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LOU&GWEN • Is this thing on ?

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En huit ans, on en a vécu des choses toi et moi. On s'est connues, aimées, séparées, détestées, retrouvées, je t'ai trompée, tu m'as pardonnée et on a inlassablement recommencé. C'était un cercle vicieux, un éternel recommencement qui nous plaisait, qui me plait toujours. T'as toujours été ma Lou, ma valeur sure, et même si je reviens vers toi pour de mauvaises raisons, je ne compte pas te faire souffrir une fois de plus. Pourquoi être dans la défaite quand on ne sait pas réellement ce que ca pourrait donner cette fois ? Je ne suis pas là pour apaiser ma conscience, Lou. C'est pas ce pardon là que j'recherche, c'est le pardon qui m'dit que t'accepte de me ŕecupérer dans ta vie. J'suis sure que c'est pas fini. J'étais jeune et conne, mais j'te jure que j'ai changé, que j'ai plus envie de faire de mal à qui que ce soit, et encore moins à toi. Tu sais très bien les raisons qui m'ont poussée à partir de L.A, c'était ma mère et sa meuf en premier lieu, puis Harvard en second. Mais j'ai pas voulu te voir pleurer avant de partir, parce que j'savais que des adieux te feraient souffrir encore plus. J'suis crevée de devoir montrer au monde que j'ai changé, de te prouver que j'suis plus la Gwen de ta jeunesse, la Gwen qui t'a brisé le coeur pour fuir la réalité. J'ai vraiment envie de te montrer ma nouvelle réalité. Arrêtes de trembler, d'avoir peur de moi, de ce que tu pourrais ressentir dans le temps alors qu'il nous suffit juste de vivre l'instant présent, putain. Ne t'écartes pas de moi, Lou. J'ai besoin de toi, de ton corps contre le mien, de te sentir fébrile quand une parcelle de ton corps effleure la mienne. Laisses moi à nouveau ajouter une nuance à ta palette qui rendrait ta vie plus belle. À quoi bon se refuser un peu de bonheur de peur d'avoir mal ? C'et la douleur ressentie qui rend une histoire plus unique que l'autre, ainsi que les souvenirs. Pourquoi s'enfermer dans une cellule stérile uniquement pour se préserver de risques qui valent peut-être la peine d'être vécus ? Qu'est-ce qu'on ferait ? Non Lou. On assistera pas à notre descente aux enfers, parce qu'on se soutiendra mutuellement. J'serai ton pilier pour te sortir de cette merde dans laquelle tu t'es fourrée juste pour avancer ta mort cérébrale et morale. On ferait des choses normales, j'retrouverai ma muse et toi ton goût pour la danse, pour la vie. Ca parait dingue comme ca, mais j'suis sure que ca pourrait marcher. En regardant ce pull, j'revois toutes ces nuits passées ensemble, ces disputes où tu me l'envoyais en pleine gueule en m'insultant, pour ensuite me dire que tu m'aimais. J'revois nos moment de joie, de calme sous le soleil californien, du haut de nos 17 ans, le sourire aux lèvres et le coeur léger. J'revois cette fameuse nuit où on s'est retrouvées en Thaïlande, où j'ai cédé à ton putain de charme. Et les nuits qui ont suivies aussi. Et là quand j'ai enfin ce contact contre toi, j'me sens mieux. Tu m'connais mieux que personne Lou. Tes lèvres contre les miennes me procurent un élan d'adrénaline, mais ce n'est jamais assez, c'est trop court, insuffisant. Mais tu te recules, m'abandonnant à mon propre sort. Tu sembles tellement te forcer à partir que je te ramènes vers moi une dernière fois pour t'embrasser comme jamais je ne l'avais fait. C'était bien plus fort que la fois où je t'avais embrassé en te disant que c'était peut-être la dernière. J'ai besoin de toi, ma Lou. Ne me laisses pas. J'te laisserais m'faire tout le mal que tu veux sans rien tenter comme vengeance, mais me laisse pas. Mon regard plongé dans le tien montrait toute ma sincérité, Lou. Crois moi, putain, reviens moi. Reviens moi ici, maintenant, longtemps. J'ai lâché les armes, j'abandonne le jeu, je te les laisses si t'as envie de me fusiller. J'attrape ta main libre pour la mettre sur mon coeur, puis sur le tien. Ever mine, ever thine, ever ours.
