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everywhere I'm looking now, I can see your halo ~ cody

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Si des yeux pouvaient tuer … Joan dégaina ses yeux lasers, espérant pour la première fois de sa vie que Bleeker s'étouffe avec sa bave, crache ses poumons et fasse un malaise au milieu de la LH. Elle n'était pas spécialement un modèle de grâce et de délicatesse, mais elle ne l'avait jamais vu si vulgaire. Cody savait être plus poétique, du moins dans ses souvenirs. C'était peut-être le revers de la médaille, elle avait un petit copain qui n'était finalement pas lui, cela devait lui donner le droit de mal parler. Lindley eut un petit pincement au cœur, blessée dans son orgueil. Aucune réplique cinglante ne lui vint à l'esprit, pourtant elle aurait voulu lui sortir un truc qui fait mal aux oreilles comme une assiette balancée dans un restaurant grecque. Paraît que ça porte bonheur là-bas. Finalement, c'est la fin de l'adorable tirade du jeune homme qui la fit réagir. Elle se mit à rire, plus nerveusement qu'autre chose évidemment. « Tu … c'est pas la peine de me le préciser ça, j'avais compris toute seule que tu me retiendrais pas. C'est pas comme si c'était un habitude chez toi. » La brune se détourna, tirant la banderole un peu plus loin. Il respirait trop fort, ou peut-être elle. En tout cas, elle se concentra sur ce désagréable bruit. Non en fait c'était vraiment insupportable. Il avait intérêt de gérer avec sa guitare sinon elle allait lui arracher les cordes une par une. « On sait jamais vu comme tu parles aux femmes. Alors à une fille que tu as jamais pécho et avec qui tu entretiens une relation tout à fait platonique aux dernières nouvelles, j'ai un peu peur de ce à quoi va ressembler ta chanson. » Autant elle avait suffisamment regarder Moi, Moche et Méchant pendant ses longues soirées solitaires pour dessiner à peu près correctement une papuche que dessiner Cendrillon elle aurait du mal. Il y a trop de détails sur ces meufs. Mais elle allait essayer, elle n'allait pas se laisser abattre comme ça, wesh. « Ouais pas con, t'écriras un truc aussi et je ferais la choriste sur ta sublime création musicale. »
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C'était un reproche ça ? Ouais, ça sonnait comme un reproche. Pourtant, il lui semblait que les deux ex avaient longuement débattu le soir du bal sur le pourquoi du comment de l'impossibilité pour eux de se mettre en couple pour le moment. Surtout que ce n'était pas comme si Joan n'avait pas prévu sa bouée de sauvetage sur le bras au cas où Cody ne l'empêchait pas de sauter. Donc honnêtement, elle n'avait rien à dire, juste à fermer sa jolie petite bouche que Bleeker n'embrasserait pas ce soir. Normalement. C'était dans ses projets, dans ses résolutions post bal de promo. « J'aime pas quand tu parles comme ça. C'est comme si j'avais quelque chose à me reprocher alors que non. » Il était le lapin de l'histoire au final, lui, il était seul. Pas de gentil petit ami qui attendrait son retour, juste Aidan à la limite mais Cody n'irait certainement pas se blottir dans ses bras, aussi douillets soient-ils. Concentre-toi sur ton âme d'artiste, Cody. Au moins, muni de sa guitare, il avait l'impression de faire une bonne action, il se sentait presque Quincy, m'voyez. « Tu ne peux pas parler de Jackie en mettant le mot 'pécho' dans la même phrase, meuf. Elle est comme ma sœur. » Il déglutit. Evidemment qu'ils avaient une relation platonique, puisqu'il n'y avait pas d'ambiguïté, rien. Ce n'était pas comme avec Joan, c'est sûr. Il commença à gratter les cordes pour reproduire son fameux accord qui fonctionnait pour toutes les mélodies, pour toutes les occasions ; premier rendez-vous, berceuse, Bar Mitzvah, enterrement, veillée funèbre. Il ferma les yeux, trop concentré le gugus, et fredonna ; « Jackie … Jackie … Jaaaaaaackie. » Il trouvait qu'il s'agissait d'un bon début. Il était plutôt fier de lui en fait.
