Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(CHARLIE) Je m’appelle Prince et je suis charmant.,on m’a dit que tu me cherchais.
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(CHARLIE) Je m’appelle Prince et je suis charmant.,on m’a dit que tu me cherchais.

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Brynn featuring Charlie
je m'appelle Pince et je suis charmant, on m'a dit que tu me cherchais.



Tu étais là, au milieu de nulle part à attendre bêtement . Tu ne savais d'ailleurs pas trop ce que tu attendais...voir Charlie débarquer dans une décapotable? sur un scooter? en trottinette? pire avec des nains gogo danseurs? Cette équation possédait beaucoup trop d'inconnu à ton goût. Enfaite tu ne savais même pas si tu étais au bon endroit.Tu t'étais planté devant un panneau qui était sensé t'indiquer genre les directions,tu t"étais donc dirigé vers le lieu du rendez-vous, l'arrêt de bus. Très romantique comme lieu, ouai il marquait des points là le petit. Rien de mieux qu'être entouré de pigeon mort et de chewing gum sous tes pieds pour créer une bonne atmosphère.  Quelques minutes plus tard t'étais genre pommée de chez pommée,tu te demandais bien pourquoi tu étais doté d'un sens de l'orientation aussi nul que de la béterave... T'avais trop mal aux pieds en plus !  À cet instant précis tu ne portais pas le jeune homme dans ton coeur, dire qu'il osait te faire endurer tout cela, juste pour un rendez-vous. Tu regrettais franchement l'attitude que tu avais eu au bord de la plage. Si ça se trouvait c'était genre une caméra caché, et il était surement bien entrain de se foutre de ta gueule. Tu pris ton portable, pas très rassuré, profitant pour regarder ton reflet. Il t'avait dit de venir bien moche ce que tu n'avais bien évidemment pas fait. Tu étais une cabot, et comme il se le devait tu étais la plus belle.  Puis tu entendis un bruit bizarre, tu sursautas. Purée t'aimait vraiment pas être toute seule en plein milieu de la nuit dans un coin aussi louche. Dire que monsieur Wincox t'avait fait une scène sur la plage parce qu'il avait peur qu'on te viole...et genre là t'avais moins de chance de te faire violer par un ours ou un sdf c'est ça? Tu tapas dans un des cailloux qui se trouvait sous tes pieds. Vazy t'avais trop froid en plus.Alors que tu te retournais, un mec aussi beurré qu'un petit Lu venait de jaillir d'un buisson,genre trop moche, bien puant, bien bizarre.  Il allait vers le banc et s'allongea dessus comme une grosse crotte ne te laissant même pas un petit peu de place pour déposer tes grosses fesses...  quel étrange spectacle, on aurait dit un bébé otarie en détresse qui essayait de rejoindre sa maman sur la banquise, il illuminait ta soirée. Il commença à te dire des trucs  insensés du genre que la fin du monde approchait, enfin de la merde quoi. Tu maudissais réellement Charlie, l'insultant de tous les mots qui te passaient par la tête. C'était pas joli, joli. Tu préféras prendre tes distances, le mec pouvant toujours retrouver un moment de lucidité et te sauter dessus. Si le Winthrop ne débarquait pas rapidement, la prochaine fois que tu allais le croiser, tu lui enleverais toutes ses chances d'un jour procréer en lui foutant un joli coup de genoux dans ses parties intimes. Tu étais sérieuse.

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Installé devant un bureau, je souriais faussement en regardant l'heure grâce à la pendule placé en hauteur. Un homme en costume était en face de moi assit en me fusillant du regard comme si j'avais tuer la personne la plus précieuse de sa vie alors qu'en réalité j'avais simplement eu la maladresse de lui rentrer dedans avec ma voiture et de lui.. faire un bras d'honneur. Oui, ça n'aide pas mais je n'étais pas réellement d'humeur sans compter que j'avais un rendez vous important aujourd'hui. Et comme un idiot, je pensais qu'il n'allait pas retenir ma plaque d'immatriculation puisqu'il était en faute à la base mais ce grand con avait eu l'intelligence de tout mettre sur mon dos et d’appeler les flics. Je voyais les aiguilles tourner petit à petit, et le temps s'assombrir de plus en plus. Je n'avais pas le numéro de Brynn et je ne pouvais donc aucunement la prévenir de mon petit problème actuel. J'avais réussis à lui donner la date et l'heure du rendez vous seulement en la voyant en cours en pensant bien évidemment qu'en lui demandant son numéro elle tournait sympathiquement les talons en m'envoyant un vent des plus magistrales. Je ne l'avais donc pas fait mais aujourd'hui je m'en mordais les doigts. Comment je pouvais savoir qu'on allait me rentrer dedans et que suite à un geste de la part, je me serai retrouvé ici avec mon bourreau en face et un policier sur ma droite qui posait des questions pour comprendre. Je n'étais pas prêt, je revenais de mon petit job de garagiste et c'était plutôt visible. Mon Tee-shirt me collait au corps et une multitude de trace noir s'y trouvait, sans parler que j'en avais une aussi sur la joue et sur le pantalon. C'était ma tenue de travail quoi ! En générale je n'étais pas aussi crade qu'à présent mais le travail d'aujourd'hui avait été plutôt rude. Moi qui pensait prendre une bonne douche, m'habillant d'un minimum de classe par la suite, tout se retrouvait à l'eau. Et ce n'est pas l'heure qui m'aidait, quoique je fasse à présent, j'allais devoir aller la chercher dans cette tenue. Rha, j'avais tellement