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LOU&GWEN • Is this thing on ?

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Malgré le fait que ton corps soit amaigri, tu es toujours aussi désirable, Lou. Les courbes de ton corps restent presque inchangées, même si tes os se sentent bien plus. Mais j'm'en fous, c'est toi, c'est moi, c'est toujours ce désir intarissable qui nous traduit et nous introduit dans sa transe, comme il y a huit ans. Et huit ans, c'est long. C'est long et rien n'a réellement changé, mis à part nous, nos corps et nos visions des choses, notre évolution notre âge qui a avancé en même temps que le temps passait. Et quand on est là, j'ai l'impression de te revoir comme au premier jour de notre histoire. Ta poitrine libérée de son fardeau m'offre l'occasion de la redécouvrir. Mes lèvres se déposent sur tes clavicules, allant jusqu'à tes seins découverts par mes soins. Jamais je ne t'ai vue comme ca, en huit ans. Tu te donnes à moi, encore plus qu'avant, comme si dans ce don de ta personne tu me confiais le fil de ta vie et la clé de ton espoir. Tu me fais frissonner d'envie, à mordiller mon cou et à planter tes ongles dans ma peau. Nos corps n'ont jamais été aussi proches que maintenant, j'ai l'impression. Fais moi vibrer, Lou. Fais moi vibrer comme jamais tu l'as fait. J'entre dans une frénésie qui me pousse à prendre le dessus sur toi, à reprendre le contrôle, comme à chaque fois, après que tu n'aies effleuré ma poitrine. Je n'ai de cesse de t'embrasser encore, comme si j'en avais besoin, comme si je te prouvais parce cette affection que j'avais changé, que je n'étais pas là uniquement pour jouer entre tes cuisses, comme j'aurai pu le faire avant. Je suis à la fois douce et bestiale, c'est pas que de la baise cette fois, Lou. Je m'affaire à retirer tes bas, en mordillant ta lèvre inférieure en douceur.
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Plus une parole n'est échangée, ce n'est plus la peine. Le courant entre vous est si fort qu'il est impossible de ne pas le remarquer. De ne plus le remarquer. Vos corps arquées l'un contre l'autre sont atteint d'une frénésie rare et si tu as pris le contrôle durant un instant, il est bien court puisque Gwen vient rapidement le reprendre. Son corps écrase le tien contre le matelas, l'épousant de la meilleure façon. Imbriquées de cette façon, vous êtes à votre place. Ensemble. Pourtant, tu sais à quel point le bonheur est éphémère. Il apparaît au coin de la rue et le temps que tu le rattrape le voila déjà écrasée sous un semi-remorque. Pourtant tu t'enfonces dans ce plaisir, tu t'enfonces dans ce besoin que tu as d'elle. Tu l'aimes et ce plus que ton propre être. Tu t'abandonne entre ses mains, perdue dans la brume elle t'a sauvé. Elle t'a sauvé, entièrement et ce peut-être pour toujours. Tu l'espère. Tu l'aimes, tu l'aimes. Plus tu te le répètes, plus cela se ré-inscrit dans ton âme. Peu importe le passé ou le futur, l'instant présent est si beau et parfait. Ton corps vibre contre le sien alors qu'elle te mordille la lèvre inférieur. Tes mains s'affairent avec sa poitrine, faisant naître de longs frissons le long de son corps. C'est plus que de la baise, c'est plus que par vos frasques passés. A chaque mouvement, à chaque effleurement, à chaque frissons... Tout n'est qu'un nouveau moyen d'exprimer cet amour. Tes mains glissent sur son ventre, allant rapidement retirer son bas alors qu'elle te retire tes bas. Tu voudrais prendre ton temps, tu voudrais que les choses aillent lentement mais c'est impossible. Impossible. Tu veux rapidement la faire tienne, ton a bien trop envie de tout cela. Tant pis, vous prendrez votre temps la seconde fois, la troisième fois... Tu pousses un léger soupire qui se transforme petit à petit en plainte quand les doigts de Gwen viennent caresser l'intérieur de ta cuisse. Gwen... Son prénom s'échappe d'entre tes lèvres telle une promesse, une demande, une supplication... Ses lèvres parcourt son cou, créant plusieurs suçons et morsures. Tu veux qu'elle soit tienne maintenant mais aussi demain, aux yeux de tous. Et surtout de toutes, toutes ses putes qui veulent l'atteindre. La simple idée qu'une autre posent leurs mains sur elle te fait hérisser le poil. Non, non. Gwen est à toi, maintenant et pour toujours. C'est ta... Ta gorge se serre. Elle ta copine. Ta copine, ta petite amie. Gwen.. T'es ma petite amie. Ta voix s'étrangle en disant cela, de joie, de peur, d'excitation. C'est merveilleux de te l'entendre dire, mais comment serais-ce de l'entendre le dire ?
