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« Vous étiez déjà sur liste rouge dans les années 90 ? Je crois que mon annuaire date de ces années-là. » Limite, leurs histoires de plus tard, un jour peut-être, on verra dans quelques temps, elle y croyait tellement que Bleeker devenait un personnage fictif vivant dans un autre espace-temps. Ça l'arrangerait bien d'ailleurs, on fait tout ce qu'on veut avec quelqu'un qui n'existe pas. Mais lui, il existait vraiment ce qui avait ses avantages bien évidemment. « Oui ou alors je pourrais simuler une maladie mentale plus grave, un stress post-traumatique, du genre je me suis pas remise des événements du bal. Ou alors un espèce de somnambulisme. » Et puis espérer qu'il avale ça. Elle savait très bien que ça ne marcherait pas, mais il fallait préserver ce qu'ils avaient, autrement dit pas grand chose. À force de s'inventer un futur très lointain et de réfléchir à divers scénarios de retrouvailles, Cody était presque devenue une créature mythique, un personnage tout droit sortie de ses cours de latin. Comme s'il était bien au-dessus de tout ça, la vie, la mort, les chiens qui laissent des crottes sur les trottoirs, les conseils de classe, les dés manquant dans les jeux de Monopoly, au-dessus des crayons à papier taillés des deux côtés, au-dessus des bics sans bouchons. Mais il était là, au même niveau. Si Joan avait été incapable de le choisir lui, puisqu'elle avait choisi d'être ailleurs, combien de temps mettrait-il à le faire ? Elle s'y préparait doucement, mais alors très doucement. « Alors espérons que tu rencontreras une Princesse promise à personne qui te fera oublier l'autre. » Le rire que voulut lancer la Quincy resta coincé au fond de sa gorge. Autant voir toutes les possibilités, les choses ne sont pas figées, les gens et le monde autour d'eux changent, les Princesses aussi, non ?
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« T'as un annuaire canadien des années 90 ? » pouffa-t-il de rire, un rire qui se voulait nerveux, pas le rire d'un pur foutage de gueule. Après tout, peut-être que dans la famille de Joan, on collectionnait les annuaires de tous les pays du monde. Sûr, ça prenait beaucoup de place qu'une collection de timbre, mais chacun son kiff. D'autant plus qu'ils pouvaient avoir de nombreuses utilisations, comme caler des tables, les utiliser comme siège, s'en servir comme fouet dans des délires SM. Vous imaginez, Joan, une fille bien sous tout rapport, construire sa maison avec seulement comme matière première des annuaires ? Et bizarrement, malgré les milliards de noms susceptibles de s'entasser à ses côtés, celui de Bleeker serait celui qui reviendrait le plus souvent. Il se risquait à le croire. « Tu m'as jamais dit ce qui s'était passé au bal. » Ouais, OK, y avait eu leur échange. Mais ce n'était pas à cause de Cody qu'elle s'était retrouvée seule dans le jardin avec une joie de vivre pareille à celle d'un zombie à qui on aurait piqué la cervelle qui lui servait de petit déjeuner. Il se contenta de baisser les yeux, d'observer ses pieds quand elle annonça espérer qu'il trouverait une princesse libre. Ah, mais il semblait que dans le royaume de Harvard, toutes les princesses étaient déjà destinées. Et oui, Cody, qui bouffait par kilos la série Game Of Thrones, avait très bien compris comment ça marchait les mariages, les rois, les reines, les princesses. C'était la merde. Il n'avait plus qu'à rejoindre la garde de nuit et faire vœu de chasteté pour le restant de ses jours.
