THÉLIA 《When you're close, I shiver 》

Les choses avaient prit une tournure assez exquise en quelques instants même pas. Dire que tout c'était enchaîné avec une rapidité qui me coupait le souffle. Et si jamais j'avais osé tout coupé dans la douche, j'avais décidé de tout reprendre sur son lit. De ce fait, ma libido en avait prit un sacré coup lorsque sa serviette s'était échappé de son corps nu, me laissant une belle vue sur celui-ci avant que j'eus néanmoins réussi à la faire rire un tant soit peu avec une phrase sur mes sentiments. La basculant sur son lit tout en dévorant ses lèvres, celle-ci termina de m'ôter le peu de vêtements qui recouvrait ma propre nudité mouillé avant de se charger de retirer le barrage que constituait sa serviette entre nos deux corps. Finalement, je la lui retirais entièrement alors qu'elle échangeait nos positions afin que je me retrouve sur le dos et qu'elle puisse me torturer à sa guise avec Bobby. Et je devais avouer que j'appréciais toujours énormément ce qu'elle me faisait mais pour le coup j'étais tellement dans un autre univers que je savais que mes capacités étaient limitées. Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés dans une telle situation tous les deux, avec mes souvenirs et nos sentiments de présent, que l'excitation était multipliée par dix dans tous mes organes et tout mon corps. Prenant ensuite place assise comme je le pouvais après avoir stopper ses mouvements de main, mon visage se retrouva à la bonne hauteur de sa poitrine que j'embrassais avidement tandis que les mains de la jeune femme s’entremêlaient parmi ma chevelure courte, m'émoustillant toujours plus chaque fois que nos peau entraient en contact et se décollaient. Je glissais finalement les mains le long de son corps, avant d'arriver à toucher intimité pour savoir si elle était prête ou non. Ayant assimilé un oui pour réponse, je modifiais légèrement notre position, venant à la pénétrer doucement sans presque la prévenir, ce qui me provoqua un grand sourire lorsque mes oreilles entendirent le cri qu'elle poussa comme effet de surprise. J'étais tellement avide d'elle, que je me passais volontiers de tout le reste. Néanmoins, la position ne me permettait pas de faire grand chose, si bien que je lui laissais les rênes alors qu'elle venait à m'embrasser, mordillant mes lèvres tandis que je sentais comme le souffle me manquait. Elle bougeait son bassin comme personne, et je lâchais de temps en temps des gémissements rauques, qui lui prouvait comme j'aimais ce qu'il se passait entre nous. Puis soudain, elle me bascula en arrière, entremêla une de nos mains respectives avant d'attraper celle que j'avais de libre pour la coller sur son sein et me faire encore plus gémir. Elle était en train de me tuer tandis qu'elle bougeait toujours autant au fur et à mesure qu'elle embrassait mon cou. Je tendais évidemment d'en faire de même chaque fois que mes lèvres pouvaient atteindre un bout de sa peau. Puis après plusieurs autres minutes durant lesquels le bord du précipice se rapprochait, je me laissais tomber dedans en compagnie de la jeune femme. Comprenant réellement le sens de cet instant, je songeais que nous avions atteint le septième ciel ensemble, ce qui était une grande première. « Elia... » Mon cœur battait à tout rompre et j'étais plus essoufflé encore qu'après un marathon. J'enroulais alors mes bras autour de la jeune femme afin de la maintenir contre moi tandis que je me retirais doucement, la laissant reprendre son souffle sur mon torse, tandis que mes doigts caressaient la peau de son dos en large va-et-viens. « Je crois que je peux mourir en paix.. » Le grand sourire aux lèvres, j'embrassais ensuite son visage, ses paupières, ses joues, ainsi que ses lèvres, ne songeant pas encore aux conséquences.

