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Samy ne pouvait plus s’arrêter maintenant, il avait retrouvé la douceur de ses lèvres, la douceur de sa peau qui lui avait tellement manqué. Ils étaient de nouveau dans leur petit monde que personne ne connaissait. Samy s’était collé contre elle, plaçant son membre dur contre sa cuisse alors qu’il caressait son ventre ensuite son sein et descendit à son intimité. Elle écarta les cuisses instinctivement et Samy la pénétra d’un doigt, connaissant son corps par cœur il savait ce qui la rendait folle. Cela n’était pas bien ce qu’ils faisaient, il pensait qu’Ivy allait le repousser, lui demander de partir, mais non elle continuer de l’embrasser, pousser des gémissements. Elle ne le repoussait pas. Il sentit qu’elle eu un orgasme, ses doigts vinrent se planter dans sa peau remontant a ses cheveux pour attirer son visage contre elle. Elle le fit basculer et se retrouva au-dessus de lui, ses lèvres vinrent parcourir son torse, elle retira son tee-shirt, Samy laissa ses mains parcourir son corps pour la caresser, il la désirer en ce moment, elle vint épouser son corps, même s’il n’était plus ensemble, elle le désirer toujours.
Elle finit par dire qu’elle ne pouvait pas, qu’elle était désolé, il vit les larmes couler sur son visage, Samy l’attrapa et la serre contre, mettant une main autour de sa taille et l’autre dans ses cheveux et lui embrassa les cheveux : « chuuuuuuuuuuuu, Tu en as le droit. C’est moi qui suis désolé. » Il resta comme ça deux seconde et posa son front contre le siens et essuya une de ses larmes : « Ne pleure pas, Ivy, ne pleure pas s’il te plait, car même quand tu pleures tu restes la plus belle. Je vais m’en allait d’accord. » Il la serra de nouveau contre lui.
Elle finit par dire qu’elle ne pouvait pas, qu’elle était désolé, il vit les larmes couler sur son visage, Samy l’attrapa et la serre contre, mettant une main autour de sa taille et l’autre dans ses cheveux et lui embrassa les cheveux : « chuuuuuuuuuuuu, Tu en as le droit. C’est moi qui suis désolé. » Il resta comme ça deux seconde et posa son front contre le siens et essuya une de ses larmes : « Ne pleure pas, Ivy, ne pleure pas s’il te plait, car même quand tu pleures tu restes la plus belle. Je vais m’en allait d’accord. » Il la serra de nouveau contre lui.
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