Can you be my hero ? - Thélia

Thélia ღ

« En effet, froissons l'herbe ici immédiatement ! » Je lui lançais un regard pour voir si il était sérieux ou non, ne répondant rien. On s'était mis à parler d'étoiles, s'en trouvant une pour chacun et lui donnant un surnom complètement débile. Pour parler aussi de la petite ourse, comme si on allait la trouver vu notre état. « Tu imagines bien. » Même en mode neutre, pas avec de l'alcool dans le sang je me doutais que ça l'intéressait pas de parler des étoiles. « Pour que les gens se moquent de moi quand je les porte ? Nan. Mais je vais voir pour des lentilles, ce serait pas plus mal. » Je me mis à rire quand il évoqua qu'on se moque de lui en les portant, je voyais pas du touuuuut de quoi il voulait parler. Puis j'hochais la tête pour les lentilles. Pas mauvaise idée, c'est surement plus pratique, moins de chance de les casser puis surement moins gênant que d'avoir quelque chose sur le nez. Certes on a les lunettes de soleil mais ça c'est autre chose. Je lui faisais alors part de mon vrai voeux, me doutant que le dévoiler ne me causera aucun tord. « Je comprends mieux pourquoi tu as été élue la plus altruiste. C'est très généreux de ta part. » Ouais et ma générosité me perdrait surement. Pourquoi faire autant de bien autour de moi, même pour des inconnus afin qu'ils soient plus heureux alors que la vie m'enlève mon bonheur à moi ? La vie pouvait être vraiment injuste parfois. J'ai été quincy dans une autre vie c'est pour ça dis je en riant. Ouais cette maison aurait pu être la mienne si j'avais pas choisi celle des cabots d'abord. & même si j'y étais pas cela m'empêchait pas d'avoir les caractéristiques de cette maison. Il réclama son baiser et j'en profitais pour lui dire combien il était gourmand. « C'est un des sept pêchés capitaux que veux-tu.. » Hochant la tête, je répliquais aussitôt. La luxure aussi.. Etait ce un sous entendu ? Peut être que oui, peut être que non. Je déposais alors mes lèvres sur les siennes et je sentis sa main contre ma nuque ce qui me fit sourire contre ses lèvres. Il me tenait ainsi plus proche de lui, bien que nos lèvres ne pouvaient pas l'être plus. Rompant le baiser, il s'installa sur le côté. « Au contraire, ta compagnie est un pur délice. Tout comme tes baisers... » Disait il ce genre de phrase à chaque fille qu'il embrasse ? Je ne le serai surement pas. « Maintenant par contre j'ai un gros problème... » Levant un sourcil, il attisait ma curiosité avec son "problème". « Et si tu ne veux pas avoir à l'affronter, vaudrait peut-être mieux que tu acceptes que je te reconduise chez toi... » Me mettant à rire, suivit d'une gorgée que je buvais, je me positionnais de la même façon que lui. Qui dit que je ne veux pas avoir a l'affronter ? Quel est donc ton problème ? S'il croyait me dire ça et que je veuille rentrer sans plus en savoir c'était mal me connaitre. On balance pas une telle bombe sans en dire la fin. Je voulais savoir et j'avais en aucun cas peur de l'affronter. J'étais en mode super heroine, je craignais rien, ou pas.

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Thélia.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - « Pas mauvaise idée, c'est surement plus pratique, moins de chance de les casser puis surement moins gênant que d'avoir quelque chose sur le nez. » Était-elle en train de débattre sur comment des lentilles étaient bien plus pratique que les lunettes ? J'en avais vraiment l'impression. Mais je l'écoutais tout en souriant, parlant ensuite d'étoiles et d'étoiles filantes plus précisément, alors que la jeune femme me révélait avoir fait un vœu uniquement destiné à sa famille, me faisant comprendre comme elle était gentille et généreuse. « J'ai été quincy dans une autre vie c'est pour ça » Si elle riait, je décidais d'en faire de même. « Hum, non. Le rose te va mieux. » Je souriais alors doucement tout en venant réclamer ensuite le baiser qu'elle m'avait promis si jamais je me poussais de sa personne. Et comme je l'avais fait, je venais juste réclamer mon du en lui disant que la gourmandise était un péché capitaux. « La luxure aussi.. » Si cela fut un sous-entendu, je n'y prêtais pas le moins du monde attention, savourant juste ensuite le baiser qu'elle osa me donner, tentant de l'approfondir comme je pouvais. Je lui avouais alors que sa présence était un vrai délice tout comme ses baisers. Je me plaçais alors sur le côté tout en l'observant alors qu'elle venait elle aussi à se positionner de cette façon et que je commençais alors à lui parler du petit problème que j'avais. « Qui dit que je ne veux pas avoir a l'affronter ? Quel est donc ton problème ? » Je me mis alors à rire jouant avec l'herbe qui se trouvait entre nous deux. « Et bien...Tu es très désirable. Peut-être trop. » J'étais très direct. « C'est un problème tu vois. » Je marquais une pause avant de reprendre en soupirant, perdu dans la contemplation de l'herbe : « Et dire qu'un jour j'ai eu un droit de veto sur ce corps, quel gâchis. »

