Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityroylee ❈ midnight only me and you - Page 2
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal


roylee ❈ midnight only me and you

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'y étais peut-être allée trop loin en le tuant? Oui sûrement, mais pas de mon point de vu. J'avais été élevée dans une famille tellement différente des autres que j'avais l'habitude des armes, des crimes et des meurtres. C'est vrai que j'aurai pu simplement le blesser pour le faire partir mais je voyais pas à quoi ça pouvait servir vu qu'il recommencerait encore et encore à me pourrir la vie. C'était lui qui avait fait de moi une femme manipulatrice, sans pitié et surtout une meurtrière. Et je ne voulais plus être tout ça, je voulais juste changer et c'est grâce à Royce que je me suis rendu compte de ça, lui au moins à le pouvoir de faire sortir mes bons côtés. Mais ce que je ne comprenais pas c'est qu'il puisse encore me prendre dans ses bras après avoir vu ce que je venais de faire. N'importe qui serrait partie en courant en criant au meurtre, mais non il était toujours là et il avait plutôt l'air de tenir la situation, il était beaucoup plus fort que je le pensais. Maintenant, j'étais sérieusement entrain de péter un plomb et j'crois que y'avait rien qui pourrait me calmer ni me changer les idées, je tournais en rond essayant de trouver une solution à tout ça mais j'en trouvais pas. Bon se débarrasser du corps c'était facile c'était quelque chose que j'avais fait plusieurs fois, c'est la suite qui m'inquiétait. Une fois que Royce me demanda de me calmer c'est ce que je fis, c'était pas le moment d'empirer la situation et puis je devais me concentrer sur Royce et seulement sur Royce, j'crois bien qu'en se moment il était la seule personne capable de me contenir. Je lui avais dit que si il voulait partir, il le pouvait. Ça me semblait tellement logique, pour moi ça serrait limite normal qu'il me déteste de l'avoir fait entrer dans mes histoires qui ne sont pas aussi inoffensive qu'il devait le croire. Une fois qu'il vint prendre mon visage entre ses mains je plongeais mes yeux dans les siens essayant de reprendre contrôle de moi-même et qu'on trouve rapidement une solution, j'hochais alors doucement ma tête, j'acceptais qu'il parte mais je le voulais pas, j'avais besoin de lui et j'étais totalement rassurée par ses mots. Merci.. Parce que j'ai vraiment besoin de toi là. Dis-je en le regardant déposant alors un léger baiser contre son front pour ensuite regarder le corps et hocher ma tête à ses mots. C'est clair que ça devait pas rester là, je récupéra alors rapidement une couverture où j'enroula ensuite le corps me foutant du sang partout mais bon là j'crois que c'était pas le plus gros problème, une fois le corps 'emballé' je reposa mon regard sur le brun. Je pense que la meilleure solution est d'amené le corps où travaille mon père, je vais faire comme-ci je l'avais retrouvé, ils se douteront jamais que c'est moi si je fais ça. Déjà je devenais un peu plus lucide en ayant cette idée, après tout si mon père été livré à ses hommes jamais ils ne penseront que j'y suis pour quelque chose hein? Et c'est clair que si je faisais ça j'avais besoin de Royce avec moi, dans se genre d'endroit un problème pouvait arriver à n'importe quel moment et là j'étais bien trop faible et dépitée pour réussir à me défendre seule.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je pouvais pas laisser Leevy, je pouvais pas partir comme un lâche après avoir assisté à la scène de meurtre. Après qu'elle m'ait sauvé la vie. Peut être que si j'étais resté à ma place, rien de tout ça ne serait arrivé. Leevy aurait surement négocier avec son père et il serait partis. Puis on se serait retrouvé dans les bras de l'un et de l'autre et on aurait continué notre soirée en amoureux. Mais là, j'avais tellement peur de ce qui allait se passer entre nous deux. Notre relation est la chose qui me rend le plus heureux, j'ai besoin de ça, j'ai besoin de Leevy et au fond de moi je l'ai toujours su. Certes, sa vie est différente de celle lorsque je sortais avec, puisqu'elle