Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[Prue & Drew] I've something important to tell you [HOT]
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[Prue & Drew] I've something important to tell you [HOT]

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••• I’VE SOMETHING IMPORTANT TO TELL •••



Dunster House (Harvard U.), Cambridge (MA)
Prudence & Andrew






Vendredi soir… D’habitude c’était le soir que Drew préférait de la semaine parce qu’il savait qu’il allait pouvoir faire la fête sans retenue contrairement aux autres de la semaine, étant donné que le lendemain, il avait cours. Quoique souvent lorsqu’il faisait un peu la fête en semaine, il séchait certains cours afin de se rendre à la piscine olympique du Malkin Athletics Center et ce afin de pouvoir décuver un tant soit peu tout ce qu’il avait pu boire. Eh oui, le jeune homme avait la naissance pour pouvoir tout éliminer mais cela n’était guère suffisant généralement, néanmoins cela lui permettait d’arriver plus sereinement à suivre un de ses cours importants. Enfin bref, oui ce soir allait the night mais il se trouvait que le jeune homme ne semblait guère au mieux de sa forme – non pas qu’il soit malade ou autre mais quelque chose le tracassait au maximum – et le pire, c’était que cela datait d’Hawaï. Cela ne faisait que quatre jours qu’ils étaient revenus de ce super séjour mais le moral du jeune Comte était redescendu comme une flèche dès qu’ils étaient montés dans l’avion qui allait les ramener à la réalité… Il avait réussi à mieux s’entendre avec Jelena mais une chose l’avait tracassé. Il avait même demandé à voyager en classe affaire et ce afin de l’éviter… Oui il voulait éviter Prudence parce que depuis la fameuse soirée Vesuvius où il s’était comporté comme un petit ami jaloux, refusant de ce fait qu’elle soit draguée par d’autres mecs et la gardant jalousement pour lui-même, la jeune femme éveillait en lui des choses qui lui étaient complètement inconnues jusqu’à présent et qui le mettaient totalement mal à l’aise. Et sa discussion avec la meilleure amie de la jeune femme le lendemain, pendant la visite de la Jungle, avait accentué ce sentiment étrange qu’il ressentait désormais. Mais il y avait une chose aussi qui le tracassait, c’était la nouvelle encore toute récente de sa paternité… Ce secret était lourd à porter et il ne savait plus maintenant où il en était… Voilà donc dans quel état il se trouvait en ce vendredi soir et il hésitait entre sortir ou rester cloîtré dans sa chambre à la Winthrop House. Non il fallait qu’il fasse quelque chose pour oublier qu’il venait de passer une semaine légèrement infernale… Il se décida donc à se faire une séance de ciné tout seul afin d’être seul et tranquille. Il se doucha en hâte puis s’habilla tout aussi vite avant de prendre les clés de sa voiture. Il monta dans son Acura, ouvrit son IPhone afin de mettre de la musique mais il s’arrêta dans son geste en voyant sa nouvelle photo en fond d’écran… WTF ?! Lui qui faisait tout pour l’oublier… Elle restait dans ses pensées… Il inspira longuement avant d’allumer le contact et partit en trombe mais il ralentit lorsqu’il passa à proximité de la Dunster House… Il fallait qu’il s’arrête et qu’il aille voir Prue : il fallait qu’il lui dise son secret mais également ce qu’il ressent. De ce fait, il gara sa voiture puis en sortit d’un pas conquérant. Il croisa une jeune femme de la DH, il lui demanda si Prudence était là et s’elle pouvait aller lui demander de venir le voir. La jeune femme sourit et elle partit dans la maison. Drew attendit tranquillement adossé à sa voiture.
