ROYLEE ⊹ Nuit, belle nuit, sous un ciel d'Italie ♡

Je savais comment était Leevy, je la connaissais assez pour savoir que je n'avais aucun soucis de vivre avec elle, car si j'en avais un, je ne serais pas son copain. C'est vrai, pourquoi rester avec quelqu'un qui est insupportable? J'étais juste étonné qu'elle n'ait pas été très reconnaissante envers l'effort que Gabriel faisait pour l'héberger. Mais d'un côté, je la comprenais... elle devait s'ennuyer et en me faisant la remarque, je remarquais que je n'avais pas du tout penser à ça. Je la sentais un poil vexé. Oh non, ce n'était pas mon but. Bravo Royce, je pouvais être un vrai bouffon à mes heures perdues. Je disais ça pour rire, prends pas la mouche. c'était à mon tour de faire de grands yeux en l'air. Leevy se leva et ramassa ses affaires. Je ne répondis pas, la laissant partir en premier. Je soupirais puis je quittais la table à mon tour. Elle râlait car si elle ne râlait pas, elle m'aurait attendu. Je pressais le pas derrière elle en l'attrapant par la taille pour qu'elle se retourne. Hey, je pensais pas ce que je disais, te vexe pas pour si peu. lui dis-je du ton le plus rassurant que je pouvais faire. Malheureusement, ce n'était pas suffisant pour lui rendre le sourire. Je fronçais les sourcils. Quelque chose ne va pas? je posais la question par pur hasard, on sait jamais. Cela m'arrive souvent de ne pas remarquer que quelqu'un essayait de me dire quelque chose. Je ne voyais juste rien. Il faut dire que j'étais tellement bien ici, avec elle que je ne pensais qu'à nous deux, mais peut être pas assez à elle.

J'avais tellement eu l'habitude dans ma vie qu'on me traite de blonde superficielle qui se croyait bien meilleure que les autres donc je détestais être décrite comme ça, enfin surtout depuis quelques années vu qu'avant j'avoue que oui j'étais comme ça mais maintenant j'avais bien changée. Donc bon en entendant les mots de Royce j'pouvais juste comprendre que l'ancienne caricature qu'on m'avait donné revenait sur le dessus. Et puis bon j'suis bien le genre à m'énerver rapidement surtout avec se putain de cancer qui me foutais sur les nerfs encore plus rapidement, après tout j'avais du mal à rester secrète et tout garder pour moi, mais là je devais me taire pour notre bien et le bien de nos vacances. J'avais donc commencée à marcher tout en ignorant ses paroles jusqu'à ce qu'il m'arrêt dans mes pas afin que je me retourne vers lui. Si tu le pensais pas fallait pas le dire. Dis-je en levant mes yeux au ciel, ouais ouais j'sais j'peux être vraiment exécrable quand je suis énervée. J'inspirais alors légèrement quand il me demanda finalement si quelque chose n'allait pas, oh tellement de chose si tu savais mais j'peux pas t'en parler. Je finis par faire un léger sourire, je pouvais pas continuer de tirer la tête parce que j'allais finir par tout lui avouer et puis j'étais dans l'optique que ça se passe bien. Non ça va.. C'est juste qu'avec tout ce qui c'est passé ces derniers temps j'suis un peu sur les nerfs. Bon je lui mentais pas là, je disais la vérité tout en évitant de préciser certaine chose. Je finis par prendre sa main et marcher en regardant devant moi, cette ville représentait vraiment la joie c'était pas croyable, je voyais tout le monde marcher heureux tout en profitant de la vie. T'as déjà choisis ton vœux? Lui dis-je en posant mon regard bleu sur lui, après tout j'étais quand même curieuse de savoir ce que ça pouvait être.

