CHRIRYS ♣ I can’t win, I can’t reign I will never win this game, Without you my friend (a)

Je cherchais simplement à mieux la connaitre et apparemment, elle se prenait au jeu ne regrettant guère d'avoir pris l'initiative, je ne pouvais donc que remercier la belle demoiselle. Je l'écoutais me parler d'abord de sa couleur préférée avec passion et je ne trouvais ça pas ennuyeux du tout meme si je le faisais souvent croire car oui, au fond, le poète, le délicat en moi, trouver les couleurs importants tout comme chaque gout de la vie : analyse d'une personne douce, violente, original, tout pouvait varier. Je ne savais pas vraiment si tout allait etre utile chose étant elle semblait adorer ma réponse me regardant avec de gros yeux, étonnée comme pas possible et me demandant de lui faire lire si j'écrivais et surtout, de le faire a tout prix. Je souriais et je pensais au fait que étonnamment, vu son succès, mon premier bouquin avait été beaucoup lu. Si elle était fervante lectrice, peut-être le connaissait-elle ? Je lui demandais donc ; tu aimes lire ? Quel type ? Tu connais Alexander Sairachaz ? Je faisais mine que c'était une question banale. Je soupirais ensuite en attendant sa réponse buvant un peu de ma boisson, profitant pour penser un peu à ce que je venais d'avouer, les pas étaient là peu à peu et j'assumais de plus en plus ce que j'étais au fond. Je me sentais fier alors ça me travaillait, là, elle semblait troublée en réfléchissant pour elle, me disant calmement : « J'sais pas en fait. J'ai pas vraiment d'ambition ou d'envie alors.. » Je grimaçais. je voulais l'aider à trouver mais ça semblait cause perdu vu son petit air et la lueur de désespoir dans ses yeux, touchant mon menton doucement, je répondais ; Qu'aimes tu dans la vie ? Quelle est ton souhait de carrière ? Un truc fou que tu penses pas pouvoir faire mais que tu veux non ?

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Emrys&Chrissy
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Oui, je savais très bien que dit de la sorte ça pouvait paraître déprimant et surtout pas mal étrange mais je m'étais déjà creusée la tête des millions de fois pour tenter de trouver mon rêve sans jamais vraiment y parvenir. Bien sûr, plusieurs fois une idée m'étais venue en tête mais, c'était bien loin de ce que mes parents attendaient de moi et je ne comptais pas désobéir en m'orientant dans ce genre de chose. Non. Mon avenir était déjà tout tracée et je n'avais pas à tenter de trouver autre chose. tu aimes lire ? Quel type ? Tu connais Alexander Sairachaz ? Aimer lire était un faible mot si on prenait en compte que j'étais totalement mordue de lecture. J'pouvais passer des jours et des jours enfermée chez moi à lire encore et encore la tonne de bouquin se trouvant dans ma bibliothèque. D'ailleurs, il n'était pas rare de me trouver dans une librairie à la recherche de nouveau livre. « Je lis un peu de tout mais j'avoue avoir une préférence pour les livres dramatique. "Jamais sans ma fille" et la plus belle histoire que j'ai pu lire. Sinon, je trouve aussi que Marc Lèvy est un génie et les livres fantastiques sont tout simplement géniaux. » Fallait pas me lancer sur ce sujet sous peine de m'entendre en parler pendant des heures et des heures. « J'crois que j'en ai déjà entendu parler mais malheureusement, je n'ai pas encore eu l'occasion de le lire. » J'esquissai un sourire trouvant que finalement, on avait beaucoup plus de moins en commun que ce qu'on aurait pu penser en premier abord. Qu'aimes tu dans la vie ? Quelle est ton souhait de carrière ? Un truc fou que tu penses pas pouvoir faire mais que tu veux non ? Je fronças les sourcils réfléchissant sérieusement quelques minutes. J'avais l'impression qu'il tentait de m'aider à trouver mon rêve et si c'était le cas, je lui souhaitais bien du courage. J'étais le genre à ne pas avoir du tout confiance en moi et il était clair que y avait pas mal de chose que je n'assumais pas. « J'aime le chocolat. Ahem. Plus sérieusement j'aime la mode, les fringues et tout ça mais.. J'serais jamais styliste alors j'me contenterai d'être psychologue comme le veule mes parents. »

