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Devyn et William

Il se sentait bien... Ce n'était quand même pas flagrant. Il était debout certes, mais il semblait avoir un peu mal derrière la tête, et il n'était pas franchement coloré. Mais il ne semblait vouloir que tu t'en inquiètes et tu cédais pour cette fois : après tout, c'était de lui-même qu'il s'agissait, et s'il semblait simplement un peu malade, tu ne pouvais pas le soigner. Déjà avait-il bien voulu te parler, ce qui relevait de l'exploit, tu n'allais pas pousser le bouchon trop loin non plus. Tu l'acceptas donc d'un signe de tête, rien de plus... mais ce n'était pas ce qui allait t'empêcher de le surveiller en permanence le temps que tu allais rester avec lui.
Mais dehors, il semblait réellement prendre son pied grâce au soleil. Tu souriais de ton côté, oui, car tu avais bien vu qu'il recherchait la lumière déjà dans la bibliothèque. Tu es une vraie plante verte en tout cas, à rechercher autant la lumière en cas de problèmes. 1-0 pour toi... Qui se transforma vite en 1 partout lorsque le Kane te charria sur ton départ au Summer Camp... On aurait dit qu'il parlait de toi comme un oisillon qui sortait du nid, cela aurait pu en être vexant si cela ne venait pas de lui. Et puis, il en riait lui-même, c'était bien la preuve qu'il se sentait finalement mieux. Tu fis donc une tête faussement désespéré par le cas de ton ami, avant de te mettre à rire de nouveau. Lowell dans très longtemps si c'est toi qui me bizutes, j'en ai bien peur ! Pour le reste, si on excluait la petite moquerie, il n'avait pas totalement tort : d'habitude, tu restais volontiers dans ton petit appartement et tu traînes jusqu'à la rentrée. Là, cela allait réellement te changer. Tu fus cependant étonné de la raison qui poussait William à y aller, lui : le plaisir. Cela détonnait avec lui, qui n'aime pas voir trop de monde entre autres. Je ne sais pas vraiment à vrai dire. Je sais qu'on va aller aux Caraïbes, que c'est sur le thème des pirates mais après, ce que j'en attends... De la détente sûrement, mais je ne sais pas vraiment ce qui s'y passe en fait. Je crois que je ne cherche pas à savoir pour ne pas faire marcher arrière. Après tout, tu n'étais pas quelqu'un de très... fêtard. Les fêtes t'embêtaient généralement, tu ne buvais pas jusqu'à l'ivresse, étais mauvais danseur, ne fumait ni te droguais. Et il ne fallait pas être si devin que cela pour devenir que des fêtes, il y allait en avoir très souvent là-bas. Au pire, tu allais certainement devoir t'y mettre, et tu ne savais pas si cela te réjouissait ou t'angoissait.
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Mais non, le Kane n’était pas une plante verte. Ce n’est pas parce qu’il entamait une photosynthèse à échelle humaine qu’il était une plante. Quoiqu’un en sens, on peut dire que si, mais c’est bien pour faire plaisir. Il avait l’impression de sentir la chaleur s’infiltrer par les pores de sa peau, s’engouffrer dans ses veines pour diffuser sa chaleur dans tout son corps. Il se sentait bien, tellement bien, s’il n'avait jamais pris de drogue, il se dit que les effets devaient y être similaires. Un état de bien-être indescriptible, comme s’il sortait de sa caverne qu’il n’avait pas quitté depuis de semaines. En fait, c’était le cas. Il ne sortait plus de sa chambre depuis des jours entiers, il s’était d’ailleurs fait intimer d’y aller s’il ne voulait pas se voir mettre dehors. En voyant cependant son allure de mort, le professeur qui était venu le voir s’était vite rendu compte qu’un truc clochait. William avait prétexté une grippe énorme et ledit professeur ne s’était guère attardé auprès de lui, validant expressément son absence. Immobile, seul son visage se changea en une moue de dégout lorsque Devyn mentionna son appartenance à la classe des plantes. Il siffla ; « Ce n’est pas moi qui prend racine dans une bibliothèque qui sent le renfermé. » Une nouvelle fois, William plaisantait. Il affectionnait énormément cette bibliothèque, s’il disait ça, c’était pour prouver à son ami qu’il était peut-être affaibli, mais qu’il n’était plus au fond du trou, il ne se laisserait pas marcher dessus… Même par lui. Eh oui, le Kane était et resterait le Kane qu’il connaissait. Son humour