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Jamais, ô grand jamais, je m'étais montrée aussi douce envers toi, il se fallait peut-être que je comprenne ce qu'est l'amour et la tendresse pour te montrer la douceur que je peux dégager parfois. Par rapport aux autres fois, je prends mon temps, avec toi. D'habitude, je serai déjà en train de jouer entre tes cuisses, à te faire gémir de plaisir, mais pas cette fois. Non, cette fois, j'essaye de te ré-apprivoiser, de te montrer que tu peux me faire confiance, que j'partirais pas demain en te disant que tu étais bien naïve de croire encore une fois à de belles paroles pré-fabriquées pour les filles dans ton genre. Dans ton genre, qu'est-ce que c'est, au juste ? Une fille paumée, déchirée par un amour trop dur pour ton pauvre coeur si jeune en matière de relation. J'suis ta première et tu l'espères, la dernière, tu veux consumer ta vie au cours de notre histoire, mais tu sais au fond de toi que c'est stupide, Lou, ce raisonnement. Même si j'partirais pas demain, tu devrais savoir qu'un jour j'partirais, même si ca se fera en douceur comparé aux autres fois, parce que j'ai promis de ne plus te faire de mal, plus comme avant. Mais le passé est ce qu'il est, je ne pourrais aucunement le changer, même si je le voulais. Notre histoire est comme une danse. Sur la musique on va, on vient, on s'éloigne et on revient, tu t'élances et j'te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi. Et pourtant, l'alchimie de nos corps demeure la même, à chaque retrouvailles, à chaque nouvelle étreinte que l'on se donne. Je frissonne, je te caresse, t'embrasse, m'aventure entre tes cuisses, quand tu dis mon nom, comme un supplice, avant que tu ne marques mon cou de ton retour. Tu me dis que je suis ta petite amie, alors qu'un sourire se dessine sur mes lèvres. Oui, Lou. Ta petite amie. lançais-je dans un murmure au creux de ton oreille, avant de venir la mordiller.
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Oui, Lou. Ta petite amie. Tu ris intérieurement, d'un rire tonitruant, d'un rire hystérique, fou. Tu folâtre l'âme perdue dans une obscure débauche qui dépasse largement ce que peux croire Gwen. Jamais, oh non, jamais, elle ne pourrait deviner ce qui se trame dans ton esprit. Si ses mots blessent ta vieille âme, rien ne peut ébranler ta putain d'envie de vengeance. Tu l'aimes, bien sûr que tu l'aimes, et être avec elle est ton vœu le plus cher... Cependant, dés que son visage apparaît devant toi une furieuse envie de lui cracher dessus, de la torturer t'imprègne. Et rien ni personne ne peut changer cela, même pas elle. Si au début tu ne voyais pas ta vie sans elle, maintenant tu espères au moins crever vite pour que cela ne soit pas trop long. Tu fermes les yeux pour fuir son regard, son visage. Tes gémissements montent en puissances alors qu'elle vient se glisser entre tes jambes. Le plaisir avec elle est devenue un véritable supplice mais c'est pas pour autant que tu apprécies le plaisir avec les autres putes d'Harvard. Tu hais cette université, tu hais les gens, tu la hais, tu te hais. Pourquoi tu restes Lou, es-tu stupide ? Pourquoi ne sais-tu pas partir ?! Après tout rester est une torture... Pas plus que de partir en fait. Tu es prise dans un piège, un cercle vicieux.... Et c'est dans une explosion de sens, de plaisir, de joie, de haine, d'amour et de colère que l'orgasme te fauche. Le courant du plaisir t'a fauché bien que celui des sentiments n'ai pas réussi à te faire fléchir. Tu ne couleras pas, tu ne te noieras pas. Ton corps se relâche soit à cette dure crispation qu'est le désir et le plaisir, mais tu ne laisses pas une seconde à ton corps pour se ressaisir que déjà tu es debout à te rhabiller. Tu lances un regard plein d'ironie et de moqueries à Gwen. Voila, je l'ai vue ma pute.
