Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(CHARLIE) Je m’appelle Prince et je suis charmant.,on m’a dit que tu me cherchais. - Page 2
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(CHARLIE) Je m’appelle Prince et je suis charmant.,on m’a dit que tu me cherchais.

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Charlie, le seul homme que tu désires le plus dans cette pièce, et pourtant c'est le seul homme pour lequel tu t’obstines à ne rien lâcher. Tu ne sais pas pourquoi il t’attire autant, pourquoi il reste toujours dans ton esprit. Quand il est avec toi, tu te sens juste happé vers lui. C'est physique tu as besoin de le sentir. Même quand tu vas au wc tu penses à lui, quand tu prends le pq pour t’essuyer, la totale. -image très glamour- Pourtant tu le trouves: bête, débile, chiant, collant, lourd, dragueur, emmerdeur, bref tous les adjectifs péjoratifs que tu peux trouver dans un dictionnaire. Mais d’un autre coté, quand tu le regardes bien, avec attention, il possède de nombreuses qualités que tu n’aurais pas soupçonnées au premier abord. Cette lueur espiègle dans ses yeux, son petit sourire craquant, sa voix, tout te fait craquer, fait chavirer ton petit coeur déjà tout mou. Même si au fond tu sais que tout cela n'est qu'une façade, parce qu'il est juste terriblement con comme mec. Peut-être que c’est ça qui t’attire, le fait qu'il soit à lui seul une cause perdue ?  Tu ne sais pas trop, tout est tellement confus dans ta tête. Si ça se trouve c’est juste quelque chose de purement physique comme quand réagit  un aimant devant des métaux. Une force les emmène vers lui, on ne peut rien faire pour lutter, pour la dévier, c'est comme ça. C’est jusque que tu n’agis comme cela avec personne d’autre, et cela te déroute. Avec les autres mecs c’est tellement plus simple. Tu les aimes bien ou tu ne les aimes pas. Il n’y a pas d’entre deux, le choix est rapidement fait. Lui te donne des maux de tête, de la fièvre, des insomnies, un peu comme une terrible grippe qui ne veut pas passer. Ton coeur ne sait tout simplement plus où donner de la tête. Tu tentes donc de conserver une façade neutre, ne dévoilant pas ton combat intérieur. Tu te contentes simplement de le fixer, les yeux perdus dans le vide. Tu évites son regard, de peur qu'il puisse y déceler quelque chose. Les yeux sont les portes de l'âme non?
"Mon cher monsieur Wilcox en plus de devenir stupide, je crois que vous devenez sourd. Je n'ai jamais dit que c'était le votre. Vous avez très bien pu le prendre sur google image, si si,je suis sûr que si je tape quelque chose comme petite fesse molle, cette photo ressortira...peut-être même la première de la liste.....dois-je donc comprendre que ce sont les votre? Alors je suis très déçu, je ne sais pas, je m'étais imaginé quelque chose de bien différent...peut-être un problème comme une troisième fesses ou un second testicule? Je suis encore plus déçu que vous osiez même me soupçonner d'un tel acte.... Mon visage d'ange semble aller contre vos déclarations..." dis-tu en le vouvoyant, simplement pour rigoler. Oui un peu plus et tu allais te prendre pour un personnage d'Orgueil et Préjugé à la Jane Eyre. Tu démentais, toujours et encore n'en démordant point. Il semblait tellement heureux, que tu appréciais encore plus de détruire ses rêves les uns après les autres."Mais oui bien sûr je te crois, comme si tu n'étais pas un obsédé sexuel...et donc ta réputation de gros connard serait fausse? Omg et là tu vas en plus me faire croire que le Père Noël existe?" dis-tu en rigolant, levant les yeux aux ciels. Tout ton langage corporel était entrain de crier que tu n'en croyais pas un mot. Blonde mais pas stupide. Tu lui avais pourtant déjà répété, mais ta phrase n'avait pas encore atteint son cerveau. Oui, comme tu lui avais déjà dit sur la plage, tu avais fait quelque recherche sur le personnage. Toutes les filles du campus étaient d'accord pour dire que c'était un canon, le genre où de mec devant lequel on pouvait baver pendant une journée entière devant son corps de dieu grec, mais que bon c'était un mec volage, séducteur, branleur, qui jetait les filles comme de vieilles chaussettes.  Il ne pouvait pas démentir, surtout avec le nombre de rumeurs insolites qui parcourraient les couloirs. Même si tu te la jouais sainte nitouche, tu n'étais pas non plus complètement blanche comme fille.  "Je...je...je ne me suis pas habillé comme cela pour te plaire, je me suis simplement dit que c'était la tenue la plus adéquate...mais étant donné que tu proposes si gentiment un pull, je ne suis pas contre l'idée." acceptas-tu légèrement à contre coeur parce que oui tu avais froid. Tes joues s'empourprèrent, ce qui était trop mignon à voir. Mais là tu te détestais, parce que tu devais rester neutre. Tu étais carrément nul dans cet exercice. Tu avais passé deux heures à te pouponner, à te faire belle, pour quoi? Pour qu'il te remarque? Maintenait que tu prenais le temps d'y réfléchir tu trouvais ton attitude stupide. Il ne t'intéressait pas, pourtant tu te faisais belle pour lui. Tu étais contradictoire dans tes paroles, gestes, pensées. Cela t'énervait plus que tout. "Mais j'veux pas un truc moche ou qui pu des pieds....à tous les coups tu vas aller me chercher un truc qui traîne avec tes caleçons dans la corbeille de linge sale." admets-tu en le regardant très sérieusement. Parce que oui tu commençais à connaitre le spécimen, et tu avais quelque doute concernant son intégrité. Tu ne réagissais même pas à ses paroles. Tu décidas même de retirer ta main de ses cheveux, cela serait certainement plus sage. Pour toi comme pour lui. Vous vous regardèrent encore quelque instant, tous les deux perdus dans vos pensées. Puis le jeune homme se détacha, se dirigeant vers le frigo. Tu avais l'impression de l'avoir vexé, enfin tu ne savais pas trop. Tu attachas rapidement tes cheveux en chignon , le genre qui pendouille. Puis tu posas tes grosses fesses sur le plan de travail, attendant que monsieur choisisse le repas. Tu avais encore le droit à une belle vue de son popotin. Même sous cet angle elles étaient biens.
