Marshall ≈ all I need is that you take care of me

J'en pouvais plus. J'étais trop folle de Marshall et ça en devenait une obsession destructive, qui me détruisait à petit feu mais faut croire que j'aimais ça. Je l'attirais vers moi en plaquant mon dos et mes fesses contre la parois et je lui confiais avec tout le désir que je lui devais que j'avais envie de lui dans les secondes qui venaient. Je retrouvais la douce langue de Marshall tandis que je frissonnais avec son membre qui chatouillait mon clito. Il savait ce que les femmes aimaient hein! Oh il fallait que j'arrête de penser à soir. Ce soir Ju, t'es unique, t'es la seule pour Marshall. Je sentis sa verge excitée qui prenait son temps pour venir en moi. Je lançais un regard de dieu au winthrop. Il pouvait pas me faire languir comme ça. Doucement, je bougeais mon bassin de quelques centimètres pour qu'il glisse un peu mieux son membre, ce qui m'arracha un soupir plus fort.

Bon, j’avais fait suffisamment d’effort là, vous trouvez pas? Même que j’arrivais encore à seulement caresser son clitoris de ma verge et putin ça me donnait envie de l’enfoncer au plus vite, mais je me retenais toujours. Son bassin s’approcha du miens d’avantage et elle poussa un soupir alors que j’entrai un peu en elle. Merde, c’est bon là, c’est trop. Je poussai jusqu’à être au fond, laissant moi-même échapper un long soupir d’aise avant de ressortir pour mieux entrer à nouveau en elle, dans un mouvement brusque et profond. Allez, un peu de tenue Marshall, elle est délicate la Blaise. Je plaquai mes lèvres sur les siennes, commençant des vas-et-viens plus lent, mais toujours aussi profond, prenant sérieusement mon pied.

C'est la troisième fois que je couchais avec Marshall et à chaque fois j'avais l'impression que c'était la première. C'était comme ça, on se découvrait de plus en plus et j'essayais de lui montrer que j'étais moins coincée que les autres fois. Je voulais lui faire plaisir, le marquer en quelque sorte, comme ça elle évitera peut être d'aller voir ailleurs. Mais on était pas ensemble et l'idée me faisait peur. Pourtant, j'étais déjà fidèle rien qu'à lui, sans compter le bisou pour Tate au bal mais j'avais pas envie de me rappeler ça. Je gémissais à chaque mouvement qu'il faisait et je me mordais la lèvre inférieur pour en retenir quelques uns. J'me disais que j'aurais peut être du mettre une capote, non mais je suis très chochotte sur les bords. Sauf qu'il m'était impossible de demander à Marshall qu'il s'arrête, c'était tellement bon! Je venais embrasser son cou puis sa mâchoire. Je voulais qu'il accélère, qu'il fasse ce qu'il sait faire de mieux avec les filles. Dis comme ça, c'était un peu méchant, je contrôlais plus mes pensées.

Chaque fois que je l’entendais gémir ou soupirer, c’était comme si j’allais exploser. Il n’y avait rien de plus satisfaisant sinon de l’entendre jouir purement et simplement. Elle était tout ce dont je rêvais et pourtant, je n’arrivais pas à l’admettre. À faire ce qui devait être fait. À n’être qu’avec elle. Pourtant, là, je ne pensais à rien d’autre. Il n’y avait que son corps et le mien qui n’en faisait plus qu’un. Que ma queue qui entrait durement en elle, lui arrachant des soupirs d’aise plus puissant les uns que les autres. Sa bouche trouva mon cou puis ma mâchoire et je rejetai la tête sur le côté pour lui laisser tout l’espace dont elle avait besoin pour faire ce dont elle avait envie alors que je la martelais littéralement de coup de rein. Mes doigts bien enfoncés dans ses cuisses, je la tenais fermement contre la paroi de la douche et soupirais moi-même bruyamment de cet effort si excitant.

Je faisais une connerie hein? Qu'est-ce que j'espérais? Qu'il m'aime un peu plus en couchant avec lui? Au fond de moi je l'espérais oui, mais qu'importe, je passais un bon moment et mon coeur s'emballait de plus en plus. Je gémissais autant que je pouvais, tout le campus pouvait m'entendre j'en avais rien à foutre haha. Cela faisait un petit temps que je n'avais plus eu de rapports sexuels et le faire avec Marshall c'était comme une marque de respect. Mais bon, il ne savait pas. Est-ce qu'il pensait que j'avais couché avec Tate entre temps? Ce n'était pas mon genre. Je m’agrippais à son cou et je grimpais sur lui pour qu'il me porte au niveau de mon fessier. Je m'accrochais un peu comme un koala et je sentais beaucoup mieux les mouvements dans mon intimité et ça me rendait encore plus folle. J'étais légère et Marshall était tellement fort qu'il pourrait porter des bateaux.

Blaise s’accrochait fermement à moi alors que je la martelais de coup de rein, la tenant bien pour qu’elle ne tombe pas, mais aussi pour qu’elle ait une maximum de sensation. Tout ce que je voulais, c’était qu’elle prenne son pied autant que possible. L’entendre gémir, soupirer et même crier de plaisir, voilà ce que je voulais. Je n’en demandais pas plus, pas moins. Aussi en profitai-je pour venir prendre ses lèvres entre les miennes, l’embrassant furieusement en glissant ma langue dans sa bouche, jouant un peu avec elle avant de passer mes lèvres dans son cou pour la mordre légèrement. J’avais bien trop envie d’elle, même lui faire l’amour ne me semblait pas suffisant.