Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIn three words I can sum up everything I’ve learned about life: it goes on - Feat Jeno
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In three words I can sum up everything I’ve learned about life: it goes on - Feat Jeno

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Jeno & Olympe
J'avais passé une petite heure au Housing Day Cabot avec toutes mes consoeurs, au milieu des bulles de champagne, des bulles des baignoires, de la mousse, et des délicieuses cuillères remplies de cuisine moléculaire à manger comme des petits bonbons. j'avais passé un bon moment, malgré une légère tension avec l'une d'entre elle que je ne pouvais tout simplement pas voir, du coup c'est avec une certaine impatience que j'avais vu l'heure arriver : j'avais reçu le matin même un message de Jeno me disant que j'avais oublié un truc la dernière fois que l'on s'était vu, et il m'avait proposé que l'on se voit durant le Housing Day pour me rendre mes affaires, sûrement. Je ne m'étais rendue compte de rien : j'avais mon téléphone et mon porte monnaie, mais j'avais pu perdre un rouge à lèvre, ou une crème pour les mains, que je trimballe dans mon sac, sauf que j'en avais trop pour m'en rendre compte. Du coup j'avais salué quelques roses avant de partir, pour me balader dans Harvard, avec ma combinaison rose pâle ou blanc rosé plutôt, pour être assortie à toutes les autres filles. Enfin, ma combinaison blanche, avec la marque de main sale dessus, pleine de petites bulles de nourriture éclatées. Il fallait bien que je tombe sur l'hystérique de la Cabot house, au Housing Day. La seule chose totalement originale que j'avais osé, et qui différais de mes consœurs, c'était de petites boucles d'oreilles ronde translucide argenté, histoire de casser le total look rose. Croisant des filles déguisées en cup cake, des zombies avec des lambeaux de peau s'écrasant au sol, et des costumes d'une autre époque, je fini par arriver devant la Mather House, pile à l'heure, encore une fois. Elle était carrément enlaidie, leur maison, c'était original et assez flippant : l'effet était là, il faut le dire. Observant une fille zombie carrément bien faite, j'attendais Jeno, en me demandant si j'allais le reconnaitre si il s'était assorti à tous ceux de sa maison.
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Jeno & Olympe
Clairement, le jour du Housing Day, le campus ne ressemblait plus à rien : entre les étudiants déguisés, les maisons décorées pour l'occasion, et la décoration partant totalement dans tout le sens, c'était un bazar monstre. Et cette année, la Mather House était plutôt bien transformée et foutait plutôt bien les jetons, avec tous ces mathers déguisés en zombie. Attendant Jeno devant cette maison de l'horreur justement, je le vis sortir à l'heure, ou presque, cette fois-ci. Je n'avais heureusement pas eu trop de mal à la reconnaitre, même si il était bien amoché, avec du maquillage pour se rendre mort-vivant, je n'avais eu aucun doute sur son identité : et lors de sa remarque sur ma manie de ne jamais être en retard, un petit sourire amusé étira mes lèvres : ouais, pas de doute, c'est  définitivement bien Jeno Carpenter qui se dirige vers moi. Quand on me demande d'être là, je viens toujours à l'heure, répliquais tandis qu'il s'approchait de moi pour me dire bonjour en me faisait la bise. Je fis une grimace en riant légèrement, entre son masque et son faux sang c'était tout simplement crade. Je m'essuyais en réalisais de quoi j'allais avoir l'air, avec ma tâche de main sur ma tenue et ma joue rouge maintenant, et je répondis à sa question en souriant, malgré tout : ça va, ça va. J'aime bien ces journées un peu particulières.. toi par contre, t'as une sale mine, t'es vachement bien réussi ! Il était à faire peur, j'imaginais même pas l'intérieur de leur maison. J'avais vu une fille avec une main qu'elle mangeait, ça m'avait déjà retourné l'estomac. Croisant les bras sur ma poitrine, je cherchais ses mains du regard, pour savoir ce que j'avais oublié, mais il ne portait rien. Tu voulais me rendre quelque chose, non? demandais-je, ravie qu'il ait pensé à prendre ce que j'avais oublié pour me le rendre ensuite, au lieu de le laisser abandonné, dans la rue.