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Ça n'étonnerait même pas Joan. Si elle cherchait bien chez ses parents elle pourrait en trouver un. Ils avaient eu une période Nord canadien, quand Mr Lindley avait lu Croc-Blanc et qu'il avait soudain chercher à acheter un traîneau et qu'il avait adopté un husky. Cette lubie du père de Joan était passée si vite, qu'elle était incapable de se souvenir du nom du chien. « Je dois même en avoir un du Cuba année 1999. » Parce qu'après il y avait eu la période cubaine où la brune et sa demi-sœur avait du se faire vaccinées contre toutes les maladies tropicales. La jeune femme hésita un instant avant de répondre. Devait-elle seulement répondre ? Évoquer Joshua devant Cody lui donnait toujours la gerbe. Elle se demandait toujours s'ils pouvaient cohabiter dans sa vie sans se croiser un jour, moins elle les liait par ses confidences, moins ils cherchaient à en savoir plus l'un sur l'autre, non ? « Hum, en fait avant le bal j'ai su qu'il avait plus ou moins embrassé son ex. Enfin il l'a embrassé quoi. Et en fait, il m'a dit que c'était une erreur et qu'il voulait te … convaincre d'abandonner. » Elle essuya ses mains moites sur son jean avant de répondre. « Moi comme c'était pas une erreur … Bref, tu t'en moques, je vois même pas pourquoi on en parle. » Puis, après il allait lui demander des nouvelles de toutes les personnes pour qui elle aurait pu avoir un crush ? C'était la dernière chose qu'elle voulait faire avec lui. Bon leurs possibilités étaient assez réduites, mais de là à parler de la vie amoureuse de la Quincy, merci bien.
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« Tu me le prêteras ? Dédicacé, tout ça. Ça fait un moment que j'ai pas lu un livre. » Il fallait donc rattraper son retard et l'annuaire de Cuba de 1999 lui plaisait beaucoup. Surtout que les noms à consonance hispanique étaient rigolos pour la plupart et honnêtement, rire un peu suite à cette atmosphère des plus pesantes ne serait pas du  luxe. Pas du tout. Il fut ravi – ou pas – d'apprendre que le copain de Joan avait lui-même fauté, qu'il avait lui-même embrassé son ex. Avant, il gardait son petit sourire en coin, signe de politesse, même s'il ne se sentait pas spécialement épanoui dans cette ambiance. Là, il déchanta. Disons qu'elle avait appris que son mec l'avait 'trompé' (un baiser, c'est pas tromper, sinon Joan serait la pire des infidèles) et la minute d'après, elle sautait sur Cody pour s'enfuir avec lui. Ohw. Il avait bien fait de décliner l'invitation et pourtant, l'envie ne lui avait pas manqué. « Me convaincre d'abandonner … Inutile, tu te débrouilles bien dans cette discipline. » Et suivit un énième rire nerveux. Il voulait le dire comme une plaisanterie … Mais en fait non. Bon, keep calm. Une part de lui n'avait jamais renoncé à Joan, une grande part, pleinement ancrée dans son cœur. Pas la petite part de la meuf au régime qui veut quand même goûter à la galette des rois. Non, je parle de la part du glouton de la famille. « Ouais, on s'en moque, c'est débile. » Il agita sa main d'un geste vif, illustrant le fait qu'il balayait cette histoire. Il essayait de prendre ses distances avec cette annonce et il menait un combat avec lui-même pour. Il n'avait rien à dire, ça n'enlevait pas ce petit pincement au cœur.
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Ah, elle était heureuse de voir à quel point le Lowell était un homme cultivé, plein de savoir. La passion de la lecture ça commence par un annuaire hors d'âge puis ça finit par Zola. Joan était fière de lui, fréquenter des artistes ouvrait l'esprit de Bleeker et cela ne pouvait lui être que bénéfique. « Bien sur, je te mettrai la liste des pages les plus intéressantes à lire. » Joan se prit la remarque de Cody dans la gueule avant la même puissance qu'un bus lancé à pleine vitesse. Elle voulait bien être bonne en badminton, devenir championne de rock acrobatique, puis le saut en hauteur aussi, avec ses petites jambes elle n'avait pas dépassé les soixante centimètres. Convaincre son ex petit-copain d'abandonner elle pouvait s'en passer. Elle se retint de justesse de se lancer dans un discours sur leur emploi du temps amoureux, lui dire qu'eux c'était pas plus tard ou maintenant, mais toujours, préférant baisser la tête et tousser. Ça c'était un truc de désespérée qu'elle gardait pour elle, un dernier truc pour se convaincre que c'était pas totalement foutu. Comme si plus de conneries elle sortait, plus de temps elle gagnait. Style, une déclaration fiévreuse c'était un quart d'heure avec Bleeker et une emmerde de plus. Pourtant, pour une fois, elle préféra se taire, enchérissant. « Ouais on en parle plus, on était d'accord, on l'est toujours, hein ? » Oui oui, bien sur qu'ils étaient d'accord, manquerait plus que le jeune homme change d'avis. Ou elle d'ailleurs. Merde, et si Lindley changeait d'avis ? Quand elle était avec son copain, elle était parfaitement sure de son choix, c'était une autre affaire quand elle croisait Bleeker. Ou quand elle s'arrangeait pour le croiser, nuance. Joan chercha quand même dans le regard du brun quelque chose qui la contredirait.