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Thélia ღ

« Hum, non. Le rose te va mieux. » Je fis un sourire, oui je comptais pas quitter les cabots de toute façon. Je pouvais garder mon âme de quincy tout en restant dans ma maison, maison que j'étais depuis mon entrée à Harvard, soit 5 ans et l'année prochaine ça serait la 6ème année. Je lui donnais alors son baiser comme promis tandis puisque monsieur était un gourmand et qu'il faisait allusion aux sept pêchés capitaux. J'enchainais donc sur un autre qui est la luxure, lui faisant entendre un sous entendu. Je voulais savoir son fameux problème, celui qui faisait qu'il devait me ramener si je ne voulais pas l'affronter. Hors j'avais bien envie de savoir ce que c'était et devoir l'afffronter si besoin. « Et bien...Tu es très désirable. Peut-être trop. » J'arquais un sourcil genre l'air de lui demander « ah bon ? » Non que j'en doutais qu'il puisse me trouver désirable, j'en avais fait les frais plus d'une fois avec lui, mais aujourd'hui les choses étaient différentes. « C'est un problème tu vois. » Je me mis à rire, oui s'en était un gros même. « Et dire qu'un jour j'ai eu un droit de veto sur ce corps, quel gâchis. » Il me regardait pas mais moi oui et je fis des gros yeux par rapport à ce qu'il disait. Oui il avait eu un droit de veto et ça me paraissait y a une éternité, pourtant non c'était y a seulement deux mois. A qui le dis tu, tu as encore le droit à regarder c'est déjà bien. Ca paraissait ventard non ? Peut être, mais je tentais surtout de cacher que j'aurais préféré qu'il est encore ce droit de veto, au lieu de seulement pouvoir toucher avec les yeux. Arrête de maltraiter ces pauvres herbes dis je en lui attrapant la main pour qu'il arrête de tirer sur l'herbe. Souhaites tu rentrer ou as tu peur d'affronter ce problème ? Parce que moi perso j'avais pas peur, l'alcool m'aidant surement. J'avais aucun problème a froisser l'herbe de cette pelouse, mais peut être que lui oui au final. Peut être que c'est lui qui préférait se défiler pour ne pas affronter ce « problème ».