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Vêtue d’une jupe plissé noir très courte, de bas noir arrivant jusqu’aux genoux et d’un top couleur rubis, je me regarde dans le miroir de ma chambre. Ofélia était retourné en Italie et ma chambre me paraissait bien vide sans elle. Ce soir, je devais aller à une soirée organisé par un étudiant de septième année. Le thème de la soirée se référençait aux années 90, ce qui justifiait ma tenue. Les cheveux négligemment attachés, quelques mèches rebelles s’échappaient de ma queue de cheval, ondulant sur mon cou dénudé. Je n’avais pas spécialement envie d’aller à cette soirée, mais me changer les idées ne me feraient pas de mal, n’est-ce pas ? Depuis Hawaï, je n’avais pas revue Andrew et notre dernière entrevue, m’avait laissé perplexe, nourrissant de nouveaux doutes. Après ce qui c’était passé, je pensais qu’il allait faire comme si rien ne c’était passé, mais il n’en fit rien. D’ailleurs, je ne lui en tenais pas rigueur. Il c’était sans doute rendu compte de l’énormité de son geste. Je faisais ici, référence à sa soudaine jalousie durant la soirée Vesuvius. Enfin, je ne préférais pas y penser tant cela semblait irréaliste. Mettant mes chaussures à talon, une de mes sœurs de confrérie, apparaissait dans l’entrebâillement de la porte. Elle disait avoir vu un jeune homme qui demandait après moi dehors. Arquant un sourcil, mon esprit commençait déjà à se demander qui pouvait bien venir me voir à cette heure-ci. D’un pas souple, je descendais les escaliers pour sortir dehors. Poussant la porte d’entrée, je fus surprise de découvrir la vision d’Andrew, adossé à sa voiture de sport luxueuse. Sa visite plutôt inattendue me laissait dubitative. Les traits de son visage étaient fermés, ne reflétant que le vide. Il me semblait être déjà loin, quelque part où je ne pourrais aller. M’aventurant près de lui, je descendais les marches du perron pour arriver à sa hauteur, tout en laissant une distance entre nous deux. Le voir provoquait une étrange sensation au creux de mon bas ventre. Passant outre, j’affichais mon plus beau sourire, me pavanant de ce même masque bourgeois pour cacher les émotions qui assaillaient mon esprit. « Bonsoir étranger » disais-je d’une voix profondément sucré et chaude.
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Dunster House (Harvard U.), Cambridge (MA)
Prudence & Andrew






Mais que faisait-il là ? Devant la maison des Dunsters. ? Andrew se le demandait de plus en plus à mesure que les minutes passaient et qu’il ne voyait toujours personne arriver, pas même la jeune femme à laquelle il avait demandé si elle voulait bien aller voir si Prudence était là ce soir ou non et que si elle était présente, il aimerait bien la voir afin de lui parler. Ainsi donc, il souhaitait parler à la jeune femme un vendredi soir… Le fameux vendredi soir où les gens sensés partaient généralement faire la fête jusqu’à des heures pas possibles et finir torchon carpette comme il sied à des jeunes de son âge mais au lieu de ça, lui, il avait décidé de se faire un cinéma tout seul – drôle d’idée tout de même – et avant qu’il ne puisse sortir du campus, il avait décidé de s’arrêter à la Dunster House… Il fallait vraiment qu’il s’arrête parce qu’il avait pris d’un coup la décision d’être franc et honnête avec Prudence : la jeune femme ne cessait d’occuper son esprit depuis leur retour d’Hawaï comme s’il devenait obsédé par elle. C’était bien la première fois qu’il se comportait de la sorte pour une fille mais Prue n’était pas vraiment une fille comme les autres... Elle était unique et il comprenait maintenant pourquoi il avait fait sa petite crise de jalousie lors de la soirée Vesuvius, c’était parce qu’il était bien plus attaché à la jeune femme qu’il ne voulait l’admettre et cela le mettait dans un véritable état d’embarras total. Et plus il pensait à elle, plus l’image de sa fille Aliénor se superposait à la jeune femme aussi, comme s’il ne pouvait pas détacher son esprit de ces deux personnes qui occupaient ses pensées les plus belles ou même les plus sombres… Oh purée ! Par les sous-vêtements extra larges d’Henry VIII ! Il devrait se barrer en vitesse, faire comme si de rien n’était ! Mais non, il ne se dégonflerait pas, il était là devant la Dunster House afin de parler à Prue et il allait le faire quoiqu’il arrive… Il était un Kenworth et la devise familiale était : « La vie est dure, mais les Kenworth le sont encore plus ». Il la répéta plusieurs fois dans la tête, les yeux fermés. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il la vit enfin. Son ventre fit une cabriole, et imperceptiblement, il se mit à trembler un peu mais il se ressaisit. Il prit une posture digne de sa réputation mais il resta tout de même à sa place… Alors qu’elle lui disait bonsoir de sa belle voix sucrée et chaude, il dut réprimer l’envie de se jeter sur elle et de l’embrasser avec fougue, il répondit posément : « Salut très chère. Tu es très en beauté ce soir. Je ne te dérange pas trop j’espère ? »