spécial était instinctif, et Devyn en avait été le témoin plus d’une fois. S’il devenait son bizuteur d’ailleurs –chose impossible, mais l’imagination est permise, que je sache- lorsqu’il rentrerait chez les Lowell, il lui en ferait voir de toutes les couleurs. Il était certes son meilleur ami, mais il se devait de respecter la loi du bizutage comme il en avait été le témoin ces deux derniers mois. Il était un Lowell à cent pour cent maintenant. Il lâcha un petit rire, sous-entendant ; « Tu as de la chance que je ne sois pas ton futur bizuteur. Je pense que tu peux t’en douter. » Il en ferait baver à ses bizuts, il le savait. Il n’avait plus la force de lutter contre ce côté sombre, qu’il l’envahisse, qu’il le prenne, il ne lutterait plus. S’il était comme ça et bien soit, qu’il en soit ainsi, il ne se fatiguerait plus à être une personne qu’il n’était pas. Il finirait surement par être heureux d’une manière ou d’une autre. Sinon… Que le dieu des Lowell vous protège. Il serait un pirate de l’esprit qui pille vos richesses mentales et vole votre perception encore trop pure de l’âme humaine. Il aborderait votre esprit sans que vous vous en rendiez compte et en moins de deux, vous couleriez, lourd, très lourd, trop lourd pour remonter. En parlant de pirate, William venait d’apprendre que le Summer camp se déroulait sur ce thème. Oh. Il écouta son ami parler, il ne voulait pas penser à ce qui se passerait là bas de peur de faire demi-tour. Il lui répondit, naturellement ; « Tu sais que ce n’est pas remboursable ? T’es coincé. » Il coinça un bras derrière sa tête afin d’être plus confortablement installé, il sentait que le sommeil le guettait. Il devait résister, ne pas s’endormir ici. Il glissa ensuite au Gale ; « Il parait qu’ils mettent de l’alcool partout là-bas. La nourriture, les cocktails évidemment, certains hôtels en diffusent même dans l’air pour te rendre plus serein. Même l’eau n’est pas sure, j’ai acheté des dizaines de bouteilles en prévention. Je t’en passerai si tu veux. » C’était faux, bien évidemment. Mais Devyn avait l’air si rassuré de partir qu’il décida d’en jouer un peu. Pas longtemps, promis. Ne laissant rien paraître, il ne bougea pas d’un cil. « A moins que tu ne veuilles t’immerger à cent pour cent dans la vie Caribéenne ? » Puis, après une petite pause ; « Tu serais mignon habillé local. Tu les ferais tous tomber. » A cette pensée, il ne put s’empêcher de rire à nouveau. Franchement, cette fois-ci. Il imaginait Devyn en Tahitienne (ouais, c’est les Caraïbes, mais tu sais que la poulitude est en moi) avec la panoplie soutien-gorge noix de coco, jupe en feuilles de bananier et la couronne de fleurs posée sur la tête, la totale. Le cocktail détonnant qu’était la fatigue et le choc à la tête le rendait complètement euphorique.
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La bibliothèque sentait le refermé, sérieux ? Il n'avait rien trouvé d'autre que cela ? Tu savais qu'il plaisantait, vu que tu l'avais vu contempler les livres juste avant et ne semblait jamais ennuyé de venir en ces lieux, mais qui trouverait cela drôle de ne pas rentrer dans son jeu ? Pas toi toujours. C'était avec William que tu te sentais sûrement le plus détendu, le mieux dans ta peau finalement, le moins coincé, car tu savais que l'anglais ne te jugerait pas si même tu étais maladroit. Au pire, il te connaissait suffisamment bien pour savoir si tu pensais véritablement des choses méchantes ou si tu n'avais juste pas su les exprimer. C'était l'avantage d'avoir un meilleur ami en quelque sorte, quelqu'un qui te semblait énormément au fond. J'aime beaucoup les fougères pourtant, plus que les gros bananiers comme toi. Ton ton cynique n'était que façade bien sûr, tout comme William n'avait été sifflant que pour de faux. Et puis, tu l'aimais trop, ta petite bibliothèque, pour que Will ose être réellement méchante envers elle. Oui, envers elle, car pour toi, c'était presque comme une personne, une amante comme l'on t'avait sorti une fois pour se moquer de ton côté rat de bibliothèque. Au moins, elle, elle ne te décevait jamais et avait toujours de quoi te satisfaire... Enfin, tu aurais pensé à cela si tu avais réellement eu un esprit porté sur la chose, ce qu in'était pas le cas.
