Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLe hasard fait plutôt bien les choses • Kenaël - Page 4
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Le hasard fait plutôt bien les choses • Kenaël

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Je marchais la tête baissée, regardant mes pieds et repensant à toutes les choses que j'aurais voulus dire ou faire, mais j'avais agi autrement. Alors que j'avais quasiment parcouru la totalité du chemin inverse pour sortir du parc, une odeur de cigarettes arriva dans mes narines. Levant à peine mes yeux encore embués par les larmes, je vis le brun en face de moi. Alors que je lâchais un long soupir , espérant qu'on allait pas encore se prendre la tête, je vis qu'il avait encore son pétard entre les lèvres. Apparemment, il se rendit compte de ce détail au même moment que moi, vu qu'il le prit et le jeta par-terre avant de l'écraser, soufflant la fumée toujours présente dans sa bouche loin de moi. Les yeux dans les yeux, on voulait tous les deux parler, mais rien ne voulait sortir, alors il me prit dans ses bras. Je ne cherchais même pas à lutter, j'étais tellement bien contre lui, que je ne pouvais pas refuser une telle étreinte. D'une voix à peine audible, il me déclara qu'il était désolé. Il venait de s'excuser. Normalement,j'aurai été m'excuser la première, mais il venait de me prouver que je comptais quand même assez pour lui pour qu'il s'excuse. J'entourais alors mes bras autour de sa taille, et levais légèrement la tête afin de l'enfouir dans son cou. « C'était de ma faute... C'est à moi de m'excuser. » déclarais-je à mon tour dans un chuchotement, comme si le fait le parler plus fort allait tout relancer.
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/w Caerdydd & Kenaël
C'est alors que tu avais pris ton courage à deux mains pour rejoindre la belle, fallait arrêter tes conneries à un moment donné, tu avais essayé de parler mais tu sentais que tu allais sortir une boulette alors tu te contentais de la prendre dans tes bras et tu fus content de sentir ses bras t'entourer avant de sentir sa tête s'enfouir dans ton cou, tu la serrais assez fort avant de lui caresser tendrement les cheveux et sourire à l'entente de ses excuses. Mais non arrête, tu vas quand même pas t'excuser d'avoir touché mes cheveux non plus. disais-tu en étouffant un rire, cette fois-ci ta phrase était largement plus audible. En même temps, tu étais le fautif, tu avais commencé par la menacer de lui cracher dessus, puis par la décoiffer ensuite lui gueuler dessus pour finir par la menacer et tu avais failli la laisser partir, alors ouais, tu étais responsable de cette dispute et tu étais toujours responsable de vos prises de tête mais tu ne l'avais jamais assumé, même maintenant tu ne voudrais l'assumer et c'est tellement dur à supporter, à supporter un tel caractère si merdique. Tu avais tout d'un coup cette image de la belle dont les yeux étaient remplis de larmes et ce, à cause de toi, c'est alors que tu décidais de prendre le visage de la brunette entre tes mains, regardant ses petits yeux luisants, tu les regardais longuement avant de lui offrir un adorable sourire. Pleure pas ma belle... Lui disais-tu d'un ton rassurant pour éviter de la voir pleurer parce que tu savais que tu serais incapable de gérer la situation.
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Mes bras entourant sa taille, et ma tête toujours lovée dans son cou, je le sentis me serrer un peu plus fort contre lui. Je fermais doucement les yeux, profitant du moment présent, tandis qu'il me caressait doucement les cheveux. Il rigola après m'avoir dit que je ne devais pas m'excuser, que c'était de sa faute. Je ne répondis pas , car j'avais aussi ma part de responsabilité dans le dispute. Je n'avais pas arrêté de le taquiner, allant jusqu'à toucher son point sensible, et j'en avais parfaitement conscience. Mais c'était ça notre relation, c'était notre façon de nous aimer, c'était nous. J'ouvris de nouveau les yeux quand il prit mon visage entre ses mains, plongeant son regard dans le mien et me souriant, tout en me demandant de ne pas pleurer. Je lui fis un sourire, avant de poser mes mains sur les siennes quelques secondes, puis de passer mes index sous chacune de mes paupières inférieures afin d'effacer les petites larmes qui avaient envahie mes yeux, les rendant brillant. « Je pleure pas. Je vois pas du tout de quoi tu parles » et je lui refis un sourire, lui montrant que ça allait bien mieux. Après cela, je laissais mon regard se porter sur ses cheveux, qui étaient toujours en bataille malgré le fait qu'il avait essayé de les remettre en place nerveusement. Glissant tendrement mes mains dans sa chevelure, je commençais à essayer de les recoiffer. Après quelques minutes, je fis un pas en arrière admirant le résultat, lui rendant ses cheveux tel qu'ils étaient au début. Je sortis un petit miroir de mon sac et lui présentant en déclarant fièrement « T'es tout beau comme ça » et je lui fis un petit sourire attendant sa réaction.