ne m'avait toujours rien dit. Maintenant que je sais, ça change tout. J'essayais de trouver une solution, je réfléchir intelligemment et de montrer à Leevy que pouvais faire usage de mon cerveau dans des situations graves. T'es sur de ce que tu fais? Car je te suis. j'étais son bras droit maintenant. J'allais lui donner un petit coup de pouce. Son idée était tellement intelligente que je trouvais ça trop beau pour être vrai. Mais ça détendait déjà un peu plus la jeune femme donc je n'allais pas plus l'inquiéter. Je voulais juste qu'elle soit sure. J'étais tout excité d'aller à l'endroit secret, là où la mafia travaillait. Mais j'avais quand même un peu peur. Qui sait? Peut être que j'allais devoir utiliser une arme à feu moi aussi, au moins pour me défendre. Je vais porter ça dans le coffre de ta voiture. lançais-je empoignant la couverture pour la tirer à l'extérieur, à l'abri des regards, il faisait tard et je voyais aucune lumière allumée. Je pris les clés de sa voiture et je portais le corps dans le coffre. J'étais surpris de voir qu'elle gardait toujours des armes, même ici. C'était une warrior ma meuf. C'était plus intelligent de prendre le véhicule de Leevy, ils ont l'habitude de le croiser non? J'attendis que la blondinette sorte pour m'asseoir sur le siège passager. Une fois assise au volent, je posais ma main sur sa cuisse. Je vais survivre hein? Ils ne vont pas essayer de me tuer? Et s'ils me reconnaissent? Donne-moi des conseils, dis-moi ce que je dois faire et je le ferais. je voulais être sure de ne faire aucune gaffe, j'avais pas envie d'empirer les choses. Je plantais mon regard dans le sien et je soupirais pour me détendre. Je pense que recevoir une arme à feu sur la tempe, ce n'était pas ma plus grosse frayeur. C'est celle de perdre Leevy. J'en revenais pas du courage qu'elle avait, ça c'est une femme les gars.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais pas le droit de péter un câble et de partir en vrille, pas maintenant en tout cas. Je devais réussir à gérer cette situation, après tout ce n'était pas nouveau tout ça pour moi, je devais donc pouvoir me débrouiller. Mais heureusement que Royce était là avec moi, si c'était pas le cas jamais j'aurais été capable de calmer ma rage et de reprendre le contrôle. Et j'étais surtout rassurée qu'il ne veuille pas partir, j'avais besoin de lui constamment, mais là encore plus. Après avoir enroulée le corps dans une couverture j'avais proposée de directement y aller et faire comme si j'avais simplement retrouvée le corps. Après tout qui pouvait croire qu'une fille pouvait tuer son propre père ? Personne, enfin si Royce à présent. Mais je savais que j'allais devoir jouer la comédie et faire comme si j'étais complètement dévastée par cette mort. Non je suis pas sûre.. Mais c'est la seule solution que j'ai. Dis-je d'un léger soupire, je savais que c'était pas très rassurant de dire ça mais il avait plus besoin d'être préservé, il était en plein dedans là. J'hochais alors doucement ma tête une fois qu'il partie avec le corps pour le mettre dans la voiture alors que j'allais rapidement essuyer le sang qui était encore par terre, si ça restait là j'allais en faire des cauchemars. Je me changea ensuite rapidement pour prendre des habits propre et non pleins de sang sinon ça allait vite se remarquer que c'était moi l'auteur du meurtre. Une fois prête je pris mon arme pour ensuite sortir et rejoindre Royce dans la voiture en m'installant côté conducteur. Je tournais alors mon regard sur sa personne en entendant ses mots, je comprenais qu'il s'inquiétait et je me sentais vraiment horrible de l'embarquer là dedans mais maintenant faut croire que c'est trop tard. Bien-sur que tu survivra et que ça ira. Maintenant qu'il est mort, c'est moi qui commande et ils savent que j'ai autant d'autorité que mon père et que j'aurai aucun remord à les tuer si on te fait quelque chose. Mais je vais te passer une arme au cas ou si ça ce passe mal et surtout fait comme si c'était ton domaine et montre surtout pas ta peur. Dis-je en lui faisant finalement un petit sourire pour ensuite démarrer la voiture et rouler jusqu'au QG de la mafia. Je restais silencieuse, je pensais encore et encore à comment ça allait se passer et j'espérais de tout coeur que tout irait bien. Une fois la voiture arrêté devant le grand bâtiment qui paraissait pour un lieu abandonné je posa mon regard sur Royce en inspirant. Merci d'être là pour moi et d'avoir la force de supporter tout ça. Dis-je en venant passer ma main contre sa joue pour venir l'embrasser, c'était sûrement pour nous donner un peu de courage. Une fois se beau baiser terminé je lui donna une arme en sortant ensuite de la voiture. Prêt?