envie de cogner le mec en face mais ça n'allait pas vraiment arrangé mes affaires. Après plusieurs questions et mon argumentation appuyé de preuve puisque ma voiture avait elle aussi bien morfler, on me relâchais en me promettant dédommagement de la part du type. Etant donné son mensonge, la police n'avait pas prit en compte mon manque de respect totale qui m'aurais coûté un peu d'argent. Je pouvais donc souffler et me rendre jusqu'à ma voiture toute cabossé. Je commençais à croire que Brynn avait raison, j'étais un looser par moment. Si j'étais un beau mannequin, bien payé, je n'aurai pas tous ses problèmes et j'aurai à coup sûr beaucoup plus impressionné la jeune femme. Mais je n'étais que moi, et ma beauté n'avait rien de bien pratique mise à part les femmes et les pourboires de temps à autre au garage. Oui un pourboire par des femmes bien évidemment mais mine de rien, elles m'aidaient à payer les quelques frais que je possédais comme le carburant. J'aurai du finir gigolo sérieusement, c'est bien mieux payé mais on doit vraiment coucher avec tous le monde et c'est réellement déplaisant. Rentrant dans ma voiture à l'arrière rétrécit, je me mis en route en posant mon coude gauche sur la vitre que je venais d'ouvrir. J'avais chaud, tellement chaud. Devais-je m'arrêter chez moi ? Tout devait être fermé à cette heure, non ? Panique à bord ! J'avais prévue de l'emmener au cinéma avant d’entamer un bon repas dans le restaurant du coin mais c'était trop tard et je doutais qu'elle m'est attendue autant de temps. Je soupirais en m'y rendant tout de même par curiosité et c'est alors que je croisais une cabot avec une mine affreuse. Oh. Oh. Je vais me faire incendier à coup sûr. Et j'attend tout de suite ses remarques désobligeante concernant mon véhicule. Ce n'était qu'une petite voiture banale et non une voiture de sport ou autre. On vit avec ses moyens. Je baissais alors la vitre de l'autre côté en regardant Brynn d'un air désolé. « Monte et ne me regarde pas comme ça, j'ai eu un empêchement.. » Dis-je en essayant de paraître le plus normal possible et surtout de faire abstraction de mon odeur d'essence et des marques sur ma figure.
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Tu regardais les minutes défilées sur l’écran de ton portable. Le temps passait si longuement que tu avais conscience de chaque minuscule seconde qui s’écroulaient. Tu ne savais pas ce qui était le plus frustrant, attendre ici à côté d’un sdf bourré qui se prenait pour Ken et tentait de te draguer depuis déjà vingt bonne minutes en te répétant ‘Barbie vient avec moi dans ma dreamhouse, tu vas voir je vais te faire rêver.’ Le tout en mimant des gestes obscènes. Ou l’idée que monsieur Charlie Wilcox est pu te poser un lapin, te laissant par la même occasion ici, dans ce trou pommé au milieu de nulle part. Apparemment, tu avais beaucoup moins d’importance à ses yeux que tu ne l’avais pensé. Tu enrageais de tout ton petit être. Tu avais déjà balancé tout ce qui t’étais passé sous la main, mais cela n’avait pas suffi à te calmer. Patience était peut-être mère de vertu, mais en attendant tu l’envoyais bien se faire foutre. Tu marchais de long en large, encore et encore. Tes pas semblaient avoir bercé l’autre gros débile qui dormait à présent sur le banc. Par précaution tu avais enlevé tes talons aiguilles. D’un, parce qu’ils allaient tous être bien dégueulasse de terre après cette escapade, deux, si jamais tu te faisais attaquer, tu pourrais courir plus rapidement, et enfin parce que ça pouvait toujours servir en mode arme fatale. Même si maintenant tu avais les pieds noirs.  Tu n’étais effectivement pas rassuré. La noirceur de la nuit et les bruits qui l’accompagnaient n’arrangeait en rien la peur qui te tiraillait le ventre. Owi monsieur allait payer. Tu n’étais pas une psychopathe au point d’acheter une poupée vaudou et lui planter des aiguilles dans le cœur, mais tu allais bien trouver quelque chose. En plus tu n’avais pratiquement plus de batterie, et encore moins de réseau. Tu soupiras, le sort semblait s’acharner sur toi. Un peu plus et tu te croyais dans un de ces films d’horreurs hollywoodiens, ou genre un mec débarque avec une tronçonneuse et te décapite. Là tu avais bien les jetons. Tu seras encore plus fort tes chaussures, telles des bouées de sauvetage dans ce monde féroce.
Alors que tu commençais à désespérer, te demandant bien si tu allais devoir faire du stop pour rentrer chez toi, le miracle se réalisa. Charlie apparu comme par magie juste devant toi. Il était dans un sale état, encore plus pitoyable que le tien. Enfin à égalité quoi. Au moins lui ne c’était pas gelé les fesses pendant dix ans à un arrêt de bus. Tu étais tellement contente de retrouver un repère familier, que tu rentras directement dans sa voiture. « Laisse-moi deviner, tu jouais un zombie dans un remake du clip thriller ? » pestas-tu avec rancune, faisant allusion à toutes les marques noires qu’il avait sur le visage. « Mieux t’as essayé de foutre le feu à un entrepôt avec de l’essence ? Nan parce que bon ce n’est pas comme si j’avais attendu tu vois. » ajoutas-tu pour en remettre une couche. « J’aurais pu me faire violer par ce truc-là, ou pire un ours . » t’exclamas-tu en boudant, en pointant du doigt le gros blaireau qui dormait sur le banc.  Si avec toutes ses remarques il ne comprenait pas ton point de vue, tu ne pouvais plus faire grand-chose pour lui.