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/w Caerdydd & Kenaël
Tu la regardais en souriant quand elle vint te faire croire qu'elle allait bien alors qu'elle venait d'effacer ses larmes... À moins que ce ne soit des larmes de joie et tu ne sais trop pourquoi elle en aurait coulé vu que la situation dans laquelle tu l'avais mise était loin d'être joyeuse, en même temps c'était très con de péter un câble à cause qu'elle se soit amusée à te décoiffer. Tu lui souriais, la regardant, suivant ses mains qui glissèrent dans tes cheveux, tu la laissais cette fois-ci faire, d'un sourire assez amusé. En même temps, elle avait largement le droit de te toucher les cheveux, soit pour te les coiffer soit pour les décoiffer, elle était beaucoup plus importante que des cheveux mais malheureusement, tu n'avais pas le comportement exact qu'il fallait avoir en son égard. Quand elle eut fini elle sorti un miroir de son sac, te le tendant, tu fus très amusé de la voir prendre aussi soin de toi et tu lui souriais tendrement. J'ai toujours été beau mon chou. Et c'est pour ça que tu m'aimes tant j'imagine. Disais-tu en rigolant avant de lui sourire, il fallait que tu lui montres ou plutôt que tu lui prouves que tu n'étais point quelqu'un de narcissique et qu'elle comptait tant pour toi. Décoiffes-les quand tu veux ma belle. Dis-tu en souriant, oui, là, tu étais sérieux, puis c'est pas comme si tu faisais fuir tous le monde avec les cheveux décoiffé même qu'ainsi, ça avait toujours son petit charme avec ce côté négligé que tu avais chaque matin et surtout chaque fois que tu étais en retard pour les cours. Enfin bref, tu regardais la belle en souriant avant de répliquer. En tout cas, merci ma belle, t'es adorable. La remerciais-tu de t'avoir arrangé ta petite coiffure, il fallait un jour ou l'autre que tu te rendes compte que tu ne méritais pas cette petite merveille vu qu'elle était le total opposé de toi et que tu n'avais pas de mal de la blesser parfois pour des raisons enfantines, alors oui, il fallait que tu te rendes comptes que tu ne la méritait absolument pas.
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J'admirais le résultat de mon travail. Bon, ok, le je l'admirais tout court. Il était tellement beau, coiffé, décoiffé, dans n'importe quelle situation. Quand il vit son reflet dans le miroir, il sembla satisfait de ses cheveux, ce qui me fit rigoler. Je continuais à rigoler quand il déclara qu'il était toujours beau, que c'était pour ça que je l'aimais tant. Je voulais lui répondre que je l'aimais parce qu'il était ce qu'il était. Un sale gosse caractériel, mais tellement parfait, son sale caractère faisait son charme, il avait son humour parfois nul, mais qui te rendait obligé de rigoler malgré tout. Finalement, je me contentais d'un « Hum, j'crois pas non » en lui tirant la langue. Après cela, il me donna le droit de le décoiffer quand je voulais, ce qui me fit lâcher un petit sourire, malgré les circonstances précédentes. Il me regardait en souriant, et je lui souriais aussi, quand il me remercia. La question que je me posais était, est-ce qu'il me remerciait pour ses cheveux, où parce que j'étais là? Mais il n'avait pas à me remercier, c'était normal, et vu comment je lui avais parlé avant de partir, il méritait bien un peu de ma gentillesse, et mon attention. « De rien, c'est normal chaton » et je lui fis un bisou sur la joue avant de lui prendre la main et de commencer à marcher.
