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Les examens de fin d’année, le suicide collectif

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Les examens de fin d’année, le suicide collectif



Analind & Aaron

Les examens de fin d’année sont souvent synonymes d’une forte envie de se suicider. Aussi bien de la part des étudiants, que des enseignants. Pour ma part, j’entre dans une grande période où je me retrouve avec des centaines et des centaines de copies à corriger, là où les jeunes, eux, sont en train de se bourrer la gueule dans un bar pour fêter le début de leurs vacances, au moins jusqu’à recevoir les résultats. Ca m’énerve déjà. Je croule sous les piles de copies tandis que je me trouve dans une salle de classe où se déroulaient les travaux dirigés. Ainsi, je suis au calme pour travailler.

Au bout de trois bonnes heures, je suis sorti fumer une cigarette afin de décompresser. En remontant, j’eus l’idée d’aller rendre une petite visite à Ana qui devait corriger ses copies à quelques salles d’ici. Je marchais donc dans les couloirs, à pas de loup. La porte était ouverte et discrètement, je vins à l’observer et je la trouvais très attirante en étant aussi concentrée. Bon, le stress se lisait aussi sur son visage. Je me mordillais la lèvre inférieure avant d’aller récupérer un feutre noir et une feuille. J’y inscrivais « Et si l’on allait faire l’amour sur une photocopieuse pour décompresser ? » puis, en dessous je signais « Ton admirateur (pas très) secret ». Je chiffonnais la feuille afin d’en former une boule, puis la lançais dans la salle où se trouvait Ana, sans me faire voir. J’attendais donc dans le couloir, les bras croisés contre mon torse, adossé au mur.
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J'étais là, dans une des salles de TP, coulant sous les copies. On ne voyait que le bout de ma tête dépasser des gros tas de feuilles. Et j'en n'étais même pas au quart! Mes yeux me fatiguaient, mon poignet me faisait mal et mon bic rouge était sur le point de me lâcher. Par moment, je poussais des soupirs de lassitude, à d'autre, d'énervement. Parfois, je riais de certaines conneries que pouvaient me sortir mes étudiants. Certains allaient devoir recommencer leur examen, faute d'avoir étudier. En attendant, il fallait que je corrige toutes les copies et j'étais partie pour quelques jours de nuit blanche. Surtout qu'il fallait qu'on remette les points le plus tôt possible. Mon dieu, c'est dans ces moments-là où j'ai l'impression d'être une esclave sous-payée. Et pourtant, je gagnais bien ma vie en tant que professeur à Harvard. Du moins, assez pour ne manquer de rien et de pouvoir m'offrir quelques petits plaisirs, chaque mois même si je le voulais. Sauf que je préférais nettement économiser. On ne sait jamais et on n'est à l'abris de rien... J'avais pu survivre les deux ans où j'étais au chômage, grâce à la prime de vie de Dylan mais bon, je me répugnais à y toucher. Du coup, une grande partie de l'argent était toujours sur mon compte et je ne comptais pas l'utiliser. En tout cas, les vacances allaient bientôt débuter et je n'avais encore aucuns plans. Je verrais sans doute avec Aaron, ce qu'il comptait faire. Je n'avais pas spécialement envie de passer mon été à surveiller les étudiants pendant le Summer Camp... Mais les Caraïbes, ça ne se refusait pas non plus. Sauf que ce n'était clairement pas le moment d'y penser. Je secouais la tête et retournais dans ma correction. J'avais envie de déchirer la feuille sous mes yeux. Non, FAUX FAUX FAUX! Mon dieu mais c'est une question de première année ça! L'élève était en quatrième, comment pouvait-il faire une erreur pareille! Bref, j'étais totalement frustrée. Encore un qui n'écoutait pas en cours. Ou plutôt, que ne venait pas. Et hop, dans la pile des repêchages. BIEN FAIT! Soudain, du coin de l'oeil, je vis une petite boulette de papier voler à travers la pièce. Huh? Haussant les sourcils, je me levais de ma chaise. Qui est le petit imbécile qui ose me déranger en pleine correction?! J'avais pas de temps à perdre pour les gamineries moi! Je ramassais quand même la feuille et la dépliais. Le contenu me fit quand même rire et je sus tout de suite de qui il provenait. Je m'étirais doucement avant de sortir de la salle. Je tournais mon visage à droite, à gauche et mes yeux s'illuminèrent en le voyant adossé contre le mur. Je me mordis la lèvre tandis que je m'approchais de lui. « Voyons, ce n'est pas une manière de se comporter pour un professeur. »
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Analind & Aaron