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Joan soupira, c'était quand même épuisant de tout lui expliquer tout le temps. Nan sérieux, même faire réviser la table de 6 à un CM2 c'est moins chiant. « Non, rien à te reprocher, mais n'agit pas et ne me parle pas comme si je t'avais laissé te noyer, je t'ai tendu une perche au bal, on a décidé que c'était mieux pour l'histoire qu'on laisse le Titanic couler, on l'a fait ensemble, arrête de faire comme si j'étais la méchante. » Quelque part, elle n'aimait pas forcément qu'on parle de Joshua comme un pion. La position du copain/copine qui doit cohabiter avec un ex qui prend de la place, elle l'avait vécue et le résultat était plutôt catastrophique. Même si ce n'était pas totalement comparable, Cody n'était quand même pas le genre à raconter des conneries pour briser les couples. Par contre, s'il allait voir Maléfique au cinéma – avec Angie et sa fille là – elle allait peut-être lui jeter un sort du genre 'à l'aube de tes vingt-six ans tu feras chier le monde' et là des fées arriveront pour changer la mise. 'Ok tu feras chier le monde, mais que pendant 100 ans', et là, une belle princesse arrivera et lui tapera cinq pour le réveiller. Après, elle pouvait toujours se pencher et l'embrasser, mais c'était à ses risques et périls, elle prenait le risque de se prendre son poing en plein visage. Certes, si c'était une vraie princesse elle se sacrifiera pour lui. « Ouais ben Dan et Serena ils sont presque frères et sœurs dans GG aussi. » Joan sourit. Évidemment c'était impossible, manquerait plus que ça. Enfin bon, il était armé de sa guitare et la jeune femme fut à moitié surprise de voir qu'il n'avait pas chercher à apprendre plus d'accords que la première où elle l'avait vu avec l'instrument dans les mains. C'était presque gênant du coup. Dans la mesure où il ne devait même pas savoir comment on allumait un ordinateur, il n'avait pas la possibilité d'aller voir les supers tutos sur youtube. En plus il y a des trucs faciles, des moins faciles, il pourrait apprendre pleins de trucs et après se présenter à la Nouvelle Star. Il aurait toutes ses chances. « Jackie t'es aussi jolie qu'une boîte de kiri ? Perd pas espoir, broie pas du noir ? Cendrillon a retrouvé son prince charmant, tu … iras de l'avant ? » Ce n'était que des idées de rimes, parce que chanter 'Jackie' pendant une demi-heure c'était du Colonel Reyel. Bien que ce chanteur soit excellent soit dit en passant.
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Des fois, Cody se demandait si Joan et lui ne cherchaient pas des prétextes pour se disputer. C'est vrai ; ils n'avaient rien à se reprocher, lui comme elle. Pourtant, voilà qu'ils se cherchaient les pouls (everywhere I'm looking now, I can see your halo ~ cody  - Page 2 1881463262 everywhere I'm looking now, I can see your halo ~ cody  - Page 2 1881463262 j'étais obligée) là où ils n'y en avaient pas, puisqu'ils utilisaient chacun un produit génial anti-poux. « J'ai pas dit que t'étais la méchante, oh. » Ou alors il ne s'en souvenait pas, genre comme s'il était atteint d'Alzheimer précoce. Chaud à vingt-cinq ans quoi, il devrait peut-être penser à établir son testament pour pas que Jess se retrouve sur la paille. Ils pouvaient dès à présent changer de sujet, même si l'évocation d'une relation à la Derena avec Jackie ne lui plaisait guère. Vous imaginez, Cody et Jackie ? Ahah, ahah. Ça ne servait à rien d'en débattre 106 ans et pourtant, Joan en parlait comme si c'était possible. Mais non, non, dans la tête de Cody ce n'était pas possible. « Oui ben ils sont sortis ensemble avant d'apprendre qu'ils étaient presque frères et sœurs, je te signale. Ce qui n'est pas notre cas. Ce qui ne le sera jamais. » Le mec, il était calé en Gossip Girl. D'ailleurs, il trouvait leur relation limite incestueuse après qu'ils aient appris qu'ils avaient failli avoir un petit frère en commun. C'était quand même archi caca berk. C'était comme si Cody apprenait demain qu'il avait une demi-soeur en commun avec Joan. Alors qu'il réfléchissait aux paroles, son ex lui donna quelques rimes. Elles n'étaient pas mauvaises, pas bonnes non plus. « Tu ferais mieux de me laisser l'écriture. J'suis pas sûr qu'elle va apprécier d'être comparée à une boîte de Kiri. » Encore, c'était soft. Imaginez que ce soit la vache qui rit. « J'ai déjà écrit une chanson une fois. À une fille. Mais elle a jamais pu l'entendre. » Il ne savait même pas pourquoi il disait ça.
