Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(CHARLIE) Je m’appelle Prince et je suis charmant.,on m’a dit que tu me cherchais. - Page 3
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(CHARLIE) Je m’appelle Prince et je suis charmant.,on m’a dit que tu me cherchais.

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Si tu venais de lui avouer que commençait à l’apprécier, lui semblait avoir du mal à le croire. Oui comme si tu étais incapable d’aimer quelqu’un.  Cette idée te vexas légèrement, car au fond tu n’avais pas un cœur de pierre, tu n’étais pas si méchante que ça comme fille. Tu serrais toujours sa main, incapable de la lâcher. Charlie qui c’était levé, s’agenouilla devant toi, relevant avec douceur ton menton. Tu baissas légèrement le regard ayant cette étrange impression d’être une petite fille. « Je m’enfonce pas d’abord, puis si tu me crois pas c’est ton problème. » répondis-tu en te mordillant la langue. Alors que le français déposait son pousse sur tes lèvres, tu embrassas légèrement ce dernier, comme pour prouver la véracité de tes propos. Même si tu venais d’embrasser son pouce et non ses lèvres, tu étais contente d’avoir au moins pu lui avouer ce que tu ressentais à son égard, du moins en parti.  
« Mais oui t’es l’homme de ma vie, mon prince charmant. » répondis-tu avec un grand sourire, contente de voir que l’ambiance était plus décontracté. Il était tellement craquant comme ça, avec son petit sourire charmeur accroché au visage. « Déjà j’serais super sexy en zombie. Deuxio avoir des cernes c’est une nouvelle mode, français que tu es tu devrais le savoir. Puis tu t’es franchement regardé ? En plus j’croyais que tu voulais que je dorme avec toi ? En mode collé serré » ajoutas-tu avec humour en te relevant. Puis tu grimpas sur son dos alors qu’il venait à peine de se mettre debout. « faaatiguéé, porte moi s’il te plaiiiit. » demandas-tu, alors que tu t’accrochais fermement à lui, enfuyant ton nez dans son cou. C’est juste que tu n’avais pas du tout envie de le lâcher, et que toutes les excuses étaient bonnes.  Tu le prenais pas pour ton cheval mais presque.  Avec son pull dix fois trop grand, et pied nu tu avais une drôle de dégaine, tu ressemblais un peu à une sauvage. « D’ailleurs on mange quoi ? parce que tes œufs ils risquent pas d’avoir une drôle de tronche ? » demandas-tu en fronçant les sourcils, ne le lâchant pas d’un pouce. En vrai tu n’étais pas si lourde que ça, puis si les abdos que tu avais vu un peu plutôt était vrai et pas changer fake à la toshop il était carrément capable de te porter.
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« Je m’enfonce pas d’abord, puis si tu me crois pas c’est ton problème. » Je m’efforçais de la croire, mais je ne savais plus ce qui se trouvait être juste ou bien faux. A force de jouer avec l'ironie, ce devait forcément arriver. J'espérai que ce soit des paroles sincères, ce qui me permettrait d'ouvrir peu à peu les portes de son coeur. J'avais finalement peut être un peu d'espoir. Rhaa ! En seulement quelques mots je me prenais la tête, passant par une mini déprime pour m'arrêter à ma bonne humeur habituelle. Plus lunatique, tu meurs. Arrête de réfléchir Charlie. Avec une femme ça sert à rien, y'a rien à comprendre d'elles. Laisse toi couler. Tu m'as pourtant dis l'inverse la dernière fois. T'es pas un peu bizarre comme fille ? Dis-je en haussant un sourcil. Pas bizarre, compliqué. « Mais oui t’es l’homme de ma vie, mon prince charmant. » J'aime quand elle me parle comme ça, même si c'est ironique et loin d'être pensé. C'est vraiment bon de l'entendre de temps en temps. Répète-le encore une fois. Dis-je sans hésiter une seule seconde tandis que la jeune femme embrassait mon pouce qui ne cessait de câliner ses lèvres. Argh. J'ai le coeur qui se serre soudainement en l'a trouvant vraiment mignonne. Sans parler de cette fameuse et terrible envie de l'embrasser qui revenait soudainement. Je posais alors mon front sur le sien, en pénétrant toujours son regard. Je voulais qu'elle sente les vibrations que je ressentais entre nous, et tout simplement la toucher. La sentir contre moi. « Déjà j’serais super sexy en zombie. Deuxio avoir des cernes c’est une nouvelle mode, français que tu es tu devrais le savoir. Puis tu t’es franchement regardé ? En plus j’croyais que tu voulais que je dorme avec toi ? En mode collé serré » J'avais beau regarder Walking Dead plusieurs fois, mais aucun zombie ne m'avait paru potable. Même jouer en jeux vidéos, c'est même pire, ils sont vraiment dégueulasse, alors l'adjectif sexy associer aux zombies.. Même si c'est Brynn.  Mais j'avais tilté sur ses derniers mots. Quand je vous dis qu'il faut prêcher le faux pour obtenir le vrai. Même si c'était sur un ton plaisantin. Tu veux dormir à la maison ? Vraiment ? Et tu veux de l'aide pour te déshabiller aussi ? Je suis très doué pour dégrafer les soutiens gorges tu sais.. Plaisantais-je à mon tour tout en haussant les épaules. « D’ailleurs on mange quoi ? parce que tes œufs ils risquent pas d’avoir une drôle de tronche ? » Me relevant alors en sentant la faim me tirailler la jeune femme m'agrippais alors le dos créant en moi la surprise. C'était pas au programme ça. Je feintais de tomber, avant de me relever et d'attraper ses deux jambes pour une meilleure stabilité. Je marchais alors jusqu'au salon en la posant d'abord sur la canapé avant de m'avachir sur elle de tout mon long. Repas chinois ce soir. J'espère que t'aime les nems.
