Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityArtémis & Wyatt ► You cannot go against nature, Our little lives get complicated - Page 4
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


Artémis & Wyatt ► You cannot go against nature, Our little lives get complicated

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

La douceur de ses lèvres envahissait mon être d’un doux ressenti. Une main sur sa nuque, ses cheveux de velours frôlaient ma peau telle une caresse. Soudain, l’impression de profiter d’elle submergeait mon esprit. Il n’y avait aucune réponse pour rassurer ma démarche. M’attendant à ce qu’elle me repousse, je fus surpris de constater qu’elle n’en fit rien. Rompant mon baiser, ma main lâchait prise, quittant la chaleur de sa peau. Brassant l’air, elle revenait à sa place. Les yeux ouverts, je contemplais la jeune femme avec la sensation d’avoir fait quelque chose de déplacé. Ou n’était-ce que l’impression d’être idiot ? Face à elle, aucun mot pour justifier mon acte, ne me venaient à l’esprit. Rien, pas même l’ombre d’une phrase. « On devrait trouver une auberge. Il commence à faire froid » Mes mots n’étaient qu’indifférence. Ils ne témoignaient aucunement de mon embarras vis-à-vis de la jeune femme. Changer de sujet était peut-être préférable. Prenant les devants, je quittais le champ de visions d’Artémis, préférant ne pas m’imposer plus longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si j'étais d'abord dans l'incompréhension de son geste, ma seconde préoccupation était bien ma propre perception des choses; parce que j'avais simplement peur d'apprécier ça peut-être plus que je ne l'aurais du. Et je me connaissais; lorsqu'il s'agissait de quoi que ce soit qui se rapporterait à une relation plus qu'amicale, je ne savais jamais quoi faire; quoi dire. Et je ne voulais pas faire quoi que ce soit qui puisse tout briser; néanmoins, lorsque le baiser prit fin, cette chaleur sécurisante due à sa proximité disparut également, et rien que de penser ainsi, je sais que je compliquerais la suite des choses. Ce silence qui revenait sans qu'il ne dise mot sur la situation se brisa alors, tandis qu'il reprenait la parole. « On devrait trouver une auberge. Il commence à faire froid » Je ne lis pas en lui, tout comme jamais lui ne pourrait lire en moi. Et dans cette attente de réponses à des questions que je n'osais énoncer, j'avais l'impression d'étouffer. Cette simple envie de prolonger le moment présent me dictait ce que je devais faire; je n'arriverais pas à rester réellement neutre, même si je le voulais. J'étais de ces personnes que l'on pouvait perturber assez facilement; surtout lorsqu'il s'agit d'une personne dont on peut se sentir.. proche? « Wyatt, il.. va sûrement pleuvoir et je sais que dans la région, ça dure souvent plus d'une journée, alors.. peut-être que je ferais mieux de rentrer à Cambridge. » Pourquoi soudainement cette fuite, je ne sais pas. Je n'avais pas envie de détruire la suite des évènements avec des paroles; autant abandonner plus tôt.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le fait de me sentir idiot était un fait réel. C’était bien l’une des rares fois que j’éprouvais une telle impression. Les mains dans les poches, j’entreprenais le chemin de retour. Pensant que la jeune femme me suivait, je fus surpris de l’entendre me héler. « Wyatt, il.. va sûrement pleuvoir et je sais que dans la région, ça dure souvent plus d'une journée, alors.. peut-être que je ferais mieux de rentrer à Cambridge. » Ses mots pouvaient être traduit comme un mensonge, car comment pouvait-elle savoir dans quelle région nous nous trouvions ? M’arrêtant net, je faisais subitement volte-face, sondant la jeune femme de mes yeux perçants. « Si c’est ton choix. » Marquant une pause, je ne laissais aucune émotion envahir mon visage. « Mais sache qu’il n’y a surement pas de bus, avant plusieurs heures. Ce qui signifie que tu risques d’attendre longtemps toute seule…dans cet endroit » Mes derniers mots étaient destinés à la faire réfléchir. Je ne voulais pas me montrer vexé, car ce n’était pas le cas. La réalité était bien différente. Je ne voulais pas parler de ce baiser maintenant pour la simple et bonne raison qu’une petite voix en mon fort intérieur me soufflait de ne pas le faire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Enchainer