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Comment tu arrives encore à flancher quand je reviens après tout ce que j'ai pu te faire dans le passé, Lou ? Es-tu aussi stupide que niaise, ou est-ce un instinct de vengeance qui sommeille en toi et que je ne connais pas ? Est-ce que tu me veux vraiment ou tu as juste envie de me rendre en pleine gueule d'un coup ce que je t'ai fait subir en huit ans à se courir après comme des animaux blessés, qui se retrouvent qu'une fois fatigués de jouer ? Tout ca se règle d'un corps à corps que l'on conclut d'un bouche à bouche, et on débouche sur un accord ? C'est presque louche. Et pourtant, c'est toujours le même schéma qui se profile à nous. Je reviens, je sors mon beau discours, tu reviens, on baise, tu m'aimes et on sait pas comment ca s'terminera, ni quand. On est dans une mascarade encore plus déplorable que ton état, depuis que tu t'morfond dans la came comme une pute des pays pauvres, à la recherche de ton rail. Et j'ai l'impression que rien n'est pareil, maintenant que je joue entre tes cuisses. Comme si tu suffoquais, que ca t'faisait du mal. Pourquoi ca t'fait mal, pourquoi tu ris au travers de ton regard pervers de malice ? L'orgasme t'arrache un râle et même pas dix secondes plus tard, tu t'rhabille, tu m'dis que tu l'as finalement vue, ta pute. Mon regard se pose sur toi, presque médisant, frustré ou j'sais pas trop quoi. De pote à pute, il n'y a qu'un lettre de différence, j'préférais presque ton indifférence en fait... J'récupérais les fringues que tu m'avais retirées un peu plus tôt pour les remettre, dégoutée par ce que tu venais de me dire. Genre, j'suis ta pute...
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De pote à pute, il n'y a qu'un lettre de différence, j'préférais presque ton indifférence en fait... . Tu es rien, tu n'es plus. Tu te laisses tomber dans ton lit, un masque neutre. Tu as joué ton rôle. Le rôle de la bête féroce, celle qui méprise, celle qui blesse, celle qui gagne. Celle qui a le coeur brisé et tari, celle qui a peur et celle qui sait. Celle qui saigne. Tu ne veux plus être imprudente, tu ne veux plus refaire les mêmes fautes. Ces erreurs qui ont inscrits dans ton coeur bien trop de cicatrices. On y lit seulement la souffrance. Tout est trop fragile dans ce monde de merde. Trop fragile, beaucoup trop pour toi, pour vous. Pour la brutalité de vos rapports, pour la dureté de votre amour, pour ton attente interminable. Elle a été pire qu'une salle vide pour patient dans un hôpital merdique. Aucuns autre patient blessés ou malade, même pas un magazine pour te distraire, rien. Comme toi. Tu tire vers toi un coffret en bois vernis. Un rire t'échappe alors que tes doigts parcoures les sillons des gravures réalisées. Des traînés de rails sont visibles sur le couvercle. Il a bien servi ce cadeau fait par bonne maman. Merci bien ! Tu l'ouvres et en sort un sachet plein de petit cailloux blancs. Tel des caillots sanguins qui viendrait bouchés ton coeur, ton esprit, ton âme. Tu ris. Gwen est bien loin dorénavant. Tu veux oublier, tout oublier. Ses mains, ton plaisir, son corps, ton amour, ses yeux, tes frissons, son sourire... Plus rien n'a d'importance. Rapidement, tu les écrases... Fine poudre magique. Tu te fais quelques lignes avant des les respirer... Oui, Tu les respires, tu élimines SA présence olfactive. Tu fermes les yeux, elle n'est plus là. Non plus du tout. Plus une trace blanche. Tu ranges tout, cachant soigneusement le coffret. Je suis censée en avoir quelque chose à faire ? Parce que si c'est le cas, je m'en fou royalement. . Tu te sens si puissante et supérieure à Gwen. Cette pauvre conne qui pensait te baiser, et bah noooon ! Cela te procure un sentiment de joie tellement intense, tu en aurais presque les larmes aux yeux. Putain, te voila satisfaite Lou mais tu en veux encore, tu en veux toujours plus. Que vas-tu faire maintenant hein ? Continuer ta descente ? Te venger ? Encore et encore ? Remonter la pente ? Te faire pardonner ? Tu seras pathétique de toute façon.
