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LOU&GWEN • Is this thing on ?

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Depuis Willow, je n'avais plus revu Lou. Ca c'était relativement mal terminé la dernière fois. Je l'avais abandonnée après un baiser que je qualifiais comme le dernier, ce qui n'était pas faux. Lou était auto-destructrice. Quand je ne suis plus là, elle est comme un oiseau qui se laisse crever en se refermant sur elle-même. Et moi ? Je la regarde se détruire. Mais à chaque fois, je reviens vers elle, pour palier à ma solitude, parce que je sais que quoi que je fasse, elle me pardonnera, trop aveuglée par l'amour inconditionnel qu'elle me porte. Je me remettais en tête le conseil que m'avait donné Elysia le jour de ma rupture avec Willow, me jeter dans une nouvelle relation. Mais je retourne toujours vers ce que je connais le mieux, et Lou était celle que je connaissais le mieux. Je gagnais donc le couloir qui rejoignait ma chambre, bien que ces derniers temps je n'y passais plus vraiment de temps, préférant trainer dans l'appartement que j'ai acheté pour Willow et moi, sauf qu'il n'y a plus que moi, là-bas. Je ne savais vraiment pas pourquoi je pensais à la fille qui a marqué presque huit ans de ma vie. La dernière fois que je l'ai vue, l'entrebaillement de la porte de sa chambre laissait échapper un feulement frais du coït interrompu, créant la plus grosse dispute que nous ayons eu. En ouvrant la porte, quelle ne fut pas ma surprise de la voir ici, alors qu'elle trainait dans ma tête quelques secondes plus tôt. Toi, ici ? J'crois que j'ai pas foutu un pied dans c'te chambre depuis trop longtemps...
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La solitude ne te dérange pas, non. Ce qui te dérange c'est le bruit autour, celui qui te vrille les tympans et te ramène inlassablement à ton état misérable. Et où que tu sois, avec qui que tu sois, toujours un seul mot resurgit. Un seul prénom. Gwen. Tu déglutis, amère, ta peine, ta rancoeur. Tu voudrais la dépecer vivante, tu voudrais la brûler vive, tu voudrais voir des putains de larmes rouler sur ses joues, tu voudrais qu'elle souffre autant que toi, tu voudrais lui hurler ton amour. L'embrasser, la réconforter. Tu voudrais qu'elle voit quelle connerie c'était de te laisser là. Quelle connerie c'était de te faire croire que t'étais seule ici. Non pas croire, elle te l'a juste montrer. Elle t'a fait devenir lucide. Lucide sur ton propre état, sur votre relation, sur les gens, sur le monde. C'est fini. Gwen. Ton regard vagabonde dans la pièce, cette chambre où surement ses hurlement ont habité les murs. Une larme roule sur ta joue emportant du khôl avec elle. Tes doigts tremblent sur ta jupe de pute. Ta dégaine de pouffiasse te ravie, tu fais mine d'être salie de tout point de vue. Or depuis votre dernière dispute, tu pratiques une abstinence exemplaire. Sauf qu'elle ne doit pas le soupçonner ne serais-ce qu'une seule seconde. Tu es vêtue de noir de la tête au pied, en deuil de toi-même, de votre relation, de votre avenir. Personnification de ta propre détresse. Tu t'allumes une millième clope en te levant. Il va bien falloir que tu sortes, rester ici n'empire que les choses. Pourquoi t'avoir donner cette chambre ? Ne souffres-tu pas assez comme cela ? Heureusement Gwen ne vient jamais, jamais. Ou du moins quand tu n'es pas là ce qui t'arrange particulièrement. Tu porte la cigarette à tes lèvres livides alors que la porte s'ouvre en grand. Tu ne jettes même pas un regard à l'intérieur, surement une des filles qui rentrent. Toi, ici ? J'crois que j'ai pas foutu un pied dans c'te chambre depuis trop longtemps.... Ton coeur cesse de battre et le peu de sang qui parcourait ton visage s'évapore. Comme glace au soleil, comme ton coeur face à elle. Sa voix. A elle, à Gwen. Tu ne bouges pas d'un centimètre, évitant son regard avec soin. Dommage que tu le fasses maintenant. Ta voix est coupante comme un rasoir, froide comme une nuit sans lune. Ta mâchoire se contracte, sous la douleur ou la peine ? Sous le souvenir ou l'oubli ? Tu n'en sais rien Lou mais peu importe, Gwen est là.