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Thélia.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - J'avais beau essayer de me voiler la face, je passais un très bon moment avec la jeune femme qui avait accessoirement aussi été mon ex-fiancée. Après avoir joué au billard avec elle, l'avoir porté sur mon épaule, m'être allongé sur elle, profiter de la belle vue et parler des étoiles, j'avais aussi eu le droit à quelques succulents baisers. Je pouvais largement comprendre comment un type dans mon genre avait pu envisager le long terme avec une fille dans le sien. Elle semblait fabuleuse après tout et elle avait toutes les qualités requises qu'on pouvait attendre chez une femme. Une vraie petite déesse. Étant à demi tourné vers elle, je jouais avec l'herbe, m'amusant à l'arracher alors que je lui disait qu'à présent j'avais un gros problème. Ce problème étant qu'à présent j'avais très envie de passer un moment plus charnel que des lèvres sur d'autres lèvres, si vous voyez ce que je veux dire... Je me parlais alors à moi-même en me disant que c'était un sacré gâchis de ne plus avoir le droit de faire ce que bon me semblait avec la jeune femme et son corps, même si un jour j'avais eu ce droit et qu'à présent je ne m'en souvenais plus. « A qui le dis tu, tu as encore le droit à regarder c'est déjà bien. » Relevant mon visage vers elle, je laissais glisser celui-ci du bas de ses chevilles jusqu'à ses hanches généreuses avant de remonter le tout vers son jolie visage. Je réalisais alors un sifflement admiratif. « Quel droit, en effet... » Rebaissant la tête, je m'enquiquinais toujours plus pour arracher l'herbe, quand subitement sa main se posa sur la mienne, pour me faire arrêter tout mouvement. Je posais mon regard sur nos mains qui étaient en contact avant de relever mon visage vers le sien. « Arrête de maltraiter ces pauvres herbes. Souhaites tu rentrer ou as tu peur d'affronter ce problème ? » Je me passais alors la langue sur les lèvres, réfléchissant à toute vitesse. « Je maltraites ce que je veux d'abord, et c'est plutôt à toi que je dois poser cette question, moi je n'ai peur de rien. » Réalisant un sourire et un clin d’œil de crâneur, j'échangeais la position de nos mains pour que ce soit la mienne qui tienne sa propre main et non l'inverse. Mon regard était alors devenu celui d'un prédateur. « Puis-je te poser une question, un tant soit peu...personnelle dirais-je... » Je marquais une pause tout sourire, reprenant ensuite: « Toi et moi au lit, ça donnait quoi ? » La fête nationale du 4 juillet j’espérais bien. Lui laissant à peine le temps de répondre, je repris. « Pour te prouver que je n'ai peur de rien... » Tirant sur sa main et techniquement son poignet, je l'attirais vers moi tout en faisant passer ma main autour de sa taille, déposant mes lèvres contre les siennes en un baiser passionné.

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Thélia ღ

Il avait terminé par dire qu'avant il avait un droit de veto sur mon corps il fut un temps. J'appuyais ce qu'il disait tout en affirmant qu'il avait au moins la possibilité de regarder désormais. En fait il avait la possibilité d'avoir ce droit de veto à nouveau mais ça je me gardais de le dire. C'était pas le moment d'engager ce genre de discussion puis au plus profond de moi je savais que dire ceci n’amènerait pas une réponse positive, du moins pas celle que je voudrais entendre. Je le vis alors me regarder de la tête au pieds ou plutôt l'inverse, l'idée étant la même. « Quel droit, en effet... » Je pris sa remarque pour de l'ironie. C'est clair que pour un homme c'était vraiment peu d'avoir seulement le regard, mais bon il avait eu tout de même bien plus y a quelques minutes non ? Il faisait du mal à l'herbe sur laquelle on se trouvait et sans capter mon geste je lui avais stoppé sa main, un geste si simple, si anodin qui pourtant l'a ne l'était pas. « Je maltraites ce que je veux d'abord, et c'est plutôt à toi que je dois poser cette question, moi je n'ai peur de rien. » Je me mis à rire. Pourquoi à moi ? Ne venais je pas de lui dire que je voulais affronter ce problème ? N'étais je pas encore allongée dans cette herbe, à ses côtés alors que j'avais la possibilité de lui demander de me ramener ? Il échangea la position de nos mains, tenant la mienne cette fois ci et ce geste si anodin aussi ne l'était pas pour mon cœur. « Puis-je te poser une question, un tant soit peu...personnelle dirais-je... » Personnelle ? Je me demandais bien ce que ça pouvait être et je m'attendais pas à ce qui allait tomber. « Toi et moi au lit, ça donnait quoi ? » Là, mais alors là, je me mis à rire de plein cœur. Sa question m'avait surprise et puis si je devais lui expliquer il risquait tant de pas me croire, me prendre pour une folle ou je ne sais quoi. Parce qu'après tout, des lieux on en avait fait et même dans les pires états ça avait eu lieu, oui je pensais bel et bien à ce week end au chalet après l'épidémie. Je repris mon sérieux pour lui répondre, mais me devança. « Pour te prouver que je n'ai peur de rien... » Je ne compris pas tout de suite pourquoi il disait ça, mais quand je sentis mon poignet être tirer vers lui tout comme ma main, puis sa main sur ma taille pour terminer par ses lèvres sur les miennes, je me figeais presque sur le coup. Je crois bien que c'était le premier baiser que lui me donnait de la soirée. Réalisant quelques secondes après je le poussais légèrement en appuyant ma main au niveau du haut de son épaule. Tu veux que je te dis ? lui demandais je en rapport avec sa question. Ou tu préfère le savoir par toi même ? Avais je vraiment dit ça ? Oui je crois bien. Je lui donnais l'occasion d'avoir la possibilité qu'il sache par lui même ce que lui et moi ça donnait dans un lit. Cependant, les sentiments non présent de son côté risquait peut être de changer les choses et que ce soit différent mais j'étais un peu trop dans le feu de l'action pour penser raisonnablement. Me rapprochant ainsi de ses lèvres, je reprenais le baiser que j'avais arrêté quelques secondes avant, tout en passant une main sur son omoplate afin de le tenir près de moi. C'était probablement une belle connerie qui risquait de se passer mais c'était probablement la dernière fois aussi que j'allais pouvoir partager ce genre de moment avec lui alors autant en profiter non ? Encore plus si j'avais pas tout mon esprit pour m'empêcher.