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Je ne suis pas là pour apaiser ma conscience, Lou. C'est pas ce pardon là que j'recherche, c'est le pardon qui m'dit que t'accepte de me récupérer dans ta vie. J'suis sure que c'est pas fini. J'étais jeune et conne, mais j'te jure que j'ai changé, que j'ai plus envie de faire de mal à qui que ce soit, et encore moins à toi. Tu sais très bien les raisons qui m'ont poussée à partir de L.A, c'était ma mère et sa meuf en premier lieu, puis Harvard en second. Mais j'ai pas voulu te voir pleurer avant de partir, parce que j'savais que des adieux te feraient souffrir encore plus. Retourner dans sa vie. Recommencer à zéro, oublier le passer. Avancer, avancer au lieu de reculer. Ca fait huit ans que tu recules et enfin, elle te propose de tourner cette page de merde pour écrire un nouveau livre. Un livre à un deux, une histoire d'amour que tu n'auras plus à lire seule puisque cela sera ensemble que l’écrirez. Vous êtes l'unique en valant, deux, vous êtes une même personne déchirée en deux. Tu l'as compris il y a bien longtemps Lou. Tu as prié jour et nuit pour qu'elle le comprenne aussi. Alors pourquoi aujourd'hui,ce maudit jour que tu as tant voulu, tant souhaité ... Tu restes pétrifié de peur. Tu n'es pas une bonne personne, tu n'es pas la bonne personne. Tu es lâche, tu as peur d'affronter une vie à deux. Tu n'as pas envie de combattre toute la crasse qui t'imbibe dorénavant. Tu empestes la décadence et le ridicule, Gwen t'offre ta porte de sortie et... Cet ange tombé du ciel te tend la main mais tu préfère t'enfuir dans l'enfer putride de ta déprime. Tu ne mérites pas son attention, tu mérites seulement la souffrance. L'abandon. Tu le veux vraiment... Je veux dire... Recommencer ? Nous donner une autre chance ? Les mots dépassent ta pensée, ils s'échappent de tes lèvres plus rapidement que tout autre chose. Ton âme hurle d'accepter mais quelque chose te retient... Tant pis, tu glisses déjà entre ses bras. La corniche sur laquelle se retient ce je ne sais quoi s'écroule et lorsqu'elle te ramène vers elle dans une sorte d'ultime baiser... Tu lui réponds, tu ouvres ton âme entièrement. A quoi bon mentir alors qu'elle voit tout ? Elle transperce ton masque aisément, parce que c'est ça son don. Elle lit en toi, elle voit toutes tes failles et faiblesses. Elle te connait, elle seule. Tes lèvres s’entrouvrent durant votre baiser. Tu y délivres toutes tes tripes, tout votre amour. Tes nerfs s'enflamment alors que tu l'attires le plus près de ton corps. Tu la supplie du regard de ne pas te croire, de ne pas te laisser. Peu importe ce que tu dis, jamais tu n'auras le courage d'avouer. Tu ne pourras jamais lui faire confiance tant ton coeur est scarifié par ses erreurs. Par ses tromperies, par ses mensonges, par ses promesses. Ne la crois pas Gwen, regarde droit dans ses yeux.. Ne vois-tu pas ce qu'il te promette ? Un renouvellement, un amour invincible... Une jolie histoire et peut-être sans fin si aucune faute n'est commise. Non Lou. On assistera pas à notre descente aux enfers, parce qu'on se soutiendra mutuellement. J'serai ton pilier pour te sortir de cette merde dans laquelle tu t'es fourrée juste pour avancer ta mort cérébrale et morale. On ferait des choses normales, j'retrouverai ma muse et toi ton goût pour la danse, pour la vie. Ca parait dingue comme ca, mais j'suis sure que ca pourrait marcher. Oui ca parait dingue, complètement impossible. Pourtant près de son corps tout parait possible. Déjà l'envie d'un quelconque raille ou joint semble ridicule. Tout semble ridicule dans ses bras. Tu sens son coeur battre contre le tien, à ce même rythme dans cette même harmonie qui est votre. Vous avez toujours su maintenir cette douceur, cette mélodie même au sein