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/w Caerdydd & Kenaël
Tu finissais par détacher ton regard pour le déposer sur la clope que tu avais précédemment écrasé quand tu avais à peine rejoint la brunette. C'est d'un soupir que tu montrais ton agacement y face à ce pauvre joint que tu n'as même pas eu le temps de finir. Tu m'as jamais laissé terminer toute une cigarette... Jamais. Oui voilà, on ne pouvait te changer, un râleur et un chieur à l'état pur, tu ne pouvais changer même si tu arrivais à rester mignon et adorable pendant quelques minutes mais jamais plus longtemps, oui parce que tu trouvais toujours quelque chose à redire et toujours quelque chose à critiquer. Voilà que maintenant tu allais te remettre à râler du fait que tu n'arrives jamais à finir tes cigarettes quand tu es en compagnie de la brunette, oui parce que la belle ne s'empêchait pas pour venir te faire ses jolies petits yeux et puis, sans ou avec la technique des yeux, tu savais pertinemment que tu ne devais fumer devant elle vu qu'elle avait rencontré de gros problèmes niveau drogue, cigarettes et alcool et tu ne voulais pas qu'elle resombre dans ce domaine là, donc tu étais bien obligé de laisser tomber ta cigarette quand tu la voyais surtout que tu considérais tes pétards comme une chose vital, tu respirais leurs fumées au lieu de l'air alors oui, elles étaient carrément vitales pour toi. Tu oubliais toute cette histoire quand tu sentis la main de la belle se glisser dans la tienne, tu baissais le regard sur ces dernières avant que tu ne te de tes entraîné par la belle qui avait déjà commencé sa marche. Tu décidais de ne rien dire et plutôt regarder d'un air interrogatif, tu n'étais pas du genre à tenir la main aux demoiselles pour vous mettre à vous balader tel deux tourtereaux... Ce n'était vraiment pas ton truc. Enfin bref, merci la chimie, pour une fois qu'elle te sert à quelque chose. Tu affichais un petit sourire plein de malice avant de lâcher doucement la main de la brunette pour porter cette dernière tel un sac à patate au-dessus de tes épaules. Tu allais refaire tout le trajet avec ce poids sur l'épaule pour un livre, oui un livre qui pourrait par la suite te coûter la vie vu que, connaissant la belle, elle allait sûrement demandé ou plutôt gueuler pour le récupérer alors autant le faire tout de suite surtout que ça t'avait sorti d'une situation assez gênante et délicate vu que tu ne savais pas quoi faire pour détacher vos mains puisque tout simplement ça te gênait et que tu ne pouvais le lui faire comprendre directement alors autant le faire dans les règles de l'art. Par pitié commence pas à gigoter, c'est assez difficile comme ça pour te porter alors en plus si tu te mets à bouger... Disais-tu rapidement avant que cette dernière ne se met à se débattre. Tu marchais alors dans le sens inverse pour rejoindre cet arbre où tu avais caché le livre de la demoiselle.
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Il avait fini par quitter mon regard pour le poser sur sa clope, me reprochant de ne jamais lui avoir laissé le temps d'en finir une. Je poussais un soupire d'agacement. J'avais l'impression qu'il ne comprenait jamais. Il ne comprendrait jamais que je faisais ça pour lui, que le connaissais très bien l'effet d'un pétard dans les poumons de son fumeur, le bien-être naissant à chaque nouveau contact entre les lèvres et la cigarette, l'impression de se déconnecter du monde pour en rejoindre un autre, bien meilleur. Il connaissait mon passé, du moins, une partie. Il savait mon ancien rapport avec la drogue, que je m'en étais durement sortie, mais il semblait ne pas comprendre pourquoi je voulais pas qu'il fume. Je ne voulais tellement pas qu'il plonge là dedans, qu'il plonge dans le cercle infernale de la drogue, te rendant totalement dépendant et incapable d'y résister. J'avais perdu des personnes qui m'étaient chers à cause de la drogue et depuis que j'étais arrivée ici, que j'avais reconstruis ma vie, je ne voulais plus laissé la drogue me prendre des personnes à qui je tenais. Des personnes comme lui. Bref, j'avais prit sa main, pour l'emmener vers l'arbre où nous étions afin de gentiment lui demander de récupérer mon livre. Le contact de ma main dans la sienne était quelques chose de nouveau, que je ne faisais jamais, et qui me rappelais quand j'étais avec Seth. Je n'avait prit la main que d'une seule autre personne avant de prendre celle du brun pour le mener à travers le parc, et c'était lui. Alors que je réfléchissais à toutes ces choses tout en avançant à travers le parc, la main de Kenaël quitta la mienne, ce qui me sorti de mes rêveries. Mais il ne me laissa pas le temps de lui lancer un regard interrogateur, car il me souleva directement dans les airs, m'installant sur son épaule, et me portant comme un sac de patate. Il me supplia de ne pas gigoter dans tous les sens car c'était déjà difficile de me porter. Pardon? Il insinuait que j'étais lourde là? « T'insinues que je suis lourde là? » Déclarais-je en prenant ton fachée alors que je me débattais gentiment, sans vraiment chercher à descendre, mais plutôt à le faire chier. J'essayais de me relever, appuyant mes bras contre son dos et voyant qu'on se dirigeait vers l’arbre où il avait coincé mon livre de chimie.