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Ça me rendait fou, complètement fou cette histoire. J'arrivais plus à réfléchir à quoi que ce soit, d'où mon beug devant mon réfrigérateur en essayant de trouver un aliment un peu près comestible qui passerai bien. Je voulais oublier cette attirance forte, dévorante qui me happais tellement vers elle alors que je m'étais interdit tous actes sexuelles avant d'avoir touché ne serait-ce qu'un peu son coeur si dur et froid en apparence. J'étais à deux doigts de franchir une barrière que je m'étais moi même imposé mais bien heureusement pour moi la jolie blonde avait eu raison de sa gentillesse légendaire et de ses paroles pour me faire rebrousser chemin. Je me retrouvais donc une fois de plus dans une impasse frustrante qui m'emmerdais de plus en plus. Je n'étais pas patient, tout le contraire du comportement qu'une femme veut. Elles aiment être choyés, qu'on soit patient en prenant le temps de les comprendre, de les attendre, et de savoir tout d'elles. Mais en réalité, qu'est-ce que c'est barbant. Et ne croyez pas les mecs en mal d'amour ou bien ceux qui se croient romantiques, ce ne sont que du blabla pour attirer la fille plus vite dans ton lit. Pour une fois, que je ne voulais pas de ça, que j'avais envie de changer. Le naturel revenait au galop en me frappant de plein fouet. Je suis tellement faible. Et je ne voulais pas montrer cette partie là à Brynn. Oh, non surtout pas à elle. Prenant des oeufs, et des carottes rappés, je déposais ses aliments à côté de la jolie blonde. Le repas n'était pas du trois étoiles mais c'était assez suffisant pour remplir nos deux ventres en ajoutant un petit dessert déjà prêt. "Mon cher monsieur Wilcox en plus de devenir stupide, je crois que vous devenez sourd. Je n'ai jamais dit que c'était le votre. Vous avez très bien pu le prendre sur google image, si si,je suis sûr que si je tape quelque chose comme petite fesse molle, cette photo ressortira...peut-être même la première de la liste.....dois-je donc comprendre que ce sont les votre? Alors je suis très déçu, je ne sais pas, je m'étais imaginé quelque chose de bien différent...peut-être un problème comme une troisième fesses ou un second testicule? Je suis encore plus déçu que vous osiez même me soupçonner d'un tel acte.... Mon visage d'ange semble aller contre vos déclarations..." Son monologue semblait de plus en plus resserrer le vis autour d'elle. Elle se justifiait tellement qu'à mes oreilles cela ressemblait à des aveux ou alors à un enfoncement profond où elle ne cessait de creuser, encore et encore. Je ne la croyais pas, ou du moins plus. Pas besoin de me sortir autant de connerie pour le coup. Je me contentais alors d'hausser les épaules en laissant un silence après ses mots, histoire qu'elle comprenne que mon avis n'allait pas changer et que sa grande bouche, ne suffirait pas à me retourner le cerveau. ."Mais oui bien sûr je te crois, comme si tu n'étais pas un obsédé sexuel...et donc ta réputation de gros connard serait fausse? Omg et là tu vas en plus me faire croire que le Père Noël existe?" Sortant une poêle et l'a posant sur le feux, je fronçais les sourcils en écoutant attentivement cette fois-ci. J'étais réellement répertorié ainsi ? Parmi les femmes d'Harvard ? Pas étonnant qu'on ne m'approche plus comme à mon arrivé. Je ne couchais même pas avec tous le monde, je n'avais aucune liste de mes conquêtes d'un soir, et quand finalement je cédais, je prenais toujours soin de la femme en question. Et j'obtiens une mauvaise réputation ? Les femmes sont une énigme sacrément exigeante. « Je ne suis pas un gros connard, je ne l'ai jamais été. Et si tu avais un peu de bon sens tu l'aurais déjà compris depuis longtemps. » Un peu vexé, peut être bien mais je tentais de ne pas le montrer, préférant me concentrer sur les œufs que j'étais justement entrain de cuire. Si j'étais un prétendu connard, y'a longtemps que je serai au pieu avec elle, et que je me serai sauver en la laissant comme une conne. Est-ce que j'ai essayer ? Est-ce que je suis ce genre d'homme ? La réponse est tout simplement non et elle le sera toujours. "Je...je...je ne me suis pas habillé comme cela pour te plaire, je me suis simplement dit que c'était la tenue la plus adéquate...mais étant donné que tu proposes si gentiment un pull, je ne suis pas contre l'idée." Brynn bégaye ? Je l'ai déstabilisé ? Nooon ? Je devrais faire une croix pour ce jour si inoubliable pour le coup. Elle se vendait toute seule, c'était presque mignon, adorable même. « Tu peux m'avouer que tu t'es fait jolie pour moi, je ne me vanterai pas promis. » Dis-je en levant les yeux aux ciels, l'air de rien avant de lui prendre les mains avec douceur afin qu'elle puisse me suivre. Si son problème du moment était le choix de mon pull, elle pouvait le choisir. Une fois dans ma chambre en bordel, chose pour laquelle je faisais complètement abstraction, je me postais devant mon armoire déjà grande ouverte avec toutes sortes de vêtements pliés et rangés avec soin. « Prend ce que tu veux. » Je tenais toujours sa main douce dans la mienne, mêlant nos chaleurs ensembles.
