TG FREESTYLE ✏ Let's lose our minds

"Tu sais pas encore que j'adoooore jouer?" Ma main était restée collée sur sa fesse tout comme mon sourire en coin ancré sur mon visage. Lui, il ne perdit pas une seconde pour se venger, si on peut appeler ça une vengeance. Il attrapa un ballon d'eau qu'il fit exploser sur ma poitrine et il en profita pour palper mes seins. Immédiatement je me mordis la lèvre inférieure en le regardant, un peu coquine. "Monsieur se gêne pas, à ce que je vois" Nah, j'allais pas coucher avec. Je l'avais fait une fois, et là c'était qu'un jeu. Je pris sa main pour l'attirer dans un coin un peu plus exclu du parking, sans oublier de prendre des ballons d'eau et des sacs de peinture en poudre. En ayant déjà sur les fesses, je me tournai dos à Marshall et commençai à me frotter contre lui, mes fesses arrivant au niveau de son entrejambe. Maintenant, il allait en avoir là aussi, de la peinture!

Une crêpe jaune? J'aurais plutôt dit doré, caramélisé, mais pas jaune. fis-tu en arquant un sourcil, ne te décalant pas d'un pouce du jeune homme. Tu voulais profiter de cette proximité, en plus il sentait bon. Oh oui, tout va bien. J'veux dire, j'ai rien. Et toi ça va ? Je n't'ai pas trop fait mal en me rattrapant ? fis-tu en replaçant correctement son tee-shirt, en profitant pour palper son torse du bout des doigts. Bah quoi, t'étais tactile.. bon, un peu plus que d'habitude mais c'était pas méchant, si ?

Oui, bon... C'est vrai que si tu te retrouvais face à une crêpe jaune comme ses cheveux, tu n'étais pas totalement sûr de la manger sans aucun problème, hormis si tu mourrais de faim. Cela aurait signifié que quelque chose ne devait vraiment pas frais dedans, ou que des colorants étranges y auraient été mis, en plus du fait qu'elle n'aurait pas été très cuite. Mais bon, il ne s'agissait là que d'un détail sémantique fort peu significatif, contrairement à la main qu'elle t'avait placée sur ton torse alors que son doigts qui s'amusait avec une mèche de tes cheveux. Elle ne semblait absolument pas gênée de la situation, et tu ne savais réellement pas si c'était toi qui devenais paranoïaque en pensant que ce n'était pas naturel. Si tu n'avais rien ? Non, hormis ton comportement, mais fallait-il le considérer comme un problème ou faire comme si de rien n'était ? Tu tentas plutôt un compromis. Je vais bien. Mais tu es toujours aussi tactile avec les gens d'habitude ?

"Tu sais pas encore que j'adoooore jouer?" J’hausse les sourcils, tout de même un peu perplexe quant à la suite. Sauf si elle me demande ouvertement de reprendre notre soirée de la dernière fois, elle ne sait vraiment pas dans quoi elle s’embarque. J’écrasai donc un ballon sur sa poitrine avec un sourire triomphant. "Monsieur se gêne pas, à ce que je vois" Iris se mordillait la lèvre et j’eu terriblement envie d’aller la lui prendre pour l’embrasser. Malheureusement, elle s’éclipsait avant que j’en ai la chance. Elle ramassa quelques ballons et m’entraina dans un coin un peu plus reculé où la plupart des gens ne pouvaient tout bonnement pas nous voir. Se retournant finalement dos à moi, elle commença à bouger son cul contre mon entre-jambe qui risquait de ne pas rester calme bien longtemps à ce rythme. Je serai la mâchoire, hésitant à entrer dans son jeu puis me dis qu’à tout coup, je pouvais le tourner à mon avantage. Je plaquai donc mes mains sur ses hanches pour la tenir fermement en place et suivis ses mouvements, bougeant en rythme avec elle et la musique. Une de mes mains glissa ensuite vers l’avant de son corps, caressant son ventre et remontant jusque sous sa poitrine. Je me penchai vers son oreille, lui murmurant : « Joue avec moi Iris… »

Je sais que j'aurais dû savoir d'avance dans quoi je m'embarquais avec Marshall. Peut-être que bah oui, j'avais envie de jouer. Mais seulement de jouer, pas plus. J'étais une chasseresse, une joueuse, et ça ne m'échapperait pas : c'était la réalité. C'était pas pour rien que j'montrais mon corps à n'importe qui sur la scène du Nirvana, ein... J'avais attiré moi-même le Winthrop dans un coin où personne ne pouvait nous voir sauf s'ils avaient la même idée de se cacher, mais là, tant pis, on était là! Je bougeais mes fesses contre lui, contre son entre-jambe et j'étais pas conne : je savais bien ce que ça ferait à un moment ou à un autre. Je m'en foutais un peu, je jouais. « Joue avec moi Iris… », me disait-il en posant ses mains sur mes hanches pour caresser mon ventre et puis remonter jusqu'à mes seins. Je me mordis la lèvre en réfléchissant rapidement. J'hochai la tête comme toute réponse, en continuant à mouver mon corps contre le sien. '' Ça reste qu'un jeu, ein... '' J'voulais en être certaine, avant. Je passais mes mains derrière moi pour attraper son cou vers l'arrière en m'offrant un peu plus à ses mains. Ok, on était dans une activité où tout l'monde se lançait de la peinture et des ballons d'eau et nous, il fallait qu'on s'frotte comme ça. On était pathétique, mais quoi... On aimait jouer!

