Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityROYLEE ⊹ Nuit, belle nuit, sous un ciel d'Italie ♡ - Page 4
Le Deal du moment : -38%
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip ...
Voir le deal
99.99 €


ROYLEE ⊹ Nuit, belle nuit, sous un ciel d'Italie ♡

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Parce que tu ne me l'as pas dit tout de suite! Et si je n'avais pas lu cette lettre, je suis certain que tu m'en aurais jamais parler et ça c'est prendre des gens pour des cons! j'étais vexé, c'est sure, peut être qu'elle voulait bien faire, mais elle faisait mal. Je détestais qu'on me cache des choses et... j'en avais des frissons désagréables. Leevy allait mourir. Qu'est-ce que j'allais devenir? J'étais tellement dépendant d'elle, elle était mon tout, ma seule force pour rester en vie. Cambridge's secrets avait sans doute raison, un jour je vais finir par me perdre à force de rester accrochée à elle comme un koala. Mais c'était la seule drogue que j'avais. Ces paroles me blessèrent et je contractais tellement fort ma mâchoire que j'en avais mal les gencives. Leevy avait totalement raison, la vérité était comme une lame tranchante qui vous transperce en plein coeur. Je vois pas de quoi tu parles... je vais bien! je fuyais mal le sujet, si seulement je savais mentir. Je pris ma valise pour fouiller dans mes poches après mon médicament, tout en écoutant ma copine s'énerver à son tour. Pauvres voisins, Rome ne voudra plus de nous après ce bruit de fou que nous faisions. Je m'enfuis un instant dans la salle de bain pour avaler ce fichu cachet. J'avais pas envie qu'elle me voit alors qu'elle venait clairement de dire que j'étais pas stable. Elle aurait pu dire que j'étais fou, ça aurait été pareil. J'entendais ses mots et j'étais juste désespéré. Il n'y avait donc rien à faire. Tout ça pour rien? Mon sacrifice à la mafia pour rien? L'éloignement de ma famille pour rien? Je fis tomber le verre d'eau dans l'évier qui se brisa. Calme Royce. Je revins dans ma chambre en fermant ma valise. Quelque chose coinçait dans la tirette et ce n'était que le cadeau que je lui avais fait. Je le pris dans ma main et je lui lançais sur le lit comme un vulgaire torchon. Fais en ce que tu veux, il est à toi de toute façon. c'était une petite boîte d'une bijouterie très réputée qui enfermait un bracelet en argent avec quelques petits motifs très discrets. J'étais tellement fier de mon cadeau, mais tant pis. Je prenais mon sac, mes papiers, mon passeport et je mis ma main sur la poignée de la porte. Je te sers à rien, t'es même pas prête à faire des efforts alors que je ferais vraiment tout pour toi. Tu préfères te laisser crever après tout ce que tu as fais, après ce qu'on a vécu... C'est toi qui est pas stable Leevy! J'ai pas envie de te laisser seule ici mais j'ai beaucoup de mal à digérer cette nouvelle! ça c'était fait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est clair qu'on voyait les choses vraiment différemment, en évitant de lui dire la vérité sur le cancer j'voulais simplement pas qu'il se fasse de soucis et qu'il soit persuadé que tout va bien, c'était pour lui que j'faisais ça mais lui non il préférait dire que je le prenais pour un con. Je me sentais vraiment mal, je détestais me disputer avec lui et habituellement il pouvait y avoir une solution mais là j'en voyais pas, j'allais crever et basta. Je lui avais ensuite sortie pas mal de parole blessante en visant évidemment sa bipolarité, j'veux pas lui faire de la peine ou je ne sais quoi, mais quand je suis énervée j'peux pas m'empêcher d'être méchante mais d'un certain côté en voyant sa réaction, j'me demandais vraiment si j'avais tord. Je soupirais alors longuement le laissant aller dans la salle de bain pour ensuite aller dans mon coin dans le balcon afin de fumer une cigarette, j'arrivais pas à me calmer, je pouvais pas faire ce qu'il me demandait, je pouvais pas aller dans les hôpitaux ça me faisait trop peur tout ça, je voulais pas être considérée comme une malade capable de rien. J'voulais juste finir mes jours normalement. Mais ça il voulait pas le comprendre mais j'vais pas me mentir j'le comprenais, mais j'étais têtue et jamais je pourrai accepter de me faire soigner inutilement. Je sortie finalement du