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Oui à tes yeux Charlie était un branleur, mais pas encore un connard. Bien qu’il t’est laissé comme une grosse merde sur la plage, qu’il tente toujours de coucher avec toi en mode ton décolleté c’est comme un paquet de Chocapic quand on le regarde on a envie de voir ce qu’il y a à l’intérieur, ou encore qu’il te fasse poireauter comme une débile pendant cent vingt ans. Voilà c'était un je m’en foutiste. À part ça, il ne t’avait jamais vraiment fait du mal, il semblait même te protéger. Tu te rappelais très bien de son comportement agressif à Grenade, ça lui donnait des allures de badboy, tu avais bien aimé. Tu avais comme d’habitude bien du mal à cerner le personnage, à comprendre ses intentions, ses gestes où ses pensées. Il te retournait le cerveau dans tous les sens et tu n’appréciais pas ça. « Je n’ai jamais dit que tu l’étais….j’ai simplement fait référence à la réputation que tu peux avoir sur le campus. Pour  moi t’es pas encore un connard, ou t’es plutôt un connard attachant, ce n’est pas la même chose. »  ajoutas-tu de peur de l’avoir vexé, ouai enfin là tu allais le vexer encore plus. De toute façon, ta quote de popularité ne devait pas être meilleure. Depuis la rentrée tu avais embrassé Alejandro, et t’avais flirté avec un mec le jour de son mariage. La connasse ici, c’était toi. C’est juste que c’est trop le bordel en ce moment dans tes émotions, ton cœur ne sait plus dans quel direction aller. Tu savais qu’avec l’espagnol ce n’était que de l’histoire ancienne, une once de nostalgie avait simplement refait surface. Pour Dwight cela n’allait jamais allé plus loin….parce qu’au fond tu préférais être avec Charlie. Voilà, ton cœur semblait s’amuser à jouer à « Où est Charlie ? » et pour le moment il était plutôt nul ; complètement aveugler, alors qu’il est juste devant toi. « Je ne me suis pas fait jolie pour toi, mais pour le sdf aussi beurré qu’un petit Lu que j’ai vu à l’arrêt de bus. T’imagine pas des choses Wilcox. » bredouillas-tu de mauvaise foi. Tu n’étais pas contente de toi, tu avais osé beuguer devant lui, bégayant. S’il croyait que tu allais lui avouer que tu t’étais laissé les cheveux détachés simplement parce qu’il avait semblé les apprécier comme cela sur la plage, il pouvait toujours se foutre le doigt dans le cul. Ouai même si c’était vrai.
Il te prit la main avec délicatesse et t’emmena dans sa chambre. Sa peau était chaude, et douce. Toi , tu avais les mains moites, et ton cœur se mit à faire quelque raté. Rha qu’est-ce que ton comportement d’adolescente t’énervait. Tu ne maitrisais pas ton corps et c’est ce qui t’insupportait le plus. Dans un sens tu avais l’impression d’être vulnérable , qu’il pouvait lire en toi comme dans un livre ouvert. Tu détournas ton regard de lui, de son corps, pour regarder la pièce dans laquelle tu te trouvais. À l’image du propriétaire, la chambre était dans un état pitoyable. « J’aime bien la déco très bordélique. » dis-tu avec un grand sourire simplement pour le taquiner. On ne pouvait décidemment pas tous être des maniaques du rangement comme tu pouvais l’être. « Merci, c’est sympa de me prêter quelque chose, même si je doute que tu es un truc à ma taille. » dis-tu les yeux pétillants. Tu fixas pendant quelque seconde l’armoire avant d’y retirer un pull noir, simple. Tu fus triste de dégager ta main de la sienne, mais tu n’avais pas vraiment le choix. Tu la serras très fort une dernière fois, avant de retrouver le contact du polyester, beaucoup moins chaud et doux que sa peau à lui. Oui tu allais ressembler à un manchot si tu comptais l’enfiler avec une main. Tu le mis avec grâce. Il était confortable, et surtout il sentait son parfum, son odeur, lui. Tu te retenus de le sniffer comme une droguer, parce que de un tu lui ferais peur, de deux tu ferais aussi peur à toi-même. Serait-il possible que tu te sois autant entiché de lui ? Non,impossible. Comme tu l'avais prévu, il était trop grand pour toi, mais ça n'ajoutait qu'un petit plus à ton charisme nop? « Promis je te le bousillerais pas... il manque plus que je te pique pantalon ou un caleçon et j'aurais fait le tour de tes vêtements. » Cela tu ne le savais pas encore, l'avenir vous le dira. Tu fis un petit tour sur toi même, manquant de trébucher avec tes talons aiguilles. Enfin, jusqu'à tomber gauchement sur le sol. Tu attrapas le bras de Charlie, seule bouée de sauvetage, que tu emmenas dans ta chute. 