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J'avais pas pensé à stopper Jeno dès qu'il s'était approché de moi, du coup.. j'avais une joue avec du faux sang : tant pis, il y a pire dans la vie, de toute façon. juste là, j'allais ressembler à une folle, et plus à une Cabot. Voir sa petite moue désolée me fit sourire intérieurement, touchée qu'il soit.. touché, en fait. Pour lui prouver que je ne lui en voulait pour ma joue maintenant taguée, je ne dis rien, enchainant en le complimentant sur son costume carrément répugnant. L'entendre dire que j'étais pas mal me fit à la fois plaisir, et à la fois réalisé que j'étais plus trop présentable. Du coup, je répondis à sa question sur le thème Cabot : Le thème c'est Very Pink Moss : journée mousse géante, avec des combis qui au contact de la mousse deviennent rose bonbon. Puis, avec de la cuisine moléculaire, des baignoires.. et des connes qui tâchent ma robe, la routine, moins flippant que le thème Mather quoi. On était pas spécialement sadique faut dire, nous, chez les roses. Quoique, l'an dernier pour Halloween on s'était bien amusées.. Lui demandant finalement ce que j'avais oublié, je le vis hésiter, avant d'être franc avec moi. Et de me surprendre carrément. Ouvrant la bouche pour répondre, je la refermais, muette pendant quelques secondes. Pour me revoir, sérieusement? J'avais envie de rire et de le serrer dans mes bras en même temps. J'en revenais pas, en fait. Je n'imaginais pas du tout qu'il soit le genre à user de stratagème pour me voir, ni qu'il me le dise en face, ni même qu'il ai réellement envie de me revoir, après la soirée qu'il avait gagné : après tout, maintenant ça voulait dire qu'on était amis, si on se revoyait. Finalement, je ris légèrement, secouant la tête : t'es dingue, tu sais que j'ai cherché pendant des heures ce que j'avais put perdre? Il avait raison : j'étais bien trop organisée pour ça, mais quand il me l'avait dit, je n'en avais pas douté une seconde. Peut-être n'avais-je pas envie d'en douter, en réalité. Il suffisait de me demander, j'aurais accepté de venir te rejoindre sans raisons, tu sais.. ajoutais-je, frottant ma joue pour virer son faux sang.
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Jeno & Olympe
Je savais qu'on avait pas les mêmes idées, pas la même vision du monde. Et même dans le Housing Day de notre maison, ça se ressentait : je n'étais pas contre leur idée, ho non : juste j'aurais eu la frousse toute la journée, à voir des gens se balader avec des lambeaux de chair humaine, et que en comparaison avec un bain de mousse.. mon choix était fait. Puis de toute façon, il n'y avait pas de choix à faire : j'étais Cabot, et fière de l'être. Je reconnaissais bien sa description de sa maison, comme la description que tout mather fier de l'être le fait : ça me fit sourire, de voir qu'il pouvait être fier comme ça de ses couleurs. Sur ce point, on se ressemblait sans se ressembler : j'étais on ne peut plus fière de mes roses -qui seront toujours mes roses dans mon coeur-, et lui était on ne peut plus fier d'appartenir aux verts. Désignant du menton un corps à moitié déchiqueté trainant sur le côté de leur maison, je répliquais, moqueuse : Pourtant lui il a pas l'air entier, mais plutôt seulement à moitié là, non...? C'était la blague pourrie du jour, mais il m'avait tendu la perche. Il m'avoua ensuite qu'il avait trouvé un prétexte pour me faire venir, ce qui m'amusa un petit peu, trouvant ça carrément flatteur, et qui me soulagea à moitié : au moins, je ne perdais pas la tête, et je n'avais rien perdu sans m'en rendre compte. Faisant une petite moue amusée, en essayant d'imiter une enfant en train de bouder je lui répondis, avec