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/w Caerdydd & Kenaël
La brunette était loin d'être lourde, même qu'elle avait un poids plume mais le fait qu'elle de débat te dérangeait légèrement vu que tu te prenais quelque coups assez... Fort. Plus ou moins Répondais-tu à sa demande, continuant d'avancer d'un sourire amusé, oui tu savais que critiquer son poids était assez suicidaire. Mais elle ne devait se plaindre non plus vu qu'elle avait une magnifique vue sur ton derrière alors bon, ce n'était pas donné à tout le monde. Mais arrête ! Je vais me prendre un coup en pleine gueule si tu continues. Te plaignais-tu. Bref, tu marchais longuement, la belle sur ton épaule, tu savais trop ce qu'elle faisait dans ton dos vu que tu sentais ses mains se poser sur son dernier et son ventre quitter ton épaule avant ce dernier ne s'écrase assez fortement sur ton pauvre épaule, tu ne disais rien et la laissais se débattre avant d'arriver devant l'arbre où tu avais lancé son livre. Tu vas me broyer les épaules, je le sens... Déclarais-tu désespérément.
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Je continuais à me débattre sous le regard interloqué des personnes que nous croisions dans le parc. Cependant, cette position m'offrait une parfaire vue sur les fesses du brun, qui me paraissaient être encore un moyen de l'embêter.Je tendis alors mes bras vers le bas de son dos, et je commençais à taper sur ses deux petites fesses qui s'agitaient alternativement, à chaque pas qu'il faisait. Je devais surement ressemblait à une gamine de quatre ans dans cette position, mais je faisais tout mon possible pour occuper le trajet du mieux que je pouvais. La main de Kena qui tenait mes jambes nues m'empêchait de glisser, et, alors qu'on approchait de l'arbre où était caché mon livre de chimie, je l'entendis encore se plaindre que j'allais surement lui broyer une épaule. Je lâchais un petit rire accompagné d'un « Oh, pauvre petit chou! » Quelques mètres plus loin, il s'arrêta. Appuyant de nouveau mes mains sur son dos pour me lever je vis que l'on était arrivé à destination. J'agitais frénétiquement mes jambes lui donnant certainement un coup de pied dans la cuisse, ce qui provoqua la libération de mes membres inférieurs et me permettant de retrouver la terre ferme.
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/w Caerdydd & Kenaël
Et voilà qu'elle se met à taper sur tes fesses... Génial. Tu ne disais rien, essayant d'éviter de te prendre un coups en pleine gueule par ses jambes, tu continuais de marcher jusqu'au moment où tu fus prêt de l'arbre qui logeait le livre de la brunette qui, ne sait-on toujours pas ce qu'elle foutait derrière, sûrement essayait-elle d'avoir les pieds sur terre et tu n'hésitais pas à l'aider pour descendre de ton épaule qui fut saccagée, oui, saccagée était le mot exact pour définir a quel point elle avait gigoté tel un poisson hors de l'eau et il faut avouer qu'elle a réellement massacré ton épaule, tu te massais l'épaule en la regardant avant de lever tes yeux vers l'arbre, cherchant ce fameux livre des yeux. Tu regardais la brunette depité, oui parce qu'après t'avoir gentiment broyé une épaule, elle allait te massacrer les deux en même temps. Vu que je ne fais pas deux mètres de haut, tu vas devoir monter... Lui lançais-tu assez difficilement en lui indiquant tes épaules du regard, tu te retournais après cela pour être de dos à la belle. Oh pitié... Qu'est-ce qu'il m'a pris de le balancer si haut... Te plaignais-tu déjà avant de t'accroupir, tu voyais la mort s'approcher à grands pas... Tu attendais que cette dernière se décide de monter et tu préférais plutôt jouer sur la sécurité, alors tu décidais de la menacer gentiment. Tu vas surtout arrêter de gigoter sinon tu iras rejoindre ton petit livre dans l'arbre ma belle. Ce n'était pas très convaincant vu qu'elle savait que tu ne pouvais faire une chose pareille, mais on ne sait jamais de quoi tu pourrais être capable, tu étais tellement imprévisible...
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