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« Je n’ai jamais dit que tu l’étais….j’ai simplement fait référence à la réputation que tu peux avoir sur le campus. Pour  moi t’es pas encore un connard, ou t’es plutôt un connard attachant, ce n’est pas la même chose. » J'avais beau essayer de comprendre, mais ça ne passait pas. Trop compliqué pour moi ou peut être était-ce un message codé pour me dire qu'elle m'aimait bien ? Je n'avais retenue que le mot attachant dans tous son blabla. Oui, j'avoue, je ne retiens que ce que je désire entendre. Tout les hommes ont cette technique avec les femmes, et ça marchait plutôt bien en général. Du moins pour la part, j'avais bien souvent une irrésistible envie de faire l'amour quand je me disputais avec la femme de mon moment attirante et qui me plaisait. Alors qu'en général une femme en colère, ça ne changeait guère de position. Je trouvais que dans ce genre d'instant l'acte prenait une intensité différente, entre autre je prenais mon pied. Bizarre, non ? « Ouais. » C'est tout ce que j'avais à répondre. « Je ne me suis pas fait jolie pour toi, mais pour le sdf aussi beurré qu’un petit Lu que j’ai vu à l’arrêt de bus. T’imagine pas des choses Wilcox. » Croyait-elle vraiment que j'allais gober de telles âneries ? « Oh j'imagine bien en effet. » Dis-je en chantonnant dans mon coin jusqu'à ce que nous nous retrouvions devant l'armoire à attendre que cette demoiselle veuille bien choisir sa tenue du soir avec l'un de mes vêtements personnelles. Avec un peu de temps, elle aura une tenue complètement m'appartenant. Quelle chance ! D'ailleurs ma chemise lui appartenait toujours, et Brynn n'y avait pas fait la moindre allusion, comptait-elle la garder ? J'ignorai alors sa réflexion concernant le bordel dans ma chambre pour m'imaginer plutôt ce qu'elle mettrait bien de ma garde robe. J'avais bien des idées, mais rien de catholique la dedans. « Je me doute bien que rien n'est à ta taille mais tu te doute bien que je ne garde pas de vêtements féminins, et emprunter à Caly et Ivy, ça m'emmerderais surtout que tu garde les vêtements en général. » Dis-je avec un fin sourire malicieux. J'avais réussis à le placer celui-là ! « Si tu dors la ce soir je peux te prêter un caleçon si tu y tiens tellement. » Dis-je en haussant les épaules, l'air innocent alors que je venais de lui proposer tout bonnement de rester à la maison ce soir de manière subtile. Pour une fois que je l'étais. Mais alors qu'elle semblait faire demi-tour, son pied tourna et la faisant trébuchée. M'entraînant au passage sans réellement m'y attendre, je me retrouvais la tronche plaqué contre le sol avec un gros poids sur mon dos. Je me doutais bien que c'était la jolie blonde avec mon pull qui s'y trouvait. Je n'avais même pas eu le temps de la regarder dedans. Merde. Une vive douleur placé au niveau de mon front et de mes mains se faisaient très vite ressentir. Bon sang de bonnes femmes avec leurs talons à la con. « Enlève tes talons ou c'est moi qui m'en occupe. » Ce sont les seules mots qui arrivèrent à passer la barrière de mes lèvres en premier. Et c'est avec le peu de force que je pouvais que je me retournais sur le dos, en ayant tout de même encore la jolie blonde sur moi. Elle pèse lourd mine de rien. « Je savais que tu rêvais de te jeter sur moi Brynn, excuse moi mais ta méthode n'est tout de même un peu trop radicale. » Je grimaçais en restant finalement sur le dos, piégé entre une couverture, des chaussures et un billet dont je n'avais eu encore jamais connaissance. On retrouve toujours tout, c'est vrai. Posant une main sur mon front que je frottais rapidement afin de faire passer la douleur j'essayais de chercher la tête de la jolie demoiselle sans y rien y comprendre. Mon autre main libre, s'aventurai progressivement sur sa peau d'un endroit encore inconnue histoire de la faire réagir un peu. Et tout à coup, je pensais doucement sa peau douce et chaude, profitant dans un même temps du moment. « Brynn ? »
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Tu n’avais clairement pas choisi ce pull pour son élégance, mais plutôt parce qu’il avait l’air confortable. Tu étais particulièrement ravis de ton choix, pas seulement parce qu’il sentait son odeur, mais aussi parce que cela t'offrait une autre occasion pour revenir à son appartement, genre si jamais tu repartais habillé comme cela chez toi. Tu t’en voulais d’être aussi faible, et vulnérable en sa présence. Tu te découvrais aussi curieusement, des tendances de cleptomanie, à toujours vouloir lui piquer des trucs. Il t’influençait et t’affectait d’une manière assez bizarre. Comme si lorsque tu étais à côté de lui, le peu de neurone dont tu avais jusque-là disposés, s’en allait vers de nouveaux horizons. « Je ne garde pas les vêtements qu’on me prête….je garde ceux que l’on m’a donné. » dis-tu innocemment comprenant parfaitement sa référence. Oui, si tes souvenirs étaient bons, et ils l’étaient, monsieur Wilcox t’avais généreusement offert sa chemise puante pleine de sable et de transpiration. Ouai c’était le meilleur cadeau du siècle quoi. Tu avais envie de rajouter qu’elle servait d’essuie fesse à buddy votre chien pour le taquiner, même si ce n’était pas du tout le cas. Tu n’avais d’ailleurs aucune idée de l’endroit où tu l’avais mise. Puis d’ailleurs lui aussi devait avoir des vêtements qui t’appartenaient. Tu ne fis aucun autre commentaire, le regardant d’un air entendu, parce qu’on ne te la faisait pas à toi. Tu étais sûr qu’il devait se servir de ton chemisier comme doudou pour faire dodo (aa) « Un caleçon ? Je ne sais pas….je ne veux pas faire ma difficile, mais ça n’a pas l’air super confortable vos trucs….si je dors ici je préfère encore dormir à poil. » répondis-tu l’innocence même, lui envoyant ta pique comme si de rien était. Prend ça dans ta face de caribou Wilcox pensais-tu trèèèèès fort. Il n’était pas le seul à pouvoir t’allumer quand il voulait, tu étais toi aussi capable de prendre les devants. Surtout qu’il t’avait pris en traite dans la cuisine, c’était un peu ta revanche. Revanche qui ne dura pas longtemps puisque tu te retrouvas très rapidement sur le sol. Charlie aussi. En ce moment c’était ton grand truc, tomber comme une crotte. Puis bien sûr, monsieur avait été incapable de te rattraper au vol. Sérieux, à quoi ça sert d’être aussi muscler qu’Action Man quand on ne peut même pas sauver une princesse en détresse ? bouh voilà. Bon il n’avait pas complètement tout foiré le petit, tu avais eu l’intelligence de lui tomber dessus, l’écrasant de touuut ton poids. D’un certain coté il avait eu de la chance….