(Flashback!) Because you & me - Pv Spencer

Je me laissais surement aller mais là c'était plus fort que moi. Elle était si... Tss, cela ne datait pas d'hier que j'avais envie de replonger avec elle, mais le pire c'est que c'était devenu différent. Ce n'était plus qu'une question de baise, de plaisir d'un soir... Non. Avec le temps, j'avais vraiment envie d'elle. Entre le fait que mon sentiment de prendre soin d'elle s'était accru, l'attachement que je lui portait avait suivit le tempo. Je ne saurais trop l'expliquer mais c'était ainsi. Entre elle et moi c'était devenu bizarre, étrange, différent... Alors cet instant, oui j'avoue, je le savourais pleinement et j'aimais ça. Je la sentais qui à son tour se laissait aller, suivant le rythme en laissant ses mains glisser sur moi tendis que les miens en faisait tout autant sur son corps. Si ça commençait à partir en vrille? Ooooh que oui surement et j'étais loin d'être contre! J'en laissais d'ailleurs mes mains se promener jusqu'au creux de son dos avant de glisser sur sa hanche puis sa cuisse mais soudain, elle s'arrêta l'air perturbé « Romane… Je… On ne devrait peut-être pas faire ça… JE ne devrais pas faire ça. ».

Sur le coup j'en restais figé, mes yeux dansant sur son visage. J'avais envie d'elle oui mais elle avait raison... Ce n'était plus comme avant, ça ne signifiait donc plus du tout la même chose, peut-être pour elle, mais surtout pour moi. Et la petite et le come back de son ex et.. Arg! Je ne devais sans doute pas. Je me calmais donc m'écartant légèrement en baissant les yeux le souffle encore fort. Restant un court instant silencieux, je fini par répondre en me pinçant la lèvre « Je.. Tu as raison... Ce n'est sans doute pas une bonne idée... Je n'aurais pas dû faire ça excuse moi... ». Je ne voulais pas passer pour le mec en rute, celui qui voulait seulement se la taper, non. Elle était bien une des rares filles que je respectais et que jamais je ne voudrais blesser. Alors oui, peut-être était-il meilleur que je me tienne sage, car si je faisais une bêtise qui viendrait à la peiner, j'allais le regretter.

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Romane sembla surprit. En même temps, c’était normal, je venais tout simplement de le stopper dans son élan –élan auquel j’avais tout juste répondu avec fougue et envie d’ailleurs-. Haletante et déçue, je le regardais dans l’attente d’une réaction de sa part. Comme j’aurais voulu qu’il me dise de ne pas m’en faire, que tout irait bien, qu’il était là pour moi, qu’il avait envie de moi parce qu’il ressentait quelque chose de plus grand que ça pour moi… Mais j’étais stupide et ces genres de rêves finiraient bien par me détruire. Je chassai donc ces idées avant de me faire trop d’attente. « Je.. Tu as raison... Ce n'est sans doute pas une bonne idée... Je n'aurais pas dû faire ça excuse moi... » Je baissai la tête, de plus en plus déçue. Voilà. Je j’étais créé des attentes et maintenant je me décevais moi-même. Je soupirai en sentant les larmes me monter aux yeux. J’avais l’habitude d’être bien plus forte que ça, pas vrai? Alors pourquoi étais-je si faible lorsqu’il était question de Romane? Je relevai lentement la tête vers lui, hésitante. « Si je dis ça c’est parce que… » Je ne savais pas si je devais continuer. Si je devais prendre le risque de lui dire tout ça. De lui avouer que j’avais des sentiments pour lui, grandissants même et que, sans lui, il me manquait quelque chose, comme une partie de moi. J’avais espérer que ce sentiment s’amoindrirait si je le voyais moins souvent, seulement, le revoir aujourd’hui me confirmait le contraire. D’autant plus avec ce baiser que nous venions d’échanger. Je déglutis et continuai : « Parce que… j’en voudrai certainement plus après. »J’espérais qu’il comprendrait ce que je voulais dire. Je n’insinuais pas ici que j’aurais envie de coucher avec lui –bien que ce n’était pas faux- mais plutôt que je me créerais encore et encore des attentes et que j’espérerais stupidement qu’il partage mes sentiments.