J'avais raison, Leevy était vexée. Mais est-ce qu'elle pouvait me faire longtemps la tête? C'était impossible. J'avais ce don avec les filles, quand elles me font la gueule, je ma ramène avec mon visage d'ange et mon sourire charmeur et l'affaire est réglée. Leevy ne me faisait pas l'exception. Mais bon, ça m'embêtait quand même de la voir comme ça. Je devais me rattraper comme je pouvais. Un câlin, un sourire et hop elle se remet de nouveau à parler. Je fis une petite moue en haussant les épaules. D'accord, j'assume ma connerie. D'accord, c'est vrai, mais tu m'as quand même fait croire que j'étais pas canon, je l'ai mal pris et j'ai rien dit. contrairement à elle, je savais intérioriser certaines choses maintenant. Je ne l'avais jamais fait avant. Je répondis à son sourire puis je la laissais me guider en serrant sa main dans la mienne. Mmh, je comprends, on t'a quand même tiré dessus! Essaye juste de profiter du voyage avec le sourire. sinon je la chatouille à mort jusqu'à ce qu'elle se décide à me faire un immense sourire de joie. La fontaine n'était pas très loin et elle était assez impressionnante. Je regardais les gens jeter des pièces, des bijoux même! Je ne savais pas trop quel vœu j'allais faire, mais j'avais ma petite idée. Si je te le dis, le vœu ne marchera pas. j'en sais rien, je disais ça pour la taquiner pendant que je cherchais des pièces dans mon porte-feuille. J'attendis que Leevy fasse de même. C'était beaucoup trop romantique à mon goût mais j'aimais bien m'y prêter au jeu. La galanterie veut que ce soit les femmes d'abord, mais j'avais envie de faire le premier pas. Je jouais avec la pièce dans ma main et je glissais ces mots à l'oreille de ma jolie blonde. Je veux que tu soies toujours heureuse, peu importe ce qu'il arrive, peu importe ce que l'on devient. Je veux te savoir en sécurité. C'est ça mon vœu. je jetais ensuite la pièce dans la fontaine.

Habituellement je m'énervais déjà pour un rien alors quand quelque chose n'allait pas c'était pas mal décuplé et j'devrais pas être comme ça parce que sinon j'allais m'énerver toute les secondes sur Royce et ça c'était juste pas une bonne idée. Tu sais très bien que t'es beau, c'est pas en disant que t'es moche que tu vas changer d'avis. Dis-je en haussant un peu mes épaules, et puis bon il savait bien qu'il me plaisait, qu'est c'que je foutrai avec lui sinon? Je lui souriais alors légèrement une fois qu'il me demanda de profiter en souriant, ouais mais le problème c'était pas la balle que je m'étais prise, limite je m'en foutais j'avais l'habitude mais bon d'un côté vaut mieux qu'il croit que ma mauvaise humeur vient de ça et pas d'autre chose. Nous arrivons finalement jusqu'à la fontaine qui était plutôt immense, le mythe était peut-être pas faux en voyant tout ceux qui jetait encore et encore des pièces. Je fis alors une légère moue  quand il évita de me dire son vœu mais après avoir sortie sa pièce je souriais alors doucement en entendant ses mots qu'il murmurait à mon oreille. C'était genre trop beau ce qu'il me disait, j'avais l'impression de voir le gars parfait qu'on peut voir dans les films. C'est bien du gâchis de gâcher un vœu pour moi. Lui dis-je un peu amusée pour finalement lui voler un petit baiser, bon ok j'crois bien qu'il était capable de me remonter le morale en une phrase à peine. Je sortais alors mon porte-monnaie de mon sac tout en faisant tomber sans le faire exprès une lettre de mon médecin que j'avais reçu juste avant de partir à Rome, je l'avais lu dans l'avion quand Royce dormait et sur le coup je n'avais pas pensée à ensuite la ranger ailleurs que dans mon sac. Sur le coup je ne me rendis même pas compte que la lettre était au sol. Je finis par lancer ma pièce à mon tour ayant pensée le plus fort possible que Royce soit heureux et en sécurité. Je dis qu'il gâche un vœu pour moi mais j'en fais tout autant, ça me semble tellement logique de vouloir son bonheur, il le mérite tellement après tout.