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« J’ai le droit d’avoir changé d’avis non ? On vit bien dans un pays démocratique que je sache. » dis-tu en levant les yeux au ciel, puis comme le disait si bien le dicton il n’y a que les cons qui ne change pas d’avis, ces douces paroles philosophiques valait aussi pour ta petite personne.  « Que je répète encore une fois quoi ? Que t’es mon prince charmant et que t’ai l’homme de ma vie ? » hasardas-tu faisant semblant de ne pas comprendre ce qu’il te demandait. Imitant la blonde quoi. Tu jouas quand même le jeu, parce que tu étais sympa comme fille et que tu ne voulais pas casser tout son monde de bisounours dans lequel il vivait. « Oui Charlie tu es l’homme de ma vie, j’pourrais pas vivre sans toi. Regarde tu t’éloignes et j’suis déjà en train d’asphyxier. » ajoutas-tu de bonne humeur.  Lui aussi avait les yeux qui pétillaient. Il avait des gestes si doux et tendre  à ton égard que tu t’en voulais de le faire autant souffrir, tu étais définitivement une mauvaise personne. Son front contre le tien ne faisait que renforcer cette idée. « Si ton lit est aussi confortable que ton sol je ne vois pas pourquoi je ne resterais pas dormir…bien évidemment j’ai ton lit et toi le canapé. Puis pour le soutien-gorge, je n’oublierais pas de t’appeler si j’ai besoin d’aide….mais avec mes vingt-cinq années d’expertise je pense que j’arriverais à me débrouiller toute seule…à moins que je devienne paralysé de mes mains. »  dis-tu taquine, le suivant parfaitement dans son humour douteux. Le pire c’est que t’étais sérieuse, tu comptais bien dormir ici. Enfin pas parce que tu l’aimes bien ou un truc du genre, c’est pour des recherches scientifiques. C’est lorsque l’animal est dans son état naturel qu’on en apprend le plus, genre est ce qu’il ronfle ? Se lave-t-il réellement les dents ? Se lave-t-il vraiment les mains après être allé au wc ? Oui oui c’était des questions très importantes auxquelles tu avais absolument besoin de réponses. D’ailleurs le jeune homme te posa sur le canapé, avant de s’avachir sur toi comme un gros pacha. Ce mec à clairement aucun savoir vivre, faut tout lui apprendre. Tu fis semblant de le pousser, genre comme si avec ta force de Barbie tu pouvais le jerter, fallait pas rêver. Puis tu n’en avais pas vraiment envie, c’était plutôt confortable comme position, surtout que tu pouvais le mater discrétos et ça c'était le plus important. « Je sais pas, je crois que j’aime bien ça, je sais plus, j’en mange pas tous les quatre matins….d’ailleurs tu connais la blague du mec qui mangeait un nem ? » demandas-tu en lui passant une main dans ses cheveux. Ils étaient tout doux, soyeux. Oui oui il allait découvrir en exclusivité la Brynn blagueuse, celle qui a un humour pourri, et qui fait des blagues pas drôles. « J’te préviens tu vas être ébloui par mon humour. » ajoutas-tu pour le préparer mentalement. D'habitude tu n'es pas comme ça avec lui, ni même aucun homme. Tu te dis juste que tu as déjà tellement été ridicule avec lui, qu'il ne peut pas prendre plus peur, alors autant y aller à fond non?