de votre propre chaos. De votre propre anarchie et destruction. Ca pourrait marcher oui... Tu vois dans son regard toute sa sincérité, tout son amour. Tu pourrais presque y croire... Des larmes brille dans tes yeux alors qu'elle lâche ses armes J'ai lâché les armes, j'abandonne le jeu, je te les laisses si t'as envie de me fusiller. Un sourire se dessine sur tes lèvres, enfin, et tu l'embrasses. Encore et encore. Encore. Faisons le. montre moi Un tremblement léger te parcourt. De la joie, de l'espoir. Tu lui mordilles la lèvre inférieur, comme tu l'as fait en Thaïlande... La Thaïlande. Le couteau s'enfonce dans ton ventre à ce souvenir. Tu sers les dents sur sa lèvre jusqu'à la faire saigner avant de te reculer brutalement. Un sceau d'eau froide vient de te ramener à la réalité. Ces paroles elle les a déjà tant de fois dites. Et tu as déjà tant de fois crue à ces mensonges. Tu éclates de rire, des sanglots commençant à poindre. Tu te moque de toi même et de ta naïveté. Tu te sens ridicule, tellement ridicule. Personne ne change et surtout pas elle. Que se passera-t-il le jour où Willow reviendra comme tu l'as fait ? Hein ? Et bien elle la baisera et elle t'abandonnera. Encore. En fait non. J'en ai pas envie. C'était cool de te revoir, mais j'ai rendez-vous avec ma pute là. A plus sur le campus. Tu sors ça sur un magnifique sourire avant de décamper rapidement. Avant de fondre pour de bon, réellement. Pour de bon.
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Cèdes moi, Lou. Cèdes à ton amour pour moi, cèdes à tes pulsions, tes vieux démons qui te hantent depuis tant d'années. Ta passion, ta tentation, notre passé, nos déboires, nos émois. Cèdes moi comme jamais, je t'en prie, j'ai besoin de toi. Danses pour moi, vis pour moi, cries, hurles, aimes pour moi. Je ferai en sorte de te le rendre au mieux, aimes pour deux. Sois mienne à nouveau, Lou, c'est la seule chose que j'te demande. Parce que tu sais comment j'fonctionne, comment j'réfléchis, à quel point j'suis pas douée pour manier les mots quand je m'y mets. T'es huit ans de ma vie, et tu seras bien plus d'années encore, parce que jamais tu voudras en sortir même si un jour je le voulais. Ne te raccroches pas à notre passé désastreux, regardes ce qui se profile à nous, ce qui nous attends surement, si tu l'acceptes. Cèdes moi, j'aime quand tu me cèdes. Je veux te voir flancher sous le poids de ton amour pour moi. Te sentir flancher sous mes caresses, mes doigts, mes lèvres, mes baisers, sous tout ce qui fait de moi ta kryptonite. Je suis ton point faible, ton plus gros défaut. Mais cette fois, j'te laisserais pas tomber, Lou. Je te le jure. Si j'le voulais pas, j'serais pas là, à te retenir comme j'le fais, à te dire tout ce que j'te dis. T'as retrouvé ce petit éclat dans ton regard, cet éclat qui représente ton espoir que j'dise vrai. J'te baratine pas tant que ca, j'te dis le plus gros de la vérité. Il n'y a que l'amour que j'peux pas te promettre pour le moment, mes pensées trop occupées à oublier tant bien que mal Willow. Fonds dans mes bras, accroches toi à nouveau à moi, me lâches pas. Je serais ton pire rêve ou ton plus beau cauchemar, ou ton plus beau rêve, en plus de rester ta plus belle et unique espoir. Je sais que ton amour pour moi te tue à petit feu, j'ai pas cherché à faire ca. Ouvres moi ton coeur, ton âme, ta conscience, tes abysses les plus profondes, bien que je connaisse déjà tes plus grosses failles, dans lesquelles je me faufile pour m'abriter au creux de ton coeur, à t'en lacérer l'âme. Déverses tout ce que tu ressens sur moi si ca peut te soulager, ta haine, ta passion. T'es si belle quand tu reprends des couleurs, Lou. J'vois ton âme s'alléger au fur et à mesure du baiser que l'on se donne, ce baiser qui nous arrache à