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Je me libérais tellement ces derniers temps que c'était à la limite de l'étrange. Fallait le dire... je n'étais pas habitué à me libérer, à oser tout assumer pourtant c'est ce que je faisais en ce moment meme. Oui, je passais mon temps à me délivrer de certaines choses non assumées que je préférais partager avec des personnes simplement sans soucis. Mais voilà, c'etait simplement parfait là car j'y arrivais enfin avec lenteur mais doucement, ça marchait. Je fus ravi que la demoiselle m'apprenne qu'elle lisait ; c'était un bon début. Quand je pense que certains ne lisent pas du tout, je ne comprend réellement pas. Je trouve que c'est tellement beau et puis instructif. Je ne pouvais qu'approuver son choix d'auteur car ayant appris le Français et le parlant, j'en connaissais quelques auteurs surtout que j'adorais la littérature et Marc Levy me passionnait alors je souriais tout comme au moment où elle regretta de ne pas avoir encore lu Alexander Sairachaz alors je m'exclamais : Si tu as voulu le lire, je te passerais le livre puisque je l'ai écris ... tu auras volontiers mes notes avec ... dis-je avec humour comme pour me faciliter d'annoncer ça, de l'assumer parce que je devrais bien le faire vu ce que j'avais noté pour le livre d'université de l'année. J'allais révéler au grand jour ce que je faisais en réalité hors de mes heures de cours. Je souriais à la demoiselle en lui disant ; en tout cas, Marc Levy est un merveilleux chois je dois dire que je peux qu'approuver ! L'indécision sur ses envies, ses rêves, l'absence de passion m'étonnait ; elle avait l'air tout le contraire mais apparemment, les premières impressions sont trompeuses puisque ce n'est guère vérifiable chez elle. Elle déconna un instant avant de parler de mode avant de prouver un manque de confiance notoire en montrant simplement qu'elle ne pouvait pas et qu'il suffirait de suivre le chemin indiqué plutôt que de penser à des rêveries inutiles. Je la regardais en fronçant les sourcils et repensant à mes années à me battre par rapport à mon père, je frappais du point sans me contrôler, gêné ensuite : Non, tu ne fais pas ce que tes parents veulent mais ce que toi tu veux... je grimaçais, atrocement mal d'avoir réagi ainsi mais montrant que je le faisais par rapport à un vécu.

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Emrys&Chrissy
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C'était sûrement mon plus grand défaut. Me plier encore et toujours aux exigences de mes parents. Mais quelque part, c'était une façon de faire qui avait évitée de m'attirer pas mal d'ennui et c'était aussi grâce à ce comportement que j'avais négocier mes études aux Etats-Unis sans beaucoup de difficulté. Même si j'avais été plutôt turbulente pendant mon enfance, je m'étais très rapidement calmée et j'avais finis par rentrer dans les rangs comme ils l'avaient toujours voulu. Je ne me voyais pas du tout revenir en arrière pour assouvir une passion qu'ils qualifieraient aussitôt d'idiote et sans intérêt. Puis la psychologie c'était pas si mal que ça par moment et je ne pouvais pas tellement m'en plaindre. J'aimais bien les cours que je suivais et même si cela n'avait pas été mon premier rêve je n'étais pas non plus dans la pire branche qui pouvait exister. Si tu as voulu le lire, je te passerais le livre puisque je l'ai écris ... tu auras volontiers mes notes avec ... WHUT ? J'ouvrais grand la bouche comme si je ne comprenais pas directement ses paroles. Il était sérieux là ? C'était lui qui avait écrit ces livres dont tout le monde parlait. Je fronçais les sourcils quelques instants de plus en plus impressionnées. Il avait bel et bien plus d'une corde à son arc et je trouvais ça vraiment énorme. « Je.. Ok. Ahem. C'est le moment où je dois te demander une dédicasse non ? » Je riais légèrement essayant de tourner les choses à la dérision comme à mon habitude sans être pour autant vraiment convaincu du résultat. Est-ce que c'était crédible ? J'en étais pas vraiment sûre mais pour le coup, je trouvais ça assez impressionnant de me trouver face à lui. en tout cas, Marc Levy est un merveilleux chois je dois dire que je peux qu'approuver ! J'esquissais un sourire toujours aussi convaincu que Levy était l'un des meilleurs écrivain au monde. D'ailleurs, je n'avais jamais compris les gens qui ne supportaient pas ses bouquins. Non, tu ne fais pas ce que tes parents veulent mais ce que toi tu veux... Un coup sourd résonna sur la table me faisant sursauter. Pourquoi s'emportait-il de la sorte ? Je me tassais sur ma chaise légèrement mal à l'aise avant de finalement répondre. « C'est pas aussi facile que ça, je ne fais pas ce que je veux. »