C'est normal de vouloir se sentir beau auprès de Leevy. J'avais envie d'être le plus beau, celui qui s'habille le mieux et porte le parfum le plus apprécié par les femmes. Maintenant que j'étais le président de la Winthrop House, je ne devais pas paraître ridicule, je devais montrer que j'avais tout d'un vrai rouge. Sauf que j'arrêtais de séduire les femmes, j'étais un vrai gentleman avec mon amoureuse et ça me suffisait. J'avais dit mon voeu tout haut pour les oreilles trop curieuses de Leevy et elle semblait touchée. Je lui rendis son bisou et je m'écartais un peu pour la laisser jeter sa pièce à son tour. Je vis un papier tomber de son sac et elle ne semblait pas le remarquer donc je le ramassais. T'as fais tombé ça... ce n'était pas moi, non, j'avais pas lu les premières lignes. Le papier s'était ouvert et mes yeux étaient tombés dessus par réflexe. Bref, peu importe ce que je raconte, là ce qui m'inquiétais c'était ce que je lisais. Je reculais de quelques pas en lisant la lettre, empêchant Leevy de la reprendre. Qu'est-ce que... mon coeur se serra. C'était des résultats d'une visite médicale. Depuis quand Leevy allait à l’hôpital? Je pensais qu'elle ne devait jamais y aller à cause de la mafia, je pensais qu'elle se soignait toute seule. Pendant un instant, mon coeur arrêta de battre et ma main chiffonna le coin du papier, tellement mes doigts étaient serrés. ... un cancer... j'étais triste, tellement triste ça oui! Mais surtout énervé et dégoûté qu'elle ne m'ait rien dis. Je pensais qu'il n'y avait plus aucun secret entre nous. Je me retournais et shootais dans la première chose qu'il y avait sur mon passage. Malheureusement c'était un banc et à part me faire mal c'est tout ce que ça m'avait apporté.

Royce m'avait dit des belles choses et du coup voilà je ne pensais plus à rien et j'étais juste bien, en fait il aurait mieux fait de rien me dire parce que si c'était le cas j'aurai vu que j'avais fais tomber se foutu papier et je l'aurai ramassée bien avant qu'il réussisse à l'avoir. Je le voyais alors lire, je savais très bien que je pourrai pas la récupérer et que là c'était mort et qu'il allait être au courant de tout. J'inspirais alors longuement en le voyant s'énerver, tout pouvait arriver mais pas ça, je savais que tout était gâché maintenant. Calme-toi.. dis-je en soupirant légèrement en le voyant taper dans le banc, je m'approchais finalement de lui pour récupérer la feuille de papier afin de la mettre dans mon sac, je savais pas quoi lui dire, je ne savais pas si il était énervé que je ne lui ai rien dis ou simplement de savoir que j'ai un cancer, c'est sûrement les deux en fait. Je vais pas m'excuser de pas t'en avoir parler avant, j'voulais que le week-end se passe bien et savoir que ta copine va crever ça doit être le truc parfait pour tout gâcher. Dis-je en le regardant tout en pinçant ma lèvre, après tout je savais très bien que je ne pourrais pas guérir et que je ne trouverai pas une solution miracle comme j'avais pu le faire pendant mon premier cancer. J'étais fichue et maintenant tout ce que j'avais envie de lui demander c'est d'être comme avant pour que je profite sérieusement du temps qu'il me reste.