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« J’ai le droit d’avoir changé d’avis non ? On vit bien dans un pays démocratique que je sache. » A ce rythme là, ce n'est même plus changer d'avis, non c'est carrément être lunatique. Ou alors c'est du à un mauvais jugement. D'ailleurs, il était loin le temps ou la jolie blonde tournait les talons ou m'ignorais tout simplement. J'avais franchit un pas, un petit pas qui m'avait conduit à une once de confiance envers moi. Quelle femme au monde attendrait le mec -en retard de plusieurs heures- dans la pénombre et un froid glacial ? Je suis sûr qu'elle m'aime plus que bien. Elle m'adore, c'est certain. « Oui Charlie tu es l’homme de ma vie, j’pourrais pas vivre sans toi. Regarde tu t’éloignes et j’suis déjà en train d’asphyxier. » Même prononcé sur le ton de l'ironie, j'arrivais tout de même à faire d'elle se que je voulais. J'arrivais même à lui faire dire tout et n'importe quoi, et à en juger par ses attraits de visage, ça ne semblait pas l'a déranger. « Quelle douce mélodie. J'aimerai que tu me le répète plus souvent. Et je savais qu'un jour tu craquerai pour mon charme légendaire. » Dis-je en riant, me moquant de moi-même. Brynn semblait bien décidé au fur et à mesure de notre conversation à rester dormir.. dans mon lit ? Et moi dans le canapé ? Je préférai largement prendre le lit de Calypso que de dormir sur ce qui nous servait de canapé. Aucun confort. Même avec la fatigue qui me tourmentait, je savais d'avance que je passerai une nuit de plus catastrophique. En résumé, hors de question que je dorme ailleurs que dans mon lit. « Je dors dans mon lit Briny. Tu pourra me pousser, me mettre des baffes, des croches-pattes, j'en ai strictement rien à foutre. Je ne dors nulle part ailleurs. Donc deux possibilités s'offrent à toi ; soit tu dors sur le canapé, soit dans le lit d'une des colocataire, ou soit dans le mien mais je te préviens. Aucun lit n'est plus confortable et moelleux que le mien. » Je vendais plutôt bien le produit, non ? On se croirait presque dans un télé shopping. Bref. Allongé sur le canapé, je sentais la petite force de la jeune femme contre mon dos, tandis que je ne bougeais pas d'un pouce. « Je sais pas, je crois que j’aime bien ça, je sais plus, j’en mange pas tous les quatre matins….d’ailleurs tu connais la blague du mec qui mangeait un nem ? » J'avais bien connu dans chose dans ma courte vie, mais jamais encore une blague de la Cabot. Je secouais alors la tête négativement en m'attendant au pire, même si j'avais un petit sourire. La sonnerie retentit alors, annonçant que notre repas était enfin là. Je faisais alors signe à Briny d'attendre sa réponse, pour aller payer le livreur et récupérer le repas tant attendu. J'allumais alors la télévision, posait la nourriture devant nous sur une petite table en verre, et en posant a bière que j'avais emmener avec moi. La belle vie. « Tu veux que je te fasse manger ? Je suis sûr que tu rêve de ça depuis qu'on s'est rencontré. » Dis-je en souriant tandis que je prenais précieusement une petite boite blanche avec deux baguettes, prêt à la faire manger.
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Son charme légendaire? Ouai là tu as un peu des doutes sur la question. Mais bon s'il veux croire qu'il est le plus beau du monde dans son petit monde merveilleux de bisounours tu ne peux pas lui enlever ça. Le pauvre c'est qu'en moment il perd toute la confiance qu'il a en lui même, on dirait un bébé otarie perdu sur la banquise à la recherche de sa môman. Puis il est hors de question que tu lui répètes ça encore une fois, t'es pas un perroquet, puis s'il est sourd il a cas s'acheter un appareil auditif. D'ailleurs il ne semble pas non plus très emballé par ta vision des choses. Tu as cette impression étrange de revivre vos chamailleries sur la plage, quelques mois plutôt. Vous vous étiez mis dans des états pas possible juste pour une serviette, qui au final n'a été d'aucunes utilités. "Mais j'veux pas dormir sur le canapé moi, il est pas confortable en plus. J'suis une princesse moi, j'ai besoin d'un certain confort, donc je veux ton lit. Comme tu viens de le souligner il a l'air moelleux et confortable, donc pour moi. Puis si j'dois le partager avec toi c'est okay, tant que tu te mets pas à ronfler comme un cochon ou pire que tu fasses pipi dans ta culotte comme un gamin de trois ans. En même temps je pourrais comprendre, normal que tu sois déstabilisé avec une aussi belle fille que moi dans ton lit, tu dois pas avoir l'habitude. " répliques-tu avec un graaaand sourire aux lèvres définitivement contagieux. Tu avais très envie de dormir avec lui, mais avec tout ce qui c'était passé tu ne sais pas si c'est une bonne idée. Peut-être que dormir les oreillers l'un contre l'autre rendrait cette situation moins bizarre? Du moins c'est ce que tu essayes de te convaincre. "Promis je me moquerais pas de ton pyjama avec des petites licornes." Bon là tu te moquais ouvertement de sa figure, mais c'est une seconde nature chez toi, tu ne peux pas t'en empêcher.
