au juste ? Que l'on est dans le pays de bisounours ? Qu'elle aille voir la présidente des Quincy, elle se fera une joie d’accueillir une barge de plus. « Je te le redis dégage de là. Va ouvrir tes jambes à un autre salaud. » Je reste planté à la porte, et je vois qu'elle ne bouge pas. Mais elle a un problème cette fille là, il ne faut plus qu'elle sorte. Je m'approche d'elle, et mon chien me suit de près toujours en montrant les crocs. Je lui attrape sa tignasse que je tire en arrière. J'approche mes lèvres de son oreille et lui dis « Barre toi, sinon je claque ta tête de poupée barbie sur le mur. » Je passe ma langue dans sa bouche, et tente d'aller au plus profond de sa gorge, à la limite de la faire vomir. Je la relâche la jetant presque comme un déchet. « T'as compris ? » Si vraiment elle ne bouge pas je le ferais, qu'elle en soit certaine.
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