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Vêtue comme une vraie jeune femme des années quatre-vingt-dix, je fus interrompue dans la contemplation de ma tenue, par une de mes sœurs de confrérie. Elle m’annonçait la visite d’un jeune homme. C’est donc avec souplesse que j’avais descendu les escaliers en direction de la porte d’entrée. Sortant dehors, je fus surpris de découvrir Andrew. Que faisait-il donc ici et à cette heure-ci ? Généralement, il partait en soirée avec ses amis, du moins, je présumais. Imaginez ma consternation, lorsque je le vis sur le pas de ma porte. Un pas après l’autre, je me rapprochais de lui de ma démarche gracieuse, le saluant à ma façon. Du mieux que je le pouvais, je tâchais d’ignorer les émotions nouvelles qui submergeaient mon être. Progressivement, je redevenais l’éternelle joueuse sans attache. « Salut très chère. Tu es très en beauté ce soir. Je ne te dérange pas trop j’espère ? » J’acceptais son compliment avec un demi sourire. « Pas vraiment » Je ne justifiais pas sur ma légère tenue, ne trouvant cela pas important. De plus, je ne devais rien à personne. Me rapprochant de lui, j’effleurais son genou en passant un peu trop près de lui. D’une main, je caressais la carrosserie impeccable de sa voiture de sport. M’arrêtant soudainement, je tournais mon visage vers Andrew, m’adossant –sans lui demander la permission- sur sa voiture. « Et toi, tu ne devrais pas être de sortie ? » demandais-je avec un profond détachement. Dans le fond, cela ne me faisait rien. J’entendais par-là, que nous n’étions pas ensemble et qu’il pouvait faire ce qu’il voulait. D’ailleurs, cela en avait toujours été ainsi. Je ne supportais pas que l’on me mette une laisse autour du cou et de même pour lui. Voilà pourquoi, l’entente était si parfaite entre nous. Remettant une mèche rebelle derrière une de mes oreilles, j’observais du coin de l’œil, l’apparence parfaite du jeune homme. Les traits de son visage étaient parfaitement dessiné, je pouvais même suivre le parcourt de sa mâchoire, son nez légèrement aquilin, accentuait ses traits dessinés, ce qui lui donnait une allure de dirigeant. Autant le dire, Drew avait presque toutes les qualités requises pour me plaire. Je disais presque, car personne n’est parfait. De plus, je n’avais pas passé suffisamment de temps avec lui pour découvrir tous ses défauts. Même s’il était avant tout, un ami d’enfance. Tout le monde changeait et faisait évoluer leur caractère inconsciemment.
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Dunster House (Harvard U.), Cambridge (MA)
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Lorsqu’elle était descendue les marches du perron de la Dunster House, Drew n’avait pu s’empêcher de rester bouche bée à la vue de la jeune femme, elle était si belle dans sa tenue de jeune femme des années quatre-vingt dix. Une partie de son âme lui disait de s’en aller parce que s’il faisait ce qu’il avait prévu de faire en venant ce soir, il aurait certainement du mal à s’en remettre un jour mais sa raison lui dictait de bien rester là à affronter cette toute nouvelle situation pour lui. Eh oui, c’était vraiment la première fois qu’il vivait un moment pareil et il avait un tant soit peu de trac comme lorsqu’il avait participé à ses jeux olympiques chez les jeunes… Mais ce trac qu’il ressentait actuellement était bien différent de celui qu’il ressentait lorsqu’il avait une compétition de natation : c’était bien plus difficile à supporter ! Néanmoins, il allait tenir bon comme lui dictait sa raison et ce parce qu’il avait en lui la fierté des Kenworth, mais aussi parce qu’il n’était pas un lâche et quoiqu’il arrivait, il allait parler à Prudence de tout ce qu’il se passait une bonne fois pour toute… Elle lui avait dit bonsoir avec sa belle voix qui le faisait frissonner de désir à chaque fois, il avait répondu à son salut tout en la complimentant sur sa tenue du soir puis il lui avait demandé s’il ne la dérangeait pas trop. Elle lui répondit un petit pas vraiment avec un demi-sourire puis elle s’était rapprochée de lui, effleurant au passage son genou ce qui le fit raidir. La barbe de Merlin ! Même lorsqu’elle le touchait à peine, il avait une telle réaction ? Il devait être drôlement atteint en fin de compte ! Il la regarda tranquillement, luttant contre ses émotions mais il n’en laissait rien paraître sur son beau visage ; il la dévisageait silencieusement alors qu’elle s’était mise à caresser doucement la carrosserie de sa rutilante Acura… Cela donnait des images très coquines dans l’esprit de Drew et inconsciemment, il laissa paraître sur son visage un petit sourire. « Elle est belle, n’est-ce pas ? Cela te dit de faire un tour dedans avec moi ? » Avait-il dit en souriant. Elle s’arrêta de caresser la voiture afin de s’adosser dessus pour se tourner vers lui, et elle lui demanda s’il devait être de sortie. Il la regarda intensivement plongeant son regard bleuté dans les prunelles verdoyantes de Prue, elle était si proche et il pourrait faire un petit mouvement pour la prendre dans ses bras… « J’étais sur le chemin pour partir au cinéma mais en passant devant la Dunster House, je me suis arrêté… Pour te voir ! ». L’heure des révélations avait-elle sonnée ?