Un bizutage par William... Tu n'étais pas si sûr d'apprécier la chose. C'était peut-être ton meilleur ami, mais tu savais aussi qu'il pourrait justement en profiter pour s'amuser encore plus, vu qu'il connaissait tes limites ou tes appréhensions. Oh, s'il te bizutait là-dessus, il te faudrait sûrement prendre sur toi, mais tu ne verrais pas cela comme méchant, juste comme une idée pour te les faire franchir en quelque sorte. . Jamais tu ne pourrais penser qu'il puisse faire cela par pur amusement personnel, pas comme un jeu cruel. C'était peut-être de la naïveté ou de l'inconscience, mais tu savais que tu ferais tout pour lui, même obéir à des consignes stupides. Tu te doutais qu'il ne ferait rien qui puisse réellement te blesser, enfin, tu l'espérais serait plus juste. Le Lowell disait avoir un fond méchant donc tu ne pouvais que supposer que ce fond ne te concernerait pas pour un bizutage. Tu eus cependant un léger doute, pour le coup. Rassure-moi... Pas de danger que tu sois mon Bizuteur ?. Bon, ok, malgré ce que tu disais et tout ce qui tu pensais, cela ne t'aurait pas forcément déplu, tu aurais au moins su à quoi t'attendre
Le Summer Camp non remboursable ? Tu t'en doutais oui, et ce n'était pas plus mal. Vu les hésitations que tu avais encore, tu te serais déjà fait rembourser depuis longtemps, puis tu aurais repayé et ce plusieurs fois de suite. Tu n'étais pas quelqu'un de très courageux et aimant foncer vers l'inconnu, alors cette inscription représentait déjà pour toi un défi. Alors, quand William se mit à te parler de l'alcool partout pendant cet événement... Tu le pris réellement au sérieux. Après tout, tu savais bien que les étudiants étaient très portés sur l'alcool, et cela ne te surprendrait pas tellement finalement. Mais toi, si c'était le cas, tu allais réellement en baver. Une bière de temps à autre n'était pas de refus, mais plus ? Ce n'était absolument pas ton genre. Lorsqu'il te proposa donc de l'eau si tu en avais besoin, tu hochas de la tête, ayant quelque peu blanchi d'un coup. Je vais prendre un stock aussi, mais merci. Non, t'immerger totalement dans ce mode de vie, très peu pour toi. Tu voulais faire tes efforts certes, mais à ce point ? Non, il ne fallait tout de même pas exagérer. Cependant, lorsqu'il te sortit qu'il t'imaginait bien en habits locaux pour les faire tous craquer... Tu ne pus t'empêcher de franchement rougir. Sérieusement ? Tu étais franchement pudique, et vouloir t'imaginer en une telle tenue était franchement étrange, à tes yeux, surtout de la part de William qui se fendait littéralement la poire. Vous ne parliez jamais de cela tous les deux, l'anglais ne savait même pas que tu étais bisexuel à vrai dire... mais tu n'étais franchement pas à l'aise à cette idée. Tu essayais plutôt de contraster en lui donnant un léger coup de poing, avant de grogner. Tu mériterais un autre coup sur la tête tiens ! Et depuis quand as-tu décidé de te moquer de moi sur ce Summer Camp ? Rassure-moi en disant que tu as aussi tout invité pour l'alcool, sinon, c'est toi qui vas te retrouver de nouveau enfermé dans l'endroit tout poussiéreux et sombre !