balcon posant alors mon regard sur la boite qu'il venait de jeter sur le lit, je relevais alors mon regard sur lui comprenant que c'était mon cadeau, je crois que c'était sérieusement pas le moment de l'ouvrir et être heureuse de savoir ce qu'il pouvait y avoir dedans. Je fronçais alors mes sourcils en le voyant faire ses affaires, merde il avait pas le droit de partir comme ça, il pouvait pas m'abandonner. Je ferrai tous les efforts du monde pour toi mais ça c'est juste impossible, je t'en supplie Royce essaye de me comprendre, tu peux pas me forcer à me soigner, je veux pas vivre dans un hôpital! Dis-je en le regardant, je savais très bien que si je l'écoutais j'allais vraiment en chier et j'avais beau dire que j'avais pas peur de grand chose mais oui j'avais peur de ne plus avoir la force de ne rien faire et devenir quelqu'un de faible. Tu peux pas partir et me laisser ici, t'as pas le droit! Dis-je en lui faisant lâché son sac, j'avais besoin de lui j'voulais pas qu'il parte, ça devait être que pour nous se week-end et j'avais clairement tout gâchée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais fais mon sac  et je le serrais dans ma main. Qu'est-ce qui pouvait bien m'empêcher de partir? Elle? Non, je ne crois pas. Pourquoi se forcer à faire semblant d'aller bien pour profiter d'une nuit et d'une autre journée à Rome? La réalité était tombée de plein fouet. Je suis amoureux d'elle, elle le sait, ce cadeau c'est pas de la merde en boîte. Mais... j'étais trop énervé pour avoir une conversation correcte avec elle. De toute façon, elle ne voulait rien entendre, elle était trop têtue. Je la trouvais égoïste sur le coup. Si elle voulait me voir heureux, elle devait se soigner. Mais c'était impossible. Rien n'allait comme je l'avais imaginé. Au fond de moi, j'explosais. Si je n'étais pas si énervé, j'aurais fais l'effort de rester et de continuer à lui parler pour la rassurer. Mais j'en étais juste incapable. Leevy avait tout prévu pour ce voyage en amoureux, ça m'attristait beaucoup de devoir tout plaquer. C'est vrai que vivre dans hopital, c'est l'horreur. Et ne plus vivre en laissant son coeur dans un cercueil, c'était plus amusant peut être? Si elle vint à mourir, elle ne me verra plus et je serais anéanti. Si elle décide de vivre, je serais à ses côtés, tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes et je lui apporterais mon amour pour lui donner du courage. Et moi je veux pas vivre sans toi! Putain tu penses à moi au moins?! je soupirais bruyamment, impossible de me calmer. Leevy m'arracha mon sac des mains. Je me suis mis à rire nerveusement, je me moquais presque de ce qu'elle venait de dire. C'est toi qui dis ça? Tu t'entends parler? C'est toi qui m'abandonnes Leevy. je pris mon sac d'un coup sec puis je ne lui lançais même pas un dernier regard, je claquais la porte derrière moi et je pris mon téléphone pour regarder les horaires d'avion. Quitte à passer la nuit à l'aéroport, je le ferais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je le regardais tout en écoutant ses mots, je disais plus rien, j'savais plus quoi lui répondre parce que je savais que j'avais raison et puis j'avais beau essayée de le retenir je savais qu'il partirait quand même, je le laissa alors faire tout en inspirant longuement, j'avais juste envie de fondre en larme là, c'était beaucoup trop de pression tout ça. Je me laissais alors tomber sur le lit en passant mes mains sur mon visage, je le détestais d'être partie et je le détestais encore plus de me demander des choses que j'suis incapable de faire, enfin j'ai juste pas la force de faire. Je finis par poser mon regard sur la petite boite je la pris alors pour ensuite voir le bracelet, il était juste parfait mais ça aurait été encore plus parfait si c'était lui qu'il me l'avait offert et qu'il était encore près de moi. Je pense sérieusement rester ici jusqu'à la fin du week-end, j'avais besoin d'être seule et je ne voulais surtout pas à rentrer à Cambridge pour le croiser, il avait pas eu le droit de partir comme ça et me laisser en plan. J'essayais simplement de me focaliser sur son départ pour pas me rendre compte que j'avais tord et qu'il avait raison de me forcer à me soigner.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)