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Maintenant que le drame était fait, il fallait tout nettoyer, ne laisser aucune trace suspecte. J'avais porté ce cadavre de toutes mes forces et c'est bien la chose la plus horrible que j'avais soulevée. Il en fallait du courage pour faire cela et je me découvrais de jour en jour, je dépassais mes limites et bizarrement j'en redemandais tout le temps. Comme si je n'étais pas rassasié. Je fermais le coffre de la voiture et je frottais mes mains sur mon jeans, comme si j'essayais de me sentir un peu propre. J'étais pas fier de ce que l'on avait fait. Mais Leevy m'avait sauvé la vie et si cette balle n'avait pas atteint son père, je serais mort à l'heure qu'il est. Une fois dans la voiture, j'étais stressé. C'était l'adrénaline qui faisait son effet.,Je buvais les paroles de la mafieuse très attentivement. Un grand sourire enfantin se dessina sur mon visage. Cool, j'allais pouvoir utiliser une arme pour une vraie mission. Avant, je jouais pour du semblant. Mais que dis-je? Ce n'est pas un jeu. C'est une question de vie ou de mort et ça je l'avais bien compris. Ma copine m'apporta un peu d'affection avec un beau baiser pour nous donner du courage. J'avais envie qu'il soit interminable mais plus vite on en termine avec ça, plus vite on sera tranquille. Je passais mon pouce sur sa lèvre inférieure en la regardant intensément, comme si j'étais perdue dans sa beauté. C'est normal... je serais toujours là quoi qu'il arrive, l'oublie jamais. Je souris puis Leevy me donna directement mon arme. Je la fixais un moment avant de la porter. Que la partie mother fucker. Prêt. nous sortions de la voiture et je suivis dans le bâtiment. Cela pouvait sembler sombre et sinistre de l'extérieur, à l'intérieur c'était assez différent. Il y avait d'abord un long couloir où un air de piano se faisait entendre au bout de celui-ci. Plus on avançait, plus on pouvait deviner le morceaux. Puis finalement, il y avait quelques portes par-ci par-là mais j'étais incapable de savoir ou ça nous menait. J'avais fais quelques mètres que je sentais que mon orientation me jouait des tours. C'est pas grave, je suivais Leevy, je ne regardais qu'elle. Nous montions ensuite des escaliers qui donnait à une porte ouverte où certaines personnes riaient avec un rire sadique. Je lançais un regard inquiet à James Girl. C'était à elle de jouer maintenant. Moi j'allais faire celui qui n'avait pas peur et qui l'avait aidé à ramener le corps. En espérant qu'ils ne sachent pas qui je suis. La blondinette commença à jouer la comédie et j'imitais sa démarche jusqu'à ce que je vois le panneau d'affiche en face de moi. Il y avait deux-trois photos de Leevy et moi, assez intimes, on s'embrassait dans des endroits où j'avais du mal à me souvenir. Je restais paralysé devant ma photo qui était mise en valeur par un feutre rouge. J'hallucinais. Il y avait une ficelle noire qui reliait une autre photo... celle de ma soeur. C'était de la folie, mais les mafieux étaient tous concentrés sur Leevy et sa tragique découverte.