Alors que tu allais lui raconter l'histoire super marrante du chinois qui mange des nems , Charlie se leva pour aller chercher votre nourriture qui vous attendait bien sagement devant la porte. Triste, tu enlevas ta main de ses cheveux. Pendant qu'il payait, tu repris une position plus confortable, t'asseyant dans un coin du canapé. Ouai tu es sympa comme fille, tu lui laisses une petite place.
Le voilà qu'il revient avec un sac en plastique. Une odeur délicieuse embauma rapidement l'appartement, et ton ventre se mit à gargouiller. Tu avais trooop faim, tu pouvais limite baver là. Puis voilà que monsieur voulait te nourrir, il t'avait pris pour quoi un bébé ?  Le pire c'est qu'il avait définitivement l'air sérieux. "Tu me prends pour un manchot ou quoi?" demandes-tu en réprimant l'envie de lever les yeux aux ciels, n'importe quoi.  Tu voyais trèès bien ou il voulait en venir le petit. "J'accepte que si tu me promets que tu ne feras tomber aucun nem dans mon décolleté et que tu te proposeras pas gentiment pour aller le chercher okay?Puis enfaite nan je sais pas ....t'es surement déjà pas capable de te nourrir tout seul so si tu dois me nourrir en plus autant que je meurs de faim directe." ouai tu étais pas débile comme fille, mieux valait assurer tes arrières.
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J'avais développé une vraie technique pour manger avec des baguettes. A force de manger des repas chinois, j'avais fini par prendre le pli. Le traiteur devait d'ailleurs connaître l'adresse par coeur à cause de nos multiples appels. La flemme des filles et la nullité des garçons avaient conduit à un bon nombre de repas calorique et pas vraiment sain pour la santé mas c'est tellement délicieux que je ne pouvais dire non à ce genre de chose. J'espérai d'ailleurs que ma futur femme sache un minimum cuisiner, sinon j'allais être malheureux. J'entretenais un lien spéciale avec la nourriture ; j'adorai manger. Bien sûr, le sport que je pratiquais à côté me permettait de garder mon poids stable. Heureusement. Le temps que la jeune femme se décide à dormir ou non dans mon lit, j'avais déjà mangé la bouchée que je comptais lui donner. Désolé, mais quand un homme à faim, il a véritablement faim. D'ailleurs au premier nem mangé, -me donnant un air sexy avec des joues d'hamster- je sentais le goût épicé et à la fois doux qui me fit taire immédiatement. Oh mon dieu, que j'aime ça. Bruny. Tu pars dans un monologue dans le seul but de te justifier mais je vais faire comme si je n'avais rien entendu et je vais le prêter mon lit avec moi dedans charitablement. D'ailleurs, je te confirai que je m'y rendrais bien pour manger et regarder la télévision au chaud, quand dis-tu ? Dis-je une fois ma bouche vide. J'avais ignoré le reste de ses mots pour me concentrer sur le plus important. J'aimais bien, quand elle essayait de se justifier. C'était amusant, surtout les arguments employés. J'aimerai te montrer mon pyjama mais comment te le dire.. je dors toujours nue, j'espère que c'est quelque chose qui ne te dérange pas.. Dis-je en l'a regardant tout à coup plus intensément, un sourire présent aux coins des lèvres. Du moins mon intérêt ne dura pas plus de trois secondes, puisque mes yeux se reposèrent sur les nems présents dans ma petite boîte blanche en carton. "Tu me prends pour un manchot ou quoi? J'accepte que si tu me promets que tu ne feras tomber aucun nem dans mon décolleté et que tu te proposeras pas gentiment pour aller le chercher okay?Puis enfaite nan je sais pas ....t'es surement déjà pas capable de te nourrir tout seul so si tu dois me nourrir en plus autant que je meurs de faim directe." Pour une fois que mon esprit n'était pas du tout corrompu, c'est la jeune femme qui éveilla plusieurs possibilités pour rendre cette nuit beaucoup plus vivante et sexy. J'hôchais alors la tête. Ouvre la bouche au lieu de ruminer. Dis-je en reprenant un morceau pour lui apporter jusqu'à ses lèvres. Ma petite box en carton suivant le morceau de nem que je lui offrait afin de ne pas en mettre partout. Me rapprochant dans un même temps d'elle, j’appréciais le moment que je partageais avec elle. Et cette blague ? Tu me l'as fini ? Peut être qu'à force de rire je pourrai m'étouffer. Promet moi juste d'essayer de me sauver en posant tes lèvres sur les miennes. Dis-je en lui offrant un léger clin d'oeil de séducteur.