J’ai souvent basé ma séduction sur l’humour. Je peux être aussi gentleman que romantique, mais je reste davantage un homme qui aime faire rire la galerie et qui prône le fait que la vie n’est qu’un immense terrain de jeu. De ce fait, j’affichais une expression victorieuse à chaque fois que j’entendais Ana rire de mes blagues ou bien de mes attitudes. Elle n’aurait aucun mal à comprendre qui était l’auteur de ce bout de papier, balancé dans la salle comme l’aurait fait un enfant. Je restais donc dans le couloir, adossé contre le mur et les bras croisés contre mon torse, attendant patiemment que la femme que j’aime sorte de la pièce afin de me rejoindre.

Chose qui ne tarda d’ailleurs pas à arriver. Sa remarque me fit hausser les sourcils, un large sourire sur les lèvres. Ce n’était pas une manière de se comporter en tant que professeur ? Je venais clairement de lui proposer de s’envoyer en l’air avec moi sur une photocopieuse. Ainsi, s’il y avait bien une remarque que je m’attendais à entendre, c’était bien : « Ce n’est pas une manière de se comporter avec une femme. ». Finalement, je fis un pas vers elle, enroulant sa taille avec l’un de mes bras afin de l’attirer contre moi et venir presser mes lèvres contre les siennes dans un sourire. C’était agréable de venir l’embrasser dés que l’envie me prenait.

- Je peux venir corriger mes copies avec toi ? Je m’ennuie tout seul.

Un regard de chien battu plus tard et je venais effleurer le bout de son nez avec le mien. A savoir qu’effectivement, si je venais corriger mes copies dans la même salle qu’elle, elle avancerait beaucoup moins vite, sauf si je décidais de me tenir à carreau. Ce qui semblait difficile sur une longue période dans la mesure où mon hyperactivité me donne de réelles difficultés à tenir en place. Heureusement, j’avais beaucoup travaillé pour apprendre à rester calme, si bien qu’aujourd’hui, j’apparais uniquement comme un homme speed.

- S’il te plaît. Promis, je ne t’embêterais pas trop, et je ne te proposerais pas une pause crapuleuse sur le bureau toutes les cinq minutes…

A savoir qu’il faut faire attention à mes propos et les écouter jusqu’au bout. De ce fait, je comptais bien l’embêter un peu quand même et lui proposer une pause crapuleuse toutes les six minutes. Non plus sérieusement, il fallait que j’avance également dans mon travail.