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Bien sûr, Cody pourrait toujours compter sur Joan. C'est avec plaisir qu'elle lui indiquerait les pages les plus passionnantes de l'annuaire. Mais au fond, ce qu'il voudrait, c'est qu'ils le lisent ensemble ce foutu annuaire. Non, ce ne serait sûrement pas la plus passionnante des activités de couple mais Cody s'en battait les castagnettes un jour de féria ; lire l'annuaire avec Joan serait plus palpitant que découvrir le grand canyon seul, plus amusant que vomir dans tous les manèges de Disneyland seul, plus époustouflant qu'une chute d'étoiles filantes sur sa maison qu'il regarderait seul. Avec Joan, tout prenait un autre sens. Finalement, ça aussi ça l'emmerdait. Il ne devait pas accorder autant d'importance à un poney à frange qui avait mis à rude épreuve ses émotions. « Merci. Tu les marqueras avec des post-it de couleurs, une légende claire faite de ta plus belle écriture, tu vois. » Répondit-il avant d'écouter Joan parler de son mec. Et de l'ex de son mec. Du syndrome de la tourette des baisers du bois doré qui court qui court qui court comme la maladie d'amour. Et Cody, il bouillonnait. Mais avoir repoussé Joan signifiait qu'il avait juste le droit de fermer sa gueule quand elle parlait de ses amours. Il le savait donc il l'acceptait. Ça n'empêchait pas de vivre avec cette dualité dans sa tête, celle qui d'un côté le poussait à contredire Joan et celle qui, de l'autre, lui poussait à jouer la carte de la sagesse et se concentrer sur les banderoles et autres cotillons qu'ils étaient censés mettre en œuvre pour organiser leur petite fête. Pourtant, la manière dont son ex posa la question lui laissait penser qu'elle aimerait bien que Cody ne soit plus d'accord par rapport à leur promesse, par rapport à leur décision suite au bal. Mais il ne se risquait pas, t'façon, il ne savait déjà plus où il en était au côté cœur. « Pourquoi ne le serait-on plus, hein ? » C'était le moment où il aimerait entendre un long et beau discours by Joan Lindley sur le comportement des planètes et des astéroïdes au contact des étoiles. Elle pouvait varier et prendre en exemple la reproduction des fleurs et l'importance du bourdon dans la vie amoureuse des plantes. Ça lui manquait. Sa folie lui manquait. Son total manque de bon sens lui manquait.