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J'crois que mon karma m'envoie des putains de signes, cet enculé. A chaque fois que j'pense à Lou, elle se retrouve là, en face de moi. C'est quoi ce putain de message que j'dois comprendre, au final ? Que j'suis destinée à Lou ? Conneries, foutaises, j'y crois pas une seule seconde. Pendant tout ce temps, elle a jamais réussi à me changer, contrairement à Willow. Mais j'déteste tellement Willow de m'avoir abandonnée, de m'avoir changée pour rien, que j'suis redevenue celle que j'étais. Rien à foutre de ce que les gens pensent de moi, je fume, j'me drogue, je bois, je baise. Ainsi va ma vie. Et Lou, dans tout ca ? Elle a peut-être une place, j'en sais rien, mais où la mettre ? Il n'y a plus de place dans mon coeur, il est foutu, en miettes, et j'ai la flemme de le recoller moi-même, j'veux qu'on le recolle pour moi. Et Lou, comment t'es fringuée, putain ? On dirait une pute qui fait le deuil de sa virginité. Une pute qui fume comme un pompier et qui s'en fout de puer le tabac froid des cheveux. Je m'approche religieusement d'elle, posant ma main sur son épaule. Te fais pas de problèmes pour moi, mais toi, tu vas t'y faire au fait que j'revienne de temps en temps ? Ce contact avec elle m'avait manqué, même si son ton était froid comme le vent d'hiver, comme un débris de verre qui te lacère la peau. Ma main quittait son épaule alors que je m'installais face à elle. Ca tombe bien, j'voulais te voir, justement. Mon regard se plongeait dans le sien, ce putain de regard que j'lui fais toujours, ce regard qui la rend folle.
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Te fais pas de problèmes pour moi, mais toi, tu vas t'y faire au fait que j'revienne de temps en temps ? . Le regard que tu lui lances à son touché est tel une lance frappant en plein coeur. Bien loin de cupidon et sa flèche de merde. C'est une lance empoisonnée, une lance qui dit clairement : dégage ta main de là et rapidement si tu veux pas que je t'arraches les yeux. Gwen retire sa main pour venir s'asseoir en face de toi, sur ton lit. Tu soupires une longue bouffée de fumée grise. Tu a un rire mauvais quand tu dédaignes lui répondre. Me faire du soucis pour toi ? C'est une blague j'espère. Je me préoccupe autant de toi que de ma première copine... Ah c'est vrai que c'est toi, donc hum... Du première truc que j'ai pu avaler, et je te rassure c'est pas du foutre comme certaine personne peuvent le penser sur le campus. L'absence de son contacte te fait grimacer mais tu fais passer ça pour du dégoût que sa présence t'inspire. Tu devrais avoir peur de te coucher là, tu sais pas quelle genre de bestioles peuvent roder dessus. Ah et au fait, je me fiche que tu reviennes ou pas. Elle te regarde et tu ne fuis plus son regard. Ce regard, celui qui te hurle l'amour qu'elle te portait, la joie de vos premiers instants... Bien loin de cette réalité souillée. Ton teint cadavérique fait ressortir tes lourdes cernes violacées, ton corps squelettique où les os ressortent plus répugnant que jamais. Ca tombe bien, j'voulais te voir, justement. . Tu fermes les yeux en t'adossant au mur. Pourquoi revient-elle ? Pourquoi dit-elle cela ? Tu ne dois pas fondre, tu ne dois pas céder. Tout ca n'est qu'une illusion, elle vient baiser. Comme avec toutes les autres, mais tu n'es plus comme avant, tu n'es pas ... Une pute. Enfin pas vraiment, c'est sûre que là tu ressembles à ça plus que à autre chose. Quoique, tu ressembles assez à une femme en deuil d'un amour perdu, d'un temps passé. Mais à quoi bon courir après le temps ? Il fini toujours par vous écrasez comme un vulgaire cafard. Oh, quel honneur ! Je peux savoir pourquoi ? Parce que tu vois, ca tombe mal, j'allais sortir.