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Mon dieu, mais c’est que le Gale se lâchait ? Voilà qu’il traitait William de plante verte, et ouvertement s’il vous plait, allant jusqu’à le traiter de.. Gros bananier. Bon, comme insulte on a fait mieux, mais de la part de Devyn, c’était déjà énorme. Ca choqua même William qui ne s’attendait pas à ce qu’il réplique aussi sèchement. Il avait bien sentit qu’il plaisantait, ils ne seraient pas assis pépères sur les marches s’ils se prenaient vraiment la tête, mais tout de même, il avait de la répartie. Il ne manqua d’ailleurs pas de le lui faire remarquer ; « Un.. Gros bananier ? Sérieusement ? » Puis, après un petit silence ; « Qu’adviendra-t-il de l’humanité si Devyn Gale se met à répondre à ses aînés ? » Cette sorte de compliment caché ne pouvait pas être seulement un compliment caché. Bah non, il fallait bien qu’il renvoie la balle au Gale, il n’allait pas laisser tomber comme ça. Ca aurait pu faire un sujet de bizutage sympa ça, faire croire à des légendes & coutumes de la maison des Lowell à Devyn. Encore aurait-il fallut qu’il ai pu être bizuteur, et ce n’était pas le cas. Non seulement il venait tout juste de terminer lui-même son bizutage, mais en plus, il se serait fait retirer son titre de bizuteur en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire tant il aurait été… Lui-même. Non, ça ne serait pas passé. Il rassura donc Devyn ; « Ne t’inquiète pas, c’est impossible que je sois ton bizuteur. » Voilà qui devrait ravir le jeune homme. Autre chose qu’il ne laisserait pas tomber : faire croire à Devyn que la vie aux Caraïbes était aux antipodes de celle de Cambridge. Ce n’était pas méchant, juste une toute petit blague.. Qui fonctionna. Devyn semblait y croire dur comme fer, si William n’avait pas eu la flemme d’ouvrir les yeux, il aurait regardé la tête qu’il faisait. Il l’imagina, et cela lui suffit. Il était certain que le jeune homme n’était pas rassuré, en même temps, il savait à quel point il était réfractaire à l’alcool et ce qui s’en suit. En effet, son ton laisser penser qu’il n’était pas très rassuré de partir après ce que venait de lui annoncer le Kane, Devyn lui répondit même qu’il allait se constituer un stock d’eau avant de partir. Il fallait qu’il s’arrête là, l’anglais risquait de lui en vouloir s’il continuait à le faire marcher de la sorte. Il le fit à contrecœur, mais il le fit. Il voulut lui avouer calmement que ce n’était qu’une boutade, mais il ne réussit pas. A la place, il rit lorsque le blond lui assena un coup de poing, lui demandant au passage s’il avait tout inventé au sujet de l’alcool. Il aurait voulu dire à Devyn que ce n’était qu’une mise en boîte, utiliser des mots, une phrase construite, complète, un langage humain quoi. Mais il était dans un tel état qu’il ne fit rien d’autre que rire. Il riait silencieusement, mais son corps était secoué de spasmes. Lorsqu’il s’arrêta, il n’entendit plus rien, le silence en était même assourdissant. Il articula ; « Tu voulais vraiment emmener de l’eau.. » Plus le temps passait, plus il sentait ses paupières devenir lourdes. Il allait finir par s’endormir ici, quelque part, ce n’était pas plus mal.
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Un gros bananier ? Ok, ce n'était pas très fin comme remarque, ni même pertinent mais tu n'avais pas trouvé mieux. Tu avais eu l'image du palmier ou du cocotier en tête, mais tu trouvais le premier pas moche du tout et tu aimais bien la noix de coco, contrairement aux bananes, alors... Il fallait cependant vraiment que tu trouves plus facilement de la répartie, on avait presque dit que tu l'avais choppé dans une pochette surprise. Tu avais quand même réussi à faire marquer au Kane un temps d'arrêt, et tu n'en étais pas peu fier, il était tout de même difficile pour toi de le surprendre maintenant, depuis le temps. Même s'il te taquinait sur ton choix d'expression, ton expression un peu suffisante de par cette fierté ne disparut pas, tu haussas simplement les épaules. Tu te tournas vers lui uniquement lorsqu'il se demanda ce qui se passait si tu osais répondre à tes aînés. Était-il réellement sérieux ? Certes, le Kane était ton aîné, et largement même, mais il ne t'avait jamais fait le considérer comme tel, et vous vous appliquiez plutôt à vous mettre à égalité. Tu ne voyais pas forcément le compliment derrière la pique, mais ce n'était pas si grave, vu que tu ne le prenais pas mal, continuant simplement à répliquer d'un ton faussement cinglant. Il faudrait déjà que je te respecte comme aîné pour cela... Oui, pour tes véritables aînés à respecter, comme des professeurs, tu étais toujours poli, presque trop, alors...