une voix fâchée : Ha bah merci c'est gentil de t'amuser à me faire peur comme ça, et de trouver ça drôle ! Décidant ensuite d'être sincère avec l'homme devant moi, je lui avouais qu'il n'aurait pas eu besoin de prétexte : je pense que pour avoir une dose de Jeno, j'avais pas besoin d'avoir oublié un truc lors de la super soirée qu'il m'avait fait passer, et il aurait suffit qu'il me propose pour que j'accepte avec entrain : je n'avais pas eu le courage de lui envoyer un message, mais j'avais aussi envie de me vider la tête, de passer un moment avec lui en m'amusant, en le découvrant, encore.  Ce n'était pas drôle pour moi, la prochaine fois, demande moi directement, ma colocataire s'énervera moins en voyant le bazar que j'ai fait dans la chambre.. m'amusais-je en le voyant sortir une cigarette. Encore et toujours ça. Bah, tant pis, tant qu'il fume pas autre chose devant moi, ça ne me dérange pas plus que ça.. Laissant un petit blanc s'installer, je fini par proposer, désignant les autres maisons, un peu plus loin : On marche un peu? Histoire de voir si on trouve un costume aussi ridicule que le miens, ou aussi effrayant que le tiens? J'ignorais ce qu'il voulait faire, mais moi je ne voulais pas rester au milieu d'un cimetière immobile sans parler. J'avais ensuite de rire encore, grâce à lui.
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Maxine avait pété un câble en voyant l'été de notre chambre en revenant de la salle de bain, ce matin. Je n'étais pas maniaque de l'ordre, contrairement à ce que je pouvais laisser penser : j'avais comme toutes les filles des trucs qui trainent partout dans la salle de bain, mais chaque chose a sa place attitrée -sisi, le bord de l'évier est une place attitré, comme le coin de mon bureau- et elle avait été surprise de me voir en train de vider mes sacs sur mon lit. Heureusement, au final, je ne perdais pas la mémoire : je n'avais rien oublié lors de la soirée, et je n'avais rien oublié non plus de cette soirée. Chaque seconde était bien gravée dans ma tête, et je donnerais cher pour revivre ça, cette inconscience. Finalement je proposais que l'on marche un peu, pour aller voir les autres maisons : je ne voulais pas rester à côté de lui sans rien dire, sans bouger. Je ne voulais pas qu'il puisse s'imaginer que j'étais quelqu'un d’inintéressant, et qu'il regrette d'avoir voulu me voir aujourd'hui, tout simplement : après tout, dans sa maison, il y avait tout ses amis, sa soeur, il se serait sûrement amusé avec eux, et je m'en serais voulu qu'il puisse s'ennuyer avec moi. Marchant avec lui, m'adaptant à son rythme de marche à la direction qu'il avait prise, j'en profitait pour passer une main dans mes cheveux afin d'y remettre un peu d'ordre. Sa question me tira un sourire, et je me stoppais, pour le laisser marcher devant , le suivant à deux pas derrière. Je ne suis pas avec toi, là ! Je te suis quelques mètres derrière, on se dirige juste vers le même endroit, non? Rattrapant mon retard sur lui, je revins à ses côtés, calant de nouveau mon pas sur le sien. Il l'avait cherché, il m'avait provoquée, et je réponds très souvent à ça. Même si j'en riais, au fond.. je ne voulais pas croiser des Eliots me connaissant avec lui. Mais je n'étais pas la seule fautive, dans ce sens là. Et toi, tu n'as pas honte de te balader avec une Cabot, fille superficielle, blindée de fric, touchant pas aux drogues? lançais-je d'une voix un peu sèche, avant de pincer mes lèvres. Je savais que c'était injuste de ma part de lui reprocher ce que j'avais entendu sur lui : soit c'était faux, soit, toute façon, c'était exactement comme pour moi avec les Mathers..
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