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Bon c’est vrai que dans un sens il n’avait pas complètement tort, tu avais une forte tendance à tout vouloir justifier. Tu tentais vainement de l’embrouiller avec des paroles qui partaient dans tous les sens, mais qui ont fond n’avait aucun sens, et ne voulaient rien dire. De toute façon tu te demandais bien pourquoi tu t’entêtais autant, puisqu’au final tu allais dormir avec lui.  Tu ne savais pas vraiment si tu devais te réjouir de l’idée ou au contraire partir en courant. C’était très mitigé tout ça. Si ça se trouvait c’était le genre de mec à avoir des pets foireux pendant qu’il dort, alors tu prenais carrément un risque en posant ta tête contre la sienne. Tu voulais ne pas te retrouver couverte de caca pendant la nuit. Beerk, tu effaças rapidement cette image de ta tête, parce que là si tu y repensais tu allais gerber. Pense à des petits poneys qui courent dans une prairie, ouai c’était dix fois mieux comme image, beaucoup moins traumatisante.  « Charitablement ? Mwai, dis tout de suite que tu n’as pas le choix. C’est pas ma faute si tu ne peux pas résister à mes charmes. Puis ouai ça peut-être cool de manger là-bas. J’aurais au moins un aperçu de là où je dormirais. »  concedas-tu en penchant la tête pensive. Oui parce que tu voulais absolument dormir dans son lit, mais tu n’avais pas encore vu la tronche du dit lit. Breef. « C’est moche de voler les répliques des autres. Comme ça on dormira tous les deux à poil, puis après la prochaine étape c’est de former un club de naturiste tu vois ? » réponds-tu en levant les yeux au ciel. Oui oui parce que tu lui avais déjà dit que tu dormais à poil un peu plutôt dans la soirée, l’épisode de la cuisine, mais comme à son habitude monsieur n’écoutait que ce qu’il voulait. Les hommes sont vraiment tous les mêmes, aucune imagination. « Je rumine pas d’abord, je pose mes conditions c’est différent. » boudas-tu affichant une petite moue trop mignonne. Mais bon tu l’écoutas quand même , parce que tu avais déjà eu l’occasion de rencontrer le Charlie autoritaire sur la plage, et c’était pas vraiment le plus sympa de tous. Alors tu ouvris ta petite bouche, attendant que le rouge veuille bien mettre le nem dans celle-ci. Tu te rapprochas de lui à ton tour, diminuant encore un peu l’espace qui vous séparait l’un de l’autre. Mais bon vu qu’il avançait à une vitesse d’escargot, tu avança carrément ta bouche vers les baguettes. Ouai tu avais faim toi. Tu mâchas plusieurs fois, ne sachant pas vraiment si tu aimais ça. C’était vachement épicé comme truc, des larmes perlaient dans le coin de tes yeux. « Maintenant si on s’embrasse on puera tous les deux de la bouche, ça sera hyper romantique. » dis-tu en rigolant. Bref dans tout ça tu avais oublié de lui raconter cette blague ; qui était pas si drôle que ça en plus. « Maybe, mais la seule expérience de bouche à bouche que j’ai c’est quand je regardais alerte à malibu alors je sais pas si je serais capable de te sauver. » True, parce que les seins de Pamela Anderson cachait souvent toute la manœuvre, vu la taille de ces derniers.  « Tu vois c’est un chinois, il est comme ça dans la rue à manger des nems  tranquille & tout. Puis là il y a un mec qui arrive et qui lui vole ses nems.  Alors le chinois est dégouté, il court après le mec et il fait…..saaay my naaame sayy my naame ♪♫ (destiny child) » racontes-tu. Ouai c’est pourri mais voilà. Tu te caches même la tête derrière un coussin tellement tu as honte. T'as pas la voix de beyonce mais t'espère qu'il a au moins compris la référence quoi, histoire que tu te prennes pas un vent.