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Des post-its de couleurs, elle allait aussi prendre sa règle et son équerre pour qu'ils soient collés parfaitement parallèles aux marges, elle allait aussi les ré-écrire trois fois, tant que son écriture ne lui semblerait pas parfaite. Pas parce qu'elle était maniaque, non. Mais c'était Cody, quitte à ce qu'il ne soit pas ensemble, elle voulait qu'il garde le meilleur d'elle. Au fond, si elle n'avait pas officialisé, où si elle décidait de ne pas être sage, il aurait tous les avantages de la vie de couple sans la mauvaise humeur le matin, la mauvaise humeur tout court, les pieds qui puent – bien que Joan ait les pieds qui sentent la vanille en permanence – le 'j'ai pas le temps d'être avec toi je révise la composition nucléaire du Soleil là'. « Promis. » Pourquoi ils ne seraient plus d'accord. Tiens bonne question. Le problème c'est qu'elle ne savait vraiment pas, elle avait beau cherché, elle ne voyait pas. Joan-sans-copain-fixe aurait sûrement répondu un truc très beau, très Gatsby, très Juliette, très Troy Bolton. Puis elle aurait aussi réclamé son baiser hollywoodien. Avant. « Je sais plus. » Elle inspira comme si elle allait ajouter quelque chose avant de se raviser. Tentant de se replonger dans ses dessins. C'était trop coloré, ça fait mal aux yeux comme quand on mange sur une table blanche en plein soleil et qu'on a oublié ses lunettes dans la boîte à gants, que la voiture est garée trop loin et qu'on a peur que la ratatouille refroidisse le temps qu'on aille les chercher. PAREIL. « On se remet jamais totalement d'une crise cardiaque, ça laisse des traces, mais tu vois, le médecin finit toujours par nous renvoyer à la maison. Je pourrais peut-être faire semblant d'avoir une maladie orpheline, une brusque crise de foie, pour rester un peu plus. Si ça se trouve ça va pas marcher et je vais devoir attendre d'être envoyé en gériatrie pour recroiser le médecin. » Selon Tweets de Filles, moins on parle de nos sentiments, plus ils sont censée grandir. Lindley n'était pas comme ça, plus elle en parlait, plus elle se sentait libre d'en parler encore plus. « Parfois je suis contente de rentrer à la maison, c'est plus calme, stable, facile. Parfois j'ai envie d'avoir un putain d'AVC, un truc qui m'éclate la tête, que je ne puisse plus bouger, plus parler, que je finisse légume. Que la seule personne de mon entourage que je puisse reconnaître ce soit mon médecin. »
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Cody, lui qui attendait LE discours qui ne pouvait être débité que par une Joan – ou un toxico sous acide à l'article de la mort – ne fut pas déçu par la réponse de la jeune femme. En toute honnêteté, il ne comprenait rien. Mais bizarrement, il s'en foutait pas mal. Joan, il l'aimait avec ses défauts et ses problèmes de fabrication, ses cordes vocales mal installées, son cerveau monté à l'envers et son lobe temporal scientifique mélangé avec celui de la poésie. On s'y faisait, c'était la Lindley quoi. Il relâcha tout ses muscles et tomba en arrière, de l'accoudoir au creux du fauteuil, où il s'installa confortablement, dos sur l'accoudoir et jambes pendantes dans le vide. Il se permit de prendre quelques secondes pour réfléchir et bien analyser chacun de ses moments. Alors, il répondit, dans la même foulée ; « La gériatrie, ça paraît si loin. Prends-toi une bagnole. Y a 10 000 accidents de voitures par jour. Si t'as de la chance, tu te prends la voiture pile dans la rue devant l'hôpital. Tu seras prise en urgence et tu retrouveras ton médecin. » Métaphooooore, métaphoooore les amis. Non. Cody n'incitait pas Joan à se crasher sa voiture dans un lampadaire ou à passer sous les roues de la 2CV de mamie Odette, loin de là. Mais si un miraculeux accident lui permettait de retrouver les bras vaillants de son docteur, alors oui. Vous voyez, c'était sa Joady. Elle avait besoin de lui comme d'un infirmier (j'avoue, j'aime UN PEU Fauve, cette chanson en fait everywhere I'm looking now, I can see your halo ~ cody  - Page 3 3861440630) et elle s'en foutait pas mal si ça lui coûtait une jambe, un bras, ou si ça la transformait en légume. « L'AVC c'est pas la solution. Le médecin, il veut sa patiente en forme. Ça lui plaît pas d'avoir une asperge sur les bras. Au fond, on se retrouve dans l'histoire du chat qui se mort la queue. La patiente ne verra jamais le médecin si justement elle n'est pas malade. Et le médecin refuse de voir sa patiente malade. » Il termina en baissant les yeux, pas franchement ravi d'avoir trouvé le sens de l'histoire.