C'était quoi ce putain de bordel de merde? Leevy avait un cancer maintenant? Et depuis quand? Depuis quand elle me mentait? Je pensais que tout allait pour le mieux, que rien ni personne ne pourra nous séparer, nous voler ce petit bout de bonheur qu'on partageait. Malheureusement, nous n'étions à labri de rien. Je comprenais que Leevy n'osait pas en parler pendant ce voyage, mais est-ce qu'elle l'aurait fait par la suite? Elle me demanda de me calmer. Comment veux-tu que je me calme putain?! ayé c'est partis maintenant je lui gueulais dessus. C'était elle qui était malade et je l'engueulais presque d'avoir le cancer. Elle n'en pouvait rien, mais à la façon dont elle annonçait ça, elle donnait l'impression que c'était déjà mort d'avance, qu'elle ne devait pas se soigner. Dis-moi que tu vas quand même tout faire pour sortir de là. Il y a forcément une solution, la médecine a évoluée depuis! je passais une main sur mon front puis je décidais de finalement rentrer à l'hotel, j'avais plus envie de m'amuser et puis, je sentais que si je ne marchais pas j'allais casser quelque chose. Etre bipolaire est vraiment épuisant. Cela faisait un petit temps que je n'avais plus péter les plombs comme ça. Je marchais d'un pas énervé, aux côtés de Leevy qui ne savait pas trop où se placer. Je la coupais dès qu'elle ouvrait la bouche. Depuis quand tu es malade? Tu aurais du m'en parler plus tôt. Je suis quoi moi? Une distraction pour que tu meurs heureuse? ça c'était pas voulu, les mots étaient sortis tout seul et directement en y réfléchissant j'avais envie de me cogner la tête contre le mur.

En réalité c'est peut-être mieux qu'il soit au courant sans que j'lui dise parce qu'avant qu'il le sache je me sentais vraiment pas capable de lui dire, mais là c'était juste trop tôt, j'étais pas prête au fait qu'il soit au courant, tout ce que je demandais c'est un peu de bonheur pendant le week-end mais j'crois que c'est pas possible et que les problèmes me suivaient à la trace. Je soupirais alors doucement en voyant bien qu'il n'était pas prêt de se calmer, je ne voulais pas hausser la voix ni m'énerver contre lui, enfin j'suis pas certaine que ça dure, j'ai un aussi fort caractère que lui et j'sais très bien que quand on se dispute c'est vraiment pas doux, au contraire. C'est pas la première fois que ça m'arrive Royce, je vais pas trouver de solution miracle et ça je le sais, alors pourquoi me faire des faux espoirs hein? Dis-je d'un léger soupire finissant par le suivre quand il décida de rentrer à l'hôtel, j'allais pas le retenir j'crois que c'était beaucoup mieux en sachant qu'il était énervé et franchement c'était jamais beau à voir. Nous étions finalement dans la chambre, j'essayais de pas dire grand chose pour pas l'énerver encore plus mais une fois que j'entendis ses paroles je relevais mon regard vers lui, c'était les mots de trop là. Une distraction? Pauvre con va. Dis-je assez froidement posant alors mon regard dehors pour ensuite passer une main dans mes cheveux et ensuite le regarder à nouveau. Si je te l'ai pas dis c'est simplement parce que j'veux que tu sois heureux, j'en ai rien à foutre de mon bonheur j'sais très bien comment je vais finir, alors crois moi si j'tai rien dis c'est pour ton bien, j'ai pas envie que tu sois mal et que tu te prennes la tête, pourquoi te faire souffrir inutilement hein? Depuis que je suis rentrée dans ta vie je te donne que des problèmes alors où est le mal à vouloir cacher certaine chose pour te voir enfin bien? Dis-je en essayant de m'énerver le moins possible mais si il continuait j'allais aussi continuer et ça allait partir trop loin, j'le sentais.