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Elle restait choquée par l'annonce de mon autre identité. Il est vrai que je faisais pas vraiment écrivain quand on me voit agir toute l'année à la faculté comme un con arrogant et queutard mais bon. Je me sentais heureux d'avoir su l'assumer meme si c'était avec un pseudo inconnu. Je ne pouvais pas me plaindre de quoi que ce soit sur sa réaction surtout qu'au lieu de faire la groupie conne, elle prenait à l'ironie. « Je.. Ok. Ahem. C'est le moment où je dois te demander une dédicasse non ? » je rigolais parce qu'on voyait clairement qu'elle se foutait de ma gueule, qu'elle était pas sérieuse et c'était marrant franchement. Je buvais ma boisson doucement en la regardant réagir. Je la trouvais adorable avec moi, me découvrant sans arrière pensée aucune. J'avais ensuite réagi sur Marc Levy parce que je l'aimais vraiment et parlant Français, j'avais bien lu en original bien qu'ils éditent en Anglais aussi à présent, j'avais été étonné en plus c'était rare. Là, je frappais du poing en m'expliquant sur ses souhaits non réalisés à cause d'idée de ses parents et ça la surprit. J'avais honte car elle semblait à présent mal à l'aise. Là, elle voulait me faire comprendre que ce n'était pas si simple mais je le savais bien. J'avais connu ça bien jeune, et j'avais connu carrément le calvaire donc fallait pas me dire ça a moi. Je grimaçais et répondais : Je suis désolé mais je sais ce que c'est et tu dois pas te laisser faire meme si tu crois que c'est pas bon que tu bouges, tu devrais ma chère ... Dis-je en lui souriant, un petit sourire en coin d'ailleurs. Je tapotais de mes longs doigts sur la table avant de lui demander ; Parlons de choses plus sympathiques : Quelle est ton style de musique ?

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Emrys&Chrissy
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Peut être que c'était pathétique comme excuse vu d'un point de vue extérieur mais, c'était le seul truc qui m'étais venue. Et puis c'était vrai, je n'avais pas le choix. Peut être que je manquais d'assurance et que je n'avais pas non plus la force de m'opposer à mes parents mais quoi qu'il en soit, il était clair que je ne pouvais pas changer d'orientation. Pas maintenant. Je ne pourrais supporter de lire la déception dans leurs yeux. Maintenant que j'avais totalement reprit le bon chemin je ne pouvais pas tout envoyer valser sous prétexte qu'un autre domaine que la psychologue m'intéressais. C'était agir bêtement, ou du moins, c'était l'idée qu'ils avaient encrés dans ma tête. « Je pense aussi que ça pourrait avoir d'énorme répercussions et je n'ai pas vraiment envie de déclencher une guerre mondiale pour une passion. » Parce que je savais très bien que si j'avais l'audace de faire une chose pareille je risquais de vivre un calvaire par la suite. Mieux valait ne pas le tenter. Quelle est ton style de musique ? J'esquissais un sourire contente du changement de sujet. Peut être avait-il comprit que ce n'était pas vraiment le genre de chose que j'aimais aborder ? Du coup, je me détendais légèrement préférant largement parler musique. « Et bien j'écoute un peu de tout et suis ouverte à pas mal de style même si je dois bien avouer que tout ce qui concerne Broadway me passionne. Et toi ? »

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Je ne comprenais pas qu'on puisse définitivement se laisser marcher dessus et oublier sa vie, ses envies, ses rêves. Chrissy faisait ce que j'avais failli faire puisqu'elle laissait sa famille bouffait sa vie et refusait de contredire leur envies au détriment de ses rêves ; ce n'était ps une bonne chose et j'essayais de comprendre, de lui faire comprendre qu'elle devait surement faire comme moi pour vivre sa vie car personne n'a le droit de priver quelqu'un de respirer. Ouais, en gros, elle ne se sentait pas de trouver la force au fond d'elle pour assumer et assumer les conséquences, dans ce cas, je ne pouvais pas la contrarier. Du coup, je me tus et ne réagis pas pourtant je pouvais que montrer sur mon visage que j'étais pas très heureux de sa réponse mais c'était sa vie et j'étais pas bien placé pour m'interposer dans ses choix. Là, j'avais changé de sujet sachant que c'était peine perdu et elle me répondait avec grand intérêt et envie de me donner des informations : « Et bien j'écoute un peu de tout et suis ouverte à pas mal de style même si je dois bien avouer que tout ce qui concerne Broadway me passionne. Et toi ? » Je trouvais sa réponse très satisfaisante pour moi qui aimait tout style aussi et qui m'interessait réellement a tout, ça prouvait une très bonne personnalité d'ailleurs alors je retrouvais bien plus vite le sourire et lui répondais : Bah pour ma part, c'est la meme chose ... j'aime vraiment tout quoi ! Je dirais que le rap c'est compliqué parfois ou le métal mais sinon je vis bien ! dis-je en rigolant, le sourire de fou. Je passais ma main dans mes cheveux et la regardais, pensif avant de lui dire ; que veux-tu savoir d'autres ?