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Ce n'est pas gentleman de se comporter de cette manière, mais je préférai l'a récupérer que de la savoir avec je ne sais qui à une heure pareille. Elle venait de poiroté pour mon beau minois et rien que pour cette raison je me devais de prendre soin d'elle même si la soirée allait tourner à une soirée télé à la maison. Heureusement que mes colocataires étaient tous bien occupé, non que je sois heureux que Wade, Arès et Ivy se soient foutus dans le pétrin avec ce crash d'avion mais pour une fois, je pouvais les remercier de me laisser seul avec elle ce soir.  Je n'avais pas la moindre idée d'occupation pour le moment, et tout ce dont je pouvais me féliciter c'était d'avoir garder quelques plats au frais préparé par ma sœur. Tricher de temps en temps, ce n'est pas mal. Non, pas quand un homme veut épater une jolie jeune femme qu'il veut attirer dans ses filets. J'avais compris que mon charme naturel ne l'a touchait pas, je devais donc montrer mes talents dans d'autres domaines. Chose difficile puisqu'en réalité je n'avais des points positifs seulement dans mes études et l'art de draguer. Par contre mes défauts semblaient s'accumuler peu à peu devant elle sans que je puisse y faire quelque chose, la preuve je n'étais jamais à l'heure à mes rendez vous, et une fois encore je le prouvais sans vraiment le vouloir. Même quand je faisais mine de changer comme ce soir en sortant une demi-heure plus tôt pour me préparer, le sort s'acharnait sur moi. Immédiatement, elle s’installa dans ma voiture dans un premier temps sans ronchonner ce que je trouvais particulièrement bizarre. Je démarrais alors de nouveau la voiture, puis qu’entre temps ma merveilleuse voiture avait calé, je laissais plané un silence, bien trop honteux de son attente par rapport à moi mais rapidement, elle prit le monopole de ma parole. Une pluie de reproche acide qui me tombait sur le coin de la gueule sans que je ne puisse faire la moindre chose, à part me défendre comme je le pouvais. « Laisse-moi deviner, tu jouais un zombie dans un remake du clip thriller ? » J'avoue. C'était la vanne la mieux placé du moment, et comme un con, je m'étais mis à sourire tout en conduisant, prenant la route de mon appartement. La première chose que j'aurai à faire, c'est prendre une bonne douche. « Mieux t’as essayé de foutre le feu à un entrepôt avec de l’essence ? Nan parce que bon ce n’est pas comme si j’avais attendu tu vois. J’aurais pu me faire violer par ce truc-là, ou pire un ours. » Je l'écoutais silencieusement pour le moment en passant ma main libre sur ma petite barbe de trois jours. Un tic qui me permettait de garder mon calme dans certain moment. Je pense que je ne pouvais pas mieux comprendre que l'attente que je lui avais imposé ne lui plaisait pas, mais alors pas du tout. « Briny, calme tes ardeurs, j'ai compris. J'ai eu un gros problème avec un con, d'où ta longue attente. J'avais prévu des activités mais vu l'heure tardive, je pense qu'on va passer le reste de la soirée chez moi.. » Elle semblait plaisanter avec son possible viole mais si cela était réellement arrivé, je ne me le serai jamais pardonné. Jamais. Après plusieurs minutes de route, je me garais enfin dans le parking souterrain de mon immeuble. Avec rapidité, j'enlevais les clés de la serrure et me dirigeas vers sa porte que j'ouvris alors avec un large sourire. « Désolé. » C'était sincère. Les lumières du parking me permettaient de distingué les formes parfaites de mon hôte ainsi que sa tenue et son jolie minois. Elle est belle, très belle. « Je prendrai une rapide douche une fois dans l'apparte alors je te préviens fais comme chez toi.. Mais ne fouille pas, ok ? » Fouiller partout oui, mais pas dans ma chambre. De une elle est en bordel avec des magasines, des jeux vidéos et mon lit défait et de deux elle était tout simplement infâme. Une fois la jeune femme descendu du véhicule, je refermais la portière en barrant ma voiture cabossé, prenant tout deux les chemins de mon appartement.