à ta place il aurait très bien pu avoir susan boyle…ce n’est pas vraiment la même chose quoi. Dans ta chute, tu avais percuté un tas de chaussures puantes et un tas de papier, surement des cours. Tes cheveux s’étaient détachés, recouvrant ton visage d’un long rideau blond. Tu n’avais aucune visibilité. Tu n’as même pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait, de remettre tes idées en place que Charlie se plaignait déjà. Tu ne comprenais pas un seul mot de ce qu’il disait. De toute façon il devait surement dire de la merde, comme d’habitude. Tu esquissas un petit mouvement de main, tâtant ce qu’il t’entourait. Tu sentais son jean contre ta joue, et remercia dieu de n’être pas tomber sur lui avant, genre quand il ne portait qu’une seule serviette à moitié dévêtu. Tu l’écoutais parler, parler, parler, ce mec n’arrêtait jamais. Tu voulais lui répondre un truc du genre comme ‘tu as trop de charisme,tu fais tomber les femmes dans les pommes’, mais tu t’abstenus. Restant silencieuse, jouant la morte. Une petite partie de toi, une infime, souhaitait ne pas bouger, fermer les yeux. Dans l’espoir que peut-être il viendrait te faire du bouche-à- bouche ou un truc du genre. Mais tu te surpris à jurer mentalement, t’insultant de tous les mots qui te venaient à l’esprit. Tu sentais que c’était une mauvaise idée. Néanmoins le contact de sa main contre ta peau, ne t’en dissuadait pas. Lorsqu’il te touchait, tu sentais cette petite décharge électrique traverser ton corps. Et franchement tu te maudissais pour cette réaction, non , tu ne voulais pas t’attacher à lui. « Charlie vazy continu à toucher ma cuise, j’te dirais rien, vazy va encore plus loin, avec un peu de chance tu toucheras ma petite culotte. Qui sait...tu vas peut-être me découvrir un testicule.» répondis-tu avec la plus grande ironie dont tu étais capable. Bah ouai c’était vrai en plus. D’ailleurs si ta joue était contre son jean, tu te demandais sur quoi tu étais allongé. Allez savoir. Mais tu ne bougeas pas d’uuuun pouce. Tant pis pour lui, il avait cas te rattraper. Oui vous n’aviez pas l’air con tous les deux allongés sur le sol, dans cette position. Tu le sentais partout en dessous de toi, tu en profitas même pour bouger tes jambes dans tous les sens pour le faire chier. S’il voulait se relever il allait devoir te passer sur le corps.  
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Je me retrouvais dans une position inconfortable avec Brynn sur moi, et ça ne semblait pas le moins du monde la déranger. Elle rougissait facilement dès que je m'approchais trop près d'elle, mais quand nous nous retrouvions tout deux par terre l'un sur l'autre, on pourrait croire que pour elle c'est une simple banalité. Je ne comprend pas cette femme, et je commençais à croire que je ne l'a comprendrai jamais. J'étais le seul à penser que cette position était très suggestive ? Non pas que je pense vingt quatre heures sur vingt quatre au sexe, bien que ça occupe une grande partie de ma journée, surtout à fantasmer, mais j'étais un homme en pleine forme, mordant la vie à pleine dent, et optionnellement j'avais très envie du corps, des yeux, des lèvres, des hanches, de la peau d'une femme au dessus de moi. « Je ne garde pas les vêtements qu’on me prête….je garde ceux que l’on m’a donné. » J'ai donné ma chemise ? Après réflexion, peut être bien. Je voulais tellement qu'elle garde un souvenir de moi, que j'étais prêt à lui offrir ma garde robe, j'étais idiot ou quoi ? C'est.. une fille. Une simple fille. Ressaisis-toi Charlie, te laisse pas avoir pas une gamine d'un an plus que toi, prêt à te dévorer tout crue. « Tu le garde ? T'es mignonne. Tu le sert contre toi avant de t'endormir en reniflant mon doux parfum ? » Dis-je avec une pointe d'ironie. J'avais déjà vu ma soeur jumelle faire de même avec une écharpe qu'un mec lui avait prêté. C'est vraiment flippant à voir. Comme une drogue, elle ne cessait de le serrer contre elle, et de sourire niaisement. Les affaires que Brynn m'avait gentiment donné, je les avaient lavés, et je comptais d'ailleurs lui rendre dans les minutes qui suivront.. Bon, oui, peut être que j'ai un peu sentis son chemisier pour m'imprégner de son odeur. Seulement quelques minutes. « Un caleçon ? Je ne sais pas….je ne veux pas faire ma difficile, mais ça n’a pas l’air super confortable vos trucs….si je dors ici je préfère encore dormir à poil. » Je suis déjà émoustiller et faut qu'elle en rajoute une couche, je vais pas tenir longtemps. « Alors dors ici, à poil. C'est loin de me déranger. » Dis-je en haussant les épaules. Même par terre, le dos collé contre le parquet, avec certainement des bleu un peu partout, je rigolais faisant bouger tout mon corps sans le vouloir.  « Charlie vazy continu à toucher ma cuise, j’te dirais rien, vazy va encore plus loin, avec un peu de chance tu toucheras ma petite culotte. Qui sait...tu vas peut-être me découvrir un testicule.» Ah, c'est sa cuisse ? Merde. Je me relevais sur mes coudes en constatant les dégâts, et en riant de plus belle en voyant le visage de Brynn écraser sur le tissus synthétique de mon pantalon. « T'es trop sexy Briny. » Avouais-je avec ironie. Je me relevais alors progressivement en laissant la jeune femme reprendre son équilibre à l'aide de ses mains. Je posais alors les miennes sur ses pieds en enlevant progressivement ses chaussures pour les balancer à travers la pièce. Puis, je posais une main froide sur sa cheville blessé en appuyant légèrement dessus. Elle devait en souffrir, et je ne préférais pas presser d'avantage pour me faire engueuler. Je l'a regardais alors de nouveau, face à moi, le cul par terre dans une pièce légèrement éclairé. On se serait cru dans une série comme Esprits Criminels, où le mec tuerait finalement la jeune femme, sauf qu'à la place de l'étrangler ou je ne sais quoi d'autre encore, je ne faisais que l'a regarder avec une certaine tendresse. J'essayais de me retenir, de prendre sur moi, mais j'avais décidé d'abandonner mes bonnes résolutions juste un soir. Me laisser aller. J'avais envie de prendre soin d'elle et sa blessure à la cheville accentuait mon envie de la prendre sous mon aile malgré son mauvais caractère. J'approchais la main de son visage en dégageant celui ci de plusieurs mèches. J'avais envie de la troubler et de prendre le contrôle. Tout s'embrouillait dans mon esprit jusqu'à ce que j'approche mes lèvres des siennes et que je finisse par l'embrasser. Je fermais alors doucement les yeux, profitant du moment et du goût de ses lèvres. Mon coeur tambourinait tout contre ma cage thoracique sans que je ne puisse l'arrêter ou bien me calmer. Une explosion. C'est ce que je ressentais au fond de moi. Après plusieurs secondes, je me reculais encore surpris de ma propre initiative.