notre passé, qui marque une trêve dans la guerre. On provoque notre destruction, notre chaos, mais on aime ca, on est conscientes de notre déchirure à chaque fois. C'est la beauté sans nom qui transforme un instant, il n'y a pas d'autres prisons que celle qu'on se fait au coeur. Embrasses moi encore, offres moi un peu plus de chaleur que dégage ton corps, dans cette étreinte. Essayons... Tu souris, tu m'embrasses, je ressens cette frénésie d'antan. Cette tendresse, cette douceur qui nous qualifiait même lorsque nos ébats se voulaient bestiaux. Tu trembles encore, mais ce n'est pas le même type de tremblements que tu m'offres. C'est de la joie, de l'espoir qui parcourt tes veines. Mords moi, alors que nos souffles s'enlacent. Mords moi à sang si tu veux, j'me fous de la souffrance. Tu t'es souvenue de mes paroles ? Tu ne me crois plus, tu brises tes rêves en l'espace d'un instant. Ces paroles sont vraies, cette fois, Lou. Et tu ris, tu me ris à la gueule. Tu m'lâches en m'disant que ca y est, c'est mort. Tu m'souris en plus. Et tu t'en va, tu me files entre les doigts. J'reste là, debout, comme une conne qui pige rien, alors que t'es dehors. Je soupire et je vais m'installer sur mon lit, m'allumant une clope pour laisser passer la pilule. C'est foutu, t'es passée à autre chose il faut croire. J'vais pas te courir après, mais si tu m'cherches, tu sais où m'trouver. J'aspire une longue bouffée de cancer, avant d'attraper une des guitares que j'ai laissée ici. J'me mets à chanter Go, go if you want, I can't stop you.
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La porte claque dans ton dos. Brusque silence après cette discussion douloureuse. Tu t'effondre. Un lourd sanglot t'échappe alors que les larmes emporte ton peu de dignité. Tu sers ton poing le plus fort possible, tu recherches une douleur autre que celle qui lacère ton coeur. Une autre que celle que tu viens de t'infliger, que celle que tu viens de vous infliger. Tes pleurs résonnent dans le couloir, mais peu importe. Tu te fiche qu'une quelconque personne te trouve, plus rien n'a d'importance. Tu mord ta main jusqu'au sang pour ne plus avoir à penser, pour ne plus avoir à ressentir. Tu es là, à hurler, tu hurle cette plainte incohérente qu'est ton existence. Ton désespoir prend forme dans cet hurlement, dans ce cri. tu te noies dans tes larmes, la respiration coupée. Plus de rêve, plus d'espoir. C'est la fin. La fin de toi, de vous, du monde. La fin de cette amour que tu as tant chérie pourtant. Tu n'as même pas pu préserver ton seul bien. Ton seul idéal, ta seule raison de vivre. Gwen. Tes pleurs redoublent d'intensité alors que le sang vient effacer ses baisers sur tes lèvres. Tu cries l'atroce réalité qui se joue sous tes yeux. La nuit tombe et ce pour toujours. Sauf que tu es la seule à le savoir, à le voir, à le sentir. Tout ce que tu voulais, c'était qu'elle t'aime autant que toi, qu'elle fasse une crise mais qu'elle ressente un truc véritable pour toi. Mais non, rien. Tu restera seule toute ta vie, seule dans le froid. Sa voix résonne derrière la porte, elle chante. Plus elle chante, plus tu pleures. L’incontrôlable flot de tes pleurs et ta position foetale contre la porte. Tu ressembles à une enfant perdue. Tu avais tout au creux de ta paume et tu as choisi de ne rien prendre. Tu as choisi la solitude au lieu de l'amour. Tu aurais pu te brûler les sens jusqu'au petit matin ou peut-être même toute la vie. Tu voudrais partir, sortir. T'éloigner d'elle mais tu ne le peux pas, tu es clouée derrière cette porte. Coincée entre tes choix. Partir à jamais ou rester pour toujours. Et tu es là, seule. Sans être seule. Tu chuchote en boucle ces paroles, te faisant hoqueter difficilement Je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée...