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Cette soirée était pour le moment catastrophique. C’était surement le pire rencard que tu avais eu de ta vie, oui pire que la fois ou Jonny Stravinski avait perdu deux dents dans ta bouche pendant que tu l’embrassais, et t’avais bien failli t’étrangler avec. Et pourtant ce jour-là était surement un des plus dégueux que tu n’avais jamais connu. Toi tout ce que tu avais voulu c’était t’entrainer à faire des baisers avec la langue &tout &tout,pour faire comme les grands, puis lui avait tout gâché. Enfin bref. Tu boudais dans ton coin, regardant le paysage défilé sous tes yeux. De toute façon tu ne voyais rien, parce que maintenant il faisait trop noir pour pouvoir distinguer quoi que ce soit. Tu ne regardais même plus ta montre, sachant pertinemment qu’il était tard. « Mais ouai je te crois, dis tout de suite que t’avais oublié et puis voilà pas besoin d’inventer une excuse merdique. » dis-tu en fronçant les sourcils pas du tout convaincu par l’excuse bidon de monsieur. Il n’avait pas besoin de mentir, au point où vous en étiez cela n’allait pas changer grand-chose. On ne te la faisait pas à toi. Même si tout ne se déroulait pas exactement comme tu l’avais prévu, une petite partie de toi était curieuse de voir à quoi pouvait bien ressembler la garçonnière de monsieur. Disons que cela te donnait l’opportunité d’observer l’animal dans son habitat naturel. Après plusieurs minutes de routes, vous arrivèrent dans un parking. Grace à tes extraordinaires talents d’observation tu en déduisis que vous étiez arrivé. Tu acceptas ses excuses sans broncher. Le mal étant déjà fait. Le pauvre, il semblait tellement mal à l’aise, que tu ne voulais pas le tourmenter plus. Si, tu en mourrais d’envie, mais une petite voix intérieure te soufflait qu’il fallait se montrer plus sympa. Si ses dires étaient vrais, alors il devait être énervé et exténué. Tu ne voulais pas tenter ta chance de ce côté-là. Puis il était pleins d’attentions ce qui ne te laissait pas totalement indifférente. Il t’ouvra par exemple galamment la porte. « C’est pas grave. » soupiras-tu, la tempête passé. N’empêche que tu ne l’avais pas complèèèètement pardonné, ce n’était qu’une façade. On ne faisait pas attendre Brynn, voilà tout. Tu sortis de la voiture avec ta grâce naturelle, tenant encore fermement tes talons aiguilles dans les mains. Tu les enfilas aisément, le plus rapidement possible. Avec un peu de chance, il n’aurait pas vu l’état de tes pieds. Pleins de terre, moche, mais bon c’était sa faute alors voilà, chut quoi. « Tu me dis fait comme chez toi et j’ai pas le droit de fouiller ? T’es plein de contradiction monsieur Wilcox. » ajoutas-tu moqueuse, en penchant légèrement la tête sur le côté. T’étais une princesse, tu ne fouillais pas dans les affaires des autres, la base de la politesse. Surtout quand tu n’es pas chez toi. Disons juste que si des choses tombent miraculeusement sous ton nez, bah là c’est différent. Tu fixais le jeune homme avec intensité, tentant de comprendre les rouages de son cerveau. La faible luminosité du parking souterrain ne t’aidait pas dans ta tache, tu arrivais à peine à discerner ses traits. Même s’il n’était pas au top niveau beauté, tu ne pouvais t’empêcher de lui trouver un certain charme. Tu tentas de te rassurer, c’était surement l’effet essence et cambouis, genre qui te montent à la tête quoi. Tu restas impassible, ne montrant aucunes de tes émotions. Vous montèrent tous les deux dans l’ascenseur. Espace confiné. Si vous aviez l’esprit pervers –enfin lui là surement pas toi- vous commenceriez à vous imaginer des trucs cochons. Mais comme tu l’avais déjà explicitement dis la dernière fois que tu l’avais croisé, il n’aurait jamais rien de toi. Inspiré par ce souvenir, tu t'approchas un peu de lui chuchotant d'une voix qui se voulait sensuelle. "T'as intéret à arranger la soirée, sinon tes lèvres toucheront celle du chien du voisin, pas les miennes." Tu étais quand même mal à l’aise, surtout à cause de la proximité, mais tu tentas de la cacher. Tu fus donc amplement soulager quand vous arrivèrent à l’étage du jeune homme. Tu ne disais toujours rien, restant silencieuse, l’observant. Tu espérais ainsi lui mettre une petite pression, juste pour te venger.


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« Mais ouai je te crois, dis tout de suite que t’avais oublié et puis voilà pas besoin d’inventer une excuse merdique. » Je ne cherchais pas à comprendre, préférant largement la fermé pour le moment. J'étais exténué par ma journée, et honteux de ce moment que je passais en compagnie de la jolie Cabot. Je détestais quand les choses ne se passaient pas comme j'avais prévu, comme ce qui était sensé se passer, selon mes propres plans. A cette heure-ci nous aurions du être dans un petit restaurant plein de charme dont les quelques spécialités sont juste sublime en bouche. Mais au lieu de cela je me retrouvais à barrer ma voiture en m'excusant auprès de la jeune femme. J'essayais en vain de paraître plus détendu mais n'étant pas un mec bourré de qualité en détenant un merveilleux sang froid, j'avais encore les nerfs avec ce connard qui avait embouti ma bagnole. « Tu me dis fait comme chez toi et j’ai pas le droit de fouiller ? T’es plein de contradiction monsieur Wilcox. » Je souriais alors en secouant la tête, j'étais bel et bien fatigué, jusqu'à m'embrouiller dans mes propres paroles, j'étais fort. Nous montions alors les quelques escaliers jusqu'à rencontrer un ascenseur étroit et pourtant si familier à mon goût. La promiscuité de nos deux corps n'avaient aucun effet sur ma personne, rien du tout, nada bizarrement. Bien trop occupé à rêver de ma douche et de l'eau chaude glissant sur mon corps, réchauffant ma peau par la même occasion que j'en oubliais tout le reste. J'étais juste impatient de retrouver mon chez