Ainsi, il ne serait pas mon bizuteur, phrase qui était apparemment censée te rassurer. La vérité était que cela te rassurait autant que cela t'effrayait. Etre avec quelqu'un d'inconnu n'était pas fait pour toi, surtout pour quelque chose d'aussi important : et si tu ne l'appréciais pas ? Et si lui ne t'appréciait et te faisait véritablement souffrir ? Tu ne voulais pas être à ramasser à la petite cuillère juste pour entrer chez les Lowell. Après, si William s'était occupé de toi, tu n'aurais pas été favorisé pour autant, certes, mais tu aurais pu lui pardonner au moins. Ce bizutage était presque l'occasion pour toi de tester ton aptitude à être plus "normal", chose pour laquelle ton ami avait échoué. Tu ne pus donc t'empêcher de lui faire part de tes doutes, de manière totalement sérieuse, cette fois. Je ne sais pas si je dois en être satisfait ou encore plus inquiet en fait. Et si je tombais réellement sur des défis dangereux ou vraiment humiliants ?
Enfin, vu comment il te faisait marcher au sujet du SC, tu te disais bien qu'un bizutage de sa part aurait pu devenir très sportif également. Tu ne savais pas vraiment si tu devais rire du fait qu'il était totalement moqué de toi et que tu avais failli y croire comme un idiot, ou en être vexé. Tu aurais réellement pu arriver avec ton stock d'eau pour embarquer, et tu serais passé pour le dernier des nuls, chose qui n'était pas forcément réjouissant... déjà que tu n'étais pas franchement très populaire. Et William qui réussit juste à te demander si tu avais parlé sérieusement pour l'eau... Tu lui adressas un nouveau coup de poing à l'épaule, un peu plus fort cette fois, un peu vexé malgré tout. Je pensais que tu savais plus de choses que moi en étant Lowell donc oui, imbécile ! J'aurais eu l'air malin avec ça ! Tu m'aurais réellement laissé faire si je n'avais rien dit ? Entre ça et le costume local... Tu voulais vraiment que je sois ridicule...
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Mon dieu, mais quelle mouche avait piqué le Gale ? Si William était un peu cryptique ce soir, enfin d’une manière différente de d’habitude je veux dire, il avait ses raisons. La fatigue combinée à une chute sur la tête ne pardonnaient pas, il divaguait vraiment par moment. Mais Devyn… Après ses piques et sa répartie, voilà qu’il devenait cinglant, presque insultant. Evidemment que William se doutait qu’il plaisantait derrière tout ça, mais tout de même, il le disait. Il osait parler comme ça, c’était fou. Las, il soupira ; « Non mais je rêve.. Quel insolent. » S’il avait été moins fainéant à cet instant –mais aussi plus tactile, il aurait poussé Devyn comme il l’avait fait plus tôt. Au moins, il avait l’air de prendre de l’assurance, ce n’était pas plus mal. Il savait qu’il plaisantait en disant ça, mais il fallait tout de même bien que les mots sortent, qu’il s’exprime. Pour ce qui était de l’assurance, ce n’était qu’un début puisqu’en effet, le Gale s’inquiétait déjà de savoir quel serait son bizuteur. Il ne devait pas s’inquiéter pour cela, il lui restait deux mois avant d’en connaître la réponse et s’il commençait déjà à se questionner, il n’en avait pas fini. Il passerait l’été à s’angoisser, surement pour pas grand-chose. Certes, le bizutage est une passade redoutée pour un bon nombre d’étudiants, mais William avait appris quelque chose : le bizutage dépend du bizuteur, c’est sûr, mais aussi de la maison à laquelle le bizut prétends. L’anglais voulait entrer chez les Lowell, la maison des arts en tout genre. Il était certain qu’on ne lui demanderait pas de se promener dans la cour en sous-vêtements l’hiver prochain comme il avait pu l’observer cette année dans une maison voisine. Non, ses inquiétudes auraient été fondées s’il