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Bon d'accord, Aaron n'est pas un petit imbécile, mais heureusement que c'était de lui que venait le mot hein! Tout de suite, je sortais de la salle de classe. Il était adossé contre le mur, tout beau, un petit sourire en coin sur les lèvres. Je pouvais sentir mon coeur battre un peu plus vite dans ma poitrine à sa vue. Sa proposition était totalement indécente pour un professeur. Oui, pour un professeur, je n'avais pas réagit par rapport à la femme. Disons que c'est parce que ce boulot est genre, tellement important pour moi que je ne pouvais que réagir de cette manière. D'un autre côté, j'étais un peu le genre de femme soumise. Enfin... juste un tout tout petit peu, mais chut. Sentant son bras autour de ma taille, un doux sourire s'afficha sur mes lèvres tandis qu'il venait m'embrasser. J'adorais ces moments d'affections, ça me faisait du bien. Et puis, ça me distrayait de mes copies, et surtout, ça me donnait du courage pour la suite. Plus vite je terminerais, plus vite je retrouverais Aaron et ses bras. Et donc, je pourrais passer plus de temps avec lui. C'était gagnant-gagnant. « Je peux venir corriger mes copies avec toi ? Je m’ennuie tout seul. » Oh non, pas ce regard! Il savait que je ne pouvais pas y résister! Le profiteur! Je me mordis la lèvre tandis qu'il essayait de m'amadouer. Ce n'était vraiment pas une bonne idée, je savais que je serais distraite. Et je ne pouvais pas l'être. « S’il te plaît. Promis, je ne t’embêterais pas trop, et je ne te proposerais pas une pause crapuleuse sur le bureau toutes les cinq minutes… » Là, je levais mes yeux au ciel. Je plissais les yeux en lui répondant. « Tu me déranges et je te jette dehors, compris? » Ouais non, fallait pas me prendre à la légère quand il s'agissait de mon travail.
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- Tu me déranges et je te jette dehors, compris ?
- Oui, chef !


J’esquissais un sourire taquin, conscient que je n’aurais qu’à lui adresser mon regard de chien battu pour qu’elle abandonne l’idée de me mettre à la porte. Sauf si effectivement, je l’énerve trop auquel cas je risquais de voler jusqu’au couloir avec un coup de pied dans le derrière. A savoir que je suis quelqu’un de chiant. Le fait que je sois hyperactif donne clairement l’impression que je ne sais pas m’arrêter. Mais promis, cette fois-ci, je ferais en sorte de rester calme. Je sais à quel point ce travail est important pour Fawkes, et qu’elle désire terminer de corriger ses copies dans les meilleures délais.

Je lui volais donc un baiser pour ensuite me diriger vers la salle que j’occupais avant de venir la déranger. Je réunissais mes affaires et quelques minutes plus tard, j’entrais dans la pièce d’Ana. Je m’installais sur la table juste en face du bureau, collé à celui-ci de façon à ce que nous ayons bien assez de place pour nous mettre au travail. Et sans un mot, je me mettais au travail, désireux de lui prouver que je peux rester calme et faire preuve de sérieux. Je mettais donc le nez dans mes copies, jouant nerveusement mais silencieusement avec mon stylo, le faisant tournoyer avec agilité entre tous mes doigts. Oui, j’ai du être majorette dans une vie antérieure…

Au bout d’une bonne heure d’intense correction, je retire ma cravate et déboutonne deux boutons de ma chemise. Je fais bouger machinalement ma jambe en prenant appui sur mon pied, preuve qu’il m’est réellement difficile de rester immobile. Mais encore une fois, je reste silencieux. Un instant je relève les yeux pour les poser sur Ana. Le coude posé sur la table, et le menton dans le creux de ma main, je l’observe quelques secondes. Damned ! Elle est vraiment très sexy quand elle est aussi concentrée. Je chasse finalement cette idée de ma tête, évitons de nous égarer et retournons au travail.