Bon et bien voilà c'était fait. L'inévitable c'était produit, ce que je redoutais tant était arrivé. En effet, je venais de coucher avec mon ex-fiancée. Encore. Mais avec les sentiments et les souvenirs à leur place cette fois-ci. Si elle avait tout initié dans la salle de bain, j'avais finalement tout continué sur son lit mais je lui avais en revanche laissé prendre les rênes pour qu'elle puisse contrôler la chose et l'instant du moment. Et je devais reconnaître que ça avait été bon, même très bon comme à notre fabuleuse habitude d'antan. J'étais littéralement heureux de constater que malgré les mois de séparations et la rancœur, rien n'avait changé entre nous dans cet endroit-ci. Ou peut-être que si, les choses avaient fini par s'améliorer. De mon point de vue dans tous les cas. Elle avait réussi avec les mouvements de son bassin à m'entraîner jusqu'à une falaise de laquelle j'étais tombé en sa compagnie avant que ses lèvres ne viennent une fois de plus accaparée les miennes. J'avais alors prononcé difficilement son prénom à bout de souffle et je croisais mon regard vert avec le sien tout en y lisant sa question muette. Je décidais néanmoins de la laisser rhétorique alors que je venais à l'enlacer entre mes bras, embrassant son visage par la suite, lui faisant en quelque sorte comprendre à quel point la chose avait été spéciale et bien. «  Ca faisait longtemps que j'en avais envie » me disait-elle avec une voix qui me força à rencontrer la vue de son visage avant de m'arracher un grand sourire. « Ah oui.. ? Alors pourquoi ne l'avais-tu pas dit bien avant ? » Ben ouais, du genre elle pouvait se ramener à n'importe quel moment et me sortir un truc du genre, Théophyl j'ai envie de toi ! Moi j'étais preneur, surtout si c'était pour récolter des moments aussi spéciaux que celui-ci. « Oublie pas que tu me dois toujours un massage » Se plaçant à mes côtés, je levais les yeux au ciel, me sentant complément vide sans sa présence au-dessus et ni même avec la couverture qu'elle plaça au-dessus de nous. Néanmoins, je ne savais plus quoi faire, assez gêné par la situation. Devais-je rester là avec elle ? Ou tout simplement lui dire que je m'en allais ou que voulait-elle ? « Tu veux peut être boire ou manger quelque chose avant de devoir jouer au masseur ? » Dans tous les cas à un moment donné il allait bien falloir que je m'en aille. « Euh, non merci, c'est gentil. » Je ne savais plus quoi faire et je ne voulais certainement pas qu'elle voit mon malaise. Et me retrouver nu comme ça à ses côtés était bien plus que perturbant. « Tu permets un instant ? » Me levant, je marchais doucement et d'un pas assuré vers la salle de bain assumant totalement ma nudité avant d'y enfiler le boxer que j'y avais laissé, et récupérer dans une main le reste de mes affaires et de dénicher une espèce de crème hydratante qui ferait probablement l'affaire. «  Mets-toi sur le ventre... » lui disais-je tandis que je revenais dans la chambre avec mon entrejambe bien au chaud et que je déposais mes affaires dans un coin. Je m’asseyais donc par la suite à califourchon sur mon postérieur sans vraiment trop m'appuyer, retirant la couverture jusqu’à la naissance de ses fesses avant d'étaler un peu de crème dans mes mains et de les étaler sur son dos, commençant de long va-et-viens. « Dis-moi ce que tu préfères et je te le ferais... » Ma voix avait sonné bien plus érotique que je ne l'aurais voulu et cela m'arracha un nouveau grand sourire.    