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Putain, Lou, t'es passée où ? T'es plus la fille que j'ai connue quand j'avais quinze piges, t'es lus la fille folle de joie dès que j'entre dans la pièce, tu n'es plus que l'ombre de toi-même, l'ombre d'un cadavre plongé dans la merde. La merde, la drogue, l'alcool, les merdes que j'avais lâchées et que j'ai repris sans abus. Fais pas les mêmes putains de conneries que j'ai pu faire. T'auras beau me détester, j'prendrais quand même ca comme une preuve d'amour que t'as pour moi. Tu me détestes parce que tu m'aimes et que moi, je ne t'ai jamais assez aimée. Si c'est pour ca que tu m'en veux, alors continues de m'en vouloir. Et dire qu'il y a quelques années t'as essayé d'me sortir de ça pour finalement y foutre les pieds...pourquoi t'es descendue si bas, Lou ? Pourquoi t'essaies d'm'attaquer comme ca ? Et les gens pensent ce qu'ils veulent, j'pense te connaître mieux qu'eux, même si en l'espace de quelques mois t'as changé du tout au tout. T'es passée du tout à rien du tout, Lou. Tu t'es murée dans un monde qui n'est pas le tien. Le monde de la débauche n'est pas le tien du tout, et tu le sais autant que moi. J'me doute bien du fait que j'sois la source de ce changement total, mais bon dieu, pourquoi ? J'suis pas assez bien pour toi, Lou, j'ai jamais été assez bien pour toi, et tu restes bloquée dans le passé, malgré toi, je le sais bien. J'pense pas que tu sois assez stupide pour choper des morpions, Lou. Mais après tout, tu as changé, alors j'me trompe surement, bien que j'sois persuadée du contraire. Je ne te lâches pas du regard alors que tu fermes les yeux. A quoi tu penses, Lou ? Que tu m'détestes de revenir après tout ce temps ? T'as raison de me détester, mais j'viens pas là juste pour te baiser comme avant. J'veux tenir la promesse que j'voulais te tenir le jour où je t'ai surprise avec cette fille et dénudée. Le jour où je t'ai sentie m'échapper. C'est peut-être trop tard, j'en sais rien. Mais j'veux essayer, j'veux oublier Willow dans tes bras. Ton corps n'est plus le même, t'es à la limite de l'anorexie, t'es cernée comme un zombie défoncé. J'te demandes juste cinq minutes, Lou. Après si t'as envie de te casser retrouver une de tes putes, vas-y, j'te retiendrais pas. Mais j'veux m'excuser pour t'avoir fait du mal toutes ces fois où j'l'ai fais. J'veux m'excuser de t'avoir abandonnée. Et j'veux qu'on tente vraiment quelque chose à nouveau, et c'est pas des conneries si c'est ce que tu penses... Je passais ma langue sur ma lèvre inférieure, soupirais et me levait pour te prendre la main et t'attirer vers moi. J'voulais qu'tu sentes mon corps contre le tien et mon souffle près de ton visage. J'veux que tu me cèdes encore une fois, mais sans me foutre de toi, Lou. Ma Lou.
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Et dire qu'il y a quelques années t'as essayé d'me sortir de ça pour finalement y foutre les pieds...pourquoi t'es descendue si bas, Lou ? Pourquoi t'essaies d'm'attaquer comme ca ? Et les gens pensent ce qu'ils veulent, j'pense te connaître mieux qu'eux, même si en l'espace de quelques mois t'as changé du tout au tout. Elle se trompe, elle ne te connait pas. Personne ne te connait, tu es une épave sans âme, sans personnalité. Tu te laisse abuser par n'importe qui, tu deviens une simple marionnette. Et c'est tellement plus simple. Tellement plus simple de se laisser faire, de laisser les autres choisir. Tu glisses doucement dans une abîme sans retour mais tu t'en moques. N'essayes pas de la retenir Gwen, ca ne sers à rien. Tu t'endors sur une chance écoeurante, puis sur un métal qui crache le puanteur du monde, la puanteur que tu es devenue. Elle doit te laisser partir, elle n'a pas le droit de te retenir comme