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Les poux aucun risque d'en attraper – c'est comme les pokémons j'y suis jamais arrivée – faut pas oublier qu'avant elle s'appelait Marnie-Rose. Ça c'est du CV. M'enfin. Alzheimer c'est pas un truc à prendre à la légère hého. Joan n'avait aucune envie d'aider Mrs Bleeker à payer une maison de retraite à Cody. On se rend pas compte mais ça coûte vachement cher faut s'y mettre à … plein. Puis vous imaginez s'il se met à dérailler et à oublier sa fille, sa femme, ses frères, ses sœurs. Ah non pardon, il n'a pas de femme. Dure vie. Alors, le jeune homme se permettait de critiquer ses talents d'auteurs ? J'crois pas non, une aussi jolie plume, ça se critique pas. Comme s'il y connaissait quelque chose en écriture de chansons. Au moins il ne critiquait pas ses dessins. On voyait tout de suite l'influence Tim Burton, ou peut-être Picasso vu la façon dont Lindley avait dessiné les nez de ses princesses. En tout cas, elle était une vraie artiste de Minnie. Minnie était putain de bombasse grâce à elle. Genre, un de ces déhanchés. Puis il parla chanson, fille, jamais entendu. Trop concentrée sur la réussite des nez de princesses, Joan se contenta d'un « Hum. » Non sérieux, les nez c'est trop important. Puis elle leva de nouveau la tête vers le Lowell. « Fais moi écouter alors, ce serait con que personne n'entende jamais cette chanson. » En y pensant, elle se demandait à quelle fille il avait pu écrire une chanson. En fait, à part Maggie, Ruby, Jezobel et elle – c'est déjà pas mal – elle ne voyait pas avec qui il était sorti. Ma foi, fille c'est un terme un peu vague. Si ça se trouve c'était sa copine de primaire, sa meilleure pote du lycée, une meuf bourrée dans un bar qui s'est endormie quand il a commencé à jouer. Peut-être sa grand-mère, c'est une fille aussi, et elle serait donc morte avant qu'il n'ait eu le temps de lui chanter. Mine de rien elle demanda, on sait jamais. « Tu l'as écrit quand au juste ? C'est que … si jamais les paroles sont toujours dans l'actu, on pourrait les réutiliser. Ou pas, vas-y joue, enfin chante. »
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Il était une fois, Jean-Cody Goldman qui en avait eu marre des trois accords qu'il connaissait par cœur. Un beau jour, il décida donc d'y ajouter un mot sur ses lignes de notes, ou plutôt un prénom. Mais à force de répéter ce prénom avec pour bruit de fond sa guitare, il s'était dit qu'il devrait mieux ajouter quelques paroles, peut-être pas super profondes mais au moins, carrément sincères. Et voilà comment il était arrivé à écrire une chanson pour une fille. Une chanson qu'il n'a jamais eu l'occasion de fredonner autre part que dans sa salle de bain, pourtant ce n'était pas faute d'avoir imaginé tout un tas de scénario digne de The Notebook. Il s'était résolu, l'avait enfermé au placard, se disant qu'un jour il ferait peut-être carrière avec ça, comme Max Boublil dans Les Gamins avec son  Je t'aaaaaaaaaaaaaaime J E T apostrophe A I M E everywhere I'm looking now, I can see your halo ~ cody  - Page 2 1116103942« Je l'ai entendu, je crois que ça suffit. » Pourquoi en avait-il parlé ? Évidemment qu'il avait éveillé la curiosité de Joan. En plus, elle demanda la date d'écriture, comme si Cody s'en souvenait, pfffff … 14 avril 2013. OK, il s'en souvenait, et alors, ça changeait quoi ? Ils n'étaient déjà plus ensemble à l'époque, à ce qu'on sache. « Je l'ai écrite il y a quelques mois … Un an. » Il n'était pas foutu de mentir plus de trente secondes. Tu parles d'une tare. « Nan, c'est plus d'actu, ça ne conviendrait pas pour elle. On passe à autre chose. Tu parlais de quoi toi ? Ah oui … Oh Jackieee, Jackie, perds pas espoir oh broie pas du noirrrr Jackie oh Jackie ferme le tiroir de tes idées noooooires. » Il s'improvisa une petite song, en gigotant sur son accoudoir comme Gilbert Montagné sur son piano. Il espérait que ces paroles ultra touchantes suffisent à faire penser Joan à autre chose que ce qu'il venait de confesser quelques secondes plus tôt.