'' Ça reste qu'un jeu, ein... '' Je souris alors qu’Iris passait les bras derrière elle, entourant mon cou pour coller d’avantage son corps au miens. « Bien sûr que oui… » Je remontai ma main pour la poser franchement sur sa poitrine, avant de remonter jusqu’à son cou, l’obligeant à le dévoiler un peu afin de poser mes lèvres tout contre. Quoi? C’était pas l’endroit pour ça? Tant pis hein! J’en avais rien à chier de c’que les autres pensaient.

« Bien sûr que oui… » Je pousse immédiatement un soupir en sentant la main de Marshall se attraper ma poitrine. J'comprends très bien pourquoi il a un tableau de chasse aussi grand, mais c'est pas pour me déranger d'en faire partie. Le laissant embrasser mon cou, je penche la tête encore plus vers l'arrière pour lui laisser tout le loisir d'explorer cette parcelle de peau qu'il parcoure déjà de ses lèvres. Je me retourne ensuite pour lui faire face en laissant sa main à l'endroit qui lui plaît et je le regarde en me passant la langue sur les lèvres, avant de sourire. Je viens faire glisser ma main sur le tissu de son vêtement pour attraper ce qui se trouve dans son pantalon à l'endroit où se trouvait mon cul quelques instants plus tôt et je ne cesse de sourire. '' T'es un sacré joueur, en tout cas. '' J'pouvais mettre fin au jeu dès que ça m'enchanterait, j'aimais bien être chiante des fois.

Iris entre dans mon jeu, je n’en doute pas une seconde, mais je sais aussi que si elle le fait, c’est qu’elle a un truc en tête. Elle est toujours comme ça cette fille, avec une longueur d’avance sur tous vos mouvements. D’ailleurs, elle se retourne pour me faire face, attrapant mon membre comme elle aurait attrapé une orange. Je me raidis quelque peu, mes deux mains sur son cul bien rond. '' T'es un sacré joueur, en tout cas. '' Qui ça, moi? Je souris, amusé. « Et toi alors..? » Je donne un coup de bassin, l’invitant à me tenir par les sentiments si elle en a envie tandis que je remonte une main sur son cou jusqu’à sa nuque, jouant dans ses cheveux du bout des doigts. Puis sans crier gare, j’approche mon visage du sien et vient mordiller sa lèvre inférieure.

Parfois, j'me demande comment y'en a qui peuvent se la jouer chastes, alors que tous les plaisirs de la vie se résument à ça. Provoquer, jouer, séduire, le sexe. Bon, n'allez pas croire que parce que j'm'amuse comme ça, j'ai pas un côté romantique aussi. Si j'étais pas romantique, j'éprouverais pas de sentiments pour un certain Eliot. Lorsque j'attrape son membre au travers de son short, Marshall attrape mes fesses, comme si c'était un pur et simple réflexe. Mais j'aime bien ce réflexe. « Et toi alors..? » J'lui fais un clin d'oeil, et cette fois j'me met à masser et à palper ce que j'ai entre les mains. Baaah, pourquoi pas? '' Devine. '' Et là Marsh me surprend en venant attraper ma lèvre entre ses dents. J'le laisse faire quelques secondes et moi aussi, pour le surprendre, j'me met à l'embrasser fougueusement, en le poussant vers l'arrière, où y'a un genre de mur, ou plutôt une clôture. C'est lui qui y est adossé, et moi j'l'embrasse avec fougue, parce que... pourquoi pas, ein?

'' Devine. '' Je ne lui laisse pas le loisir de penser plus avant. Ni à moi-même d’ailleurs. Et je lui mords la lèvre avec un sourire satisfait. Oh, mais mademoiselle n’en a pas assez et elle plaque ses lèvres sur les miennes. Bah vas-y viole moi la bouche tant que t’y es Iris. Elle me pousse vers l’arrière jusqu’à ce que mon dos touche une clôture et nos lèvres ne se séparent toujours pas. J’en profite pour glisser ma langue dans sa bouche, violent la barrière de ses lèvres et la maintient contre moi d’une main de fer contre sa chute de rein.