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Voyant que mon idée semblait plaire à la jeune femme, je commençais à me lever en prenant le plus possible de boîte de nourriture afin de ne pas faire plusieurs aller et retour. Une fois que j'allais être calé, je ne comptais plus bouger au chaud, après de ma petit cabot. Ton charme fou ? Ne te prend pas pour Pamela Anderson. Au moins y'a de quoi regarder chez elle. Dis-je en regardant un instant à l'endroit où je devais voir une poitrine généreuse et qu'au lieu de cela je n'avais qu'une planche à pain. Bien sûr je l'a taquinais, j'avais déjà eu la chance de pouvoir la voir sans mon gros pull dans le-quelle elle semblait se noyer. En plus d'être riche, Brynn était particulièrement jolie. A croire que certaines personnes avaient tout pour eux. Quel injustice. Alors viens. Murmurais-je, l'attention complètement accaparé par la nourriture que je ne voulais pas faire tomber. C'était notre seule chance de survit pour ce soir, autant y prendre soin. Continuant ma route jusqu’à ma chambre toujours en désordre. Je fermais mon armoire, virant de mon pied quelques vêtements afin de les cacher en dessous de mon lit et y déposant alors mes petites boîtes blanches à la place. J'allumais alors ma petite télé en posant la télécommande sur mon lit, avant de replacer la seul grosse et grande couverture blanche que je possédais. On risquait pas d'avoir froid, c'est moi qui vous le dis. Pas de risque. Par la suite, je pris un large plateau ressemblant à la planche du fer à repasser pour m'en servir de table que je posais sur mon lit avant d'y installé par dessus la nourriture. Voila, c'était enfin prêt à accueillir Brynn. En seulement peu de tempq j'avais réussis à créer un endroit cosy.. ou presque si on faisait abstraction de mes slips sales. Je ne te vole rien du tout puisque pour ma part c'est vrai. Je dors vraiment nu, j'ai généralement trop chaud la nuit.. Et crois moi que si tu te met aussi dans cette tenue, on risque pas de dormir.. de la nuit. Un sourire narquois s'installa sur mon visage en prononçant ses quelques mots plutôt suggestifs. M'étirant quelques secondes, je finissais par enlever mon tee-shirt ainsi que mon pantalon histoire de me sentir beaucoup plus à l'aise. Après tout j'étais chez moi et si cette nuit je ne pouvais pas dormir à poil, je n'allais tout de même pas me priver de me mettre juste en boxer. Je me plongeais par la suite sous ma grosse couverture en l'ouvrant vers ma dulcinée. Enlève moi c'te pull en même temps que tes conditions et viens me rejoindre. Il fait bon la dessous. J'essayais comme je pouvais de lui faire envie, bien que j'avais un doute la dessus pour le coup. On puera tout les deux de la bouche si on s'embrasse ? Briny, tu m'avais caché cette envie soudaine. Mes lèvres sont tiennent quand tu le souhaites. Plaisantais-je en lui envoyant un clin d'oeil. J'aimais la charrier, elle de même, et c'est ce qui faisait notre force d'une certaine manière. Pas besoin de véritable bouche à bouche, embrasse moi, ça va tout de suite me réveiller crois-moi. Tu veux une démo maintenant ? Feignant de m'allonger de tout mon long sur le lit, je commençais à fermer les yeux en mouvant mes lèvres vers le haut, attendant le baiser de ma princesse. Mais cette mascarade ne dura pas très longtemps puis qu’à l'annonce de la chute de sa blague, je tombais dans un fou rire incontrôlable. Ce n'était pas pour lui faire plaisir, no parce qu’elle était réellement drôle, non, elle était tellement à l'image même de Brynn que j'avais pas pu me retenir. Je me relevais alors de mes couvertures une fois calmé pour attraper le coussin qu'elle tenait dans ses mains. L'envoyant sur mon lit, je posais alors mes mains sur ses deux joues en souriant gaiement. Tu devais monter un onewomen show sans rire. J'attrapais par la suite son pull pour l'attirer petit à petit vers moi et ainsi vers le lit.