Je ne savais pas trop si j'avais foiré ou pas en fait, la situation était trop bizarre, limite tendu alors qu'en temps normal tout irait bien. Il se passait là quelque chose de nouveau, d'étrange, quelque chose que j'avais du mal à gérer contrairement à mon habitude. Je voyais bien dans ces yeux que ça n'allait pas, qu'elle était triste, déçus. Je la connaissais assez pour ça mais... Pourquoi? J'veux dire, qu'est ce qui s'était passé il y a même pas 5 minutes pour qu'on en arrive là? J'avais l'impression d'avoir loupé le virage, de ne pas avoir donné la bonne réponse et pourtant au fond de moi je savais très bien ce que je ressentais, ce que je pensais. Mais... Est-ce que c'est ce que je voulais? LÀ était la question car les choses étaient devenu d'un compliqué étouffant ces derniers temps pour moi... Ses yeux débordaient de larmes mais je ne savais toujours pas si je me devais de franchir le pas ou de continuer sur la marche arrière, mais soudain, elle reprit la parole « Si je dis ça c’est parce que… », parce que..? Quoi? Je voulais qu'elle le dise... Je voulais l'entendre! « Parce que… j’en voudrai certainement plus après. »

Alors nous y étions... Elle était donc bel et bien dans le même bateau que moi, autrement dit, perdu entre amitié et amour et ça, ça rendait la chose encore plus difficile pour moi. Pourtant je la fixais, sans démordre de son regard, comme ci je voulais en cet instant percer son âme. J'hésitais encore entre me lever pour m'habiller en stoppant tout ou alors replonger pour gouter cette envie qui m'appelait depuis un temps déjà. Après tout, si je reculais maintenant, je n'allais jamais le savoir alors autant mettre les deux pieds dedans pour savoir où j'en étais réellement avec elle. Après ce petit temps de silence, mes yeux se promenèrent de nouveau sur son visage tendis que le mien venait à se rapprocher de nouveau alors que dans un soupire je répondais « Spenc'... À l'heure d'aujourd'hui, c'est moi qui en veux plus... ». Son visage si près, je sentais son souffle autant que son parfum, cette fois ci si je venais à l'embrasser de nouveau c'est parce qu'elle l'aurait choisi. Je laissais seulement ma main venir caresser doucement joue.

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Romane me fixait sans rien dire face à ce que je venais de lui avouer, ou tout le moins, d’indirectement lui avouer. J’étais stresser et je me sentais terriblement stupide, mais pour une raison qui m’échappe encore, je me sentais tout de même bien. Sa simple présence était à la fois dérangeante et réconfortante pour moi. Quelle galère. Le silence planait autour de nous et j’attendais avec impatience qu’il dise un truc ou au moins qu’il bouge et réagisse. Ce qu’il finit, bien sûr, par faire. Il se rapprocha à nouveau de moi, augmentant mon rythme cardiaque à une vitesse ahurissante et me faisant cligner rapidement des yeux. « Spenc'... À l'heure d'aujourd'hui, c'est moi qui en veux plus... » Il avait à peine soupiré ses paroles, un vent doux et chaud sur mon visage, rien de plus, mais rien de moins. Un vent plein de promesse auquel je ne devais pas m’attacher au risque d’être déçue et blessée, mais auquel je voulais m’accrocher malgré tout. J’approchai à mon tour de mon ami, fermant lentement les yeux et profitant de son souffle contre ma peau. Lentement, les larmes remplirent mes yeux et coulèrent sur mes joues, s’arrêtant d’un côté sur sa main qui me caressait doucement et se glissant jusqu’à mon menton de l’autre côté. Je fronçais les sourcils, incertaine de ce qui se passait, mais pire encore, incertaine de ce que je désirais vraiment. Cessant finalement de penser et de me poser une tonne de question, je soufflai à mon tour : « Fait le…. J’t’en pris…. Embrasse-moi. » Je me refusais à briser cette distance qui nous séparait. Je voulais que ce soit lui qui le fasse, lui qui m’embrasse et me rassure comme il l’avait toujours fait et comme, je l’espérais, il le ferait toujours…