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« Je suis touuujours sexy. » répondis-tu presque légèrement offusqué, alors que t’as tête semblait être collé au tissu de son jean. Oui même là, dans cette position plus que déroutante, tu l’étais. Tu ne répondis même pas lorsqu’il reprit la conversation sur le fait que tu pouvais dormir à poil. En vrai, il serait juste trop content. N’empêche que tu aurais froid, et après tu irais dormir avec lui, dans son lit, et là il serait carrément au paradis. Si ça se trouve il avait tout planifié dans sa tête. Une petite partie de toi en mourait d'envie, tu voulais coller ton corps contre le sien. « Puis arrête de me regarder comme ça , j’ai l’impression que t’es michael jackson et que j’suis une enfant perdue dans son parc d’attraction. » dis-tu en relevant la tête, chassant les images érotiques qui se formaient dans ton esprit, faisant référence aux nombreuses rumeurs auxquelles le roi de la pop avait été le sujet. La comparaison était peu flatteuse, mais rien d’autre ne te venait à l’esprit.
Le jeune homme se montrait doux, et attentionné avec toi. Il t'aida à te relever, et enleva avec délicatesse tes escarpins. Tu ne savais pas si tu méritais un tel comportement à ton égard, surtout tu t'étais montré odieuse avec lui. Son regard se relevait enfin, rencontrant le tien. Tu laissais tes orbes noisettes se plongés dans les profondeurs de son regard, te laissant submergé par leur beauté et leur mystère. Il t’envoûtait un peu plus à chaque instant. Au fur et à mesure que le temps passait, ton obsession pour lui et le désir que tu lui vouais étaient renforcés, mais pas seulement, non, ils s'intensifiaient, ils s'emparaient de ton cœur que tu ne pouvais plus protéger. Tu lui avais abandonné sans même penser à lui résister. Non, c'était impensable, cela semblait impossible.Tu t'étais toujours promis de ne jamais t'attacher, de ne pas offrir ton cœur de peur qu'il ne soit réduit en cendre, tout comme ta petite personne. Tu savais à quel point il était dangereux d'aimer, c'était merveilleux et à la fois destructeur, c'était se livrer pleinement et donner l'occasion de faire tout et n'importe quoi, parce que l'on exposait nos faiblesses, nos peurs et nos côtés les plus sombres, on s'exposait au danger. Il ne fallait pas que tu succombes, que tu tombes dans ses filets.  Mais son souffle était si doux. Tu aurais pu rester des heures planté là, en sa compagnie, avec pour seule satisfaction de la regarder. C'était dans ce genre de pensé naïve, que tu te rendais compte à quel point tu étais touché, l'emprise qu'il avait sur toi. Le contact de sa main contre ta joue te désarma encore davantage. C'était délicieux, cette caresse, cette sensation qu'il éveillait. Tu résistais furieusement à l'envie de l'embrasser, il était si proche, tellement proche, il ne te suffisait que d'avancer légèrement ta tête pour goutter à ses lèvres, pour lui voler un baiser.  Sous tes yeux émerveillés, Charlie fit le premier pas, lisant en toi comme dans un livre ouvert. Des frissons de satisfaction naissent le long de ton corps. ta main brûle dans la sienne. . Tes lèvres accueillirent avec joie sa langue. Tes lèvres vinrent se coller aux siennes, dans un baiser que tu avais tant redouté, et pourtant tant attendu.Tes lèvres ne s'éloignèrent des siennes que tardivement. Tu te mis à mordiller ta lèvre inférieure ne sachant pas trop si tu venais de faire une bêtise ou le contraire. Tu lui avais rendu son baiser, de ton plein gré. Tu te maudissais, tu t'insultais intérieurement. "Te fais pas des idées, c'est pas parce que je t'ai rendu le baisé que ça veut dire que je t'aime ou un truc du genre hein. On est pas dans un épisode du bachelor." te contentas-tu finalement de dire,en reprenant une voix plus forte, retrouvant ta confiance. "Puis tu embrasses comme un bouldog voilà. " C'était complètement faux, il embrassait divinement bien. Tu avais simplement besoin de désexualisé l'image que tu avais de lui, de prendre tes distances.