avait prétendu à la maison des Eliots ou des Dunster. Chez les Lowell, les défis seraient plus sages, à moins de tomber sur quelqu’un de vraiment atypique. Il rassura donc Devyn ; « Tu ne devrais pas t’inquiéter, chez les Lowell, ont est tous féru d’art, quelle qu’en soit sa forme. Tu n’as pas à t’inquiéter. Je veux dire, si tu avais voulu entrer chez les Dunster, je pourrais comprendre tes craintes. Mais là, je t’assure qu’elles ne sont pas fondées. C’est une autre mentalité dans cette maison. » Il tachait d’être aussi rassurant que possible parce qu’il savait que Devyn était capable de se mettre les nerfs en pelote pour ça. En parlant de se mettre les nerfs en pelote, Devyn avait quelque peu mal prit la plaisanterie de William. Il savait que son ami était influençable, il n’aurait peut-être pas du faire ça. Mais il était spontané, il agissait archaïquement. De là à dire qu’il l’aurait laissé venir à l’aéroport avec son stock de bouteilles d’eau serait exagérer. Avec une personne qu’il estimait moins, surement, mais pas avec Devyn. Il lui en fit part ; « Je ne t’aurais pas laissé faire. Si je te charrie un peu ici, ce n’est pas pour autant que je ne t’aurais pas dit la vérité avant de partir. » Il bâilla, couvrant sa main de sa bouche. Après quoi il laissa son bras retomber comme un masque sur ses yeux, ajoutant ; « Je t’estime trop pour te laisser me ridiculiser là-bas. » Oui, il avait voulu faire un compliment à Devyn histoire de se racheter. Mais il n’avait pu s’empêcher de rester lui-même, même s’il pensait sincèrement le début de sa phrase. Il n’était pas du genre à déballer sérieusement un compliment, même à Devyn.
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Tu n'étais pas insolent, loin de là. Tu l'aurais été, tu aurais réellement pensé ce que tu disais, tu ne l'aurais pas dit en plaisantant. Et puis, l'insolence envers un ami n'existait pas à tes yeux, tu disais simplement ce que tu pensais ou le contraire si tu voulais l'embêter, tout simplement. Les "gentilles moqueries" étaient courantes entre vous deux, ce qui pouvait sembler étrange aux yeux des autres... mais pour cette chose-là, tu t'en fichais. Ce comportement n'appartenait qu'à vous deux, tout simplement, et les autres étaient tellement différents qu'ils ne pouvaient pas comprendre, de ton point de vue. C'était surement pour cela que tu tenais à votre amitié, pour cette singularité qui t'offrait une bouffée d'air frais.
William ne semblait pas totalement comprendre ton inquiétude pour le bizutage, et tu pouvais à peu près comprendre : cela ne se passerait qu'en septembre, tu avais le temps d'y réfléchir d'ici là, et surtout de profiter de ces deux mois de repos sans y penser outre mesure. Mais tu étais trop stressé dans ta vie, trop anxieux pour pouvoir réellement écarter ce "problème" de ton esprit, même autant en avance. Tu aurais aussi pu te dire que si William avait réussi cette étape, tu n'avais aucune raison de ne pas y arriver... sauf que le nouveau Lowell semblait plus apte à gérer les imprévus et ce genre de défis que toi. Tu n'avais pas un grand esprit de compétition, ni d'ambition, mais tu n'avais réellement pas envie d'échouer à cette entrée, histoire de ne pas être ridicule. Après tout, c'était tout de même le but final de ta tentative d'être un peu plus un étudiant lambda, ce serait dommage d'échouer là alors que tu semblais ne pas trop mal t'en sortir. Will aussi te disait que les Lowell étaient à part, qu'il n'y avait pas le même esprit, et cela confirmait le fait que tu devais trouver le moyen de te détendre... Essaye donc une nouvelle technique : Et que t'ont-ils fait faire, toi, en gros ?. Pas sûr qu'il te réponde cela dit, tu ne savais pas si cela devait rester secret ou pas.
