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WELLYN - You promised me to never leave away

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Sais pas justement. Mais comme c'est l'ère des changements... Bien sûr que tu ne le pensais pas capable de commettre un meurtre, surtout sur toi, mais il était tellement différent avec toi, même par rapport à d'habitude, que tu n'avais pu t'empêcher de le lui faire remarquer. C'était tellement tentant aussi... Lui t'avait aussi dit que tu changeais, mais cela n'était que réciproque au final, chacun changeait l'autre, en mieux en plus. Mes besoins ne semblaient effectivement pas très compliqués, dit de cette manière, mais tu avais quand même oublié l'élément le plus important dans toute cette histoire. Franchement, si tu n'avais été heureux qu'avec une bâche dans un cachot, tu aurais passé ces journées autrement qu'en déprimant. Et avec toi. Sinon, je commettrai des crimes pour être en prison et avoir la même chose, cela reviendrait au même. Bien sûr que tu ne l'aurais pas fait, tu n'avais pas un naturel violent, loin de là, et il fallait vraiment piquer là où cela faisait très mal pour que tu le deviennes. Seule Ellyn l'avait subi, et ce n'était pas franchement quelque chose dont tu étais fier, malgré la haine tenace que tu ressentais à son égard. Mais tu ne voulais pas penser à ça maintenant, alors que tout allait si bien dans le présent. Du calme, du silence, pas de mouvements autour, de l'obscurité, et tu étais bel et bien prêt à sombrer dans le sommeil, surtout en étant si bien calé contre William. Trois heures de sommeil ? C'était déjà ça de pris. Ce sera un bon début, j'aurai l'impression de refaire une nuit. Après tout, tes nuits les plus longues de ces derniers jours ne devaient pas excéder ce temps-là, même si tu aurais sûrement besoin de vraies longues nuits pour totalement te remettre sur pieds de manière convenable. Il ne te fallut d'ailleurs pas très longtemps pour dormir, sans trop bouger, comme souvent. Tu te souvenais même que ta grand-mère disait qu'une araignée pourrait facilement tisser une toile en utilisant ta tête comme un des sommets, c'était pour dire. Ce fut d'ailleurs une tape sur ton épaule, puis des paroles qui te tirèrent du sommeil, les yeux encore petits vu que tu n'étais pas franchement réveillé, plus comateux qu'autre chose. Tu eus d'ailleurs un léger grognement plaintif en même temps, te tournant vers William et restant silencieux jusqu'à ce que ses paroles atteignent enfin ton cerveau : 20h30. Le bateau devait arriver à 18h. Soit le bateau avait eu 2 heures de retard, chose surprenante soit... Je n'ai pas entendu le signal d'accostage, n'est-ce pas ? Cela prouvait bien que tu avais dormi d'un sommeil de plomb en tout cas. Te redressant, le cou et les épaules un peu endolories par cette position, tu t'étiras avant de te passer une main dans tes cheveux puis sur le visage, histoire de te réveiller un peu. Je sais que je ne ferai pas un bon pirate, je suis un peu trop gringalet et peureux pour ça. Il était certain que, si de véritables pirates accostaient votre bateau, tu essaierais plutôt de te planquer au lieu de te battre, et tu en étais parfaitement conscient. Tu étais encore suffisamment au ralenti pour ne pas comprendre au début pourquoi il parlait de la France alors que vous étiez dans les îles, jusqu'à ce que tu te rappelles que oui, la Guadeloupe était une île française. Plutôt moins d'ailleurs. Mais tu aurais dû me réveiller, tu aurais pu être déjà sur l'île à l'heure qu'il est... Oui, certes, tu lui avais demandé s'il pouvait rester là avec toi... mais il aurait laissé un mot, tu aurais compris et tu ne lui en aurais pas voulu. Tu n'étais pas si possessif... si ?