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« Je suis touuujours sexy. » Il m'arrivait de me demander comment Brynn réagirait si sa belle apparence avec son sourire légendaire craquant et ses yeux bleu rêveur disparaissaient, ce qu'elle ferait ? Une dépression dans doute. Brynn à s'en aucun doute besoin d'attention, et qu'on l'a complimente s'en cesse comme une petite fille de quatre ans. Je me demandais bien ce que cachait ce caractère de cochon, si une jeune femme douce et aimante pouvait en ressortir. Du moins, je l'a préférai avec ses piques, c'était beaucoup plus amusant. « Puis arrête de me regarder comme ça , j’ai l’impression que t’es michael jackson et que j’suis une enfant perdue dans son parc d’attraction. » Brynn dans toute sa splendeur ou comment casser un moment qui pourrait être doux et plutôt romantique. Cette fille à vraiment les sens des vannes et le don pour vous dégoûter tout de suite en employant des expressions ou en faisant une allusion qui peut vous couper toute envie. Peut être que finalement si je l'acceptais c'est que j'aimais son comportement de petite princesse, ce côté capricieux, et qu'une plante verte sans rien autour ne m'intéressais plus. Après notre baiser surprenant et plein d'émotion me concernant, je pensais soudainement à mes œufs sur le plat actuellement entrain de cuire et sûrement entrain de périr mais pour le moment, j'en avais un peu rien à faire. Je m'attendais à un retour flamboyant de sa part entrain de se jeter sur moi mais visiblement, rien de tout cela ne se produisait. "Te fais pas des idées, c'est pas parce que je t'ai rendu le baisé que ça veut dire que je t'aime ou un truc du genre hein. On est pas dans un épisode du bachelor. Puis tu embrasses comme un bouldog voilà." Avait-elle déjà embrassé un chien pour dire une chose pareil ? J'étais légèrement vexé de cette comparaison plutôt négative me concernant. Je m'approchais alors un peu plus d'elle afin de poser une marque sur elle ; je l'a mordillais alors légèrement dans le cou, comme pour montrer mon mécontentement d'une autre manière qu'avec des mots. Je me levais par la suite en continuant mon chemin jusqu'à la cuisine en n'ouvrant pas une seule fois la bouche. D'ailleurs, en jetant un oeil à mes oeufs, j'avais eu une bonne prédiction, ils étaient complètement recouvert d'une couche noir, ce que je mis immédiatement à la poubelle pour attraper par la suite mon téléphone afin de commander des pizzas. Une fois l'appelle passé, je sortis quelques bières du frigo et rejoignit de nouveau ma chambre où la jeune Cabot se trouvait encore. Je lui tendis l'objet gelé sur la joue afin de la réveiller, et de me rasseoir en face d'elle comme si de rien n'était. En réalité, j'étais paniqué depuis tout à l'heure et je ne tenais plus en place. Je ne savais plus où me mettre, comment gérer ce qui venait de se passer ou bien gérer la sensation de désir et cette envie de recommencer une fois de plus. Trop de sentiment concentré dans un si petit corps qui était le mien, tellement que si j'étais une pinata, j'aurai explosé de mon propre chef. Prenant mes aises, en relâchant mes grandes jambes autour d'elle, je buvais tranquillement ma bière en ne sortant toujours aucun mot. Brynn était peut être une bavarde hors pair quand elle pouvait être gêné ou autre mais dans mon cas, ça me rendait muet et gêné. Elle avait accepté mon baiser, j'avais ressentis des frissons de bonheur, mais ça s'était arrêté là. Rien de plus, elle ne voulait rien de plus. Bien que je gagne petit à petit de l'espace, c'était toujours frustrant de ne pas lui faire décrocher une parole sympathique envers moi.
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Charlie n’est pas très bavard. Toi non plus. Aucun mot ne sort de votre bouche, silencieux, muet. Les mots sont inutiles. Vous vous regarder, tous les deux gênés par cette situation. Tu dévies ton regard, lui aussi. Quelle belle équipe de bras cassé vous faites, pas un pour rattraper l’autre. Ignorer le problème, ça vous savez faire. Ton cerveau est confus, le reste de ton corps l’est tout autant. Tu ne sais pas ce qui t’as pris. Pendant un bref instant, quelque seconde, tu t’es vu dans ses bras à l’embrasser. Pourtant vous ne vous écartez pas, toujours aussi près l’un de l’autre. Incapable de mettre la moindre distance entre vos corps, l’électricité est toujours présente dans l’air. Tu la sens, palpable. Si aucun son ne sort de sa bouche, ça ne l’empêche pas de s’exprimer avec les gestes, à croire que tu as réussi à le vexer. Il s’approche encore un peu, toujours plus. Il te mordille le cou, te laissant une petite marque bien distincte. Son comportement te rappelle étrangement ceux qu’on les chiens pour affirmer leur position sur un territoire. Il grogne. Tu ne fais rien, paralysé par ce qui s’est passé, ce qui aurait pu se passer. Puis Charlie se lève, te laissant seule dans sa chambre. C’est décidément une de ses manies. Tu soupires, soulagé de la distance qui vous séparait. Tu savais qu’il t’en aurait suffi de peu pour passer à l’acte, t’abandonner dans ses bras. Cet homme avait décidément une mauvaise influence sur toi. Il t’attire, et surtout ton corps le quémande. Tu as cette sensation d’être une junkie déjà accro à sa drogue. Tu te laisses tomber sur le sol, admirant le plafond, tentant de rationalisé tes idées. Tu es une idiote, une idiote sans cervelle. Une coincé des sentiments, une hypocondriaque de l’amour, de plus. Tu sens que tu viens de louper le coche, que quelque chose d’important aurait dû se passer, mais que tu n’étais pas allé jusqu’au bout. Tu en as marre. Tu caches ton visage derrière tes mains, tes doux cheveux blonds. Le but de ce rendez-vous était de le revoir, de le toucher, et de l’embrasser. Jusque-là, toutes les étapes avaient été réalisées par la perfection, enfin surtout par Charlie. De ton coté tu ne fais jamais rien, n’esquissant pas le moindre mouvement. Pourtant tu en meurs d’envie. Tu soupires à nouveau, comme si cela pouvait alléger ton cœur. Tu es célibataire, il est mignon, charmant et un peu con. Il est parfait pour toi, et tu continues cependant à résister. Serait-il le moment de lâcher prise ? Ses lèvres baveuses de crapaud ont réussi à installer le doute dans ton esprit. Vulnérable, tu détestes plus que tout ce sentiment, comme si tu n’es plus capable de contrôler ta vie.