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Il n’était pas rare de voir des jeunes femmes appréciés la beauté des voitures. Je faisais partie de cette catégorie, surtout lorsque cela comprenait de très belle voiture sportive. Personnellement, j’avais opté pour une Audi R8, mais il n’était pas rare que je me fasse conduire par un chauffeur. C’était plus prudent, surtout lorsque je rentrais de soirées. Du bout des doigts, j’avais caressé sa voiture, poursuivant le miroitement du soleil sur la carrosserie. « Elle est belle, n’est-ce pas ? Cela te dit de faire un tour dedans avec moi ? » Etait-ce des avances ? Continuant de sourire, je m’étais contenté de sourire, avant de m’adosser contre sa voiture. Ainsi, j’en profitais pour lui demander ce qu’il faisait ici. Le connaissant, il serait surement partie en soirée, alors pourquoi venir ici ? Surtout, que la maison des Dunster n’avait rien d’attrayant. Ses yeux bleutés me fixaient avec intensité, essayant de ne me déstabilisé. Seulement, cette fois, je refusais de me laisser submerger par son hypnotisant regard. « J’étais sur le chemin pour partir au cinéma mais en passant devant la Dunster House, je me suis arrêté… Pour te voir ! ». Me voir ? Pourquoi éprouver cette soudaine envie ? Je savais bien que l’on se tournait autours, mais souvent, on se croisait au détour d’une soirée sans le vouloir vraiment. A une époque, on se voyait plus souvent, mais cela était différent. Comme je le disais, ce n’était pas la même époque. Maintenant que je le regardais plus attentivement, il me semblait être légèrement différent, comme s’il était accablé par la nervosité. La gorge soudainement sèche, je mis du temps à reprendre la parole. « J’aimerais que tu me montre ce que t’as voiture à dans le ventre » Je parlais d’un ton calme et posé, mais à l’intérieur, la panique envahissait mon être, s’enracinant profondément en moi. Je repassais devant lui, mais en évitant soigneusement de le toucher. Je ne serais dire quoi, mais je présentais quelque chose. Une chose qui me ferait surement peur. Or, je ne voulais pas penser à cette stupide idée. Après tout, je me faisais peut-être des films. Attendant près de la portière du passager de devant, je fis un mouvement qui remontait un peu plus ma jupe déjà courte. Inconsciemment, je tentais de détourner son attention sur ce qui se passait ici et non dans sa tête. D’une certaine façon, je tâchais de faire taire une peur irrationnelle qui prenait naissance en moi. « Le cinéma c’est un peu trop calme pour toi, non ? » Ma voix pointée d’ironie, je souriais, tout en dévoilant des dents blanches.