ça, de s'accrocher au passé. Tu n'es plus la Lou qu'elle a connu, tu es la Lou qui se fou de tout et surtout d'elle. Et tu préférerais crevée seule dans une partouze que dans ses bras. Tu ne l'aimes pas, tu ne l'aimes plus. Plus du tout, et en aucun cas tu ne retourneras en arrière car c'est trop tard. J'essaye de me mettre à ton niveau, mais j'avoue que c'est difficile. Tu me donnes un conseil ? Tu sais histoire que je devienne une garce de compétition. Elle disait qu'elle était pas assez bien pour toi ? Et bien maintenant tu as changé la donne, c'est toi qui n'est assez bien pour personne. Un brouillard épais de solitude t'a emmené il t'enveloppe plus férocement que quoique ce soit d'autre. Même la présence de Gwen t'indiffère. Enfin, c'est ce dont tu essayes de te convaincre. Mais si c'était le cas... Pourquoi ton corps se réchaufferait-il petit à petit ? Pourquoi une étincelle s'allumerait dans ton regard ? Pourquoi prendrais-tu la peine de lui répondre ? Tant de question dont tu connais la réponse mais dont tu voudrais t'échapper. Comme tu essayes de t'échapper de ton passé, de votre passé. Tu éteins ta clope et en rallume une autre directement après. Comment un si petit cylindre peut-il te raccrocher autant au bord du gouffre ? Une Chesterfield rouge. J'pense pas que tu sois assez stupide pour choper des morpions, Lou. Mais après tout, tu as changé, alors j'me trompe surement, bien que j'sois persuadée du contraire. Tu ris. Encore, un rire gras et fort, un rire qui te ressemble pas. Un rire un peu fou, un peu hystérique qui se transforme un peu sur la fin en sanglot mais tu tiens bon. Tu te retiens, te ravales ta peur et ta tristesse. Tu reste digne et indifférente, il vaut mieux ça que d'être malheureuse et pathétique. Tu serres les dents et t'enfonce dans ton lit le plus loin d'elle. Tu tousses un peu, les yeux fermés pour retenir tes larmes. Pense ce que tu veux Gwen, mais moi à ta place je dégagerais et vite. Si tu savais qui est monté dans ce lit... Personne en fait. Tu finis ta phrase dans ton esprit, étirant tes lèvres exsangues en un sourire terrifiant. Tes pommettes sont trop saillante, ton teint cireux est synonyme de maladie. Tu veux t'enfuir, tu veux rester. Tu veux qu'elle parte, tu veux qu'elle reste. J'te demandes juste cinq minutes, Lou. Après si t'as envie de te casser retrouver une de tes putes, vas-y, j'te retiendrais pas. Mais j'veux m'excuser pour t'avoir fait du mal toutes ces fois où j'l'ai fais. J'veux m'excuser de t'avoir abandonnée. Et j'veux qu'on tente vraiment quelque chose à nouveau, et c'est pas des conneries si c'est ce que tu penses... Tu ouvres les yeux pendant qu'elle parle, et quelque chose vacille en toi... Un elan d'espoir, un battement de coeur. Puis tu te souviens. Tu te souviens que ce ne sont que des paroles en l'air, que c'est Gwen en face de toi. Alors tu cries, tu pousses un hurlement. Un hurlement rauque et strident à la fois. Tu cries ton amour, ta haine, ta colère, ta joie, ta peur, tu cries ce que tu es et ce que tu étais. Ce qu'elle est et ce qu'elle sera toujours. ce que vous ne serez plus jamais à cause d'elle et d'elle seule. Tu serres les poings alors qu'elle t'attire à elle. Son souffle sur ton visage te donne un haut le coeur alors que tu la repousses. Arrêtes tes conneries. Tu me fais pitié, ta connasse ta lâché alors tu iens en rechercher une autre ? Et bien c'est loupé. J’en veux pas de tes excuses. Je ne céderais pas, je m'en moque de toi et de tes promesses. Je te crois pas et je te croirais jamais. Tes cinq minutes sont écoulés, je vais rejoindre mes putes comme tu dis. Ca me changera des hypocrites et menteuses en tout genre. Tu te lèves bien décider à t'enfuir avant que la tentation ne te rattrape... Ainsi que tes larmes.