Non, en général les meilleurs amis ne se retrouvaient pas nus l'un à côté de l'autre dans un lit après avoir passé un agréable moment ensemble. Non, à moins d'être des sexfriends ou quelque chose dans le genre. Hors, ce n'était pas mon cas avec Elia et nous n'en avions même pas parlé de ce genre de chose. Au contraire, les choses avaient dérapé seules et les conséquences étaient que nous avions fini dans son lit. Je ne me rendais presque pas compte que je continuais d'être tendre avec elle, et surtout que mes baisers ne diminuaient pas malgré que le moment soit terminé. «  Peut être parce que tu voulais plus de moi et que j'étais énervée et donc je ne voulais pas même si j'en avais envie, ou parce qu'après on était censé être amis et que les amis ne font pas ça et que je me vois pas venir te dire tiens je veux qu'on couche ensemble pour finir par être un simple plan cul. » Elle m'avait regardé en me sondant avec son regard et je n'avais pu que hausser les épaules avec un sourire malicieux. Elle avait raison, évidemment mais j'étais un comique inné et je voulais toujours avoir le dernier mot. « Tu m'aurais dit de telles choses je ne t'aurais jamais repoussé. Qui pourrait te repousser, tu es Elia Kovalevski, tout le monde veut de toi. » Moi aussi, mais sûrement pas dans le sens qu'elle voulait de moi. Enfin je l'avais voulu et je savais que je le voulais encore, mais la faire souffrir encore plus était hors de question dans mon esprit. Hors, je ne savais faire que ça. « Dans tous les cas maintenant tu sais que tu peux venir me chercher quand bon te semble. » Je me mis alors à rire, attendant à ce qu'elle me tape encore, comme elle le faisait d'habitude quand je disais des conneries. Puis finalement, elle me rappela qu'elle voulait un massage et je sortais du lit pour me rendre dans la salle de bain -non sans avoir préalablement ris au sifflement admiratif qu'elle avait laissé échapper de ses lèvres en admirant, je n'en doutais pas, ma nudité- avant de revenir dans la chambre avec une crème et de lui dire de se mettre sur le ventre pour que je puisse m'asseoir à califourchon sur elle et lui masser le dos. Elle avait un dos fabuleux et je n'avais qu'une envie qui était de retirer la couverture qui couvrait sa nudité et embrasser son postérieur et ses cuisses et j'en passe de penseés érotiques qui me trottaient dans la tête. Secouant celle-ci, je lui demandais ce qu'elle aimerait. « Ce que tu veux, fais moi ce que tu veux. » Haussant les sourcils avec un grand sourire, je commençais mes va-et-viens sur sa peau avec délicatesse, aidé par la crème que j'avais trouvé. « Je veux dire, je suis pas difficile, j'aime tout ce que tu fais, j'aime tes massages. Comme ça c'est très bien, si jamais je réponds plus par contre c'est normal c'est que tu es tellement douée que je me serai endormie. » Je me mis alors à toussoter. « Trop de compliments..Je vais finir par rougir ma chère. Et si tu dors..je pourrais abuser de toi comme ça. » Me mettant un peu à rire, je continuais mon ''massage'' descendant parfois sur la rondeur de ses seins que j'avais de vue que sur le côté, descendant délicatement mes doigts sur ses flancs, venant à les reposer sur sa nuque et tantôt jusqu'à la naissance de ses fesses. « Ça va...tu aimes ? » Non parce que moi dans mon boxer c'était la fête du 4 juillet. À force de la toucher, mon envie pour elle revenait. C'était mauvais signe. « Aucune chance que quelqu'un ne vienne ? » lui demandais-je en regardant sa chambre qui commençait à flotter dans la pénombre. Jamais je n'aurais cru me retrouver à nouveau dans ce genre de situation avec elle, mais bon, je n'allais pas m'en plaindre.