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Dunster House (Harvard U.), Cambridge (MA)
Prudence & Andrew






Prudence le faisait craquer c’était sûr et certain maintenant et il y avait véritablement quelque chose entre eux, était-ce parce qu’ils se connaissaient depuis tant de temps ? Qu’ils étaient si parfaitement assortis ensemble ? Non il y avait autre chose : il y avait une étincelle entre eux, une force invisible qui les attirait inconsciemment l’un vers l’autre… Cela s’était légèrement révélé depuis leurs retrouvailles quelques semaines avant leur séjour à Hawaï. Vous vous souvenez de ce fameux soir dans ce bar dansant huppé de l’Inman Square à Cambridge (MA) ? Quelque chose était réellement en train de naître en eux ou bien ça existait depuis longtemps mais que cette fameuse chose avait finalement décidé de passer à l’action afin de les réveiller et qu’ils s’en rendent compte… Le jeune homme avait commencé à comprendre que quelque chose avait changé dans son lien unique avec Prue mais il s’était contenté d’ignorer l’appel de sa raison qui lui disait qu’il fallait qu’il fasse quelque chose concernant cette histoire. Je crois bien qu’il avait écouté sa raison, il ne serait pas aussi déstabilisé à cause de sa fameuse scène de jalousie lors de la première soirée à Hawaï et il serait mieux préparé pour affronter la jeune femme ce soir alors qu’il se trouvait en sa compagnie devant la Dunster House. Compagnie qu’il avait lui-même réclamée parce qu’il avait besoin de lui parler mais plus les minutes défilaient, plus il se demandait si c’était une si bonne idée que cela en fin de compte… Elle était en train de le rendre encore plus nerveux qu’il ne l’était déjà et en plus il était en train de brûler de désir aussi rien qu’en la voyant caresser de la sorte sa voiture… Il avait tant envie qu’elle le caresse de la même façon et maintenant qu’elle était adossée contre la voiture, il avait répondu à sa question en lui disant qu’il s’était arrêté à la Dunster House parce qu’il voulait la voir… Ce qui était vrai d’ailleurs ! Il attendait qu’elle réponde… Elle mit un temps pour répondre qu’elle aimerait qu’il lui montre ce que l’Acura avait dans le ventre. Drew ne put s’empêcher de sourire mais il avait senti une certaine panique dans sa voix posée, même si cela était infime – mais le jeune homme avait appris à étudier ses interlocuteurs, il y avait des signes qui ne trompaient pas. L’analyse de son interlocuteur était une méthode très efficace dans la monde des affaires – il répondit d’une voix calme : « ça sera un grand honneur pour moi très chère ! Allons-y ! » et alors qu’elle se mettait devant la portière côté passager, elle remonta légèrement sa jupe. Il déglutit parce que cela accentuait le désir qu’il éprouvait déjà à l’heure qu’il était et il mit quelques secondes à tilter qu’elle venait de lui poser une nouvelle question. « Je crois que j’en ai un peu besoin en ce moment… » avait-il marmonné alors qu’il ouvrait sa portière… Reportant son attention sur elle, il lui rendit son sourire alors qu’ils s’installaient dans la voiture, puis une fois qu’ils s’étaient retrouvés dans l’habitacle de l’Acura NSX, il mit le contact. Il se tourna vers elle en demandant en souriant légèrement : « Où veux-tu qu’on aille ? »

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Attendant près de la voiture, j’observais Andrew à la recherche de ce qu’il le mettait dans ce drôle d’état. Plusieurs secondes s’écoulèrent avant qu’il ne me réponde. « ça sera un grand honneur pour moi très chère ! Allons-y ! » Je n’en attendais pas moins de lui. Esquissant un léger sourire, j’entrais dans la voiture, refermant la portière d’un claquement sec. L’habitacle était imprégné de son parfum et j’en humais chaque particule. C’était une manière de me rappeler de ce moment et de ce qu’il me faisait éprouver. A ses côtés, je ne me sentais pas aussi sûr de moi, du moins, pas de la même façon, que si j’étais avec un autre homme. Il y avait quelque chose chez lui, qui me déstabilisait. Avec lui, je perdais pied comme flottant à la surface de l’atmosphère d’une manière indécise. « Je crois que j’en ai un peu besoin en ce moment… » marmonnait-il, alors qu’il venait de me suivre à l’intérieur. Pourquoi disait-il cela ? Le voir ainsi parlé, m’alertait d’un changement de comportement. Que ce passait-il pour qu’il