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Attendez, 2014 moins 1 ça fait 2013 ? Aurait-il écrit cette chanson pour elle ? Cet esprit de déduction pouah, moi ça m'fait d'l'effet. Évidemment qu'elle voulait l'entendre, c'est pas comme si on lui écrivait des chansons tous les jours. C'était trop bien, la classe totale. Joan n'avait pas la certitude qu'il y avait bien une chanson puisque Bleeker ne voulait pas monter le son et danser à en perdre la voix lève les bras ohohoh pour que rien ne s'effaceeeeee. Non, il ne décollait pas ses muscles fessiers que son accoudoir. Puis alors, si la jeune femme n'avait aucun talent pour changer de sujet, on peut en dire tout autant du Lowell. Comme si ça allait lui faire oublier. « Il y a deux minutes tu disais que mes paroles étaient pourries. » Elle regarda fixement Cody, certaine qu'elle aurait assez de volonté mentale pour lui faire cracher le morceau – enfin les paroles. Si ça se trouve ce n'était pas du tout ce à quoi elle s'attendait, un truc sur sa frange ou sa bouche. Vraiment, ça ne l'étonnerait même pas. « Justement si c'est plus d'actualité tu peux bien la chanter, qu'est-ce que ça va changer de toute façon ? Rien ? Alors balance. » Vous voyez c'est merveilleux leur capacité à se crier dessus pour finalement se faire de jolies confessions sur tout ce qu'ils avaient ratés. Lindley n'était pas sure que ce soit une relation bien bénéfique pour l'un et pour l'autre, mais ils en avaient suffisamment parlé et elle n'arrivait toujours pas à se convaincre d'arrêter de le voir. Puis si au moins il éprouvait un minimum de résistance, mais non. 'Tu sais pas quoi Joan ? J'ai écrit une chanson pour toi.' Pfu, elle pouvait dire quoi face à ça à part 'oh c'est trop mignon Cody, merde alors j'ai un petit copain, on veut pas être ensemble, mais putain c'que j't'aime' ? Pathétique. Puis, vaincue elle haussa les épaules. « Après tout, fais ce que tu veux. » Pour changer, mouark.
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Joan avait beau être une Quincy, vous savez, les sages de Harvard qui pétaient des papillons. Et bien la Quincy, elle s'excitait pour un rien. Et là, je ne parle pas de la bonne excitation, celle qui entraîne des bébés. Mais bien l'excitation de l'agacement, voire de l'énervement et finalement de la colère. Elle avait l'air de savoir garder la tête froide mais … My ass. Sa tête était aussi froide que mon Sprite Mcdo après une nuit passé sur la table de la cuisine wesh. « Elles sont très bien tes paroles. » répondit-il en haussant les épaules. Keep caaaalm and kiss meeee avait-il envie de dire avec son bel accent canadien mais non, ça ne marcherait pas, ça ne collerait pas avec leur décision du bal. Merde, qui était le génie qui avait supervisé cette décision ? Ah oui, Cody Bleeker. À sa grande surprise, Joan Lindley, aka la meuf censément casée, épanouie, heureuse, semblait mal prendre ce refus. Si elle voulait une chanson hypra romantique, elle n'avait qu'à demander à Pluton de lui en écrire une. Ou alors il avait un tas de talents mais pas celui-là, peut-être bien. Il répondit en tentant de rester calme et de poser simplement le problème ; « Le vaccin contre la rage, c'était une bonne idée. Les chars gonflables pour tromper les Allemands pendant la guerre ? Une bonne idée. L'application SIRI pour les gens qui souffrent de solitude chronique ? Une excellente idée. Te chanter cette chanson ? On n'en sortira pas vivants. » Il dramatisait. Si, bien sûr qu'à proprement parler, ils en sortiraient vivants. Leurs cœurs, beaucoup moins.