moi, l'odeur que j'aime en priant tout de même que l'appartement ne soit pas dans un état lamentable. "T'as intéret à arranger la soirée, sinon tes lèvres toucheront celle du chien du voisin, pas les miennes." Pour une fois que je n'avais rien prévu, rien vu venir, rien pensé qui serait moins de dix huit ans, ayant des pensées saines, c'était Brynn qui s'y m'étais. Et c'est moi le pervers ? C'est le monde à l'envers sans rire ? Je souriais alors en coin en retrouvant mon petit air hautain. J'aimais jouer, beaucoup plus que prendre une douche ou je ne sais quoi. « Tu rêves trop des miennes pour ça. »  Dis-je en m'approchant de plus en plus de la jeune femme, jusqu'à ce que nos nez se frôlent avant de vriller sur le côté en voyant que les portes s'ouvraient. Je fis quelques pas et me retrouvait devant ma porte, que j'ouvris rapidement à l'aide de ma clé coincé dans mon pantalon. Je laissais alors grand ouverte ma porte afin que la jeune femme puisse rentrer en toute sécurité. « Je reviens, laisse pas les clés dehors surtout. » On se serait cru comme un couple dans leur propre appartement, prenant soin de l'un et de l'autre. La grosse blague en réalité. Je passais alors la porte de la salle de bain, la refermant et me déshabillant complètement pour rejoindre la douche. M’embaumant le corps d'une eau chaude, je me passais rapidement du savon sur le corps et sur le visage en essuyant les traces noirs de suie. Je fermais alors légèrement les yeux en savourant le premier moment de détente depuis ce matin. Enfin un peu de moment pour moi, mais pensant rapidement à Brynn, je passais au shampoing et finissais rapidement ma douche. Sortant, je m'essuyais à l'aide s'une serviette trouvé dans un placard avant de m'apercevoir que je m'étais bien trop vite précipité puisque je n'avais aucun vêtement sec et propre dans les parages. C'est donc silencieusement, que j'enfilais ma serviette autour de ma taille, mais étant donné que celle-ci était bien trop courte, un bout de mes fesses étaient dévoilés. Je me faufilais alors hors de la pièce en rejoignant ma chambre sans savoir où Brynn se trouvait. Une fois à l'intérieur, j'enfilais un boxer, un short et un tee-shirt blanc tout simple. Je sortais alors de ma chambre, cette fois-ci pour me rendre dans le salon. « Tu dois mourir de faim, non ? » Je l'a retrouvais avec un visage visiblement blasé. Merde. Elle se faisait chier, c'est ça ? Je passais rapidement ma main dans mes cheveux encore humide, gêné. « Tu me suis ? Je crois qu'on va devoir la faire à deux finalement.. » J'avais mis de côté le plat de ma soeur, oui je trouvais ça plus amusant de préparer quelque chose avec elle, ça pouvait peut être créer un moment intéressant. Je souriais alors de toutes mes dents, me trouvant beaucoup mieux dans mes baskets. J'étais à l'aise à présent.
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Nan tu ne rêvais pas du toouuut des siennes c’était comme embrasser un caniche nain aveugle, dégueulasse. Cela n’arrivait que dans tes pires cauchemars. Vous aviez à peine franchi le seuil de la porte, qu’il s’éclipsa, te laissant là seule, comme un gros tas devant l’entrée. Pas comme si tu l’avais beaucoup vu depuis le début de la soirée de toute façon. En entendant ses mots, tu levas les yeux aux ciels. « Duh tu me prends pour une débile ou quoi ? » Tu étais peut-être blonde, mais il y avait des limites. Tu retiras ces dernières que tu posas là où tu pouvais c’est-à-dire sur le sol. Il allait bien se débrouiller comme un grand pour les retrouver. Tu donnas même un petit coup de pied vengeur pour qu’elle glisse dans un coin plus sombre. Puis, tu fis quelques pas hasardeux, ne sachant pas trop ce que tu devais faire. Bah oui tu n’avais pas le droit de fouiller, mais il fallait faire comme chez toi. Tu parles d’indication. Tu débarquas dans la cuisine, et tu continuas ta visite. Visiter ce n’est techniquement pas fouiller. C’était pas trop moche comme endroit, intéressant. Tu poussas une autre porte et tu déboulas dans une chambre, puis une autre. Charlie devait donc avoir des collocs. Tu tentas de deviner laquelle était la sienne, mais rien ne te vient à l’esprit. Dans ta tête il devait surement avoir des posters des one directions accrochés de partout, ou genre une collection de hello kitty. C’est à ce moment-là que tu entendis un bruit provenant de derrière toi. Instinctivement tu te cachas derrière la porte du couloir. Monsieur Wilcox débarqua quelques secondes plus tard, à moitié nu. Sa dégaine te faisait bien rire intérieurement. Tu te serais bien esclaffé mais bon, là il fallait faire profil bas. Tu attrapas ton portable et décida d’immortaliser ce moment en photo. Pas parce que tu étais une perverse qui allait baver devant son écran, et dormir avec son portable , non. Disons que cela pouvait toujours servir un jour. Puis tu devais bien l’admettre il avait de joli fesses, que tu avais déjà malheureusement eu le bonheur de voir lorsque vous étiez tous les deux à Grenade. Tu attendis qu’il rentre dans sa chambre pour regagner comme si de rien était le salon. D’humour potache, tu aurais bien voulu lui envoyer un sms avec la photo en mode joli fesse, mais tu n’avais pas son numéro. Vraiment trop nul. Tu soupiras. Puis le miracle se produisit, avec le peu de batterie qu’il te restait tu envoyas un message à Leevy, une amie cabot. Elle, tu en étais sûr devait l’avoir. Toujours fidèle au poste, même à cette heure tardive, la rose te répondit rapidement. C’est ainsi que tu utilisas le reste de ta batterie, à lui envoyer cette photo au cadrage merdique. Tu signas « anonyme, aka une fille qui te veut du bien. » le tout avec un petit smiiley pervers. Et voilà que ton portable s’éteignit, il avait fait son job pour la soirée. Tu le rangeas dans ton petit sac et attendit dans un silence religieux. Charlie n’allait pas tarder, enfin tu l’espérais.
