mia & karim► surprise ? I hope I'm not dreaming, but it's good to see you again

J'étais las du voyage. j'avais envie de reprendre les cours a Cambridge après un an a Londres. Je passait pas mal de temps dans ma cabine vu que je ne me mettait jamais en maillot de bain pour éviter de montrer mes cicatrices. J'étais dans une séance de dessins personnel quand j'entendis une voix derrière moi. Je me depechai de cacher les dessins que je faisait. Maintenant ils étaient juste mélanger a d'autres. Je me retournais pour faire face a mon interlocuteur. Karim une vieille connaissance. Que j'avais pas prévenu de mon départ soudain pour Londres.
Oui c'est bien moi, Karim Alors lui, c'était bien le seul mec que je pouvais trouver attirant et qui a quelque chose dans la tête. J'espère vraiment qu'il ne vas pas me poser trop de question j'aime pas mentir.

Karim avait pris mes dessins, mais pas les bon, merde c’était des dessins qui représentait ma mère pas sa, je ne voulais pas en parlé ces dessins était privé. Jamais personnes ne devait les voirs. J’avançais vers lui et lui arrachait les dessins des mains. J’étais hors de moi qu’il est touché a ces dessins, jamais personne ne devait les voir et encore moins lui.
« Touche pas a sa. » Je me dépêchais de tout ramassé, pour les caché dans mon petit bureau. Je lui avais lancé un regard noir, une fois tout mes dessins caché je me calmais automatiquement, mon jardin secret était enfin à l’ abri
« J’étais a Londres pour mes études. » Je savais pertinemment qu’il n’apprécierait pas cette réponse mais la il m’avait déjà pas accosté de la bonne façon, moi qui d’habitude était toujours différente j’affichais une attitude froide, a une personne qui m’attirait en plus . Je ne pouvais pas m’empêcher de repoussé mes proches quand sa n’allait pas, j’étais incapable de me confier a qui que se soit, j’avais aussi tellement peur de m’attacher a eux, plus particulièrement a lui qui m’attirait en même temps.

Karim venait de me prendre dans ses bras . Je sais qu'il fait tout le temps ça. Dans ses bras sa va toujours mieux, mais la j'étais mal a l'aise. J'avais peur d'être avex lui de m'attacher, j"avais penser a lui quand ma mère est décédé ... J'aurais tellement aimé md retrouver dans ses bras, jai peur de m'attacher a lui peur qu'il me fasse mal. Je suis perdu face a lui. Il me disait que je pouvais être moi même face a lui quebke n'avais plus a me cacher avec lui .Quand on ce cache depuis plus de 15 ans on peu pas se permettre de baisser sa garde comme ça. Je ne pourrais pas expliquer le geste que j'allais faire. Je ne pouvais pad lui en parler mais il pouvais regarder. Je me j'étais a l'eau de la confiance en ayant une peur bleu de me noyé. Je lui sortait deux dessins, me premier sur mon passé qui me représentait entrain de recevoir des coups, d'un côté et une tentative de viol que j'avais reussi a repoussé. Sur celui la je n'avaid que 12 ans. Le deuxième dessin me representais decant la tombe de ma mère et son visage dans le ciel. Après lui avoir mi dans les mains, j'eu pour premier réflexe d'aller me rouler en boule sur mon lit. j'avais peur. C'est pas ma tête qui avais bouger mon corps mais mon coeur, c'était inexplicable, une chose est sur il ne vera pas mes cicatrices, ni aucun mot ne sortira de ma bouche a se sujet la.

Je venais de montrer a Karim mes dessins. J'avais fais sa de façon totalement involontaire, c'était mon coeur qui avait conduit mes gestes. Une partie de moi reclamait son soutien son aide. C'était impossible que je m'ouvre a se point. Je n'avais jamais parlé a personne de tout ça. J'ai beaucoup d'estime pour Karim, je serai même pas expliquer se que je ressens pour lui. Il m'attire plus qu'un ami, mais je ne veux pas m'attacher, j'ai peur de rouvrir mes vieilles blessures, celle que j'ai mis si longtemps a soigner. Peut être que c'est mon silence qui le fera fuire. Je sais plus. Il venait se s' assoir a mes côtés en prenant ma main je m'installai a ses côtés. Je pris mon courage a deux mains pour lui demander.
Karim... Dit moi que tu partiras pas. Je lui posais la question mais j'essayais de m'ouvrir. Je ne connaissais pas le vrai sens du mot confiance, j'avais tellement peur d'en faire l'expérience. Entre les familles a qui je devais faire confiance et qui mon battu, je sais pas une petite voix me dit de lui faire confiance, si je lui ai manqué. Si se qu'il dit est vrai, je devrais peut être lui faire confiance.

Je venais de demandé a Karim de ne pas partir, je ne savais pas si je pouvais lui faire confiance, je ne savais pas la vrai signification du mot confiance. Il me disait qu’il voulait savoir se qu’il se passait dans ma vie, de ne as avoir peur avec lui, qu’il me protégerait toujours. Je serais sa main, sa présence a coter de moi m’apaisait.
« D’accord, tu m’as vraiment manqué pendant 1 an… » Je venais de lui avouer qu’il m’avait manqué c’était la réalité, même si la bas j’avais ma mère je ne l’avais pas lui. J’aurais tellement aimé être avec lui au moment de son décès. C’est maintenant je le réalisait pleinement.
« La vérité, je suis l’enfant d’un viole et ma mère m’a abandonné a la naissance, j’ai vécue dans une vingtaine de famille d’accueil différente, a subir des choses que personnes n’aurait du subir » J’attrapais sa main comme pour me donner la force de continuer mes aveux
« Je suis arrivé ici grace a une bourse pour le dessin, je suis partie a Londres parce que je venais de recevoir une lettre de ma mère biologique. Elle voulait me connaitre je n’ai pas hesité une seconde et j’ai décalé mon année la bas. » Ma voie commençai a trembler ses mots n’étais jamais sortit de ma bouche,
« Elle est … plus … » Les larmes avait commencé a couler sur mon visage, non mais pourquoi je pleurais ? Non il fallait pas que je pleurs. Je ne trouvais pas le courage de lui parler de mon frère celui que je n’avais eu.