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Royce était partie avec le corps et moi j'avais finalement trouvée une solution pour qu'on s'en sorte. Je savais que donner directement le corps au travaille de mon père c'était aller dans la gueule du loup mais je devais rester confiante et me dire que tout irait bien. Après nous plus nous faisions ça vite plus nous serions libre rapidement et là c'est clair que je ne rêve que d'une chose c'est de ne plus m'occuper de toute ces histoires, du moins jusqu'à demain parce que je savais que tout ça n'était pas finis, au contraire ça venait juste de commencer et j'en avais bien conscience malheureusement. Après avoir nettoyée tout le sang et m'être changée j'avais finalement rejoins Royce dans la voiture pour conduire jusqu'au lieu désiré. J’angoissais totalement et j'essayai de le montrer le moins possible ne voulant surtout pas inquiéter mon brun, mais en se moment je manquais vraiment de chance, et si le plan ne marchait pas et qu'on se faisait tuer ? Non un deuxième Cartwith ne pouvait pas mourir se soir. Une fois garée devant l'entrer j'avais donnée une arme à Royce pour ensuite lui dire tout ce qu'il devait savoir, si j'acceptais qu'il vienne avec moi c'était simplement parce que j'avais confiance et que j'étais certaine qu'il saurait gérer la situation et ça il me l'avait totalement prouvé se soir. il avait limite moins paniquer que moi, fuck j'suis trop fière de lui. Je lui lança un tendre sourire plein de remerciement une fois qu'il m'annonça qu'il sera toujours là, qu'est c'que ça fait du bien d'entendre ça. J'étais alors sortie de la voiture à ses côtés pour entrer dans l'immeuble, j'avais toujours adorée je savais pas pourquoi, sûrement parce que c'est digne d'un film et puis bon faut croire que mon père avait toujours eu un dont pour la décoration. Pendant le chemin j'avais tenue la main de Royce pour nous donner du courage à tout les deux, j'avais vraiment peur que ça tourne mal. Une fois entrée dans la pièce où je pouvais reconnaître les plusieurs hommes de mon père je prenais un visage froid et blessé, j'allais sûrement pas faire la fille qui pleure comme une nunuche, ils savaient bien que je n'étais pas se genre de fille et que même la mort d'un proche pouvait pas me faire défaillir. Enfin ça c'est ce qu'ils pensaient et tant mieux j'avais aucunement envie de me forcer à pleurer. Je l'ai retrouvé dans la rue totalement vidé de son sang, j'ai essayée de tout faire pour le sauver mais c'était trop tard. Dis-je d'un léger soupire alors que les hommes de mon père se montrait assez choqué, comment quelqu'un avait réussit à battre le grand patron hein ? Finalement je crois que j'étais la seule à en être capable. Je détournais un instant mon regard vers Royce pour ensuite voir à mon tour les photos ainsi que la photo de sa soeur. Je m'approcha alors pour tout décrocher et reposer mon regard sur les mafieux. Il est temps de faire un peu de ménage ici. Dis-je d'un faux sourire étant certaine qu'ils étaient bien trop abasourdis par ma nouvelle pour se rendre compte que les photos que je venais d'enlever étaient sur la relation que j'avais avec Royce. Hé mais attendez, lui là, c'est pas lui que votre père voulez tuer? Merde, merde. Je les regardais en arquant un sourcil croisant alors mes bras contre ma poitrine. Il est temps de mettre les choses au clair, comme votre patron est mort c'est moi qui prend la relève. Et si quelqu'un essaye juste d'effleurer Royce il est mort ok? Ici il dirige autant que moi, vous ne prenez aucune décision s'en nous en parler compris? Dis-je d'une voix autoritaire en les regardant chacun, je savais très bien ce qu'ils pensaient, comment une donzelle peut nous commander? Et ouais j'le fais quand même mon coco. Je finis par prendre rapidement le bras de Royce pour sortir d'ici, je savais qu'ils avaient cru à ce que j'avais racontée mais en voyant leur tête je savais qu'ils n'étaient pas d'accord que je prenne les commandes et il suffisait juste de me tuer pour qu'ils prennent la relève eux même. Fais comme-ci de rien été mais j'crois qu'il faudra courir dans pas longtemps. Dis-je en regardant le brun à mes côtés tout en marchant assez rapidement jusqu'à ce que j'entendis le bruit d'une balle, bon bah faut croire qu'il fallait courir plus tôt que je le pensais. Cours! Dis-je en y allant rapidement avec Royce, je savais qu'à deux nous étions fort mais ils étaient une vingtaine c'était même pas la peine d'essayer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leevy était douée, très maligne pour manipuler. J'ai même été victime de sa malhonnêteté lorsqu'elle m'a fait croire qu'elle avait un autre