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J'voulais que tu sois mon infirmière, celle qui répare mon coeur et ma tête, mes pensées noires et que tu m'fasses comme une cure de toi, que j'apprenne à t'aimer toi, t'aimer comme j'ai jamais réellement su l'faire. T'as voulu jouer à la plus grande, la plus forte ? C'est pas moi qui perd le plus, là dedans, Lou. C'est toi. T'as perdu ton intégrité, ta douceur. Et moi. Tandis que moi, je n'ai rien perdu, je n'avais rien à perdre, depuis quelques temps. Si, j'ai perdu du temps à te baiser, pour que tu m'dises que j'suis ta pute. Pff, du temps, c'est tellement insignifiant à côté de ce que tu continues de perdre. T'es tellement pathétique, à te faire un rail de coke sous mes yeux. T'es devenue trop pathétique pour moi, Lou. Tu comptais gagner quoi là, exactement ? On ne gagne pas la guerre dès la première bataille. Et même si ce n'est plus la première bataille, t'es vraiment loin de gagner cette guerre, Lou. Comme d'habitude, j'ai de l'avance sur toi. J'en aurai toujours. Huit ans d'avance sur les batailles, tu n'en as gagné que deux. Tu es minable, misérable dans ta déchéance. T'es un bon bouche-trou, en attendant. La pute te remercie. Pour la peine, t'as même pas besoin d'me payer.. J'me levais et trouvais un billet de cent dollars que j'te lançais en pleine gueule. C'est moi qui t'paye, cette fois. T'as envie de m'insulter, Lou ? Vas-y, que j'ris bien. T'as même le droit d'me frapper, si tu veux. Mais ca enlèvera pas mon petit sourire malsain et narquois au coin d'la gueule. Une bataille se fait à deux, j'te laisserais pas gagner aussi facilement, crois moi.
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T'es un bon bouche-trou, en attendant. La pute te remercie. Pour la peine, t'as même pas besoin d'me payer.. Peu importe ce qu'elle dit, tu es déjà si loin. Perdue dans votre passé, lorsque tu étais convaincue de l'amour existant entre vous. Tu avais tord. Tu as cherché en vain ses sentiments, tu as tout fait pou qu'elle devienne tienne. Réellement, véritablement. Cependant, il n'y avait rien à faire. Tout ce temps perdu, tout cette douleur pour rien. Tu fermes fort les yeux, ravalant tes larmes aux goûts acides. Plus de pleures, plus d'amour, plus de douleur. Plus rien. C'est ce qu'exprime ton visage en tout cas. Tu l'entends se lever et se rhabiller alors tu ouvres les yeux prête à lui répliquer une cinglante répartie quand le billet te tombe dessus. Bien que léger comme une plume il s'écrase comme un poids dans ton coeur. C'est moi qui t'paye, cette fois. . Tu vois son sourire malsain, son sourire narquois qui te hurle : hé je vais gagner ! je vais gagner ! Peu t'importe. Tu n'envisages plus l'avenir avec elle dans ta vie, et ce d'une quelconque façon. Cette guerre, cette bataille qui faisait rage entre vous va bientôt prendre fin. L'avenir à des allures d'éternels souffrances à présent, mais tu es bien trop lâcher pour la quitter. Pour crever. Il n'y aura pas de chute à ta vie. Tu vivras comme une conne, tu te drogueras comme une conne, tu l'aimerais aussi, sans doute, comme une conne et tu crèveras comme une conne. Tu préfères dorénavant ressasser le bienheureux passé que de te contenter de ce présent de merde. Ouais, parce que ce passé, celui que vous avez partagés semble si beau dans tes souvenirs. Quand t'étais dans l'ignorance, dans le déni. Une larme s'échappe de tes yeux, une larme solitaire qui fend ton âme en deux. Quel jolie arme que cette lame qu'est ta larme. Garde le Gwen, tu vas en avoir plus besoin que moi.