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J'ai tout foiré depuis huit ans. C'est maintenant que j'm'en rends compte, maintenant que j't'ai vue filer. J'aurai jamais du jouer avec toi et ton coeur, j'me prend le revers de la médaille en pleine gueule. Toi que je pensais acquise à jamais. Ma Lou, mon passé, toi que j'ai trop pris pour un bouche trou, toi mon amante de toujours, mon point faible, mon point d'ancrage, ma muse. Mon éternelle, ma fidèle. T'es mon tout et j'vois rien, une meilleure amie, qui sait tout de mon passé, de mes erreurs. Mon ex, ma faiblesse dès lors que je te vois. Mon obsession quand j'suis seule, mon repère, mon pilier. Mon âme soeur dévouée, dans l'attente d'un retour de ma part, un retour que tu espères tant mais que tu rejettes. Lou, j'me fous plus de toi, c'est promis, tu comprends, ca ? Tu comprends que j'ai compris que blesser les gens les blesse ? Reviens dans la chambre, vas pas voir ta pute. Reviens vers moi et crois-moi, putain. Crois moi quand j'te dis que j'ai changé. Reviens, dis moi que tu m'aimes et que c'est d'la connerie, d'se déchirer comme on l'fait. Et moi qui croyais qu'j'étais pas comme il fallait, qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas, j'me suis perdue, j'ai bu la tasse, pour les bras d'une infirmière j'me suis conduit comme une crasse. Allez Lou, reviens dans la chambre, je t'attends, putain.
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Je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée... Après qui t'excuses-tu Lou ? Tu es seule dans ce maudit couloir alors que Gwen est seule dans votre chambre un chanter une maudite chanson. Tu restes assises là de longues minutes. Tu pèses le pour le contre. Tu ne sais quoi faire. Fuir ? Lui donner une dernière chance ? Retenter le bonheur ? Voir si le monde peut briller encore une fois ? Tu caresses ta joue, là où durant un instant sa main s'est posée... Tu sens l'effluve de son parfum s'attardé sur ta peau. Tes yeux gonflés te brûlent alors que tu te redresses tant bien que mal. Ce que tu vois de toi, te dégoûtes. Tu as comme envie de te déshabiller, comme envie de te laver, comme envie de te purifier. De redevenir toi. Comme envie de devenir une autre, mais pas une épave. Pas un déchet. Et moi qui croyais qu'j'étais pas comme il fallait, qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas, j'me suis perdue, j'ai bu la tasse, pour les bras d'une infirmière j'me suis conduit comme une crasse. . Les paroles résonnent à travers la porte, à travers la cloison. Tu soupires, t'essuyant les yeux. Te lever est plus dur que prévus. Quand cesseras-tu de penser ? A te question à chaque pas ? A chaque étape ? Pourquoi ne peux-tu pas profiter de l'instant ? Ta main se pose sur la poignée. Et si comme en Thaïlande tu l'ouvrais pour fondre sur les lèvres de Gwen ? Et si tu redevenais aussi athlétique, jolie ? Souriante ? Toi. Tu enclenches la poignée et sans attendre une seconde te jettes entre les bras de Gwen repoussant sa guitare qui tombe dans un fracas par terre. Mais peu importe puisque tes lèvres sont sur les siennes. Un baiser empreint de tout l'espoir que tu peux ressentir, de toute ta peur. Montre moi que c'est possible Gwen. Montre moi si tu veux que je reste.