Des dérapages ça pouvaient exister, non ? Et deux amis qui franchissent la barrière des draps et qui décident aussi de rester amis sans que rien ne change dans leur relation aussi, non ? Ouais, en attendant il n'y avait que moi que j'essayais de convaincre. «  Tu exagères je crois et puis parfois avoir tout le monde si on a pas la bonne personne, c'est nullement intéressant. » J'haussais les épaules prouvant mon désintérêt, mais surtout pour ne pas à avoir à admettre que j'avais compris son sous-entendu et qu'elle avait raison. Nous pouvions posséder des vêtements de toutes les couleurs, mais si c'était qu'un vêtement noir qui nous intéressait, le reste avait juste un aspect fade. « Non je n'exagère pas. » Évidemment à la réplique que j'avais eu l'audace de lui sortir et qui formulait la pensée ''viens me voir quand tu veux et je te ferais ta fête'' je me ramassais un nouveau coup. Je la connaissais trop bien désormais et je savais prévoir ses faits et gestes. Enfin, les plus simple du moins. Me rappelant par la suite qu'elle voulait un massage, j'étais parti rapidement dans la salle de bain avant de revenir pour m'asseoir sur son postérieur et lui administrer un bon massage tout en lui demandant ce qu'elle préférait que je lui fasse, la narguant ensuite en lui disant que si jamais elle arrivait à s'endormir, je serais là pour abuser d'elle. Sa réaction ne se fit pas prier et je me ramassais un nouveau coup sur la cuisse, m'arrachant plusieurs éclats de rire. « Ben quoi ? Ah non..tu préfères sûrement être bien réveillée pour bien ressentir ce que je te fais.. » murmurai-je d'une voix douce et chaude avant de caresser le côté de l'un de ses seins. Je ne savais pas si la toucher comme ça lui faisait de l'effet, mais pour moi c'était certain. Ah non, rectification. Que je la touche lui faisait de l'effet vu comment qu'elle gigotait chaque fois que mes mains venaient et allaient sur des endroits bien précis. « J'adore tu veux dire. Ca te dit pas que je t'embauche pour me masser une fois par semaine et je te paye ? » L'accompagnant dans son rire, je ne pus m'empêcher de riposter. « En nature alors ? » Non car jamais je n'accepterais de l'argent de sa part. « Non pourquoi ? T'as peur que mon frère arrive et te voix en boxer sur moi alors que je suis nue ? Il entre pas dans ma chambre sans frapper et Matys il est chez un ami. » J'haussais les épaules tout en continuant mes mouvements, admirant sa peau blanche et douce. « Ben..Je n'ai pas envie de créer l'apocalypse quoi. Et ça m'embêterais de me battre avec ton frère. » Et je pouvais rapidement avoir le dessus, elle le savait. Elle m'avait déjà vu prendre le dessus sur son meilleur ami lors du festival de fin d'année et connaissait quelques-unes de mes capacités. «  Tu peux arrêter si tu veux, c'était vraiment super, mais si tu veux continuer te gêne pas hein. Ni te sent pas de rester plus, t'as peut être envie de retourner dans ton appartement. » Soupirant, je songeais qu'elle avait raison. Me décalant, j'étalais la crème qu'il me restait sur les mains sur mon propre torse, avant de la fixer avec une expression bête sur le visage. «  Écoutes...Ce que nous avons fait...Ça a changé quelque chose pour toi ? » Notre amitié était assez fragile comme ça et je n'avais pas envie de la perdre. Me mettant debout, je commençais déjà à récupérer mes affaires afin de me rhabiller, un peu nerveux.