« Nan mais t’as de la chance, je me suis nourri des feuilles présentes sur les buissons en t’attendant. » tu avais-dit ça avec humour, un pâle sourire aux lèvres. Oui tu ne manquais jamais une vanne quand tu en avais l’occasion. Tu le suivis jusqu’à la cuisine que tu avais découvert quelques minutes plutôt. « Quand tu dis à deux c’est genre tu fais et je te regarde ? » demandas-tu avec espoir. Remarque s’il voulait manger de la bouffe cramée et s’intoxiquer c’était son problème. « Mais pas un truc compliqué hein. » ajoutas-tu telle une enfant qui était obligé d’aider ses parents.

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La peau encore toute fraîche et la bonne humeur retrouvé, un sourire honnête retrouvait rapidement sa place sur mon visage. Je me sentais beaucoup plus à l'aise et pour le coup, je n'avais plus du tout l'air d'un clochard. Mais alors que j’incitais la jeune femme à m'aider pour faire la cuisine et dans un même temps partager un moment à deux, mon portable posé dans ma poche vibra, me forçant à le sortir. Un numéro inconnu ? J'ouvrais alors le message en toute innocence quand mes yeux s'écarquillèrent progressivement en voyant une photo de moi, le cul à l'air et visiblement une photo prise récemment. La raison de cette impression ? La serviette, du moins ça couleur, mon grain de beauté, et tout simplement l'endroit que je reconnaissais. Des milliers de petits frissons s'emparaient progressivement de mon corps. Étais-je épié ? Personne ne se trouvait là pourtant sauf.. Brynn ? J'arquais un sourcil en étant dubitatif ça à mes pensées. Elle ne possédait pas mon numéro, mais dans un même temps, elle semblait la seule personne présente dans cette appartement. Soit j'étais fou, soit j'étais radicalement paumée. Ou quelqu'un m'espionnais. Mais je n'étais pas assez parano pour le croire. Ce ne pouvait être que Brynn, non ? Si c'était le cas, j'apprenais tout simplement qu'elle m'avait bien regardé, et plus précisément mon fessier bien bombé. Pas intéressé hein ? Mon cul.. ouais. (a) Et c'est avec un sourire en coin que je m'approchais vers elle en lui montrant l'écran de mon portable. Je voulais voir sa réaction, si ses gestes allaient l'a trahir ou non. « Très joli photo tu ne trouve pas.. Ça ne te paraît pas familier ? » Dis-je dans le plus grand des hasards. Je m'approchais par la suite de plus en plus d'elle, la poussant à se reculer jusqu'à ce que son bassin heurte l'évier. Je posais alors mes mains de chaque côté en prenant soin de frôler ses bras au passage. Peau douce et lisse. « Nan mais t’as de la chance, je me suis nourri des feuilles présentes sur les buissons en t’attendant. » Encore une pique. J'allais entendre ça jusqu'à la fin de ma vie, à coup sûr. Elle devrait pourtant voir ça d'une autre manière, ça nous donnait un souvenir commun. Un lien commençait peu à peu à nous unir mine de rien. « Tu as du avoir froid, non ? Tu veux peut être que je te réchauffe, j'ai le sang chaud. » Les yeux plantés dans les siens, le Charlie dragueur venait de reprendre du service en la provoquant. Je m'amusais plus qu'autre chose. Je voulais voir, scruter sa réaction, et surtout comprendre comment elle marchait. Y'avait pas de mode d'emplois avec Brynn, elle défiait d'ailleurs tous ceux qui avait osé dire l'inverse. « Quand tu dis à deux c’est genre tu fais et je te regarde ? Mais pas un truc compliqué hein. » Je secouais furtivement la tête en étant parfois excédé par ses réactions mais rapidement elle céda et une petite motivation semblait naître au creux de ses pupilles. « Si tu te débrouille bien, tu auras peut être un bisou. » J'aimais faire référence à notre petite interaction l'autre jour à la plage où je l'avais insulter de gamine avec une violence frappante. Trop excessif, c'est ce qu'on me dit souvent. « Tu vas t'appliquer, n'est-ce pas ? » Mes mains se rejoignirent alors derrière son dos, me rapprochant un peu plus de son visage. De cette vu, je voyais nettement de beaux yeux bleus, un sourire craquant, et des dizaines de petites tâches de rousseurs adorables.