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Sérieux ? Cette pouffe de Pamela Anderson avec deux obus siliconés était son genre de fille ? Tu lui lanças un petit regard mauvais. Ce n’était pas ta faute à toi si madame nature des pubs tampax t’avait mis des citrons à la place de tes seins. Pourtant tu avais prié, prié, prié, mais tu n’avais jamais reçu des melons. Dire qu’au lycée tu devais te rembourrer les soutifs avec tes chaussettes pour te donner un semblant de femme. « Bah écoute si tu préfères être avec une fille toute refaite qui ne sait pas faire la différence entre la taille de ses seins et de son cul, je ne peux plus rien faire pour toi. » répondis-tu carrément vexé. Tu regardas rapidement tes petits seins tout moches. Surtout que dans ce pull si large, le peu de forme que tu possédais était complètement noyées et invisibles. Voilà bravo, maintenant tu étais complexé, ce mec savait définitivement faire des compliments aux femmes. « Je te suis. »  Tu te levas, le laissant tout porter, parce que ouai tu étais une princesse et que toi tu ne portais pas les trucs. D’ailleurs il était trop mignon à tenir toutes les boites comme si c’était la chose la plus importante au monde. Il était tellement minutieux et prévoyant à les poser sur son lit, et tout organiser pour que vous soyez bien installés. Oui c’était définitivement charmant. Tu étais tellement préoccupé à admirer son visage, que tu ne prêtas pas attention au linge sale qui traînait sur le sol. De toute façon pour t’être cassé la gueule un peu plutôt, et pour l’avoir vu de très près tu savais que ce n’était pas forcément l’endroit le plus propre du monde. Alors oui tu faisais un effort pour en faire abstraction. « J’trouve que tu me dis beaucoup trop ce que je dois faire. » soulignas-tu avec un regard amusé. Ce n’est pas comme si tu comptais rester debout à le regarder s’empiffrer hein. Puis ce qui t’énervait encore plus, c’était de faire ce qu’il te demandait, au fond tu savais que ça lui faisait plaisir et ça t’agaçait.  Du coup en signe de rébellion tu voulais lui balancer son pull sur son si beau visage. Enfin tu voulais, parce que celui-ci allait à tous les coups tomber mollement sur le lit ou rencontrer le mur mais pas son visage. Tant pis tu n’allais pas l’enlever du tout, et crever de chaud comme un chameau.  « Mais oui dans la vie je rêve que d’une seule chose de t’embrasser. De partager ma salive avec toi. Puis comme ça la prochaine fois qu’on se verra on aura un truc à se raconter. » dis-tu tout aussi sarcastique qu’il était. D’accord, tu devais bien admettre que tu en mourrais d’envie, mais voilà. Après il allait croire qu’à tes yeux il était quelqu’un d’important. Puis voilà qu’il partait tout seul dans son délire. Sérieux, qu’est ce que tu allais bien faire de lui ? Le rouge s’allongea sur le lit attendant que tu l’embrasses, mais oui continu de rêver. « J’te signale que c’est la princesse généralement qui attend que son prince charmant l’embrasse, pas l’inverse…enfin je dis ça je dis rien. » dis-tu en faisant référence au conte de fée. Il n’empêche qu’il était plutôt drôle à voir, à imiter le mort, presque séduisant. Presque.  En tout cas tu fus heureuse que ta blague fasse mouche. Pendant quelques secondes tu avais eu peur de te taper le vent de ta vie. Heureusement que Charlie était bon public. Il semblait tout simplement content que tu ais partagé cela avec lui. Tu l’observais les yeux pétillants, ayant retrouvé toute ta bonne humeur. La pique concernant pamela anderson était déjà bien loin dans ton esprit. Tu appréciais donc encore plus le contact de ses mains sur ta joue. La chaleur de sa peau contre la tienne. Tu avais envie de l’embrasser. Tu hésitais, comme toujours. Il tira sur son pull, te tirant jusqu’à lui par la même occasion. Tu te glissas sous les draps à ses côtés. Tes fines jambes glissèrent sur le matelas, puis le reste de ton corps, trouvant refuge sous les couettes. Tu te lovas naturellement vers lui. Pas pour lui faire plaisir, mais parce que tu le désirais. « Merci de faire tout ça pour moi. » dis-tu timidement, en lui déposant un baiser sur la joue. Oui oui tu avais fait un pas dans sa direction là.