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Une garce de compétition, c'est comme ca que tu me vois, Lou ? Comme une putain de garce ? Parce que tu veux devenir l'ancienne moi, tu veux vraiment essayer d'être comme moi ? T'y arriveras pas, même moi je n'arrive plus à être comme ca. Tu ne peux pas être comme ca quand tu comprends ce que c'est d'aimer, et j'arrive plus à être une connasse comme avant. J'me laisse aller de fille en fille, sans but, sans réel plaisir, si ce n'est que le plaisir du sexe. Mais est-ce vraiment un plaisir que de se donner sans rien, dans l'unique but de ne pas être seule tout le temps ? Dans le but de casser sa solitude qui donne envie de sauter du dixième étage pour arrêter de penser comme une dingue ? T'es pas comme moi, Lou. Tu ne l'as jamais été et tu ne le seras jamais. Même moi, je ne serais plus jamais comme avant, et quelque part, c'est tant mieux, dans le fond. Mais tu ne peux pas comprendre qui je suis devenue si tu te renfermes dans la pensée inexacte de qui je suis. Parce que j'suis qu'une garce de compétition, à tes yeux ? Et j'vais te donner un conseil, ouais. Ne crois pas sans savoir, j'suis plus cette fille là, plus vraiment comme avant. Si j'étais vraiment une garce, j'serai pas là à t'parler, à t'observer et à savoir ce qui a changé sur toi. Parce que j'sais très bien ce qui a changé sur toi. T'as perdu au moins six kilos, t'es plus que l'ombre de toi-même, que t'as envie d'me coller une beigne juste pour te soulager en te disant que t'as vaincu ton plus gros démon. Mais tu sais très bien que c'est pas comme ca que tu m'sortiras de ta tête, comme t'es pas sortie de la mienne, malgré tout ce que tu crois. Mon ton était posé, trop posé, ce qui était étonnant alors que quelques semaines avant, je t'aurais hurlé dessus. Tu auras beau penser me connaître, tu ne me connaîtras jamais entièrement. J'évolue, je grandis, je me pose. J'arrête mes conneries, je vagabonde à droite et à gauche pour palier à ma solitude et à ma peur de l'abandon. Ne m'abandonne pas, toi aussi, bordel. T'auras beau penser le contraire, j'aurai toujours besoin de toi, Lou. Tu me dis de dégager, en prétextant que je ne savais pas qui était allée dans ce lit. J'm'en tape de qui est passé là. Mais arrêtes d'me mentir, putain. Regardes moi quand tu parles, ouvres les yeux, assumes quand tu m'mens ou non. Regardes moi dans les yeux pour la première fois. J'connais ton sourire, celui là n'est pas vrai, il cherche juste à m'atteindre. T'essayes de me toucher pour me faire partir, mais tu sais que j'fuis pas aussi rapidement. Ton sourire pue l'échec, Lou. T'es là, comme une vache qui regarde passer le train, alors arrêtes avec ton sourire qui sonne faux juste pour me toucher. J'te connais trop, merde. Pourquoi tu hurles, cette fois ? Parce que tu sais pas quoi faire ? Parce que t'as peur que j'te mente ? Parce que t'es paumée dans ce que tu veux ? Parce que j'te déstabilise ? Pourquoi tu m'repousses ? Qu'est-ce que j't'ai fais ? Vas-y, ouvres la, ta grande gueule. Tu fais que ca depuis tout à l'heure, ouvrir ta grande gueule. Souvent pour du vent, t'es pas très convaincante dans tes mots. J't'écoute parler, alors qu'un sourire malsain orne mes lèvres. C'est drôle, quand j'me fous de toi, tu cours, mais quand j'suis sincère, tu t'casses. Ouais, ma connasse comme tu dis, m'a lâchée. Et si j'reviens vers toi c'est parce que j'en ai envie, pas par pitié ou j'sais pas quoi. Alors que tu tentes de t'enfuir, je te rattrape par le poignet, sans te forcer à me regarder. Lou, tu m'as fais du mal quand j't'ai surprise avec la meuf, tu sais qu'on s'détruit malgré nous, pour se prouver qu'on existe l'une pour l'autre. Et jamais j'ai pu oublier ce qu'on a pu vivre, cette fusion qu'on avait. Toi et moi, c'est mieux qu'un putain d'rail de coke, c'est un putain de jeu dangereux qu'on aime jouer, à s'en écorcher le corps. J'te demande juste d'essayer d'me croire, pour une dernière fois. Je m'approchais alors de toi, lentement, et déposais ma main libre sur ta joue. Regardes moi Lou, putain. Regardes moi et dis moi que tu m'crois, cette fois. Dis moi que t'as envie qu'on s'retrouve, que cette putain de tentation qu'on ressent tu l'as pas oubliée. Je colle mon corps contre le tien, qu'il te réchauffe alors que tu sembles glacée. Rapproches toi encore de moi, car ce n'est jamais assez.
