Elby My best

C’était le retour a la réalité le retour a Cambridge. Le summer camp était terminé beaucoup trop de chose c’était passé. Elle avait sombré dans l’alcool pour arrivé a dormir la nuit. Elle avait apris l’existence d’un demi-frère. Andrew, la personne qu’elle aimait le plus et a qui elle faisait le plus confiance c’était fait tiré dessus par les hommes de son oncle. Alor qu’Andrew était en procès contre lui pour de l’argent, Abby elle était en procès contre lui pour une histoire de pédophilie. Elle avait flippé pendant plusieurs jours jusqu'à se que Kenny lui remette l’idée au claire, il lui avait dit d’abandonné le procès, c’est se qu’elle avait fait. Il avait soulevé le point de sa sécurité. Elle ne serait plus jamais si elle continuait le procès jusqu’au bout. Quand elle avait annoncé sa a Andrew par message il y a quelque semaine, elle n’avait eu aucune réponse de sa par alors qu’elle savait qu’il était en vie et éveiller de son coma. Elle était mal a l’aise vis-à-vis de sa. Elio l’avait prit sous son aile a partir de se moment la ou elle avait signer les papiers, elle était obliger de prendre des distances avec Andrew. Elle ne connaissait pas encore sa réaction elle avait peur de le perdre.
Ils étaient dans l’appart d’Elio, il l’avait pris avec elle parce qu’elle ne sentait pas de vivre seul et encore moins de faire confiance a qui que se soit d’autre au point de vivre avec cette personne. C’était une soirée Elio n’était pas encore rentré elle l’attendait seul. Bien sur elle était entrain de ressassé se qui c’était passé quand elle l’entendit arriver. La seul chose qu’elle voulait c’était terminer dans les bras de son meilleur ami. Elle se leva et se jeta dans ses bras.

Cela faisait maintenant un peu près deux semaines qu’Abby vivait chez moi dans mon appartement. Même si j’avoue aimer ma solitude, je ne pouvais en aucun cas là laisser seule en sachant très bien l’état moral dans lequel elle était en ce moment. Après je ne pouvais pas non plus être tout le temps avec elle, il me fallait donc revenir tous les soirs. Mais aujourd’hui, je rentrais beaucoup plus tard que d’habitude, rendez-vous avec Siam oblige. J’entre finalement la clé dans la porte de mon appartement et la referme derrière moi. Je retire mon manteau et mes chaussures avant de les ranger à sa place –oui, je suis un peu maniaque sur les bords. Je m’approche doucement et pose mes clés dans une assiette en verre de collection. Abby, je suis rentré. dis-je avant de me diriger vers le salon. Je me pose dans le canapé juste à côté d’elle et la regarde dans les yeux pendant quelques secondes. Allez viens là. dis-je en ouvrant les bras pour pouvoir l’accueillir et peut-être qu’ainsi elle arrêterait de ressassé le passé. Même si je sais très bien qu’elle n’y arrivera pas facilement comme je l’espérais.

Elio venait de rentré, son meilleur ami. La personne qui prenait soin d’elle maintenant, qu’elle avait du renier sa famille. Il la connaissait que trop bien, en la regardant il savait très bien qu’elle était loin d’être en forme mais sa date du SC, elle n’avait jamais vraiment retrouvé son grand sourire et son rire ne c’était pas fait entendre depuis longtemps. Quand Elio lui ouvrit les bras elle se jeta dedans. Pourquoi il était la seul personne capable de la rassuré et de la faire se sentir mieux ?
« Elio… pourquoi tes le seul qui arrive a me rassuré ? Je voudrais tellement pas être comme ça, ou pouvoir me rapprocher de d’autre gens pour ne pas être un poids pour toi, du moins … pas être coller a toi ? »

Je m’en voulais un peu de rentrer aussi tard, mais j’étais maintenant là et je savais que Abby allait mieux s’en sortir maintenant que j’étais rentré. Mais pour l’instant, je devais la réconforter un peu et lui donner la tendresse qu’elle attendait. Tu as juste confiance en moi, c’est pour cela que tu es aussi tendre avec moi. Tu as juste besoin de vivre une vie tranquille. dis-je en soupirant à la fin de ma phrase. Cela n’allait pas être facile pour elle d’avoir une vie facile et je le comprenais très bien. Tu n’es pas un poids, cela me fait plaisir de t’avoir avec moi mais je veux juste que tu te bouges un peu le cul et que tu arrêtes de te morfondre … Bouge tes fesses ma grande. dis-je en lui ébouriffant les cheveux.