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Ma petite vanne mignonnette sur sa poitrine semblait la toucher d'une manière dont je m'y attendais pas. Comment j'avais le l'avais compris ? J'ai trois sœurs, je sais donc que quand une femme répond de manière blasé en employant le mot "refaite" suivie d'une petite moue ressemblant à de la jalousie, ce ne pouvait être qu'une femme vexée. Le pire dans tout cas, c'est que j'avais tout simplement voulu plaisanter et que malheureusement, ça me retombait peu à peu dessus. Je savais comment Brynn était faite et d'après ce que j'avais pu apercevoir, je savais qu'elle était mignonne. Très mignonne. À la limite du sexy. Sa poitrine était tout bonnement parfaite pour l'avoir vu précédemment pendant les vacances et j'étais assez désireux d'elle pour me contenter de ce qu'elle avait. Une poitrine énorme était bien évidemment un fantasme d'homme mais rien de plus. Les relations qu'on ne vit qu'une fois, qu'on ressent qu'une fois et surtout forte étaient bien supérieur et plus motivant qu'un critère physique. Mais bien que mon raisonnement soit déjà tout formaté dans mon esprit, je ne comptais pas le dire à la jeune femme. J'aimais bien la voir bouder de temps en temps, découvrant une autre facette de sa personnalité tout aussi mignonne et robuste. Le problème à vouloir apprendre à la connaître c'est que j'avais fini par me prendre à mon propre piège en commençant à la désirer autrement. D'une manière encore troublante. On te croirai jalouse, je me trompe ? Pour la taille de son derrière j'étais bien d'accord, y'en avait beaucoup trop mais on atteignait tout de même pas Nicki Minaj. Je sais même pas comment elle fait pour s'asseoir. Prend-elle deux places ? Assit sur le rebord de mon lit, je souriais à sa remarque. Je lui donnais trop d'ordre ? Je n'en avais pas conscience, du moins pas de tout. Son pull, j'aurai voulu lui enlever de mes propres mains. Et puis, mine de rien, elle répondait de mes ordres en les exécutant. Je pouvais être fier de moi, j'arrivais presque à tout faire avec elle. Quoi ? Tu veux me donner des ordres à ton tour ? Je t'avoue que j'ai une petite préférence pour le "embrasse moi sauvagement" et pour le "j'aimerai que tu m'aides à prendre une douche, tu viens ?". J'aime ce genre d'ordre. Dis-je tout sourire tandis que je retournais petit à petit sous les draps en me lovant aux couvertures. Quel plaisir de sentir une douche chaleur contre ma peau nu et froide. Si tu m'embrasse, crois moi que la prochaine fois je te laisserai pas le temps de parler.. Ou à la limite crier ? Rha, j'étais vache pour le coup, mais j'aimais la chambrer. Reprenant ma box dans les mains, je continuais mon repas, presque terminé pour le coup. Je profitais donc de chaque bouchée en savourant un maximum le goût si appétissant de ses nems. Faut un peu de renouveau dans les Disney. Pourquoi c'est pas la princesse qui viendrait sauver le prince pour une fois ? C'est toujours notre boulot, ça suffit. Dis-je en attrapant une petite serviette en papier pour m'essuyer les lèvres. Les yeux plantés sur la télé, je sentais peu à peu la présence chaleureuse d'un autre corps, celui de Brynn. Finalement, elle avait enfin décidé de me rejoindre. Mais le plus surprenant, c'était qu'elle venait doucement se blottir contre moi en me remerciant. N'étant pas habitué à ce genre de comportement, j'étais resté plusieurs secondes en suspend en n'osant plus bouger. J'étais gêné. Oui, c'était le bon mot. Je ne savais plus quoi faire sur le moment. Je venais de me donner un peu de mal pur qu'elle soit bien installé et je ne m'attendais à aucun remerciement de sa part. Mange au lieu de raconter des conneries. Dis-je en cherchant par tout les moyens de me trouver une porte de sortie à ce comportement qui me ressemblait pas. Mais rapidement, je me tournais vers elle en l'embrassant sur la tempe l'air de rien, avant de reprendre mon occupation. J'étais content pourtant à l'intérieur. Très content. J'essayais d'ailleurs de cacher comme je le pouvais mon large sourire, mais je devais avouer que c'était pas une mince affaire. Comme t'es une fille, tu connaîtrais pas un endroit pour acheter un body ou un truc dans le genre pour les bébés ? C'est pas que je pense à notre futur enfant, mais faut commencer à en prler. Dis-je en plaisantant. Je ne pouvais pas encore lui parler du bébé de ma soeur, mais fallait vraiment que je trouve un magasin. Je voulais l'aider dans cette nouvelle étape financièrement comme moralement. Je devenais presque responsable. Quel choc.
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