C'est pas la première fois? J'ai du loupé un épisode ou? Je comprenais pas pourquoi elle me disait ça. Je pensais qu'on se disait tout. Je lui ai expliqué ma maladie que j'aurais jusqu'à la fin de mes jours et elle n'a même pas été capable de m'avouer qu'elle avait un cancer. Elle comptait vraiment le garder pour elle? Et si du jour au lendemain je la vois inanimée dans le lit? Qu'est-ce que je dois me dire? Elle ne pensait pas à ça... elle ne pensait pas à moi comme je voudrais qu'elle le fasse. Et ça, c'était problématique. Je rentrais dans la chambre en manquant de faire tomber le vase qui basculait légèrement. Ben ouais traite-moi de con si tu veux, après tout c'est comme ça que tu m'as pris pendant tout ce temps, tu m'as pris pour un con! je sais qu'on s'aimait, je sais qu'on avait beaucoup d'amour l'un envers l'autre, mais Leevy m'avait déjà manipulé une fois alors que j'étais fou d'elle, j'avais juste peur que cela se reproduise. La blondinette restait étonnement calme tandis que je gueulais comme un polonais. Oh steuplait épargne-moi ça, tu peux pas juger si je suis heureux ou pas. Arrête de faire ce qui te sembles juste pour moi, je suis assez grand merde! j'avais mal au coeur putain. Je faisais les cents pas dans la chambre, je passais les mains sur mon visage. Mon ancre putain, c'était quoi mon ancre pour me calmer maintenant? C'était Leevy normalement, mais quand on s'engueulait, cela ne fonctionnait pas. J'allais me perdre dans ma rage. Je m'avançais près de ma copine en l'attrapant par le bras et je ne sais pas pourquoi je serrais mes doigts dans sa peau. T'as intérêt à te soigner, je te l'ordonne! Leevy si tu m'aimes soigne-toi! Je te lâcherais pas, je te soutiendrais comme je peux mais bordel de merde je t'interdis de crever. je tremblais légèrement et je posais mon regard autre part en retirant ma main de son bras. J'avais du mal à respirer, je ferais mieux d'aller prendre l'air au balcon.

En réalité quand j'y pensais Royce savait pas grand chose de moi, évidemment il connaissait mon caractère, mes bons côtés comme mes mauvais mais il ne savait rien de mon histoire, après tout avant d'être avec lui j'avais une vie donc logique qu'il ne soit pas au courant que j'étais déjà passée par la case cancer et que j'avais déjà eu un gosse par exemple. Mais j'avais jamais vu l'utilité de lui dire ça, après tout à quoi ça servirait si il savait où j'étais née, où j'ai grandis ou même quel étude je fais. Il savait qui j'étais en se moment et c'est ce qui compte non? J'arquais alors un sourcil quand il m'annonça que je l'avais pris pour un con, sérieusement? Merde, tout c'que j'ai fais c'était pour son bien jamais j'aurai voulu me foutre de lui. Mais en quoi je t'ai pris pour un con? J'ai jamais rien fais contre toi, merde je suis pas la méchante de l'histoire! Dis-je en criant à mon tour cette fois-ci, c'est partieee. Je le suivais alors du regard quand il faisait ses cent pas et c'était totalement agaçant ça avait d'ailleurs le dont de m'énerver encore plus. Non t'es pas assez grand comme tu le dis, t'arrives pas à gérer les choses, t'es pas capable de te débrouiller tout seul t'as toujours besoin de quelqu'un pour te calmer! T'es pas stable Royce alors excuse moi de vouloir éviter que tu fasses une crise ou j'sais pas quoi pour qu'ensuite tu finisses en miette! Dis-je toujours autant furieuse, j'avais même plus envie d'essayer de me calmer, il essayait pas de comprendre et il voulait pas se mettre à ma place. J'essayais alors de bouger mon bras une fois qu'il l'attrapa assez fort, je pouvais pas faire ce qu'il me demande, je savais très bien ce que les médecins m'ont dis et j'savais que y'avait pas d'espoir, donc logique que j'veux pas passer mes journées dans les hôpitaux pour rien et ensuite ressembler à un pauvre légume à cause de tous les médocs qu'ils peuvent me donner. T'as pas à me donner d'ordre, c'est de moi dont il s'agit et j'pense être assez grande pour savoir c'que je fais. Et si t'es pas capable de l'accepter et bien j'peux rien faire pour toi. Dis-je en me reculant de sa personne une fois qu'il lâcha mon bras, c'était pas croyable comment j'pouvais le détester quand il me criait dessus, on aurait dit une gosse qui se fait disputer. Je soupirais alors longuement prenant alors une cigarette dans mon sac pour finalement aller sur le balcon et l'allumer. J'avais besoin de respirer et de me calmer mais j'en avais juste marre vu que je savais très bien que c'était pas près de s'arranger.