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Parce que j'suis qu'une garce de compétition, à tes yeux ? Et j'vais te donner un conseil, ouais. Ne crois pas sans savoir, j'suis plus cette fille là, plus vraiment comme avant. Si j'étais vraiment une garce, j'serai pas là à t'parler, à t'observer et à savoir ce qui a changé sur toi. Parce que j'sais très bien ce qui a changé sur toi. T'as perdu au moins six kilos, t'es plus que l'ombre de toi-même, que t'as envie d'me coller une beigne juste pour te soulager en te disant que t'as vaincu ton plus gros démon. Mais tu sais très bien que c'est pas comme ca que tu m'sortiras de ta tête, comme t'es pas sortie de la mienne, malgré tout ce que tu crois. Laisse la s'enfuir Gwen, ca ne sers à rien de la retenir. Des paroles, encore des paroles, seulement des paroles. Tu ne souhaite que partir, rester seule. N'essaie pas de la garder, elle est déjà partie. Vous vous êtes fuies trop tôt et il est trop tard pour vous retrouvez. Tu te sens mal Lou, perdue parce que ses mots tranche petit à petit la résistance que tu tentes de mettre en place. Des larmes roulent sur tes joues, dans un profond silence. Elle n'a pas le droit de te retenir comme elle le fait. Elle n'a pas le droit de dire tant de paroles dans le vent. Tu étais la ... Tu as tout gâché Gwen, t'étais mon idéale, mon âme soeur. Mais c'est trop tard, la réalité m'a rattrapé. Je peux pas te croire, je n'ai pas vaincu mon démon non. Je l'ai banni dans ma vie et en ce moment il essaye de revenir planter son étendard dans mon coeur, sauf que ca marche pas. J'ai plus de coeur, j'ai plus rien. Et si toi tu cherches à fuir la solitude qui t’accable ce n'est pas mon cas. La roue tourne, et là elle es ten train de t'écraser. Willow te fait ce que tu m'as fait, en léger, tu vas ressentir ce que j'ai ressenti mais... Mais non, c'est impossible que tu ressentes ma peine. Tu m'as détruite, et tu n'as pas le droit de revenir comme ça. Tu n'en as pas le droit. On est plus rien toi et moi et jamais, jamais, je ne veux redevenir quelque chose à tes yeux. " . Tes larmes coulent à flot dorénavant. La plaie que tu as enfoui au plus profond de toi se ré ouvre. Les points de sutures fait à la rache saute et déchire ton être. Un sillon salée creuse ton visage, et leur gout acide se pose sur tes lèvres. La vérité est sortie, tu ne veux plus la blesser ca ne sers à rien. Tu veux seulement qu'elle te laisse en paix. Qu'elle te laisse ressasser ce passé bienheureux plutôt que de voir ce présent de merde te ravager plus encore. J'm'en tape de qui est passé là. Mais arrêtes d'me mentir, putain. Regardes moi quand tu parles, ouvres les yeux, assumes quand tu m'mens ou non. Regardes moi dans les yeux pour la première fois. . Tu ouvres grand tes yeux pleins de larmes, ton maquillage de pute dégouline découvrant plus encore ton visage en miette. Le masque tombe. J'assumes, à ton tour d'assumer tes conneries. C'est trop tard. Ton sourire bien que faux était tout de même plus joli à voir que ton véritable visage. Tu t'essuie les yeux avec un vieux pull qui traîne sur ton lit. Ce même pull qu'elle avait laissé chez toi avant de partir. Mais c'est fini, c'est trop tard. On peut entendre l'assourdissant silence de la vérité qui s'impose à vous deux. C'est drôle, quand j'me fous de toi, tu cours, mais quand j'suis sincère, tu t'casses. Ouais, ma connasse comme tu dis, m'a lâchée. Et si j'reviens vers toi c'est parce que j'en ai envie, pas par pitié ou j'sais pas quoi. Pas de pitié, non. Juste la peur de la solitude. Comme d'habitude, pas d'amour non. Une peur qui la pousse dans les bras de n'importe qui. Tu te lèves, tu es lâche mais tu t'en moques. Tu veux partir et fuir son regard. Tu veux pouvoir t'effondrer pour de bon. Cependant, elle te retient. Tu baisses les yeux, tu ne veux pas supporter son regard, tu ne veux pas voir ce qui brillera dans ses yeux. Lou, tu m'as fais du mal quand j't'ai surprise avec la meuf, tu sais qu'on s'détruit malgré nous, pour se prouver qu'on existe l'une pour l'autre. Et jamais j'ai pu oublier ce qu'on a pu vivre, cette fusion qu'on avait. Toi et moi, c'est mieux qu'un putain d'rail de coke, c'est un putain de jeu dangereux qu'on aime jouer, à s'en écorcher le corps. J'te demande juste d'essayer d'me croire, pour une dernière fois. Une de ses mains se pose sur ta joue humide alors que son corps vient épouser tes courbes. Malgré ta perte importante de poids, ils s'unissent toujours aussi bien, comme deux pièces d'un même puzzle. Je ne veux pas être tienne juste parce que tu te sens seule. Toi et moi c'était beau, magnifique mais c'est fini. Je ne veux plus m'accrocher à quelque chose qui ne fonctionnera jamais. Notre punition sera d'essayer d'oublier l'inoubliable, ne complique pas la tâche je t'en prie.