mec. Ce moment là, je l'avais maudit, je m'étais mis dans une colère pas possible. Est-ce que les mafieux qui écoutaient attentivement ses explications allaient aussi morde à l’hameçon? J'avais l'impression d'être dans un film. Qu'est-ce qui pourrait être pire que mourir fusillé par une bande de tueurs professionnels? Rien je pense. Leevy avait aussi vu les photos de nous deux, y compris celle de ma soeur et elle n'hésita pas une seconde à tout nettoyer. Oh mon dieu, ça y est, on est mort là, je pouvais faire mes prières. Moi je ne disais rien, je ne savais rien dire, je préférais me taire au risque de lâcher une bombe. Je laissais faire les femmes, elles ont plus de pouvoir que tout le monde le croit. Soudain, un mec baraqué énonça la possibilité que je soies le mec que monsieur Cartwith voulait tuer. Mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines, j'échangeais directement un regard avec Leevy pour qu'elle me dise ce que je devais faire. A ma grande surprise, elle ne niait pas leur hypothèse. Qu'est-ce qu'elle fout? Ils nous observaient tous comme des chiens enragés qui étaient prêts à nous bouffer. Pourtant, je restais anormalement calme alors que je n'entendais que les battements de mon coeur qui résonnaient dans toute ma tête. La jeune cabot me tira par le bras pour quitter cet endroit. Je soupirais en fermant un instant les yeux. Ah ouais, tu crois? lançais-je ironiquement. D'office qu'on allait devoir courir comme des lapins pour sauver notre peau. L'adrénaline augmenta encore lorsqu'on entendit quelqu'un essayer de nous tirer dessus. Je suis pas dans l'équipe universitaire de football pour rien, étant le meilleur kicker, j'étais réputé pour ma vitesse. Je me mis à courir aussi vite que j'ai pu. Leevy était juste derrière-moi, je tournais de temps en temps la tête pour vérifier qu'elle me suivait. Jusqu'au moment où je ne la voyais plus et je remarquais que j'étais perdu dans ce trou. Il faisait sombre et on entendait juste les mecs en train de gueuler. J'aurais aimé crié son prénom pour qu'elle m'entende, qu'elle me dise où elle était.  Mais à peine eus-je le temps d'avoir cette pensée, qu'une balle s'enfonça sur le mur juste à côté de mon oreille. Putain encore un peu et ce bâtard avait visé ma tête. Je reculais en saisissant l'arme que je gardais sur moi. Je continuais de courir puis je me souvenais enfin de cette pièce avec le piano. Je restais immobile en voyant un mec de dos qui s'apprêtait à tirer dans le couloir, comme s'il attendait que Leevy ou moi passions. S'il trouvait qu'il avait une bonne cachette, c'était raté. Je me rappelais comment elle avait fait pour désarmer son père et je fis pareil avec ce type. J'ai pas été aussi rapide qu'elle, mais je tenais son arme maintenant. Et comme j'adorais frapper, j'exécutais ma prise préférée. Je prenais sa tête et je l'envoyais contre le mur afin que son nez soit en compote. Plusieurs gars avaient déjà subis ça et c'était très désagréable. Pourquoi je l'ai désarmé en fait alors que j'avais une arme? Pour montrer à Leevy que je savais le faire maintenant. Je courrai à toute allure dans le long couloir et je quittais enfin cet endroit de fou.LEEVY! l'appelai-je car je ne la voyais pas. Si je restais quelques secondes de plus, j'allais crever. Elle était où bon sang? Je me ruais sur la voiture et je ne voyais personne.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'crois que je venais de faire une grosse connerie en faisant comprendre aux mafieux qu'à présent c'était moi qui faisait les règles, après tout c'était des hommes avec pas mal d'année de métier et aussi des hommes totalement macho, comment pouvaient-ils accepter qu'une petite blonde comme moi dirige tout un secteur de mafieux ? c'était clairement pas possible, c'est pour ça que je nous avais fait gagner du temps avec Royce en sortant vite d'ici sachant très bien qu'on allait vite partir à nos trousses pour nous attraper et ensuite nous tuer ou même nous torturer. Je courais alors assez rapidement aux côtés de Royce et heureusement il allait plus vite que moi, après tout si y'en avait un qui devait sauver sa peau c'était bien lui, après