Il te disait qu'l ne t'aurait pas laissé croire à sa farce jusqu'au bout, mais tu ne savais pas vraiment ce qu'"avant de partir" signifiait chez lui : une heure avant de partir ? Juste avant la fin de cette rencontre ? Tout dépendait de sa volonté à te faire marcher. C'était ce fait qui t'avait quelque peu embêté : si tu ne lui avais rien demandé, t'aurait-il réellement tout démenti au final ? Surtout qu'il semblait quelque peu fatigué au final, y aurait-il réellement pensé, si vous n'aviez pas eu le temps de vous voir avant le départ ? LA suite de sa réponse était plus... étrange de la part de l'anglais. Tu ne savais pas réellement s'il fallait prendre cela comme une boutade, de par la fin de la phrase, ou comme un compliment, pour son début. Pour le peu d'ego que tu avais, tu préférais cependant la seconde solution... teintée d'un peu d'ironie tout de même. Quel grand plaisir d'avoir l'estime de mon cher vieil aîné ! Aurais-je un trophée pour pouvoir m'en vanter ?

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Devyn souhaitait que William lui raconte son expérience en tant que bizut. Bien sûr il aurait pu tout lui dire, mais ce serait trop facile. Non, ça devait garder une part de mystère, après tout c’est ça qui effraie ; l’inconnu. Mais comme il se doutait que Devyn paniquerait tout l’été s’il ne lui en disait rien, il décida de faire cinquante-cinquante. Il lui dit donc ; « L’un de mes défis consistait à composer un hymne pour Harvard. On a reçu un SMS un matin, Charly et moi, nous indiquant l’adresse d’un studio. Caleb nous attendait là-bas avec des instruments et de quoi écrire. Il nous a demandé d’écrire un hymne, Charly et moi nous sommes répartis les rôles. Il a pris quelques photos pour la maquette et il a eu une super idée pour la structure de l’hymne. Moi, j’ai composé la partie musicale et rajouté quelques vers à ce qu’avait trouvé Charly. Je pense qu’on s’en était bien tirés. » C’est vrai, hormis pour les dérider un peu, Caleb n’avait pas eu à intervenir. Après ça, tout s’était passé à merveille. En tout cas, que Devyn se rassure, William n’avait jamais eu de défis humiliants, après tout, c’est ça qui l’angoissait. Il ajouta cependant ; « Après, je ne peux pas t’en dire plus, il faut garder une petite part de mystère. » Et puis de toute façon, comme il s’amusait à se moquer de lui depuis quelques minutes, il n’ajouterait rien à ce sujet. Que William lance des piques à Devyn serait plus courant que l’inverse. Que lui arrivait-il ? Il ne se priva pas de le souligner ; « Il y en a au moins un qui est en forme ici... Que t’arrive-t-il ? » Pour reprendre le dessus, le Kane lui siffla ; « Tu utilises beaucoup de pléonasmes pour quelqu’un qui passe ses journées dans une bibliothèque.. Aîné aurait largement suffit. » Apparemment, il semblait perplexe quant à ce qu’il venait de lui dire. Il ne le répèterait pas pour autant, pas aujourd’hui, pas avant un moment. Mais rien ne l’empêchait de l’aiguiller par la suite sur ce qu’il voulait réellement dire. Après tout, il ne l’avait pas encore remercié pour ce qu’il avait fait aujourd’hui. Il ne savait pas comment faire de toute façon. Un « Merci » serait peut-être trop léger, limite je-m’en-foutiste. Mais il ne se voyait pas non plus sortir un laïus de vingt minutes à Devyn, pas du tout.
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Faire un hymne pour Harvard ? Cela était relativement soft, en effet. Compliqué à faire, parce qu'il fallait avoir les idées, mais non humiliant et lié à nos domaines d'étude ou de passion. Tu aurais du mal de ton côté, n'étant pas dans le domaine musical, mais cela te semblait effectivement plus intéressant que de te balader à moitié nu sur le campus par exemple. Tu te sentais du moins un peu plus détendu par cette histoire, même s'il te disait ne pas pouvoir tout te dire. La part de mystère comme il disait... même si tu aurais préféré tout savoir, que ta curiosité soit satisfaite. Je serai curieux d'entendre ça en tout cas ! Non, tu n'allais pas insister pour savoir encore plus de choses. Si William ne t'avait dit que cela, c'était sûrement volontaire après tout, et tu craignais qu'il ne recommence à te mener en bateau sur ce nouveau sujet comme le sujet du Summer Camp.