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J'suis pas quelqu'un pour toi, Lou. Et pourtant, j'espère quand même un peu te voir revenir, me dire que t'as lâché l'idée d'aller voir ta pute, que tu reviennes vers moi. Mais c'est plutôt dur d'en être certaine, après tout ce que je t'ai fais voir ces dernières années. Je tire sur ma clope qui se consume à chaque bouffée que je prends, au point qu'elle me brûle les doigts. Rien à foutre, de la douleur, j'suis plus à ca près, j'la sens presque pas, au final. J'tire une dernière fois avant de la jeter dans le cendrier, me mettant ensuite à jouer Place de la République de Coeur de Pirate. Puis t'es entrée, fonçant sur moi pour m'embrasser. J'ai laissé échapper ma gratte, tant pis si elle se fracasse au sol. Je passe mes mains sur ton corps frêle pour t'approcher plus de moi, prolongeant ce baiser qui retient tout ton espoir. Tout ton espoir qui se trouve désormais sur mes épaules. Tu me demandes de te montrer que c'est possible, que tout est possible, que j'te mens pas, que j'te mens plus. J'te regarde, capturant à nouveau tes lèvres sans te lâcher. J'vais te le prouver, Lou. Restes avec moi, ce soir, les autres soirs. Quand tu l'veux, quand tu l'veux pas. J'te montrerais que j'te mens plus, pour de bon cette fois. Embrasses moi, encore.
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J'vais te le prouver, Lou. Restes avec moi, ce soir, les autres soirs. Quand tu l'veux, quand tu l'veux pas. J'te montrerais que j'te mens plus, pour de bon cette fois. Embrasses moi, encore. Tes lèvres se plaquent à nouveau sur les siennes alors que tu écrases ton corps du sien la poussant à s'allonger sur son lit. tes lèvres ensanglantés épousent les siennes fendues par ta morsure. Peu importe. Tu tire sur son tee-shirt pour le lui retirer alors que prise d'une certaine folie tu colles toutes parcelles de ta peau à la sienne. La température de ton corps augmente au même titre que ton désir. Tes ongles se plantent dans son dos brûlant, marquant sa chaire de ta présence. Tu la serres avec ton corps, vous vous enlacez comme jamais. Assoiffées retrouvant l'eau, aveugles retrouvant la vue. Lou retrouvant Gwen, Gwen retrouvant Lou. La passion enflamme vos sens alors que tu te tords de plaisir sous ses mains. Bientôt ton propre haut n'est plus qu'un souvenir. Je t'aime Gwen. . 'est un soupire de détresse que tu pousses en disant cela. Tu espère seulement que cet ange tombé du ciel est là pour te sauver, pour retracer ta vie en couleur. Pour faire fleurir toutes ces fleurs fanées qui couvrent ton coeur. Fini les blessures, fini les mensonges. Ton regard se perd dans le sien alors qu'enfin, tu te sens vivre. La survie s'éloigne pour laisser les rayons d'une vie meilleur transpercée tes barrières. Elle a baisser les armes ? Toi aussi. Tu supplies que cela fonctionne, que cette fois ce soit la bonne. Gwen est forcement la bonne, mais cette chance ? A-t-elle raison d'être ? Le mérite-t-elle ? Tu l'espères, Lou. Vraiment.