tout il ne méritait pas d'être blessé vu qu'il avait accepté de venir seulement pour m'aider. Et puis courir en haut talons même si j'avais l'habitude c'était pas toujours facile! Mais sans que je comprenne rien on attrapa mon bras pour me tirer dans une pièce, c'était le plus fidèle acolyte de mon père et tout en ayant attraper mon bras il avait réussis à récupérer mon arme. Connard. Pour le coup je ne m'inquiétais pas pour moi, je m'inquiétais plutôt pour Royce qui était maintenant seul face à tout ces gangsters. L'acolyte de mon père me regardais alors d'un regard malsain comme si il savait toute la vérité. J'étais vraiment dans la merde en sachant qu'il était armé et pas moi. Je n'hésitais pas une seule seconde pour lui donner un énorme coup de poing, je voulais vite régler ça afin de partir d'ici. J'avais essayée récupérer mon arme mais tout ce que j'avais reçu c'était une balle en plein l’omoplate. Mon dieu ça fait un mal de chien. Je grimaçais alors ayant pourtant l'habitude de cette douleur vu que ce n'était pas la première balle que je me prenais mais c'était toujours la même douleur. J'utilisa alors ma dernière force pour lui donner un énorme coup dans l'entre jambe pour rapidement sortir de cette pièce et courir pour sortir d'ici tout en essayant d'oublier l'arrière de mon épaule qui pissait le sang et en plus qui me faisait affreusement mal. Une fois sortie je voyais Royce saint et sauf, mon dieu comme j'étais rassurée. J'avais vu que le corps de la voiture n'était plus là et tant mieux nous pouvions maintenant partir et vite. Je lança alors les clés de la voiture à Royce me sentant vraiment pas capable de conduire avec la balle que j'avais toujours dans ma chaire, je m'installais alors rapidement dans la voiture. Vite, démarre! dis-je en lui criant pratiquement dessus mais je voulais vite partir d'ici. Une fois qu'il démarra je posais main où avait été tirer la balle pour éviter que mon sang coule encore. J'inspirais alors longuement, je voulais pas aller à l’hôpital on se poserait trop vite des questions, y'avait pas trop le choix il faudra que Royce m'enlève ça.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'était de la folie, je ne savais plus où je devais aller, ni ce que je devais faire à part courir et heureusement, j'ai finis par trouver la sortie. Mais une fois dehors, il n'y avait aucune trace de Leevy. Le coeur battant, le sang glacial, je fis le tour de la voiture pour la chercher et après avoir hurlé son prénom, je commençais à perdre espoir. Je fronçais les sourcils en voyant que le coffre était ouvert et que le corps avait disparu. Mmh, tant mieux? Je vis ensuite une chevelure blonde arriver à toute allure et celle-ci me lança les clés de voiture en m'ordonnant de démarrer. J'ai pas réalisé tout de suite qu'elle était blessé, ce fut une fois dans la voiture lorsque je remarquais qu'elle cachait une partie de son corps que j'ai eu des doutes. Qu'est-ce que tu as? Montre-moi. je tournais plusieurs fois la tête vers elle. Conduire rapidement et checker si ma copine n'était pas mourante, c'était chaud. Je craignais qu'ils nous suivent en voiture. Lorsque je vis du sang couler à travers sa main, je serrais les dents tellement fort que j'aurais pu les briser. Putain les enfoirés! je m'énervais en accélérant un peu plus, manquant presque de me prendre une autre voiture. Il fallait que je me calme là. Je me retenais de faire demi-tour et d'aller les buter. Quand je dis que personne touche à ma meuf, c'est personne. Le père de Leevy en est mort. Je regardais dans le rétro-viseur et je vis qu'on les avait semé, enfin, je savais pas s'ils nous suivaient mais il n'y avait personne derrière nous. Je pris donc la direction de l'appartement de Leevy pour m'occuper d'elle et essayer de trouver une solution. Je jetais encore un coup d'oeil et je grimaçais en voyant que son haut était presque devenu rouge avec le sang. Leevy tu m'entends hein? Tu me laisses pas, on est bientôt arriver, ça va aller. j'y croyais pas du tout. J'allais quand même pas l'amener à l'hôpital. Je n'osais même pas imaginer la douleur qu'elle devait ressentir. Je finis par garer la