Je voyais dans ses yeux la crainte, la lueur d'une envie semblable à la mienne dans les larmes qui commençaient à couler sur ses joues si douces. Avait-elle peur de ses sentiments? De ce qu'il allait se passer? Je ne voulais pas qu'elle est peur, je voulais la rassurer car moi même de mon côté, je ne voulais rien foirer entre nous... Je n'attendais qu'un seul mot, qu'un seul geste de sa part et c'est ce qu'elle fit enfin « Fait le…. J’t’en pris…. Embrasse-moi. » et je ne me fis pas prier... D'un coup je revins l'embrasser mais cette fois langoureusement et sans la moindre retenu. J'étais brûlant, brûlant de désir pour elle. Sa peau, ses lèvres, son odeur, soudain tout devenait plus enivrant que jamais et j'en voulais plus, tellement plus.

Me laissant aller, je posais ma main sur sa poitrine pour l'allonger avant de venir sur elle la regarder pour l'embrasser de nouveau, encore et encore, laissant mes mains glisser sur son corps, sous son haut, sur son ventre, tendis que mes lèvres se promenaient sur les siennes puis dans son cou. J'étais devenu dingue, un fou lâché à ses pulsions, lâché à son envie d'elle. Elle était en cet instant tout ce qui m'importait, le reste venait de s'envoler. Qu'est ce que je faisais là? Je laissais mon cœur faire face à son problème. Spencer... Ma Spencer...

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Je ne demandais rien de plus. Enfin, pour le moment. Je voulais simplement qu’il m’embrasse. Qu’il brise cette distance entre nous deux. Lorsque je l’intimai de le faire, il n’hésita pas un seul instant et plaqua ses lèvres contre les miennes. Sa peau était chaude, brûlante même et ce même s’il ne portait qu’une simple serviette. J’adorais le sentir ainsi près de moi. En très peu de temps, il avait commencé à laisser ses mains se balader sur mon corps et je ne disais rien contre, bien au contraire. Le sentir qui touchait ma poitrine et me forcer à m’allonger sur le lit, voilà ce que j’attendais réellement de lui je crois. J’esquissai un sourire, les yeux encore embués par les larmes avant qu’il ne m’embrasse à nouveau. Rapidement, mon haut fut remonté et ses mains allèrent librement sur mon ventre et ses lèvres dans mon cou. Mon point sensible. Je déglutis en poussant un léger gémissement à peine perceptible en plantant doucement mes ongles dans son dos nu. Je tournai ensuite légèrement la tête sur le côté, lui laissant plus ou moins consciemment l’espace dont il avait besoin pour continuer d’explorer mon cou de ses lèvres ou de sa langue. Pour ma part, j’avais laissé mes mains descendre jusqu’à sa serviette que j’avais habilement défait, l’envoyant balader plus loin dans la pièce. Il se trouvait maintenant nu face à moi pour la deuxième fois depuis qu’on se connaissait. Pourtant, cette fois j’avais l’impression que c’était bien différent. La première fois, c’était affaire d’attirance physique pure et simple. Cette fois, c’était autre chose. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine. J’éprouvais des sentiments pour lui si fort que c’était effrayant pour moi de simplement y penser. J’avais peur. Peur d’être blessé. Peur qu’il ne m’aime pas vraiment de son côté. Et pourtant…. J’espérais toujours, glissant mes mains jusqu’à ses fesses que je vins caresser du bout des doigts, créant à la surface de sa peau des frissons et la chair de poule. Je souris en me retournant pour m’emparer de ses lèvres à nouveau. Je t’aime Romane, le sais-tu?