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Pourquoi sonner le glas de notre relation alors qu'au fond de toi tu espères, Lou ? Pourquoi ton corps crie, pourquoi tes yeux te brûlent quand tu penses à moi ? Pourquoi t'es là, comme une loque qui fuit mon regard et qui se rattrape à une réalité qui peut changer si on s'en donne les moyens ? Pourquoi te cacher derrière une armure qui t'imposes une souffrance éternelle ? Tu dis m'avoir bannie de ta vie, mais si c'était réellement le cas, pourquoi es-tu là, pourquoi cherches-tu quand même à donner des explications, hormis le fait que je te retienne ? Je ne retiens pas tes mots pour toi, tu ne les retiens pas non plus. Tu vides ton sac, et je prends conscience du mal que j'ai pu te faire. Mieux vaut tard que jamais, j'assume mes tords. J'ai tout gâché, j'le sais, mais je t'implore mon pardon pour le mal que j'ai pu te faire. J'veux que tu m'laisses une chance de te prouver que c'est pas du vent, tout ca, que c'est pas juste des mots en l'air. Tu sais que j'ai peur de la solitude, mais la solitude je l'ai assez effacée dans les bras de meufs que j'rencontrais dans un bar, le temps d'une simple nuit. Toi j'te veux pas que pour une seule nuit. T'es mon point de repère, Lou. Depuis huit ans t'es mon putain de point de repère. Et j'suis sure que t'as toujours un coeur que t'as foutu dans sa petite boîte, au fond de ta poitrine, enfermé pour ne pas le sentir battre encore, parce que tu t'sens bien dans ton malheur. Mais on est pas rien, Lou. On est les amantes éternelles, on l'a toujours été, tu l'sais autant que moi. Tu pleures, comme à chaque fois qu'on s'retrouve. Trois fois qu'on s'retrouve, trois fois que tu chiales. On aime se déchirer, on aime intervenir aléatoirement dans la vie de l'autre pour lui faire vivre l'enfer. Tu sais que j'aime ton enfer, notre enfer. Notre passion, notre feu ardent qui brûle au fond de nos corps et au fond de nos âmes à chaque retrouvailles. J'assume mes conneries, mes maladresses, mais il n'est jamais trop tard Lou. Jamais trop tard pour pardonner, jamais trop tard pour recolorer notre histoire. J'reconnais mon vieux pull délavé par le temps, par les pleurs que tu as du lui faire subir, les nuits où tu m'imaginais avec elle, ces nuits où tu as dû la haïr autant qu'à moi, ces nuits où tu devais hurler ton désespoir au fond d'un verre de téquila de trop, ces nuits où tu pleurais en silence, où tu voulais tout oublier de ta vie. Et pourtant, malgré ca, c'est vers toi que je reviens. Et cette fois, c'est toi qui me rejette. Pourquoi tu fais ça, Lou ? Pourquoi t'imposer encore plus de souffrances loin de moi alors que je suis prête à revenir ? C'est pas des paroles en l'air, quand bien même j'ai peur de la solitude, j'aurai pu aller voir n'importe qui d'autre, mais c'est toi que j'ai voulu voir. J'veux pas t'croire quand tu dis que c'est fini Lou, tu l'sais autant que moi que notre histoire est un éternel recommencement. Laisses moi te montrer que c'est pas comme avant. Je pose mon front contre le tien, plongeant mon regard dans ton regard, m'imprégnant de ton souffle en t'offrant le mien en échange, effleurant tes lèvres, alors que les miennes brûlent. Ou prouves moi que c'est bien terminé... lançais-je dans un murmure désireux.