voiture n'importe comment une fois arrivé et je me précipitais de l'autre côté pour aider Leevy à marcher jusque chez elle. Je la déposais sur le canapé par réflexe et je retirais sa main de sa plaie pour regarder. Je fis deux grands yeux. C'est... dégouttant. J'ai fais mon brevet de secourisme il y a des années et je ne savais pas ce qu'il fallait faire quand quelqu'un se prenait à balle, à part appeler les secours. Mais c'était trop dangereux. Je courrais dans toute la maison pour enfin trouver la pharmacie à la salle de bain. Il y avait des compresses et des drôles d'ustensiles, comme si Leevy avait volé ce matériel à un chirurgien. Je revins vers elle et je déglutis en remarquant qu'elle avait les yeux fermés. Je m'agenouillais près d'elle et je tenais sa main. Dis-moi ce que je dois faire! lui  criai-je dessus pour qu'elle m'écoute. J'évitais encore de regarder le sang et je prenais son visage entre mes mains. S'il te plait, mon coeur... la fin de ma phrase était à peine audible et je collais mon front contre le sien. Une larme s'échappa et roula lentement sur ma joue. Je peux pas la perdre, elle a ce que j'ai de plus cher au monde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me doutais bien qu'il se passerait quelque chose et que nous n'allions pas laisser le corps pour ensuite nous enfuir aussi facilement. Quand je courais aux côtés de Royce j'étais certaine qu'on y était presque et qu'on allait enfin sortir de cette galère. Mais non je m'étais faite attrapée comme une pauvre idiote par un mafieux qui ne c'était pas privé pour me tirer dessus. D'un certain côté elle aurait pu être tiré dans mon coeur et j'aurai pu en mourir mais non j'étais toujours vivante même si cette balle me donnait une douleur tellement horrible qu'elle n'en était pas oubliable. Mais j'étais rassurée que cette balle c'était moi qui l'avait reçu et non Royce, après tout si je devais décider entre ma vie et la sienne ça serait la sienne sans hésitation. Après tout il n'avait rien demander de tout ça et maintenant il était en plein dedans. Et puis bon j'vais pas me mentir je méritais de me faire tuer avec tout les crimes que j'ai pu commettre dans ma vie, j'étais une âme destinée aux enfers, ça c'était certain. Malgré le manque de force que j'avais je réussis finalement à rejoindre la voiture pour grimper dedans et ordonner à Royce de démarrer. J'aurais préférée cacher ma blessure un peu plus longtemps mais il la remarqua assez rapidement ce qui le fit carrément péter un plomb en faisant même dérailler la voiture. Je posais alors mon regard sur lui en inspirant. Calme-toi je t'en pris, c'est rien.. Dis-je en essayant de le rassurer même si je savais que je perdais de plus en plus de sang et que c'était clair que je pouvais pas rester avec cette balle dans mon épaule. Pendant tout le trajet je restais silencieuse ma tête appuyée contre la vitre me sentant de plus en plus à bout de force, je crois que mon corps avait de plus en plus de mal à supporter une nouvelle balle. C'était la je ne sais combientième que je me prenais depuis que j'étais mafieuse. J'entendais alors les paroles de Royce qui me disait de tenir bon, je me sentais pas capable de parler tout ce que je fis c'est passer ma main sur sa cuisse pour lui faire comprendre que j'étais toujours là avec lui. Si je n'étais pas dans les vapes je me serrai rendu compte que Royce s'inquiétait vraiment pour moi et c'est clair que ça me touche, pour la première fois dans ma vie j'ai l'impression de compter pour quelqu'un. Oui j'ai des proches mais je sais pas avec Royce c'était différent. Il y a encore quelques mois je me serai sûrement laisser mourir parce que ma vie était des plus chaotique mais là je devais juste tenir pour lui, j'avais pas le droit de l'abandonner. Une fois que la voiture s'arrêta je me tenais contre lui pour finalement arrivé jusqu'à mon appartement pour qu'il me pose ensuite sur le canapé. J'essayais de rester éveillé le plus longtemps possible mais à cause du manque de sang je sentais mes forces me perdre de plus en plus. Pendant que le brun c'était éloigné je m'étais finalement laissé aller dans les vapes mais