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Thélia.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Pour le coup, je devais reconnaître que je me laissais quelque peu aller par mes instincts de prédateur. La jeune femme aimait bien me provoquer et je pouvais totalement payer les pots cassés pour cela. Car, je mentirais si jamais j'osais dire que je n'appréciais pas du tout sa présence, son odeur, sa voix, sa façon de se démarquer. D'ailleurs quand elle avait stoppé ma main qui arrachait l'herbe, je n'avais pu que songer aux deux chapitres qui pouvaient se dérouler par la suite. Premier chapitre, je l'aidais à se relever et nos partions tous les deux pour que je puisse la ramener chez elle, saine et sauve, fin de l'histoire. Plus de baisers, plus de petites piques, juste comme deux connaissances qui se disent adieu. Deuxième chapitre, je lui grimpe dessus et je l'acquitte de tout vêtement, laissant mon corps se frotter contre le sien. Je n'avais pas non plus besoin d'être Steven Spielberg pour comprendre quel chapitre mon cerveau et mon corps avait déjà choisi. Quand je lui demandais comment nous étions elle et moi dans un lit, elle se mit à rire. D'un rire sonore, qui m'arracha un froncement de sourcils, car pour le coup, je ne suis réellement comment l’interpréter. Mais je ne lui laissais même pas le temps de me répondre, que déjà je l'attirais vers moi afin d'embrasser ses lèvres d'un baiser qui n'avait rien de quelque chose de chaste. Après quelques secondes seulement, la jeune femme me repoussa en s'appuyant sur mon épaule, alors que je plongeais mon regard vert dans le sien. « Tu veux que je te dise ? » Je pris alors la peine de réfléchir quelques secondes. Avais-je vraiment envie de savoir ? Allait-elle me chanter des louanges ou me dire que j'étais le pire coup qu'elle eut jamais eut ? « Ou tu préfère le savoir par toi même ? » Là, je séchais totalement, ne réalisant pas à la perfection où elle voulait en venir. Puis soudain, ses lèvres revinrent sur les miennes et une de ses mains se balada sur mon corps. Réalisant que c'était le second chapitre qui allait commencer, je stoppais notre baiser, me relevant sur un coude pour regarder à nos alentours. Personne en vu ? Parfait. « Je crois que j'ai très envie de le découvrir par moi-même. » Attrapant alors la jeune femme, je la fis basculer sur moi-même, la laissant me chevaucher comme une amazone. Puis d'une main j'attrapais sa nuque la forçant à venir m'embrasser tandis que mon autre main se faufilait sous son haut, le remontant au maximum, caressant sa peau.