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Toi et moi, la nouvelle ère de notre cercle vicieux qui revient, cette passion destructrice, cet amour, cette affection qui nous caractérise. Tes lèvres qui ont le goût du sang d'une réflexion trop poussée, sur la lèvre fendue par ta passion, ta façon de marquer ton territoire sur ma personne. Ton corps sur le mien, qui s'allonge sur mon lit alors que mes mains restent sur toi, caressant ces hanches que j'ai tellement vues, tellement touchées, embrassées. Tu me dénudes, ton désir est palpable, comme le mien lorsque tu es contre moi. Mon corps se réchauffe comme un dingue quand t'es à côté, ou contre moi. Mes mains relèvent ton haut au fur et à mesure des caresses que je te donne, à chaque souffle que tu m'offres. Plantes tes ongles dans mon dos, marques ta résurrection sur ma peau, montres que t'es à nouveau en vie, Lou. Tu me serres fort, si fort. Trop fort, comme si ta vie en dépendait. Je te sens te cambrer sous le touché de mes doigts sur ton buste, tes hanches, ton ventre, ton dos. Je te redécouvre à chaque fois. Mais j'en veux plus, toujours plus de toi, au point de me défaire de ce bout de tissus que je trouve bien encombrant. Moi aussi, Lou... Je t'aime à ma manière. Ni trop fort, ni pas assez. Je ne saurais expliquer quel est ce sentiment qui me porte vers toi, si simpe et si complexe à la fois. Je dépose un baiser rapide sur tes lèvres, alors que nos regards se croisent encore et toujours. Tu sens, la vie s'imprégner de toi à nouveau ? Mes doigts viennent jouer doucement dans ton dos, près de ton porte-poitrine, ta belle poitrine que je veux voir à nouveau découverte, pour pouvoir entendre les supplices d'un plus, qui m'offrirait des feulements dans ta voix lorsque tu reprendras ton souffle.
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Moi aussi, Lou... Ses mots te touchent en plein coeur, accélérant ses battements. Tu devines frénétique alors, baisant chaque parcelle de peau que tu peux lorsque tes lèvres ne sont pas occupées avec les siennes. Tu la regarde comme pour la première fois et un plaisir immense accroît dans ton bas ventre, dans ta poitrine. Le rouge vient coloré tes joues lorsque d'un mouvement souple et habitué elle détache ton soutien-gorge. Tu revis auprès d'elle et cette nuit ressemble tellement à la première. Même si vous n'êtes plus à L.A, même si vous n'êtes plus si jeune... Huit ans ont passé. Ton corps n'est plus que le souvenir de ce qu'il était, une pâle copie. Tes côtes ressortent trop fortement et ta peau n'est plus aussi douce. Tu as honte, honte de te présenté ainsi à elle. Pourtant, tu te donnes entière, comme jamais auparavant tu n'as pu le faire. Tes ongles dans son dos marque qu'elle est tienne ce soir. Et le soir d'après, et encore l'autre soir. Jusqu'à la fin de ... La fin de quoi ? de vos vie ou de votre histoire ? Tu repousses cette pensée en venant mordiller son cou. Ses doigts parcourent ton dos faisant naître un long frisson le long de ton corps. Tu opère à lui défaire son bas, créant une légère friction entre vos corps. Le fais-tu exprès ? Ou est-ce seulement la hâte qui se traduit dans tes mouvements ? Tu n'en as cure. Tout ce que tu veux c'est la faire tienne dans la transpiration, dans son souffle, dans son plaisir, dans son orgasme. L'alchimie entre vous ne taris pas, non, elle s'amplifie avec le temps parce que peu importe vos diverses conquêtes, personne ne vous donne autant de plaisir que l'autre. Ta bouche glisse de son cou à ses clavicule gauche alors que son corps se cambre sous le tien. Rapidement tu défais son soutien-gorge, allant effleurer sa poitrine si douce et si ferme. Tu mérites bien de profiter un peu de ce plaisir qu'elle t'offre. Il est si proche, tu n'as qu'à le cueillir sur sa peau. Tes larmes ont séché grâce à la chaleur ambiante dans la pièce, mais ce n'est pas assez, tu en veux plus. Beaucoup plus.
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