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Bref t'étais toujours au même endroit, planté là à ne rien faire. Tu attendais, encore. Tu avais l'impression d'avoir fait cela durant toute ta soirée, attendre charlie devant l'arrête de bus, attendre qu'il bouge enfin ses grosses fesses, attendre qu'il est fini de prendre sa douche, attendre qu'il te prépare à manger. On ne pouvait pas te reprocher le fait que tu n'étais pas patiente comme fille. Si sa technique de drague ne consistait qu'à cela, il allait finir seul toute sa vie le petit mec. Genre seul avec ses chats, sa bouteille de whisky à regarder la messe tous les jours à la télé pour finir à moitié à poil chez les voisins. D'ailleurs en parlant d'être tout nu, son portable se mit à vibrer. Tu étais euphorique, n'attendant plus qu'une chose qu'il ouvre le message. Ton message. Celui avec ses jolies fesses. Tu fis comme si de rien était, ouvrant quelques tiroirs de la cuisine pour voir ce qu'ils contenaient. À l'aide d'une cuillère, tu vis son regard intrigué. Enfin tu déduisis que c'était le cas, même si tu voyais juste ton nez décuplé en vingt milles dans le reflet. Vazy ça marchait d'habitude dans les films, encore une chose sur laquelle on te mentait.  À peine eus tu le temps de ranger le couvert, que Charlie te brandit son portable, sous tes yeux. L'écran était tellement près que tu ne pouvais pas vraiment l"éviter. Tu tentas de conserver une mine impassible, un peu la tronche que fait Gaga dans son clip Poker Face, unique référence dans le domaine. Tu pris le temps d'examiner la photo, pour le suspens quoi. Tu ne t'étais finalement pas si mal débrouillé, plutôt bon cadrage. "Pourquoi suis-je entrain de regarder une paire de fesse? Genre c'est ton truc? Tu montres la marchandise à tes conquêtes avant de passer à l'acte? Franchement est-ce que ça marche?...C'est photoshopé? Il ne vaut même pas le fessier de Pippa Middleton." Tu mentais telle une arracheuse de dents, t'enfonçant de plus en plus dans ton mensonge.  De toute façons vous saviez tous les deux que c'était toi. N'avait-il pas lu la petite note à la fin? Anonymous aka une fille qui te veut du bien?  
Le jeune homme semblait même se montrer joueur s'avançant de plus en plus près de toi. À croire que ce message signifiait tout autre chose à ses yeux, comme s'il était porteur d'un message implicite. Tu reculas vivement, jusqu'à finir coincé contre l'évier. Tu levas les yeux intrigués, ne sachant pas trop ce qu'il attendait. Tu sentis ses mains chaudes contre ta peau, quelques secondes à peine, mais cela t'avait suffi. Tu n'avais pas complètement oublié ce qui c'était passé sur la plage. Bien au contraire, les souvenirs étaient intactes, limpides et affûtés. Tu déglutis avec difficulté. La proximité, ses yeux plantés dans les tiens, n'arrangeaient en rien tes états d'ames. Ton coeur battait déjà à la chamade, tambourinant avec force dans ta poitrine. "Duh mais bien sûr que je suis bête, après avoir attendu dans le froid pendant vingt ans, attendre que tu sentes enfin la rose, et avec la faim qui me tiraille le ventre, la seule chose que je voudrais le plus au monde serait te faire un câlin." dis-tu comme si tu étais une débile, levant légèrement les yeux aux ciels. Hors de question de lui avouer que tu voulais sentir ses bras chaud tout autour de toi. Et voilà qu'en plus il t'offrait un bisous comme un on offre une carotte à un âne. Namého. "Je suppose alors que je serais sage." dis-tu d'une voix sensuelle, bien décidé à le mettre à son tour mal à l'aise. "Puis je m'applique toujours, dans tout ce que je fais." murmuras-tu à son oreille , rapprochant ton visage du sien, en insinuant par la même occasion des trucs coquins. Ouai tu en étais arrivé à ce stade c'était triste. Tu l'aimais peut-être plus que tu ne le souhaitais. C'était moche, pour toi. "Homme maintenant fait à manger veux-tu?" ajoutas-tu en passant une main dans ses cheveux mouillés.  