BY .TITANIUMWAY


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Je ne pouvais qu'accepter devant son petit air de chien battu. Le sale manipulateur, il savait que je ne pouvais pas y résister. Je lâchais néanmoins un petit soupire amusé quand il me répondit. Après un rapide petit baiser - qui avait eu don de me mettre le rouge aux joues - il retourna dans sa classe pour reprendre ses affaires. De mon côté, je l'avais regarder partir avant de retourner dans ma classe et de reprendre place derrière mon bureau. Aaron revint rapidement et s'installa juste en face. Et je me remis au travail. Finalement, je réussis parfaitement à me concentrer. D'un côté, il était bien silencieux et prenait soin de ne pas me déranger et je lui en étais vraiment reconnaissante. Du coup, j'avançais bien vite dans ma correction. Sa présence me boostait. Plus vite j'aurais terminé, plus vite je pourrais profiter de ses lèvres... Euh, de sa présence je veux dire. Je lisais rapidement mais je restais très concentrée. Je checkais, je barrais, je comptais. Bref, après une heure, youp, j'avais déjà bien avancé. J'évitais à tout pris de lever les yeux vers Aaron parce que je savais que si je le faisais, je serais à un point de non retour. Genre, je pourrais plus me concentrer... En plus, le pire, c'est que pendant l'espace d'un instant, je pouvais sentir son regard insistant sur moi. Du coup, j'me mordais la lèvre pour ne pas lever les yeux. Quelle horreur. Et quand enfin, je ne me sentais plus observée, je lâchais un petit soupire. Sauf que je fis l'erreur de lever mes yeux à mon tour. Je remarquais alors qu'il avait défais sa cravate et deux boutons de sa chemise. Noooon. Baisse les yeux, baisse les yeux! Pas facile. Du coup, je soupirais une nouvelle fois avant de m'obliger à rabaisser le regard. J'avais plus envie de corriger... Mais lui, il le faisait toujours alors... Courage, tu peux le faire!
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Analind & Aaron


Elle ne me regarde pas et reste concentrée. Cependant, mes yeux bleus s’arrêtent sur ses dents qui viennent mordiller sa lèvre inférieure. Autant dire que c’est le genre d’attitude qui peut me déconcentrer. Je garde le regard fixe alors qu’intérieurement, je brûle de désir de venir la lui mordiller moi-même. Elle n’a pas le droit d’être aussi attirante. Et ce léger décolleté me rend fou. Il n’est pas vulgaire, davantage glamour. Mais je me fais violence, je me suis promis de faire des efforts pour ne pas la déranger durant sa correction. Je me force donc à reposer mon regard sur mes copies et à me concentrer à nouveau.

Trente minutes repassent. J’en ai marre. J’ai besoin de faire une pause afin d’éviter de relire une bonne dizaine de fois la même phrase en vain, sans réussir à la comprendre. Je tourne la tête vers la fenêtre et mon regard s’arrêtent sur les oiseaux qui passent. La chance. Finalement je pose mon stylo puis me lève. J’ai l’impression de redécouvrir mes jambes. Je m’étire longuement avant de faire quelques pas. Je passe derrière Ana qui elle, corrige toujours. Nul dans le but de la taquiner, j’ai davantage envie d’un moment de tendresse. Dans son dos, je me penche légèrement afin de passer mes bras sur ses épaules, l’enroulant. Puis mes lèvres se déposent sur sa joue. J’aime ces moments câlins que nous unissent. Et, comme pour ne pas la déranger, je viens à lui murmurer :

- Je vais me chercher un café. T’en veux un, mon ange ?

Et puis, ça va me changer les idées. Enfin, son décolleté va sortir de mon champ de vision, ce qui évitera que je lui saute dessus.


