Mandrea ♣ Don't stop the party

Je suis pas en état de la mettre de côté, ou de la repousser, et puis franchement j'en ai pas envie. Minnie est peut être une amie, mais je la trouve très charmante et séduisante. Après tout comment je pourrais lui résister, d'autant plus qu'elle avait posé ses lèvres dans mon cou pour ensuite poser ses mains sur mes fesses. " C'est vrai... " Je me mords la lèvre inférieure, alors que je collais nos bassins ensemble. La jeune femme vient ensuite à m'embrasser et là je ne réfléchis pas. Je prolonge le baiser, mêlant ma langue à la sienne, alors que je baissais ma main sur ses fesses. " J'adore... " Oh oui j'adore et puis bon faut avouer qu'elle embrasse très bien. Je ne tarde pas à recommencer l'expérience pour pouvoir l'embrasser à mon tour. Je profite entièrement de la soirée et je pense que d'ici demain nous aurions une conversation.

Je souris tout en prolongeant ce baiser, je sais qu’Andrea est quelqu’un de bien mais là je me demande ce qui va se passer. Je sais qu’on va coucher ensemble, enfin je n’en suis pas certaine mais il y a de fortes chances. Je continue de prolonger son baiser et je souris quand il me dit qu’il adore : « Tu ne veux pas qu’on aille ailleurs ? ». J’aimerais bien qu’on aille dans mon appartement mais je pense que nos jeux seront bien moins enfantins que la dernière fois. Je viens ensuite à passer une main sous son t-shirt en souriant.

J'adorais l'embrasser et je sais que d'ici ce soir, on aura partagé plus qu'un simple secret concernant sa grossesse, on aura partagé le même lit, pour faire des choses pas très catholique. C'est presque sûr, vu les baisers que nous échangeons, d'autant plus que la jeune femme vient à me demander si on peut aller ailleurs. " Je te suis... " Mais avant de m'éloigner de la piste de danse, je lui vole encore un baiser, et je frissonne en sentant sa main sous mon tee shirt. Je m'éloigne alors d'elle pour attraper sa main et l'entrainer en dehors de la piste de danse et en dehors de la boîte de nuit. " On va chez toi ? " Par contre je n'ai pas de voitures et même si j'en avais une, je ne suis pas en état de prendre le volant.

Je savais qu’Andrea était partant, je l’avais senti. Je pensais bien que c’était une mauvaise idée mais franchement je laissais juste parler mon corps pour l’instant, je pensais pas à grand-chose puis je commençais à être exciter par Andrea. « Oui on va chez moi ! ». J’avais un chauffer, 24 heures sur 24 et sept jours sur sept. Je lui envoyais donc un message pour qu’il puisse me localiser et m’emmener jusqu'à mon appartement. « Le taxi va arriver dans cinq minute… ». J’en profite pour l’embrasser de nouveau en passant toujours ma main sur son corps.

Je me laissais aller, et si je devais écouter mon cerveau, je devrais m'arrêter, mais là je n'écoute pas du tout mon cerveau. Je n'ai pas envie d'arrêter ce qui vient de se passer, et de ce qui va se passer entre nous. Je l'entrainais en dehors de la boîte de nuit, main dans la main. Je souris lorsqu'elle confirme qu'on va chez moi. Je la laisse envoyer un message à je ne sais qui, jusqu'à ce qu'elle me dise que le taxi va arriver dans cinq minutes. Pourquoi on prend pas un taxi qui passe dans la rue ? Bref, je me pose pas plus de questions, lorsqu'elle retourne m'embrasser. Je sens ses mains sur mon corps, et j'en fais de même, passant ma main sur ses fesses, faisant remonter légèrement la robe qu'elle portait. L'excitation commençait à monter en moi.

J’ai appelé mon taxi privé et nous attendions qu’il arrive tous les deux. Juste avant qu’il arrive Andrea recommence à m’embrasser et je prolonge son baiser de nouveau. J’ai un sourire aux lèvres, et je sens ses mains sur mon corps. Il remonte un peu ma robe et je sens que je frisonne, il pose ses mains à même ma peau et je l’embrasse langoureusement en mêlant encore ma langue à la sienne. Je pense qu’il est clairement visible qu’on a envie l’un de l’autre. Une fois le taxi arriver j’ouvre la porte pour qu’on puisse monter et j’espère que le taxi va arriver rapidement chez moi mais en attendant je l’embrasse : « Toi aussi tu es un petit coquin Andrea… ».

J'attendais avec impatience son taxi, parce que là je suis pas sûr de pouvoir tenir longtemps. Mon envie pour elle augmente de plus en plus. Je l'embrassais alors que je faisais doucement remonter sa robe, mais pas trop pour ne pas faire profiter d'autres personnes de ses fesses. Son taxi vient à arriver, et je monte à l'intérieur. " Comme tous les hommes je pense... " Je souris amusé pour ensuite prolonger son baiser, mêlant sa langue à la mienne, alors que ma main se pose sur sa cuisse, la faisant remonter sous sa robe. Le taxi a intérêt à arriver vite à son appartement, parce que je n'en peux plus.

Je me mis à rire quand il me dit que tous les hommes sont des coquins mais je crois qu’il a raison. Je déglutis ensuite quand il commence à remonter sa main à mon entre jambe, je commence à être excité, faut vraiment que le taxi arrive rapidement ou alors on va enlever nos vêtements dans la voiture je crois… « On arrive ! ». Je vois le taxi qui se pose juste devant mon appartement, je descends alors de la voiture et j’appuie sur le bouton de l’ascenseur. Me vient alors une idée : « T’as jamais eu envie de le faire dans un ascenseur ? ». Parce que là franchement, ce lieu me plaisait bien.

Je sais ce qui va se passer entre nous et l'excitation commence vraiment à monter, et d'ailleurs ça pouvait certainement déjà se sentir dans mon pantalon. Je l'embrassais, alors qu'elle me dit qu'on arrive. Je me sépare d'elle, retirant ma main pour ensuite pouvoir la suivre et entrer dans l'ascenseur. Elle me demande si j'avais déjà eu envie de le faire dans un ascenseur. Je secoue la tête, pour m'approcher d'elle et la plaquer doucement contre la paroi de celui ci. " Jamais testé, mais je ne serais pas contre. " Après tout ça change de le faire dans un lit, non ? J'appuie su le bouton "arrêt" de l'ascenseur pour pouvoir l'embrasser. Cette fois-ci je ne compte pas m'arrêter.