Oui, tu te sentais réellement en forme en ce jour, assez pour pouvoir l'embêter de manière remarquée à ce qu'il semblerait. Que t'arrivait-il exactement ? C'était plutôt une bonne question, à laquelle tu n'avais pas forcément une réponse préconçue, contrairement à d'autres situations. Tu haussas donc les épaules avant de répondre, un léger sourire aux lèvres. Bonne question... Peut-être l'effet de la fin de l'année, du Summer Camp et de revoir enfin mon meilleur ami, qui sait ?Oh, une gentillesse, la première depuis le malaise du Kane. Peut-être cela le surprendrait-il, mais en bien cette fois. Et Will qui continuait lui aussi à plaisanter, en te sortant que tu sortais trop de pléonasmes pour quelqu'un travaillant à la bibliothèque. Oui, il n'avait pas tort après tout, il n'était pas obligé de dire tout cela, mais ce fut avec un regard rempli de malice que tu répliquas. Je voulais justement insister sur le respect que je devais à mon cher aîné, comme tu m'as dit que je ne les respectais pas tout à l'heure ! Tu lâchas ensuite un léger rire : après tout, tu avais l'habitude avec William : il ne fallait pas toujours à connaître tout ce qui se cachait derrière ces paroles. Tu pris ensuite le temps de te lever tranquillement, puis de tendre la main à William. Bon, et sinon, cher aîné, vu que tu as l'air fatigué, je te raccompagne chez toi ? Enfin, je te raccompagne à pied plus exactement ?

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Devyn & William


Trying to spend my time


Devyn était curieux d’entendre l’hymne composé par Charly & William sur Harvard ? Oh la, il allait attendre un bon moment. Si William était doué avec un piano ou un violon, il ne s’était jamais essayé au chant et il n’y tenait pas. Ou alors, si Devyn tenait tant que ça à l’entendre, il pourrait se charger de trouver lui-même la rythmique en se calant sur le piano. Voilà qui ferait passer un bon moment à l’anglais, je pense qu’il est inutile de préciser duquel je parle. Il lui répondit donc ; « J’espère que tu sais chanter. » Comme il se doutait de la réponse du Gale –non pas qu’il remette ses talents de chanteur en doute, après tout il ne l’avait jamais entendu chanter, mais il le savait trop timide pour chanter devant lui- il su qu’il était débarrassé de la possibilité de devoir chanter. De toute façon, s’il tenait tant que ça à voir l’hymne, il pourrait toujours le lire. Dans une forme olympique –du moins, comparé au Kane-, Devyn lui dit que s’il était comme ça, c’était parce que l’année était finie, que le Summer Camp approchait, et parce qu’il voyait William. Oh mon dieu, revenons sur cette phrase, voulez-vous ? Le Gale était heureux que l’année se termine et que le Summer Camp débute ? C’était lui le plus inquiétant des deux Londoniens tout compte fait. William ne se priva pas de le souligner, répétant ; « L’effet de la fin de l’année ? C’est ça qui te rend aussi.. Enthousiaste ? » Il répéta alors ce qu’il avait dit plus tôt, dans un soupir ; « Je confirme, l’humanité court à sa perte. » Et comme si ça ne suffisait pas, il continua. Devyn était une boule de neige qui roulait sur une pente composée d’assurance. S’il lançait de petites piques au Kane par moment, c’était courant. Mais alors en enchaîner plusieurs d’un coup, ça ne l’était certainement pas. Il venait pourtant de dire qu’il devait le respect à son aîné, mais l’intonation qu’il prenait n’était absolument pas celle de la solennité. Oh non, c’était du foutage de gueule ça, madame. William gémit, suppliant ; « Oooh Seigneur, tuez-moi… » D’un côté, si Devyn prenait plus d’assurance, ce n’était pas plus mal. Mais si cela pouvait se faire plus graduellement, histoire que William s’y habitue, ce serait encore mieux. Il ajouta ensuite, puisque Devyn était décidé à lui faire quitter les marches ; « Pars devant, je te rattraperai. » Ces marches étaient la pierre brûlante sur laquelle William le lézard… Lézardait. Oh mon dieu, il  me tuerait s’il lisait ça, passons. Mais c’était tellement agréable de sentir la chaleur sur sa peau qu’il décida qu’il n’était pas l’heure de partir. Eh non, c’est pas l’heure…
(Invité)

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