BY .TITANIUMWAY


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C'était vraiment horrible. Je savais que je n'aurais pas dû accepter qu'il vienne corriger ses copies ici. Il n'a fallu qu'une fois pour que je me retrouve totalement déconcentrée. Tellement que je restais bloqué sur la même copie pendant des minutes, plus qu'il ne le faudrait. Allez, il fallait que je me ressaisisses! Il fallait surtout que je termine mes corrections dans les délais et si ça continuais comme ça, je ne verrais jamais le bout. Je lâchais un énième soupire, portant mon correcteur rouge en bouche - pas le côté couleur hein, l'autre... C'était une mauvaise habitude, de mordiller mes bics mais voilà, c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour ne pas me laisser distraire par mes pensées et surtout, par sa présence en face de moi. Une nouvelle fois, trente minutes passèrent, bien trop lentement à mon goût. Là, j'avais corrigé moins de copies... Zut. Soudain, je sentis Aaron se lever. Je gardais toujours mes yeux fixés sur le questionnaire. J'essayais en vain de comprendre la réponse. Et ce fut d'autant plus difficile quand il enroula ses bras autour de mes épaules, plantant un doux baiser sur ma joue. Je compris juste qu'il me parla de café, essayant par toute la conviction qui me restait de me concentrer sur la feuille. Mais pas moyen. Je ne fis qu'acquiescer. Oui, un café me ferait du bien. Et quand je l'entendis sortir de la pièce, je lâchais enfin un soupire de soulagement, me laissant retomber contre le dossier de ma chaise. Bon dieu, une véritable tentation. Je décidais de me lever pour me dégourdir les jambes. Je m'étirais longuement avant de faire le tour du bureau. Mon regard se posa alors sur les examens d'histoire. Je n'avais jamais été vraiment attirée par ce domaine. M'enfin bon. Je pris une de ses copies en main et m'installa sur le bureau. Je lisais les questions, imaginant les réponses avant de lire celles de l'élèves, essayant de tester le peu de connaissance que j'avais encore dans cette matière. Pas facile, facile...
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Je gardais mes bras autour d’Ana, profitant d’un peu de tendresse afin de me motiver à nouveau. Finalement, je lui proposais de lui ramener en café dans la mesure où j’allais moi-même m’en prendre un. Aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle se contenta d’hocher la tête, les yeux rivés sur sa copie. Je me redressais donc, glissant ma main dans ses cheveux bruns et longs pour finalement sortir de la salle. Une fois la porte refermée, je lâchais un profond soupir. En fin de compte, c’est difficile de se concentrer en sa présence. Pourtant, elle ne fait rien pour me distraire. Disons qu’elle possède seulement un physique très attirant. Je me dirigeais jusqu’au hall d’entrée, plus proche d’ici que l’est la salle des professeurs. Contre un mur se trouvait une machine à café. Je plongeais ma main dans l’une des poches de mon jeans afin d’en sortir de la monnaie. Ainsi, je récupérais deux gobelets de café puis repartais donc en direction de la salle de classe.

En ouvrant la porte, je retrouvais Ana à son bureau. Et en déposant le café dessus, je remarquais qu’elle lisait une copie. Là, un sourire s’installa sur mon visage. Je sais qu’elle n’a jamais été très attirée par l’Histoire. Après tout, tout le monde possède ses goûts.

- Depuis quand tu t’intéresses à l’Histoire ?

Je portais mon café à mes lèvres en posant mon regard sur Fawkes. God, elle a vraiment des yeux magnifiques.


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L'histoire n'avait jamais vraiment été mon fort. Oh bien sûr, je connaissais les faits les plus importants, comme les deux guerres mondiales, ou encore celle du Vietnam, l'histoire des États-Unis et de certains autres pays. Mais ce n'était quand même pas ma matière préféré. Sans doute que si j'avais eu Aaron comme professeur, j'aurais plus prêté attention aux cours mais... Bref. Moi, ce que j'aimais, c'était les étoiles. J'adorais les observer, en apprendre un peu plus, même s'ils représentaient toujours une énigme. Je crois bien qu'en réalité, c'est ça qui me plaisait. Essayer de comprendre, de découvrir d'où elles viennent, tous les phénomènes qui pourraient leur être liés. Et puis, j'adorais aussi leur signification. Bref, j'étais une passionnée des étoiles. Rapidement, en remarquant que je repartais dans mon monde, je secouais ma tête et reportais mon attention sur la copie que je tenais toujours. Au même moment, la voix d'Aaron s'éleva, me faisant sursauter. Je ne l'avais pas vu entrer! Je lui souris alors et descendis du bureau. « Depuis que je fréquente un professeur d'histoire. J'essaie au moins de faire semblant de m'intéresser à ce qu'il fait. » Un sourire malicieux, je pris le café qu'il m'offrait. « Merci. » Je soufflais avant de tremper mes lèvres dans le liquide. Ah, ça faisait du bien. « Alors, tu as encore beaucoup de copies? »
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