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Monsieur se la jouait majesté monseigneur sur son fauteuil. Genre il est assis comme Rihanna sur son trône dans je sais plus quel clip mais les vêtements en plus. Joan c'est Louisy Joseph, elle est bien assise par terre. Elle se contentait de peu pour être heureuuuuse. Mine de rien, c'était un vrai régal pour les yeux, de profil on voyait encore plus la proéminence sur son visage. J'ai dit sur son visage bande de pervers dégueulasses. La jeune femme allait demander à Cody de faire un moulage de son nez pour qu'elle puisse garder en souvenir. Échange de bons procédés : elle donnait l'annuaire, il donnait le moulage. Elle se ravisa puisque le Lowell était inspiré par l'énième métaphore amoureuse qu'elle sortait sur eux. Ils s'en sortaient toujours mieux lorsqu'ils utilisaient les figures de style de bases. Lorsqu'ils parlaient franchement, ça finissait toujours mal. Devait-elle comprendre qu'il fallait qu'elle soit à l'article de la mort pour que finalement il réalise qu'ils ont au max quarante devant eux pour finir ensemble ? C'est comme quand Jackson va dans le bus en feu qui explose et qu'April flippe sa race et qu'après elle veut plaquer son fiancé pour lui. J'ai pleuré comme une chasse d'eau. Mais c'est juste parce que la voix français d'April est irritante pour les tympans. C'pas comme si je pleurais pour rien. « Je vais demander un crédit à la banque alors, ça vaut le coût, non ? » Elle aurait pu ajouter qu'il lui suffisait de prendre un vélo pour risquer la mort, mais ça lui semblait évident. La brune continuait à gribouiller sur un morceau de papier. « Parce que c'est un bon médecin j'imagine. » De toute façon, Lindley n'avait jamais été très à l'aise avec la médecine, elle était pas dans son élément. Ça lui plaisait pas. « Le médecin il change trop souvent de patientes, ça existe pas les médecins avec un seul patient à la fois. Alors que tu vois un atome, tu lui enlève ou tu lui mets des électrons, le noyau reste le même. » Elle n'était pas sure que ce soit très clair, mais pour elle ça l'était. « Même que certains noyaux peuvent fusionner et BOUM. » expliqua-t-elle en faisant de grands gestes.
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Il fallait reconnaître que c'était tellement plus facile de discuter sans s'énerver avec Joan quand ils utilisaient des comparaisons foireuses. Tout le monde n'avait pas la capacité pour les comprendre et dans un sens, Cody était fier qu'ils aient leur message codé, à l'aube de ce nouveau jour où ils ne partageaient déjà plus rien. Si, ils se partageaient l'air et c'était bien le dernier contact qu'ils avaient le droit d'avoir dans l'état actuel des choses. Craignos, hein ? Des fois, Cody se réveillait avec l'envie de partager plus que de l'air avec Joan, comme de la chaleur. C'est une bonne chose la chaleur. Le problème était les conséquences. La chaleur entraîne les bisous qui entraînent eux les bébés et qui entraînent un nouveau problème. Bref, c'était la mouise. Donc voilà, on pouvait remercier leur langage codé qui rappelait à Bleeker qu'ils partageaient encore au moins une chose ; leurs rêveries. « Tu vas mourir de toute façon donc oui, c'est l'occasion de ruiner les banques et de détruire le système monétaire international. » Le SMI pour les intimes, je l'ai vu en cours de Fluctuations et régulations des économies de marché, le cours vachement passionnant susu. « Le médecin, il y peut rien s'il a plusieurs patientes. Il en a besoin pour vivre, il ne peut pas refuser toutes ces âmes en peine. » À moins d'être chirurgien esthétique à Hollywood, il ne pouvait pas se permettre de dire 'toi j'aime pas ta gueule donc je veux pas de toi'. Puis les meilleurs diagnostics ne sont-ils pas fondés sur l'expérience ? Mon dieu, ça commençait à devenir weird. En plus, là, Joan se mit à parler d'atome mais s'il y avait bien un truc que Cody ne pigeait, c'était les atomes. Les atomes, il préférait les manger. Vous savez … La tomme de Savoie face « Le BOUM me fait peur. Il vient d'où ? Il est dû à quoi ? C'est plutôt bien ou plutôt mal ? » fit-il en se grattant sa proéminence nasale, buvant consciencieusement les paroles de la Quincy.
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