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Emrys&Chrissy
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Ce genre de sujet c'était typiquement de ceux dont je pouvais parler des heures et des heures sans jamais m'en lasser. Encore plus quand on abordais en particulier Broadway. J'pouvais pas expliquer tout me venais un tel engouement sur ce style là en particulier. Ma famille n'avait jamais été portée sur la musique ni l'art en particulier et pourtant, depuis mon plus jeune âge je vouais presque un culte à tout ce qui s'y rapprochait. Tout mon adhésion au glee club et mon tout nouveau statut de présidente. « J'aime pas tellement le rap. J'ai même un peu de mal à qualifier ça de musique. Après j'avoue que les textes sont assez souvent très approfondi mais.. Pour moi ce n'est pas de la chanson. Comme le slam en fait. Enfin, chacun sa vision des choses. » J'esquissais un sourire cherchant quoi lui demander d'autre. Au final, on ne tournait qu'autour de sujet assez insignifiant et le seul truc plus ou moins important et bien.. Je l'avais tout bonnement esquiver. En fait, j'avais jamais vraiment aimée parler de moi. Ou plutôt du genre de chose qui était vraiment important. Peut être que j'avais un blocage à ce niveau là, allez savoir. Quoi qu'il en soit, je refusais de réorienter la conversation vers ce sujet. Je savais que j'allais plus me fermer qu'autre chose et ce n'était pas le moment de commencer à faire chier le monde. Même si j'étais particulièrement douée dans ce domaine. Quoi que peut être pas autant que lui. « Mmh, je sais pas. Des choses sur ta vie. Dis moi tout ce qui te passe par la tête. »

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C'était assez sympathique en fait de se parler comme ça de tout et de rien, en plus, ça m'avait permit de voir ma capacité à affronter la peur de parler de mon second moi, de ma deuxième vie, de ce qui me faisait respirer. Je sentais déjà la force monter en moi grâce à ça. J'avais évolué car surement qu'il y a quelques mois, un an ou quoi, je n'aurai su faire cela, une conversation posée sur moi, sur la personne, inconnue ou que j'aurai souhaité embêter, j’aurai fait le gars fier comme d'habitude, le chieur, le con. Je me trouvais bien mieux ainsi, voyant qu'en rien, on ne me forçait à parler des mauvaises choses, que je pouvais esquiver sans peine. Elle m'apprit quelques pensées sur la musique rap et je ne fis qu’acquiescer son avis en la pointant de mes mains par instant pour approuver : je suis effectivement totalement d’accord tu vois .. parce que en fait, il te colle du texte sur un fond sonore parfois volé aussi ... ou que les artistes ne font meme pas eux meme enfin je sais plus vois tu ... dis-je en terminant par une franche rigolade sur ma perdition intellectuelle. Là, je vis dans son regard une franche appréciation de notre discussion et elle m'encouragea à parler de moi, de lui dire tous ce qui passait dans mon petit cerveau alors j'entamais les choses banales, ne voulant pas que ce soit uniquement moi qui me livre : Je suis un amateur de sport, natation et football m'ont toujours plu d'où mon appartenance au premier club encore et toujours et j'étais le capitaine de l'année jusqu'à il y a deux mois mais ça m'a saoulé et j'avais plus le temps ... j'adore le chocolat et je suis trop protecteur envers mes frères qu'ils me restent ... avais-je dit en me limitant ne voulant pas trop parler. Je grimaçais et repris ; a toi !! Je rigolais.

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Emrys et Quinn

Ouais. Même les futilités. Au pire, toute les informations étaient cool. Non pas que je voulais constituer un dossier sur lui ou quoi mais on apprenait à mieux se connaître et je trouvais ça plus drôle que de se faire un interrogatoire sur les sujets essentiels de la vie. Comme les parents, les boulots, tout ça quoi.. C'était trop.. Trop tout en fait. Et j'écoutais avec un petit sourire en coin ce qu'il pouvait bien dire notant les choses qu'on avaient en commun. Comme le chocolat par exemple. Non mais sans rire, le chocolat ça occupait une trèèès grosse part de ma vie et depuis que j'étais allée au salon avec Lavender, j'en avais à revendre. De quoi rendre les gens dingues tellement mes placards en débordaient. Ouais, j'avais peut être été un peu trop excentrique pour le coup mais, j'avais craquée. Comme souvent. « J'adore tout ce qui touche à la mode et je suis fanatique de couture du coup ben.. J'créer certains trucs selon mes envies du moments. J'adore aussi la musique, j'suis présidente du glee club qui n'est pas un club de loser. Petite, je ne jurais que par l'escalade. Un vrai garçon manqué, j'grimpais aux arbres et je déchirais mes robes. J'suis pas très proche de ma famille c'qui explique que j'ai pas forcément besoin de retourner en Angleterre et je parle quand je dors. » Oui bon, la dernière info n'était peut être pas hyper importante mais tant pis.

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