Les choses devenaient décidément terriblement complexes entre nous et je ne savais pas vraiment comment gérer la chose. À vrai dire, plus j'y pensais et plus j'en venais à la conclusion que jamais je ne pourrais avoir une relation saine et stable avec la jeune femme. Jamais nous ne pourrions avoir une amitié normale, quelque chose de simple. Il y avait définitivement beaucoup trop de choses entre nous. Tension, colère, sentiments, non-dits et j'en passe. Je ne savais pas d'ailleurs comment les choses se déroulaient dans son fort intérieur mais j'avais le sentiment d'être aussi identique qu'une cocotte minute prête à exploser. Ok, je me compare à des trucs féminins, chez moi il n'y avait définitivement pas la lumière à tous les étages. Néanmoins, je décidais de passer outre la chose et de jouer l'indifférence, plaisantant même. «  Autant prendre du plaisir consciemment non ? » me disait-elle avec une légère pointe d'ironie qui m'arracha un grand sourire. « Totalement. » Parallèlement, mes mains se baladaient toujours sur son corps tandis que je la massais délicatement savourant le contact de sa peau sous mes doigts et puisqu'elle me proposait de me payer pour la masser, j'en profitais pour y glisser une petite pique taquine qui la fit rire pour mon plus grand contentement. «  Si tu le proposes si gentiment pourquoi refuser ? » Haussant les épaules, je constatais trop tard qu'elle ne pouvait pas me voir de là où elle se trouvait et j'en profitais pour reporter le sujet sur son frère. « T'as peur qu'il te met une raclée ? » Je me mis alors à tousser de façon suggestive avant d’émettre un petit sifflement. « Ou l'inverse. Et là tu seras bien malheureuse et je ne veux certainement pas que ça recommence...pas par ma faute. » disais-je finalement avec une pointe de tristesse mélanger à celle de la culpabilité. Je lui en avais déjà assez fait voir de toutes les couleurs et il était hors de question que je ne continue, d'une quelconque façon. Finalement la jeune femme me permis de récupérer ma plus ample liberté et je me décalais sur le côté, sortant même du lit afin d'aller me rhabiller tranquillement. J'avais tellement peur qu'elle ne prenne mon départ pour le cliché du ''on a fait ce qu'on a fait, merci et à bientôt !'' Hors je n'étais pas comme ça et je serais probablement resté dormir avec elle si elle l'aurait voulu, car l'idée de partir comme un voleur me dérangeait énormément. Ce fut donc pour cette raison que je me décidais à lui poser une question de façon très sérieuse. Je n'avais pas envie qu'elle se fasse de mauvaises idées ou moi, de mon côté. Je voulais que nous puissions être apte à garder une certaine relation équilibrée, bien que je savais pertinemment que c'était peine perdue. D'un autre côté, je ne voulais pas non plus la mettre mal à l'aise et la forcer à me dire des choses dont elle n'avait pas envie de parler. « Je sais pas.. Enfin que veux tu savoir exactement ? Si tu as peur que je me fasse des films t'inquiète pas, comme j'ai dit je n'attends rien de toi. Je te le cache pas j'ai toujours des sentiments pour toi et j'ai aimé ce qui s'est passé mais.. je ne vais pas gâcher notre accord t'inquiète. Je sais qu'on est juste amis. & pour toi ? » La regardant en un premier temps assise sur son lit avec un seul drap recouvrant sa nudité, je ne pus que déglutir difficilement me demandant comment j'allais faire pour quitter cette pièce avec du bon sens. « Je ne sais pas à vrai dire. » Je ne savais plus ce que je voulais même. J'achevais donc d'enfiler la partie du bas et je restais ensuite comme un con, tee-shirt en main lorsque la jeune femme se leva pour aller enfiler quelque chose sur son dos. Elle était si parfaite bordel, que s'en était douloureux. Secouant la tête, j'enfilais mon tee-shirt avant de ébouriffer sauvagement et à ma manière, les cheveux. « Tu le sais qu'on est plus que de simples ''amis'', n'est-ce pas ? » Ou bien j'étais le seul à me faire des films ? Dans tous les cas, je me rapprochais d'elle sans même m'en rendre compte, sentant comme mon corps était attiré d'une façon bien étrange et pourtant si habituelle vers le sien. « Je ne veux vraiment plus de te faire de mal Elia... » disais-je alors en enlaçant mes bras autour de sa taille, joignant mes mains derrière son dos, la tenant comme prise au piège. « Oui on a dérapé... Mais dérapé encore et encore avec toi ne me dérangerais pas, je l'avoue...Sans arrières pensées hein ! » Non je lui proposais pas d'être mon plan cul. Souriant, je penchais finalement ma tête pour déposer chastement mes lèvres contre les siennes avant de murmurer. « Si tu veux que je restes...un seul mot de ta part et ce sera le cas. » Après tout, moi je n'avais rien qui m'attendait. Mais elle, elle avait une famille, moi pas.