c'est quand j'entendis sa voix que je réussis à reprendre mes esprits, vous voyez il était ma seule force hein. J'ouvris alors doucement mes yeux en le sentant prendre mon visage entre ses mains, aller Leevy t'es forte et tu dois l'être encore se soir, si tu le fais pas pour toi tu le fais pour le mec que t'aimes. Essaye d'enlever la balle puis désinfecte et mets un pansement.. Dis-je d'une voix presque inaudible mon corps me suppliant pour que je ferme mes yeux et que je parte ailleurs. Je posais alors lentement ma main sur la sienne pour la serrer. Tu peux le faire, j'ai confiance en toi.. Lui dis-je d'un faible sourire rassurant, je savais qu'enlever une balle c'était pas une tâche facile il suffisait de l'enfoncer sans le faire exprès pour qu'il y est de plus gros problème, mais j'lui faisais confiance et je tiendrais le plus longtemps pour lui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Me calmer? Comment voulait-elle que je me calme? C'est impossible. Je me disais que tout allait bien se passer mais si déjà Leevy m'avait demandé de prendre le volant, c'était qu'elle n'était pas en condition de conduire. J'ai failli me crasher quelques fois à rouler n'importe comment mais pour finir nous étions bien arrivés à destination. Je portais Leevy jusque dans le salon et je la couchais sur le canapé. Tant pis s'il sera taché de sang, je pense qu'elle est assez aisée pour s'en acheter un nouveau non? Je ne savais pas quoi faire et je paniquais. J'avais trouvé une boîte à pharmacie et je réfléchissais à ce que je pouvais bien utiliser. La cabot perdait ses forces et je devais presque la secouer pour qu'elle reste éveillée. J'étais terrorisé à l'idée de la perdre. Il y avait déjà un mort ce soir, on avait pas besoin d'un avoir un deuxième. Imaginez qu'elle perde la vie. Je fais quoi moi avec deux cadavres sous le bras? J'essayais de ne pas trop y penser en me concentrant sur ce que disait ma copine d'une voix à peine audible. Je gueulais comme un fou et elle chuchotait. J'étais pas très rassuré. Je devais enlever moi-même la balle dans son corps. Oh oui j'étais inquiet. Et si je n'y arrivais pas? C'était notre seule solution. Je caressais sa main dans la mienne puis je la retirais pour me retrousser les manches. J'ai jamais fait ça... et si tu perdais encore plus de sang? mais Leevy ne me répondit pas et ce fut le déclic pour accélérer les choses. Je coupais son vêtement avec une paire de ciseaux pour mieux voir la profondeur de la blessure. Je m'emparais d'un instrument assez fin et précis pour pouvoir enlever cette saloperie. Mais je tremblais tellement que j'avais peur d'aggraver les choses. Je contractais ma mâchoire en essayant de me détendre. Comment voulez-vous qu'un bipolaire puisse être calme dans un moment de stress comme celui-ci. Allez, elle m'avait sauvée la vie, à moi d'en faire de même. Je soupirais en fermant un instant les yeux. Une fois mes esprits en place, je commençais l'opération. Après quelques secondes d'angoisse, je finis par l'attraper et la retirer délicatement. Là, j'étais content. J'ai réussi! mais encore aucune réponse de la belle. Je posais deux doigts sur son cou et je fus soulagé de sentir son pouls, elle étant vivante. Rapidement, je nettoyais la plaie comme je pouvais, même si du sang coulait toujours. Je désinfectais le tout et je lui mis soigneusement un pansement. J'avais fait ce qu'elle m'avait dit. Je vis au loin le ciel s'éclaircir. Il était passé quatre heures du matin. Et dire que je devais dormir dans ses bras à cette heure. Je me sentais bien seul tout à coup. Je ne savais pas si Leevy dormait, si elle avait perdu connaissance ou si elle était en train de mourir. Je nettoyais ce que j'avais utilisé pour effacer toutes traces de sang. Je portais ensuite ma copine jusque dans sa chambre pour l'installer confortablement dans son lit. Je passais des heures et des heures à rester couché près d'elle, à vérifier si ses poumons se vidaient toujours d'air. Je luttais contre la fatigue mais le sommeil me poussa dans les bas de morphée et je m'endormis en faisant d'affreux cauchemars.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)