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J'ai tout gâché, j'le sais, mais je t'implore mon pardon pour le mal que j'ai pu te faire. J'veux que tu m'laisses une chance de te prouver que c'est pas du vent, tout ca, que c'est pas juste des mots en l'air. Tu sais que j'ai peur de la solitude, mais la solitude je l'ai assez effacée dans les bras de meufs que j'rencontrais dans un bar, le temps d'une simple nuit. Toi j'te veux pas que pour une seule nuit. T'es mon point de repère, Lou. Depuis huit ans t'es mon putain de point de repère. Et j'suis sure que t'as toujours un coeur que t'as foutu dans sa petite boîte, au fond de ta poitrine, enfermé pour ne pas le sentir battre encore, parce que tu t'sens bien dans ton malheur. Mais on est pas rien, Lou. On est les amantes éternelles, on l'a toujours été, tu l'sais autant que moi. Tu n'as pas envie de débattre avec elle, tu n'as plus envie de te battre pour une cause perdue. Pourquoi Gwen ne voit-elle pas que c'est voué à l'échec ? Votre jeu doit cesser, votre couple est condamné. Cela ne fonctionnera pas. Elle a effacé tout espoirs en étant avec Willow et rien ne réparera ça? Pas même sa bonne volonté ou ses promesses. Tes larmes finissent par se tarir. Tout comme ton coeur. Sec et dur, brisé en deux. Ce n'est pas mon pardon qui va réparer quoique ce soit. Je te le donne si ca peut t'apaiser mais cela ne change rien Gwen. Nous deux c'est fini depuis longtemps, depuis que tu es partie de L.A. me laissant seule là bas. Sauf que j'y ai cru pendant des années, à toi de t'en rendre compte maintenant. Trouve toi une gentille fille et laisse moi en paix. Sinon aucune de nous deux ne passera à autre chose. C'est déjà assez dur pour moi. Tu es fatiguée de jouer Lou. Votre jeu t'a épuisé totalement. Tellement que l'idée même de recommencer te tord l'estomac, que tu en trembles de peur. L'idée d'être dans l'incertitude constante, l'idée de peut-être la perdre encore... Tout à une fin, et il est temps d'accepter la votre. Tu renifles en t’écartant un peu d'elle. Cela ne sert à rien de réchauffer ton corps meurtri puisque bientôt il se retrouvera à nouveau glacé. J'assume mes conneries, mes maladresses, mais il n'est jamais trop tard Lou. Jamais trop tard pour pardonner, jamais trop tard pour recolorer notre histoire. Tu vois la vie en noir et blanc sans elle, et retrouver les couleurs te tentent bien sûr... Mais à quoi bon s'élever si c'est pour retomber ? A quoi bon s'aimer si c'est pour se haïr encore. Ne jamais dire jamais. Quelle connerie. Lou, tu le sais toi que seul les désespérés disent ça. N'es-tu pas désespérée ? Si, mais à un tel point que l'idée d'être sauver empire ta situation. Tu aimes être au fond du trou, au moins tu ne peux pas tomber plus bas encore. A quoi à quoi avoir des ailes si ce n'est pour voler ? Or toi, tu as été déchue de se droit. Tu n'as plus d'ailes. Elle te les as arraché en même temps que ton coeur, ta dignité et tout le reste. Même danser est devenu un supplice. Et on ferait quoi Gwen ? Dis moi ce qu'on ferait si ressortait ensemble ? On irait boire ensemble ? On se vautrait dans la débauche à deux ? J'ai pas envie de voir ça, j'ai pas envie d'assister à ça. Elle regarde ce pull, symbole si évident de votre relation. Ce pull autrefois si beau est devenu délavée par cet amour gâché, par cette haine insensée. Par tes longues nuits de pleures et par ces longues nuits de baises. Puant la clope. Et pourtant si doux au touchée, comme une piège. Une illusion cachant la réalité. Vous deux pouvez la voir cette putain de réalité et pourtant Gwen se borne à se cacher les yeux. Elle se borne à ne pas vouloir voir la vérité en face. C'est fini. Fini. Fini. C'est pas des paroles en l'air, quand bien même j'ai peur de la solitude, j'aurai pu aller voir n'importe qui d'autre, mais c'est toi que j'ai voulu voir. J'veux pas t'croire quand tu dis que c'est fini Lou, tu l'sais autant que moi que notre histoire est un éternel recommencement. Laisses moi te montrer que c'est pas comme avant. Tu la laisse poser son front contre le tien, tu laisses ses lèvres effleurer les tiennes. Tu es faible, trop faible pour la repousser. Tu crèves d'envie de te laisser aller, mais ta raison te hurle à quel point c'est stupide et à quel point tu as déjà souffert par sa faute. Ton coeur ne dis plus rien, il t'a abandonné comme elle. Il s'est barré, il est crevé. Dégonfle, pourri, brisé. Ton souffle caresse son visage alors que ta respiration devient lourde. Tes yeux ne quittent pas les siens alors que tu viens lui offrir un ultime baiser. Ou prouves moi que c'est bien terminé... Tu te recules, et déglutit. Tu dois le faire, alors tu le fais. C'est terminé Gwen, au revoir
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