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Tu es descendue bien bas, Lou. Trop bas comparé à celle que tu étais avant. T'as voulu jouer ? C'est pas de cette façon que tu vas gagner, pas en jouant la meuf qui attaque pour essayer de me toucher. Plus rien ne me touche, surtout quand j'vois dans quel état tu te mets depuis quelques temps. Tu m'expliques pourquoi tu colles ton nez dans la poudre pour te sentir mieux ? La came pour panser tes blessures intérieures ? Pour t'empêcher de penser ? Tu ressembles à une loque quand tu prends ton rail devant moi. Et quand j'me droguais devant toi, tu voyais bien que j'étais pas comme ca. Et qu'est-ce que tu racontes quand tu dis que j'aurai plus besoin de cet argent que toi ? J'suis blindée, blindée comme jamais j'ai pu l'être. J'ai plus de zéro sur mon compte en banque que de rails que t'as pu t'enfiler ces derniers mois, Lou. C'est pas cent balles qui vont m'trouer le cul, et ca te permettra soit d'aller aux vraies putes, soit de t'acheter encore un peu de coke, histoire de devenir encore plus un déchet. J'attrapais mon paquet de clopes pour un fumer une, adossée contre le mur de la chambre, face à toi. Trouves autre chose, Lou. Tu devrais en être capable.
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Tu as fini de boire pour te rappeler, tu as fini de vivre dans tes souvenirs, dans vos souvenirs. Dans cette ville fantôme que tu as batis dans ton esprit. Plus d'avenues, plus de rues, plus de ruelles. Plus de foules, plus de clochards. Plus de moments de joies, plus de tristesse. Maintenant tu fumes, tu sniffes pour oublier. Pour l'oublier ce foutu fantôme dresser devant toi. Tu n'ères plus dans quelques sombres allées, dans ta propre tête bien trop pleine pour abriter encore cet amour imposant. Cette torture sordide. Tu changes, tu dois changer peut-être pour le pire, mais ca sera toujours mieux que d'être une épave aveugle à la poursuite d'un amour perdu. Consommé, consummé. Tu dis adieu à chaque once de douleur. On ne souffre pas quand on est plus rien. Tu t'es échappée et delà où tout parait si degueulasse. Il n'y a pas de victoire à cette victoire, tu le sais. J'ai plus de zéro sur mon compte en banque que de rails que t'as pu t'enfiler ces derniers mois, Lou. C'est pas cent balles qui vont m'trouer le cul, et ca te permettra soit d'aller aux vraies putes, soit de t'acheter encore un peu de coke, histoire de devenir encore plus un déchet. Un déchet. C'est comme ça qu'elle te voit à présent ? C'est peut-être ce que tu es après tout, Lou. Peux t'importe en fait, de ce qu'elle peut penser. Qui est-elle ? Sinon une ancienne épave qui cherche à faire la morale. Elle est assez mal placée pour l'ouvrir sa grande gueule. Et ce qui est sûre c'est qu'un aucun zéro de son compte en banque ne peut dépasser le nombre de doigts qui sont rentrés dans son intimité plus si intime que cela en fait. Tu te mords la lèvre, non, tu ne vas pas dire cela, non. Quelque chose de bien plus cruelle et dur hurle en toi, tu crèves d'envie de lui dire. Tu ris légèrement en te tournant vers elle. C'est vrai. Mais j'ai pas besoin de ton argent, garde le. C'est sans doute la dernière chose qui te reste. [b] Tu laisses une pause dans ton discours tandis que tu cherches son regard... Là. Là, tu plonges le tien dans le sien, et pire que une dague il s'enfonce dans son âme. [b] Ah et... J'ai pas besoin d'aller "aux vraies putes". Je ne pense pas que Willow dise non à une seconde nuit avec moi maintenant que tu n'es plus avec...
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