Elio était rentré, Abby avait besoin de lui, de son meilleur ami de son protecteur. Elle avait très vite terminer dans ses bras. La ou elle se sentais tellement mieux. Il parlais de vie tranquille et que la jeunne fille devais se bougez les fesses, mais comment? Elle ne savait plus elle avait échappé de peu a être la cible de son oncle son cousin qui représente tout a ses yeux est censer être reveiller de son coma lui en veut elle en est sur parce qu'il a rien repondu quand elle avait dit qu'elle avait abandonné le procès. Maintenant elle avait peur d'avancé peur d'aller vers l'inconnue.
"Pour faire quoi? " Dit elle en le regardant, elle allait ou, sans famille ...

Il faut bien avouer, j’avais une vision de la vie bien différente d’elle. Je n’aurais jamais pu rester cloitrer dans ma chambre à déprimer. J’étais plus quelqu’un qui fonce tête baissé sans vraiment faire attention. Je savais qu’elle était comme cela mais j’espérais tout de même qu’elle allait changer un peu pour pouvoir avancer dans la vie. C’est maintenant qu’elle doit passer à autre chose pas quand elle sera vieille. Pour pouvoir peut-être profité de la vie ? C’est maintenant qu’il faut que tu le fasses pas quand tu seras vieille Abby. Alors t’as plutôt intérêt de bouger tes fesses maintenant ma petite sinon … je vais le faire de force. dis-je avec un sourire au coin. Je penche la tête sur le côté et pose mon regard sur la télé que je viens d’allumer.

Abby avait l'impressions que n'importe qu'elle decision la menait droit dans le mur, Elio lui disait de se bouger mais elle ne voyait pas pourquoi. Elle ne savait surtout pas comment faire les seul moment ou elle profitais de la vie c'était quand elle était bourré. C'est les seul instant ou elle n'était pas timide. Vu ce qu'elle avait paris elle n'arrivait plus du tout a faire confiance au gens, entre nous quand ta propre mère te fait une chose pareil comment tu peux refaire confiance derrière? Elle savait bien que Elio aurait une reponse a sa question. Heureusement c'était Elio et qu'il savait comment la prendre venant de quelqu'un d'autre elle l'aurait mal pris.
"Ouais les seul moment ou j'arrive a me lâcher c'est quand je suis bourré. Autrement j'arrive encore moins qu'avant ne serais ce que parlé a un inconnue"

Ouais mais après boire n’est pas forcément la solution, car au final tout lui revient dans la gueule d’un coup. Ce n’était pas facile de s’occuper d’Abby, on a l’impression qu’elle n’essaye même pas de s’en sortir. Elle n’essaye pas de sortir et de se faire des amis non plus. Nan, elle préfère rester enfermée sans même chercher à sortir. Je ne veux plus jamais te revoir bourrer Abby, ce n’est pas digne d’une femme. dis-je en secouant la tête doucement. Je savais très bien que c’était un peu macho. Sors de temps en temps, ouvre toi un peu si tu souris les gens viendront facilement te voir. dis-je avec un sourire tendre caressant doucement ses cheveux encore..

Je ne sais pas si elle m’écoutait vraiment quand je lui parlais, mais tout ce que je lui disais était pour son bien et rien de plus. J’entendis finalement son téléphone sonné et je la laisse alors y répondre. Je pose mon regard sur la télévision pour pouvoir comprendre les débilités qu’elle pouvait regarder tout au loin de la journée. Cela faisait presque peur à voir. Je fus quelque peu surpris quand je la vis en pleure, je m’approche d’elle et la colle contre mon torse lui caressant les cheveux doucement. Qu’est ce qu’il y a Abby ? Tu peux m’en parler tu sais ? C’était … une mauvaise nouvelle au téléphone ? dis-je en faisant une légère grimace, continuant de la câliner doucement pour qu’elle se calme. J’avais comme l’impression qu’il ne lui arrivait que des malheurs depuis un moment. J’essayais de la calmé de mon mieux, je savais aussi que je ne pouvais pas la forcé à me répondre cela ne se faisait pas. Elle avait peut-être besoin de digérer avant de m’en parler. Dans tous les cas, elle savait très bien que j’étais là pour elle quoi qu’il se passe.