Trop tard, la machine était lancée.. À moins qu'un connard ne vienne frapper à ma porte, plus rien ne pouvait m'arrêter, plus rien mise à part elle. Je l'embrassais, sur les lèvres, dans le cou à lui en dévoré la carotide tel un vampire. Je la laissais volontiers m'enlever cette pauvre serviette qui servait de pauvre cachette à mon cul tout en me laissant aller contre elle, me collant d'avantage à son corps, entre ses cuisses. Je la regardais sourire avant de l'embrasser de nouveau tendis que mes mains décidèrent enfin d'aller la déshabiller à son tour. Agrippant son haut, je me redressais d'un coup pour l'attirer vers moi afin de lui enlever d'une traite avant de lui dégrafer son soutiens gorge et de la re-plaquer contre mon lit pour reprendre les baisers langoureux qui se voulaient plus brûlant à chaque seconde passant. J'avais envie d'elle plus que jamais! Me laissant glisser contre son corps, l'embrassant un peu partout sur mon passage, je descendais jusqu'à son ventre pour aller m'occuper de son short qui était devenu mon ultime obstacle. Tout en laissant mes lèvres glisser sur son ventre, je déboutonnais enfin ce bout de jean pour d'un geste sec mais maitrisé, lui descendre, en même temps que ses sous vêtements, ceux ci jusqu'aux mollets.

J'étais à genoux nu devant elle qui était à présent aussi nu que moi! Là plus de retenues... Il était temps de passer aux choses sérieuses! La fixant un instant en la dévorant du regard, je me pinçais la lèvre avant de me redresser pour le glisser à nouveau contre elle, et l'enlacer tout en l'embrassant de nouveau avec plus d’ardeur encore. Je la voulais, plus que tout je la voulais et maintenant elle était mienne.

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Lorsqu’enfin Romane décida de me retirer mes vêtements, je me dis qu’il était plus que temps sinon je risquais de prendre feu tellement j’avais chaud et envie de lui. Brûlante de désir pour lui, voilà ce qui me décrivait tout simplement. Il agrippa mon haut qu’il me retira en moins de temps et je souris face à son habileté à faire les choses de façon simple, directe et habile tout en conservant une touche de sensualité. Mon soutien-gorge alla rapidement rejoindre mon tee-shirt sur le sol alors que mon corps, lui, retrouvait son lit où il me plaqua de nouveau. Je cherchais ses lèvres entre chaque geste qu’il faisait et je ne demandais rien de plus que de le sentir près de moi. J’étais donc comblé de plus en plus à chaque secondes qui passaient et me surpris à pousser un tout petit gémissement lorsqu’il glissa sur mon corps pour l’embrasser, ne laissant aucune parcelle pour contre. Mon short glissa finalement à son tour en même temps que ma petite culotte jusqu’à mes mollets et je le tirai avec mes pieds pour le faire tomber sur le sol et qu’il ne nous encombre pas. À genoux devant moi, de son corps musclé et nu Romane me regardait avec autant de désir que j’en ressentais pour lui et ça me rassura. Je n’aurais pas voulu être la seule dans cet état complètement déroutant et envoûtant à la fois. Alors qu’il venait à nouveau m’enlacer, je pris ses lèvres dans un long baiser qui me fit perdre haleine alors que je me poussais légèrement avec la hanche pour le faire basculer et ainsi me retrouver au dessus. Je me redressai juste assez pour lui permettre de regarder mon corps et être encore tout près. Je plantai mon regard dans le sien alors que ma main glissai de sa joue que je caressai un moment jusqu’à son torse où je ne m’attardai pas trop avant d’aller retrouver son membre qui se dressait là, bien droit, juste devant mon propre sexe. Je le regardai un peu, un léger sourire étirant le coin de mes lèvres avant de le prendre en main et de commencer de bon mouvements de vas-et-viens tout en m’emparant à nouveau de ses lèvres desquelles je m’ennuyais déjà. Ma main caressait son membre de façon expérimenté et langoureuse. J’augmentais tantôt le plaisir ou je le faisais plutôt languir, ralentissant la cadence et lui mordillant la lèvre. J’aimais bien jouer avec lui et j’avais bien hâte de voir comment il jouerait avec moi. Aujourd’hui, Romane était à moi, rien qu’à moi et j’aurais tant voulu que ce soit ainsi pour toujours…