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Thélia ღ

Il voulait savoir ce que lui et moi ça donnait au lit. Comment expliqué ça alors qu'il m'avait oublié ? Puis quand je l'avais connu il était pas forcément du genre a coucher n'importe où, je me souvenais parfaitement de notre première fois, il m'avait repoussé deux trois fois sur la plage étant donné que c'était un lieu public et qu'il préférait un bon lit. Ca avait bien changé par la suite, mais comment pourrait il croire ceci ? Je lui lançais alors qu'il pouvait soit m'entendre lui dire soit le constater par lui même. Il ne répondit pas et pas vraiment à mon baiser, y mettant même un terme. What ? Je comprenais pas et je le voyais seulement regarder autour de nous, il cherchait quelque chose ou quoi ? Non parce que c'était pas le moment. « Je crois que j'ai très envie de le découvrir par moi-même. » Un sourire se dessina sur mes lèvres et me soulagea car s'il m'avait repoussé je lui aurais probablement fait avaler ce qu'il avait entre les jambes, l'empêchant ainsi de faire quoique ce soit avec d'autres filles à l'avenir. Mais il m'attira a lui, m'incitant à me faire monter sur lui et ainsi je me mettais à califourchon sur sa personne. Je sentais alors les battements de mon cœur augmentait et ceci fut que le début quand il attira ma nuque pour que nos lèvres viennent à nouveau s'unir et encore plus quand je sentis sa main soulever mon haut et ainsi toucher ma peau. Sentir à nouveau son toucher me provoqua des frissons tandis que je lui donnais un baiser des plus passionné. Je savais que pour lui ça serait une de plus au fond, que je serais une simple fille qu'il aura réussi à séduire et a avoir, je savais que ça n'avait aucune importance, mais pour moi non. Ca en avait à mes yeux et c'est pour cette raison que j'acceptais de succomber une dernière fois à ses charmes, que j'acceptais de me tomber dans ses bras comme toutes les autres. J'avais des bonnes raisons après tout de succomber, c'était mon fiancé y fut un temps. Continuant d'embrasser ses lèvres avec douceur, passion et toute l'envie que j'avais pour lui, à mon tour je fis glisser mes deux mains sur chaque côté de son torse, venant relever ainsi son haut pour lui faire passer au dessus de la tête. Coupant ainsi le baiser, je le regardais dans les yeux un court instant pour faire descendre celui ci sur son torse que je regardais un petit moment aussi. Son torse que j'avais tant aimé et adulé. Baissant ma tête, je déposais des baisers sur ses pectoraux, descendant plus bas sur son ventre tout en continuant à l'embrasser avec sensualité. Je remontais à nouveau vers ses lèvres alors que mes mains glissaient à la ceinture de son pantalon, dans le but de lui déboutonner. Impatiente ? Un peu après près de deux mois sans l'avoir touché de la sorte et puis bien que j'aimais les lieux publics, je souhaitais pas me faire chopper et devoir mettre fin à ceci.

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Thélia.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Nous nous apprêtions à faire quelque chose de véritablement peu catholique. Je n'avais rien à dire de plus à part que j'en mourrais d'envie. J'adorais passer du temps en compagnie de la jeune femme et encore plus puisque je ressentais quelque chose d'assez fort pour elle. Même si j'avais appris que nous avions été fiancé et que j'avais montré une certaine réticence à comprendre pourquoi j'avais souhaité me marier, je prenais peu à peu conscience du pourquoi j'avais eu cette envie plus je passais de temps avec elle. Elle était tout simplement parfaite. Belle, drôle, gentille, généreuse et intelligente et pour le coup, j'avais vraiment envie de passer du temps en sa compagnie. J'avais déjà eu le droit à quelques baisers mais j'en voulais plus et ni ses commentaires sur les lentilles et les étoiles ne m'avait enlever cette fameuse envie. Elle avait décuplé et je me retrouvais donc à avoir envie d'elle. Mais était-ce réciproque ? Telle était la question que je ne cessais de me poser. Puis, je lui demandais ce que elle et moi ça donnait au lit. J'avais très envie de savoir comment nous étions et ce que nous nous donnions mutuellement alors que je ne me souvenais de rien. Lorsqu'elle me demanda si jamais je voulais constater les choses par moi-même, mon cœur chuta dans ma poitrine. L'attrapant, je la forçais limite à s'installer à califourchon sur ma personne, l'embrassant alors avec l'aide de ma main derrière sa nuque avant que celle-ci accompagnée de sa consœur ne vienne se faufiler sous son haut. Néanmoins je pus sentir les mains de la jeune femme sur mon torse, faisant remonter mon tee-shirt avant de le faire passer par dessus ma tête. Nous étions certes dans un lieu public mais je m'en moquais pertinemment. De plus, il commençait à faire nuit pour mon plus grand bonheur. Elle déposa alors des baisers le long de mon torse, me faisait reprendre conscience de la réalité et je passais mes mains sur son corps avant d'échanger nos positions et de m'allonger sur elle. Je l'embrassais alors, entremêlant sa langue à la mienne. J'avais hâte de passer aux choses très sérieuses. Je faufilais alors une main entre nos deux corps, déboutonnant son pantalon, commençant ensuite à le faire glisser le long de ses jambes. Puis je remontais son haut tout en caressant son ventre, avant de faire glisser mes lèvres sur sa poitrine que j'embrassais à travers le tissu de son soutien-gorge. Je me sentais entreprenant, je me sentais très fiévreux de la sentir sous toutes les coutures. Je l'adorais tout simplement. Puis pendant que j'embrassais poitrine en tentant de retirer le tissu de son soutien-gorge avec mes dents, je laissais un de mes doigts jouer avec son clitoris par-dessus toujours le tissu de son sous-vêtement du bas.