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Devyn & William


You promised me to never leave away


Si William avait voulu se débarrasser de Devyn il l’aurait déjà fait. Voyons voir, ils se connaissent depuis sept ans, c’est bien assez pour imaginer un plan, le mettre à exécution & tout, non ? De surcroît lorsque l’on possède un esprit très fertile. Il savait bien évidemment que Devyn plaisantait, mais il lui glissa ; « Tu ne pense pas que si j’avais voulu me débarrasser de toi, je l’aurais déjà fait ? » Mine de rien, c’était une marque d’affection déguisée, non ?  L’anglais avait raison, c’était l’ère des changements. En même temps, William se sentait bien ici, ça lui donnait peut-être des ailes. Ce fut au tour de Devyn de jouer les guimauves, lançant qu’il avait également besoin de William pour être heureux. « Oooh voyez-vous ça. » Si le Kane partageait l’avis de Devyn, après tout, lui aussi savait qu’il avait besoin de lui pour être heureux, il ne l’aurait pas formulé devant lui. Peut-être pas comme ça. Ils étaient semblables mais avaient leurs différences, heureusement. Devyn semblait plus à l’aise avec les sentiments que lui. Il était malgré tout heureux d’entendre ça, ne le prenez pas pour un monstre dépourvu de cœur. Par contre, Devyn en prison pour avoir commis des crimes… Ca, ca le faisait doucement rigoler. Lui, commettre des crimes ? Il ricana ; « Le pire des crimes que tu serais capable de commettre serai d’écraser une araignée. » Et encore, pas trop petite l’araignée, question d’égalité. Bon, là j’abuse un peu, mais la morale de l’histoire c’est que Devyn + crime = rires. A moins qu’il n’entende pas « meurtre » en disant « crime » ? Voler, c’est un crime. Attentat à la pudeur, c’est un crime. Mais là encore, le Kane eut du mal à imaginer Devyn faire ça. « Bon, j’ai trouvé ton prochain cadeau d’anniversaire. » Eh oui, il allait lui souhaiter son anniversaire & avec un cadeau, s’il vous plait. Il n’était pas spécialement fan cette fête annuelle mais il ferait une exception pour celui qu’il aimait, après tout, il semblait découvrir une idylle naissante entre cet homme & ce morceau de tissus. Leurs enfants seraient des poupées de chiffon BOUAHAHA. Je sors. Enfin non, je reste, sinon il n’y a plus de narrateur & de toute façon, le Gale est en train de s’endormir. Rien ne troubla le calme pendant ses cinq heures trente de sommeil, pas même le bruit du signal d’accostage. Il devait vraiment être extenué pour dormir aussi lourdement. L’anglais fut cependant contraint de le réveiller, ils ne pourraient pas passer la nuit là, ils allaient geler, ils étaient immergés mine de rien. Devyn eu du mal à sortir de sa torpeur, le regard encore embué, il lui demanda s’il n’avait pas entendu le signal d’accostage. Le Kane lui répondit d’un hochement de tête affirmatif, assurant ; « Ce n’est pas grave. » Il se réveillait à son rythme, s’étirant, se massant. Lui, un mauvais pirate ? Qu’il se rassure, William n’en serait pas un bon non plus. Il supportait le bateau mais ne supporterait pas d’y vivre & les richesses ne l’intéressaient pas, autant dire qu’il serait vite laminé en tant que terreur des mers. Il lui répondit, l’air très sérieux ; « Tu peux toujours te reconvertir en perroquet. Tu vois le genre, qui répète ce qu’on lui dit, qui se tient sur l’épaule de son pirate… Et vert. Tu vois, tous les chemins mènent au vert. » Un sourire en coin étira ses lèvres, moqueur. Il fit rouler sa tête sur ses épaules, quelque peu ankylosé. Devyn semblait être dérangé que William n’ai pas pu aller sur l’île dès dix-huit heures, mais pourquoi ? Ils étaient là pour près de quatre jours, il n’était pas à deux heures près. Et puis de toute façon, il n’avait pas eu envie de bouger, c’était un motif suffisant non ? « Pour quoi faire ? Tu avais besoin de sommeil alors je t’ai laissé dormir. Et puis, si j’avais voulu bouger, je l’aurais fait. » Il avait penché son buste contre ses jambes repliées, tournant la tête derrière lui pour pouvoir voir l’anglais –ou du moins les contours de son visage. Il finit par se lever, époussetant son bermuda, il étira ses bras vers le haut par la suite avant de les laisser retomber le long de son corps. Il demanda ; « Prêt ? » Ils pouvaient sortir maintenant, il ne devrait pas rester grand monde sur le pont.