Ses baisers étaient brulants de désir je le sentais bien et après tout les miens l'étaient tout autant. Je la sentais frémir autant que je me sentais monter en température et j'adorais ça. Je la laissais donc me retourner pour se placer au dessus de moi, se redressant délicatement tel un vrai serpent. Mes mains caressaient son corps, n'hésitant passer sur sa poitrine autant que son ventre et ses fesses tendis que sa main à elle, parcourais le mien, de mon visage à mon engin qui n'attendait que son invitation. C'est là qu'elle commença à le "câliner" avec entrain (pour rester poli) avec ce sourire en coin qui voulait tout dire. Elle savait prendre les devants et je n'allais pas m'en plaindre, je me contentais pour le moment que d'en profiter, me pinçant la lèvre du petit plaisir qu'elle me procurait d'entrée. Elle vint m'embrasser de nouveau, jouant clairement avec moi avec ce qu'elle me faisait subir et perso, il était temps que je passe moi aussi à l'action pour m'occuper de son cas.

La fixant dans les yeux dans un baiser langoureux, je lui attrapais soudain les hanches pour la retourner à son tour, reprenant ma place au dessus d'elle avant de l'embrasser une nouvelle fois, pour ensuite continuer mes baisers semi mordu sur le corps, glissant contre elle, descendant, encore et encore jusqu'en bas de son ventre. Je la fixais un instant le regard comme le sourire provocateur, avant (pour rester une nouvelle fois poli) de lui embrasser le sexe, suivit de langoureux coup de langue alors que mes mains restaient bien agrippées à ses cuisses. Je voulais qu'elle aussi chauffe à en devenir folle! Et je comptais bien pour cela y mettre le paquet.

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Romane semblait apprécier les caresses que je lui offrais et je ne demandais pas mieux. Il était tout ce que je désirais présentement –et depuis un bon moment en fait- et son plaisir était tout ce qui m’importait. Enfin, ça et son amour que j’aurais tant voulu obtenir. Je n’avais aucune idée à savoir s’il était amoureux de moi ou non et mon cœur me retenait de ce fait de me laisser complètement aller dans ce que nous faisions présentement. Heureusement, mon tour n’était pas encore venu et je n’avais pas à m’en faire à savoir s’il me procurait ce plaisir par amour ou par volonté de faire bien les choses comme un mec de sa trempe se doit de le faire. Je continuai donc mes caresses encore un moment avant de le voir qui me regardait tout un baiser durant. Son regard était enivrant et je me perdis dans le bleu de ses yeux alors qu’il m’attrapait par les hanches pour nous faire basculer à nouveau. À nouveau aux commandes, ses lèvres vinrent se perdre sur mon corps mêlé à de légers mordillements qui me firent sourire et gémir par moment. Au dernier instant avant d’atteindre cette zone interdite, il redressa la tête et, d’un sourire provocateur et mystérieux comme il savait en faire, me regarda un moment. Il me rendait complètement dingue et je frissonnais de plaisir avant même qu’il ne plonge pour passer aux choses sérieuses. Je ne vous fais donc pas un dessin quant à ma réaction lorsqu’enfin je pu sentir son souffle chaud contre mon intimité. Je fermai les yeux en rejetant la tête vers l’arrière et me mordis violemment la lèvre inférieure pour réprimer un gémissement avant de me cambrer de plaisir. Il n’y avait aucun doute –et ce n’est pas parce que je doutais de quelque manière que ce soit- il était doué. Plus il continuait à me chauffer, plus j’avais envie de le renverser pour m’empaler moi-même sur son membre, mais je n’étais pas vulgaire et je ne voulais en aucun cas gâcher ce moment en précipitant les choses. Je le laissai donc continuer ainsi encore un moment avant de finalement glisser ma main qui s’était retrouvée sur sa tête, emmêlant mes doigts à ses cheveux, jusqu’à sa joue et ultimement son menton pour lui relever la tête et qu’il me regarde. Là, je lui souris et l’intimai silencieusement de remonter pour m’embrasser. Accueillant ses lèvres d’un baiser langoureux et amoureux, je me glissai lentement jusqu’à son oreille où je murmurai : « Fais moi l’amour Romane… »