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Thélia ღ

Si on m'avait dit que ce soir j'allais rencontrer mon ex fiancé et passer la soirée avec lui, j'y aurais surement pas cru, mais alors j'aurais encore moins cru qu'on me dirait que lui et moi allions couché ensemble. Avant c'était si naturel, c'était comme ce dire bonjour, il n'y avait rien de surprenant, là un peu plus car cela faisait deux mois qu'aucun contact physique n'avait eu lieu hormis des baisers échangés. Je pensais pas que cette attraction sexuelle qu'on avait toujours connu en présence de l'autre, serait encore présente alors qu'il avait perdu la mémoire et ses sentiments. Peut être qu'au fond son désir était toujours présent. J'en savais rien mais j'allais pas m'en plaindre. Je comptais pas refuser un dernier ébat sexuel avec celui qui aurait pu être un jour mon mari. Je l'avais alors laissé m'attirer à lui et je vins me mettre à califourchon sur sa personne. J'avais chaud grâce à l'alcool, mais je pouvais un peu plus sentir la chaleur monter en moi rien qu'en étant sur lui. & c'est sans hésiter que j'embrassais son torse avec sensualité. Oui je comptais pas me la jouer à ne pas savoir quoi faire. Je voulais pas réfléchir juste agir. Il échangea nos places cependant, me retrouvant alors en dessous de lui. Nos lèvres tout comme nos langues ne faisaient qu'un et je sentis sa main venir à mon bas ventre, déboutonnant ainsi mon pantalon. L'embrassant toujours de plus bel, je le laissais faire alors que je baladais, avec sensualité, mes mains sur le haut de son corps. Appréciant une dernière fois de le sentir si passionné avec moi, je le laissais absolument faire ce que bon lui semblait. C'est pourquoi je le laissais remonter mon haut et embrasser ma poitrine. Appréciant chaque baiser qu'il déposait sur mes seins, je me cambrais légèrement en sentant un de ses doigts se poser sur mon intimité pour jouer le bout de chair qui s'y trouvait. Il s'y prenait si bien, comme d'habitude, que des légers bruits se faisaient entendre malgré nos bouches collées l'une à l'autre. Ma respiration se faisait entendre, montrant combien j'appréciais les mouvements qu'il entreprenait sur mon intimité. Lui mordant ainsi la lèvre inférieure, je glissais mes mains sur son postérieur pour les ramener à l'avant. Lui déboutonnant à lui aussi son pantalon. Glissant à nouveau mes mains sur ses fesses, je les malaxais un petit temps avant de ramener une de mes mains vers l'avant, glissant cette dernière dans son caleçon. Frôlant son sexe, je le caressais simplement dans un premier temps, venant titiller la chair se trouvant au bout de son sexe. & tandis qu'il continuait avec son doigt, je commençais des vas et vient de façon lente pour accentuer le mouvement. Enlevant ensuite la main se trouvant sur ses fesses, je la fis venir derrière sa nuque, l'attirant encore plus à m'embrasser pour cesser ce baiser en tirant sur sa lèvre inférieure et venir embrasser son cou. Le mordillant un peu, j'aspirais parfois sa chair déposant des baisers voluptés. C'est fou ce que ce contact avec lui m'avait manqué et je savais que ça allait être compliqué d'y renoncer à nouveau mais ce soir c'est tout ce que je voulais. Ce soir je profitais de lui et moi et des bêtises qu'on s'apprêtait à faire. Je mourais d'envie de passer à la vitesse supérieur, de le sentir en moi, de former plus qu'un avec lui comme autrefois mais d'un autre c'était probablement la dernière fois alors autant profiter de chaque détail, chaque instant.

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Thélia.

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