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À ce point ? Ouh lala, en effet mieux valait éviter. Limite elle pleurait quand elle écoutait Sébastien Patoche, alors si Bleeker himself confessait que sa chanson provoquerait une véritable catastrophe sur la planète entière, le même genre de menace que les super-héros devaient combattre dans les films, Joan préférait éviter les dégâts. Elle n'avait rien de Mme Élastique, ni de sa fille dans les Indestructible, elle n'arrivait pas à créer un champ de force autour d'elle lorsqu'elle faisait face à la vraie vie. Elle n'évitait pas, elle fonçait dans le mur. « Je sais pas si une chanson ça va changer grand chose, le simple fait que je sois avec toi là ça craint. Ça craint de ne pas avoir supprimer ton numéro même après un an. Et là je pourrais le faire aussi, histoire de plus avoir un moyen simple de te contacter, mais j'ai toujours l'adresse de ta mère, j'ai toujours un annuaire et si un jour l'envie me reprend de te voir je serai certainement capable d'appeler tous les Bleeker des États-Unis et du Canada pour savoir où tu es. » La brune aurait aimé dire ça avec le plus de détachement possible, mais elle n'y arrivait pas. Elle s'énervait elle-même à persister à y croire alors que la seule chose qu'elle avait à faire c'était retourner dans sa chambre, avec son copain et laisser le Lowell se trouver une petite copine. Imaginez qu'il est raté l'occasion de sa vie parce qu'il était trop occupé à ressasser le passé avec son ex, parce que pour le moment ils étaient plus habiles à ajouter des souvenirs dans un carton plutôt que de vivre leur histoire pleinement. Histoire qui n'était plus, peut-être aux yeux du monde, mais pas pour elle, pas encore, pas tant qu'ils ne seraient pas capables de se voir sans finir par se rappeler qu'ils étaient eux et qu'il y avait eu un 'eux'. Le plus proprement possible elle découpa un morceau de banderole, se concentra, même qu'elle tirait la langue pour se concentrer. Elle s'appliqua, essayant de reproduire son regard de mexicain – parce qu'il avait quand même l’œil du mexicain avant l’œil du tigre. Elle tendit son œuvre d'art représentant un Cody en collants, perché sur ce qui se voulait être un cheval avec une couronne en strass sur la tête. « Il me semble que le Prince Charmant a attendu un moment avant de trouver sa Princesse mais c'était la bonne et il a vécu heureux tout le blabla. Qui que ce soit, chante lui sa chanson pendant qu'il en est encore temps. »
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Ce n'était pas une bonne idée. Ce rendez-vous, l'excuse d'organiser une petite fête pour leur meilleure amie … Ce n'était qu'une vaste mascarade, une occasion de plus pour s'engueuler dans le vieux salon de la Lowell House. Ils arrivaient à un point où Cody ne savait plus sur quel pied danser avec Joan. Oh, puis quand on y pense, il n'avait jamais su danser. S'il existait un concours pour récompenser ceux qui écrasaient le mieux les pieds de leur partenaire, il finirait premier, médaille d'or, plus haute marche du podium et couronne de fleurs sur la tête. Ce qui le ferait toujours fondre chez Joan, c'était sa capacité à débiter des discours dignes des meilleures comédies romantiques. Mais cette fois, cette vague de chaleur que son cœur avait pris l'habitude de recevoir se transforma en pieu que l'on enfonçait toujours un peu plus dans sa chair. Machinalement, Cody posa la main sur sa poitrine comme s'il essayait de le retirer. Mais ça ne marchait pas, son pouvoir d'imagination atteignait ses limites. « On est sur liste rouge, tu risques d'avoir du mal. » pouffa-t-il de rire, nerveusement bien sûr. Qu'est-ce qu'il racontait ? Il avait vraiment le mot pour tout gâcher. « Ton copain apprécierait sûrement que tu passes des journées entières à appeler tous les Bleeker du pays. Quoique tu pourrais lui sortir une excuse débile, style un cousin éloigné, un TOC refoulé … Je sais pas. » Quoiqu'il advienne, ils reviendraient toujours au même sujet ; leur mauvais timing, le copain de Joan … Bon allez, ils n'étaient plus à un effritement près. « Et ça changerait quoi que le Prince Charmant chante sa chanson tant que la Princesse est promise à un autre ? Ce serait ridicule. Il n'a pas besoin qu'on lui foute un énième râteau. » Sur ce, il posa sa guitare à ses pieds.
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