Tu entends des pas, te réveillant de ta tourmente. Tu ne t’étais même pas posé des questions sur ce que faisait monsieur. Tu étais tellement égoïste comme fille. Tu te relevas rapidement, tentant de retrouver un peu de chaleur sur ton visage. D’ailleurs, un contact froid te brûla la peau, te faisant sursauter. Charlie était là, de toute sa grandeur, te tendant une bière. Owi tu avais bien besoin d’alcool, de beaucoup plus d’ailleurs. Il s’asseyait à nouveau devant toi, toujours aussi silencieux. « Je vais finir par croire qu’on va pique-niquer sur ce sol. » lâchas-tu finalement tentant une petite pointe d’humour, pas drôle. Tu te rapprochas de lui, chose pas si facile étant donné que ses jambes t’emprisonnaient, t’encerclaient de tout leur long. Tu lui attrapas avec douceur la main, ne la lâchant plus. Parce qu’au fond, même si tu étais incapable de lui offrir ce qu’il attendait tant, tu pouvais toujours lui donner de l’espoir. "Tu sais t'es un peu con comme mec, mais je crois que je t'aime bien." oui un compliment caché derrière une petite méchanceté. Ce n'était pas vraiment une déclaration d'amour de ta part, plus un constat. Comme pour prouver tes dires, tu serres un peu plus sa main dans la tienne.
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« Je vais finir par croire qu’on va pique-niquer sur ce sol. » Comment fait-elle pour rester aussi calme, impassible, comme si l'embrasser était la chose la plus banale au monde alors qu'actuellement, non elle ne l'était pas. Je ne savais pas qu'elles étaient ses relations avec d'autres hommes potentiellement attirés par elle. Si chacun d'entre eux l'embrassaient et que sa réaction se limitait à une ignorance des plus total, y'a de quoi être déstabilisé. J'étais silencieux. Très silencieux. Il en fallait beaucoup pour me faire taire et visiblement, Brynn avait même réussit l'impossible. Me reportant sur ses mots après une longue réflexion sur la bonne ou mauvaise idée de sa présence ici, j'haussais les épaules en admettant qu'elle n'avait pas tout à fait tord pour le coup. Mon parquet se révélait plutôt inconfortable et la situation encore plus. La meilleur des solutions se présentait ; FUYONS. Ouais, on va s'installer devant la télé. Viens. Dis-je finalement en me relevant, sans un mot de plus, ne bronchant pas du tout. La fatigue avait beau être retombé, je l'étais toujours. "Tu sais t'es un peu con comme mec, mais je crois que je t'aime bien." Serrant ma main dans la sienne, j'avais plus l'impression de lui faire pitié qu'autre chose. J'étais persuadé que ses mots lui avaient écorchés la bouche. Elle m'aime bien ? J'avais un léger doute la dessus. Ou alors étais-ce une manière gentille de sa part -pour une fois- de me faire comprendre que je ne l'intéressais pas, et que je pouvais toujours courir. Ce devait être ça. Mais si ce l'étais réellement, j'avais atteint ma capacité de la séduire. Si l'on vous coupe l'eau, plus rien ne coule et ici, c'est exactement la même chose. Si une femme n'a pas de sentiment ou ne ressent pas la moindre flamme, ça ne viendra pas. Sad. Je me sens déprimé tout à coup. C'était finalement une très mauvaise idée de l'inviter ce soir, et même un autre jour. Je savais que ma fatigue parlait pour moi, mais je ne pouvais m'empêcher d'être défaitiste aujourd'hui. Je m’accroupillais  alors devant elle en relevant une fois de plus sa tête vers moi en levant son visage grâce à l'une de mes mains passé sous son menton. Brynn t'enfonce pas tu veux. Dis-je en l'a regardant d'une manière telle que je puisse regarder et même mémoriser son regard. Je passais par la suite mon pouce sur ses lèvres parce que je ne pouvais m'en empêcher. Je sais que tu m'adore, tu peux tout simplement le dire. Me l'avouer, tu sais, je suis au courant. Mon côté taquin revenait à la charge tandis que mes deux mains était redescendu au niveau de son ventre, là ou je m'amusais à tirer sur mon pull trop grand pour elle. Aller viens. On mange, et je te ramène chez toi. Tu sais que les cernes c'est moche sur les princesses. A moins que ton envie de devenir un zombie se présente, ça m'étonnerai. Quoi que ce soir, tu n'es pas loin de l'objectif. Dis-je en riant légèrement. J'avais pas envie de penser à la suite, laissons faire les choses. J'étais juste gêné du comportement, de l'état dans laquelle elle me m'étais malgré mes résolutions de l'année. Plus de copine ou de sentiment de je ne sais quelle genre. Ma soeur est enceinte, mon autre soeur s'est tapé un connard qui couche avec tout ce qui bouge, même le petit orteil. Je pense avoir donné assez de ma personne pour le coup. Stop. J'allais être tonton. Quelle émotion. Je sens que je vais aimer ce gamin. Enfin, c'est pas le moment de penser à mes problèmes familiaux. Se détendre était le mot principal ce soir. Essayons de le garder telle quel.
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