les décisions stupides. Me refuser des choses. Et en plus de ça, avoir toujours une appréhension vis à vis de ce que les autres pouvaient avoir en tête. Je suis sûrement une personne vraiment bien idiote, au fond. Mais qu'y a-t-il d'anormal pour une personne qui a grandi dans un monde d'hypocrisie et d'absence? Sûrement rien. Sûrement y'avait-il bien des choses que je ne pouvais pas comprendre plus tôt; et qui encore aujourd'hui me paraissait floues. Et parce que je manquais de ces connaissances, je faisais moi aussi mal les choses. A mes mots, il s'était retourné. Bien entendu, mon commentaire avait du être perçu comme.. une fuite, clair et nette; puisqu'au final, c'en était une. « Si c’est ton choix. Mais sache qu’il n’y a surement pas de bus, avant plusieurs heures. Ce qui signifie que tu risques d’attendre longtemps toute seule…dans cet endroit. » C'était quelque chose de bien réel, l'endroit dans lequel nous nous trouvions n'était sûrement pas des plus desservis par les transports en commun. « J'imagine bien, oui. » dis-je seulement, les yeux dans le vague. Pourquoi tout devenait si compliqué? « Et je me doute.. que je fais sûrement mal les choses, mais.. » si je ne pars pas maintenant, je n'arriverais sûrement pas à laisser les choses passer plus tard. Néanmoins, je ne terminais pas ma phrase, simplement parce que je me montrais déjà assez faible comme ça; pas besoin d'en rajouter.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« J'imagine bien, oui. » Je n’étais pas sûr que la perspective de rester seule lui plaise. « Et je me doute.. que je fais sûrement mal les choses, mais.. » De quelles choses voulaient-elle parler ? Arquant un sourcil d’incompréhension, je tentais de l’encourager à m’en dire plus : « Pourquoi tu ferais mal les choses ? » Pourquoi lui posais-je cette question ? Je ne la connaissais pas depuis une éternité, mais elle ne semblait pas être le genre de femme qui parlait facilement. « Bon, tu sais quoi, laisse tomber. » Me rapprochant d’elle, je lui prenais la main sans lui demander son avis. Mon comportement était peut-être osé et peut-être qu’elle se sentirait offusquer, mais peu m’importe. « On va se trouver une auberge ou un endroit où on peut boire un truc chaud et après promis, on prendra le premier bus pour Cambridge. » Cela était une bonne négociation, non ? Finalement, ce voyage, n’était pas si aventurier que cela. Je n’avais fait que la mettre de l’embarras. Lui tenant toujours la main, je l’intimais de me suivre en pressant le bas. Cet endroit ne me disait rien qui vaille. D’autant plus qu’il m’avait semblé apercevoir un mouvement sur la rive opposée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Pourquoi tu ferais mal les choses ? » Ce serait long, compliqué et sûrement incompréhensible pour quelqu'un qui n'est pas dans ma tête. « Laisse, laisse, je pense que je suis la seule à me comprendre sur le coup. » Intérieurement, je soupirais. C'est lassant d'être soi-même, parfois. Et particulièrement dans ce genre d'étrange ambiance ponctuée par de drôles de situations. Parfois, j'ai l'impression de cumuler un tout. « Bon, tu sais quoi, laisse tomber. » Avant que la suite des évènements n'arrive, je pensais qu'il avait lâché prise; manque de chance pour cette fois, je ne pourrais malheureusement pas m'en aller. « On va se trouver une auberge ou un endroit où on peut boire un truc chaud et après promis, on prendra le premier bus pour Cambridge. » Je levais un instant les yeux vers lui, confuse; je ne suis certes pas subtile dans le choix de mes mots, mais est-ce-qu'il avait vraiment la ferme intention de m'emmener avec lui? Il y a vraiment des facettes de certaines personnes que je me trouvais dans la totale impossibilité de comprendre. « ... Très bien. » soupirai-je avant de suivre de façon plus docile. De toute manière, ça ne sert à rien de s'étendre sur quoi que ce soit; il suffisait de suivre le cours des choses. « Comme j'imagine que tu connais le chemin du retour, je te laisse trouver. » dis-je simplement, contredisant malencontreusement mes propos précédent à propos de m'en aller.. seule. Parce que j'aurais été capable de me perdre. On m'offrait toujours la solution de facilité, au final; pourtant, je savais que la facilité finirait par me perdre.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)