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Se serait-il déjà débarrassé de toi s'il en avait eu envie ? Bonne question. C'était quand même compliqué à préparer, un meurtre : il fallait bien tout planifier, faire tout pour choisir le bon moment où le produire et surtout se trouver un sacré alibi pour s'en sortir sans aucun problème. William serait-il capable d'élaborer un tel plan ? Oui, du point de vue mental, il n'aurait aucun souci. Le pourrait-il.. d'un point de vue moral ? Tu n'avais pas la réponse à cette question. Ou tu ne voulais pas y réfléchir ? Bah oui, si tu te disais qu'il ne le ferait pas, cela pouvait être par aveuglement, et si tu pensais le contraire, ce pourrait être par paranoïa... Difficile donc de te faire un avis sur la question. Tu préféras donc simplement hausser les épaules comme seule réponse. En plus, il se permettait même de se moquer de toi quand tu devins culcul la praline, c'était une honte franchement. Lui aussi savait très bien y faire en la matière, il en devenait même gentleman avec toi, un comble non ? Enfin, gentleman... Sauf que il vint à te parler du fait que tu ne pourrais pas commettre un crime, hormis sur une minuscule araignée. Pff, cela en était presque vexant. Bizarrement, cela me donne envie de te mettre toi dans cette bâche et de la mettre à l'eau, tu te moquerais moins. Ouais, enfin, tu n'étais pas vraiment crédible, vu que tu lui avais dit que tu étais bien avec lui. Tu te démontais tout seul en fait... à moins que tu ne sois masochiste. Et ça franchement, tu ne pouvais pas le savoir clairement. Enfin, s'il t'offrait réellement une bâche pour ton prochain anniversaire, tu allais franchement faire une drôle de tête... pas au point de commettre ce crime, mais de bouder sûrement... durant quelques secondes. Comme tu le fis là d'ailleurs, sauf que la fin arriva parce que tu t'endormis comme un bébé sur son épaule. D'ailleurs, c'était même le Kane qui te réveilla, et tu mettais toujours du temps à émerger, quelque soit la situation. Tu avais le sommeil assez lourd, ce qui pouvait expliquer ne pas avoir entendu le signal... mais quand même. Il t'avait soutenu sans bouger pendant 5h30, c'était pas mal du tout pour un "handicapé émotionnel", comme il se décrivait. Il y avait du progrès dans l'air, et tu n'étais pas peu fier qu'ils soient initiés grâce à toi. Mais bon, tu regrettas vite d'avoir pensé ces gentillesses à son égard, vu qu'il te suggéra d'être le... perroquet du pirate. Tu m'excuseras, mais je crois que tu ne supporterais pas mon poids sur ton épaule. Et c'est sûr qu'un perroquet blanc, ça rend moins classe qu'un beau vert.. Bam, prends ça le rosbif Kane. Ouais, jouer à avoir le dernier mot avec lui était vraiment agréable, alors même que tu n'étais pas un grand habitué de ces joutes verbales. Il semblerait cependant que tu t'en sortais plutôt bien. En attendant, vous aviez déjà perdu deux heures de visite par ta faute, même si cela lui semblait logique de ne pas t'en vouloir. Oui, 4 jours de présence ici, c'est vrai... Sauf que vous en aviez des choses à faire. 4 jours certes, c'est long... mais pas quand on a des défis à remplir... n'est-ce pas ? Oh non, tu n'avais pas oublié cette petite liste d'avant-cuite, loin de là. Vous vous rendîtes mutuellement un sourire en coin, avant de vous levez. Oh oui, totalement. Et même plus que jamais. Tu n'étais plus seul après tout.
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