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Je n'aimais pas particulièrement recevoir des messages anonymes, surtout quand une image s'y trouvait, Je trouvais ça louche et très peu rassurant. Je m'étais d'ailleurs fait chopper avec ma professeur, il y a deux ans de cette manière. J'avais sur le coup pas tilté, du moins la réalité m'avais rattrapé le lendemain quand pour mon plus grand désarroi tout le monde avait reçu le même message. Viré rapidement de l'université, Havard m'avait accueillit par la suite les bras grand ouverts grâce à mes résultats positifs, très positifs même. Oubliant ce petit incident que je tentais de caché à mes sœurs. Oui, j'avais honte de ma conduite à cette époque, de mon comportement je m'en foutiste et de ma manière à draguer lourdement des jolies femmes alors que ça marchait. Cette professeure, que j'avais bien souvent visité, m'avais d'ailleurs suivis en pensant que j'étais prêt à m'installer. Du haut de mes vingt et un ans, ce n'était pas mon idée, j'avais encore bien trop de chose à vivre. J'avais donc brisé son pauvre petit cœur, et d'un point de vu de femme, mon comportement était semblable à celui d'un véritable connard. Autant dire que si Amber l'apprenais j'allais me faire tirer les oreilles. Et puis, de mon point de vu, ce n'était que du passé. Je n'étais plus le même. Ma famille m'importais beaucoup plus, et ma manière de draguer c'était affiné. D'où mon agacement par rapport à Brynn qui ne semble pas sensible à ce que je suis. C'était pas peine d'essayer pourtant. "Pourquoi suis-je entrain de regarder une paire de fesse? Genre c'est ton truc? Tu montres la marchandise à tes conquêtes avant de passer à l'acte? Franchement est-ce que ça marche?...C'est photoshopé? Il ne vaut même pas le fessier de Pippa Middleton." M'étais-je trompé ? Pourtant tout semblait à mes yeux la montrer coupable. Je fronçais les sourcils en posant mon portable derrière elle. Après tout, si la Cabot en question ne voulait pas l'avouer c'était son problème. Elle aime mes fesses, j'en suis persuadé. Je n'ai pas besoin du cul de Pippa, croyez moi. « Tu vois Brynn, pour une fois tu t'es piégé. Qui a dit que c'était mon fessier ? Qui d'autre peut savoir que c'est le mien à part celui ou celle qui a pris justement la photo ? » Pour une fois je me félicitais et j'étais assez content de son côté maladroit. Elle si belle et intelligente venait tout simplement de se livrer sans y prêter attention. Et putain que c'est bon sérieusement. « Et tu semble bien présomptueuse, ce n'est pas parce que je t'invite chez moi, et qu'on passe du temps ensemble que je veux passer à l'acte. Mes idées ne sont pas du tout porté la dessus te concernant. » Dis-je avec un sourire en coin en plaisantant bien évidemment puisque c'était tout le contraire la concernant. Mais j'aimais la taquiner et faire en sorte qu'elle ne puisse pas avoir le dessus sur moi en pensant qu'elle me plaît. Elle le sait pourtant, mais comme je le dis souvent, elle le sait trop. Mes yeux bruns plantés dans les siens, je regardais l'un après l'autre en prenant tout mon temps même si je mourais de faim intérieurement. Mais quand mon attention se portait sur quelqu'un je pouvais faire absolument abstraction de tout. "Duh mais bien sûr que je suis bête, après avoir attendu dans le froid pendant vingt ans, attendre que tu sentes enfin la rose, et avec la faim qui me tiraille le ventre, la seule chose que je voudrais le plus au monde serait te faire un câlin." Son ton légèrement ironique semblait me faire très bien comprendre que ce que je lui proposais ne l'intéressait pas. Mais d'un certain côté elle avouait avoir eu froid ? Peut être qu'elle était encore frigorifiée ? Je n'avais pas allumé le chauffage et les soirs, bien que nous soyons encore en été sont particulièrement froides. « Tu as encore froid ? Tu veux peut être que je te prête quelque chose ? Quelle idée de s'habiller de cette manière. C'était pour me plaire, je le sais bien mais tout de même..  » Après ma chemise, c'est peut être mon pull qui allait passer entre ses mains. Elle ne me connaissait que très peu et pourtant, elle faisait déjà le tour de ma garde robe. Resserrant mon étreinte sur son corps tout frêle de femme, je l'a prenais dans mes bras en caressant lentement d'une main son dos. J'avais laissé parler mon corps pour une fois, et c'était plutôt plaisant de sentir sa peau chaude contre de la mienne. De se mêler à son espace. "Je suppose alors que je serais sage." Hum ? Une voix attrayante et un souffle chaud se faisait ressentir près de mon oreille. « J'aime les petites filles pas sages aussi. » C'était sortie tout naturellement et sans vraiment grande subtilité. "Puis je m'applique toujours, dans tout ce que je fais." Elle cherchait, c'était dingue ça ! Elle voulait absolument que je craque, du moins je n'avais pas d'autres constatations à faire devant ce genre de comportement. On me souffle rarement de jolies mots à l'oreille en laissant prétendre à des pensées malsaines, ou du moins sexuelle. Le pire, c'est que ça m'excitais. Pas que ça ne m'arrive jamais dans ce genre de cas, mais sa voix sensuelle, nous tous les deux, dans un grand espace, ça arrivait plutôt bien à faire marcher mon imagination. Je l'admet. Je l'a serrais alors d'autant plus contre moi en sentant cette fois ci sa poitrine contre mon torse. Les jambes touchant les siennes. J'avais envie d'elle. Très envie. Tellement que je la dévorais du regard à présent. Son bassin se collait parfaitement au mien. Ses mains se promenaient avec douceur dans ma tignasse brune, ma peau frétillait. J'avais la chair de poule. Et mon cœur accélérait petit à petit. Une de mes mains toujours posé dans son dos, commençait à chercher sa peau en s’infiltrant à travers le haut qu'elle portait. Mes lèvres l’appelaient, et j'avais décidé de céder à la tentation. Quitte à faire le premier pas, j'en avais rien à foutre, il fallait qu'elle devienne mienne, c'était comme un besoin urgent. On réfléchira plus tard aux conséquences. Mais alors que j'étais sur le point de l'embrasser, son "Homme maintenant fait à manger veux-tu?" venait cassé mon excitation d'un seul coup. Homme suivit du verbe « faire à manger » ne voulait pas passer, et après tout ce qu'elle venait de prononcer pour m'exciter, je me retrouvais limite à bouder. Je me retirais alors de cette attirance provocante et dangereuse pour axer mon esprit sur le repas et qu'elle croit ce qu'elle veut, elle allait certainement m'aider à cette tâche. Je me dirigeais donc vers le frigo, l'ouvrant en me creusant les méninges pour trouver quelque chose à cuisiner.
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