reconnaisse ses émotions ouvertement ? Le vrombissement du moteur, m’arrachait brutalement de mes pensées. Reprenant constance, mes yeux chassèrent cette lueur pensive de mon regard, d’un clignement. « Où veux-tu qu’on aille ? » La question d’Andrew tranchait l’atmosphère lourde de la voiture, me permettant de penser à autre chose et de ne pas me perdre dans mes pensées les plus profondes. Tournant mon visage vers lui, je posais une main sur sa cuisse musclé, tout en glissant quelques mots. « Surprends-moi. C’est toi le chef. » Un sourire malicieux prenait place sur mes lèvres, tandis que je profitais de ce contact pour me sentir plus proche. C’était plus fort que moi, j’avais besoin de le sentir. A cet instant, une brève image de nos retrouvailles surgissait dans ma mémoire. Sans aucun esprit de compétition, je lui avais demandé de me prendre dans ses bras. Pour une raison qui m’échappait, son étreinte m’avait permis de me sentir mieux. Il avait réussis ce qu’aucun homme ne pouvait faire : me réconforter. Battant légèrement des cils, je retirais ma main de sa cuisse, tout en détournant mon regard. Le fixant sur le ciel, je pouvais voir le coucher de soleil s’assombrir. Bientôt il ferait nuit. Je devrais être à cette fameuse soirée sur le thème des années quatre-vingt-dix, mais je n’en avais pas envie. Pour l’instant, seul m’importait de savoir ce qu’il lui arrivait et cela même si, pour une raison que j’ignorais, me terrifiais. « Dit moi, pourquoi est-ce que tu as besoin de calme. Il y a un truc qui te tracasse ? » Je n’avais pas l’habitude de ce genre d’échange avec lui, mais depuis quelques temps, nous nous étions rapprochés et notre relation avait évolué. Je ne savais pas encore à quel stade, mais cela était plutôt curieux. Alors, autant franchir une autre limite, non ?
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Dunster House (Harvard U.), Cambridge (MA)
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Après quelques minutes à parler contre la voiture, Drew avait finalement proposé qu’ils entrent dans la voiture afin qu’ils puissent faire leur petit tour qu’il avait promis. Et par la même occasion il lui avait expliqué qu’il avait besoin de calme en ce moment… Depuis c’était le silence complet dans la voiture… Se retrouver ainsi tous les deux dans l’habitacle de sa magnifique voiture de sport, cela ressemblait un véritablement moment intime non ? Drew se le demandait tout en regardant sa compagne. Et dire qu’il souhaitait au début de la soirée, se rendre au cinéma afin de se poser tranquillement devant un film le temps d’avoir les idées complètement déconnectées de la réalité et ainsi il aurait pu s’évader un peu parce que depuis son retour d’Hawaï, il semblait s’enliser dans ses pensées les plus sombres… Il ne cessait de penser à deux personnes en particulier, en l’occurrence Aliénor sa fille de quinze mois dont il venait d’apprendre l’existence. Cette nouvelle avait été une bombe sur sa vie tout de même, il ne s’y attendait tellement pas parce qu’il faisait toujours en sorte de sortir couvert lorsqu’il devait coucher avec une fille même avec celle qui était la mère d’Aliénor… Evanna Xander ! Drew la haïssait pour lui avoir fait cet affront parce que maintenant sa vie était en suspens et elle changerait radicalement, compte tenu de sa future décision… Mais non il n’était pas prêt et il l’était encore moins au jour d’aujourd’hui, bien au contraire. Il était totalement perdu, il ne savait vraiment plus quoi faire, quoi dire… Et ce qui avait accentué ce sentiment d’être tant perdu, c’était la personne qui se trouvait à ses côtés dans sa voiture… Prudence… Il avait mis le contact de la voiture et aussitôt le vrombissement du moteur surpuissant de la NSX s’était fait entendre. Dieu qu’il aimait sentir la puissance de sa voiture au démarrage ! Elle mit sa main sur sa cuisse – geste qui accentua encore plus le désir qu’il éprouvait déjà et qui était déjà aussi puissant qu’un petit incendie de forêt, si elle continuait ainsi, il ne répondrait plus de lui – et ponctuant son geste, elle lui demanda de la surprendre parce que c’était lui le chef. Il sourit jusqu’aux oreilles avant d’enclencher une vitesse et la voiture partit en trombe. Ils ne mirent quelques secondes pour atteindre la sortie de l’Université où il salua d’un signe de tête le gardien du jour, puis il engagea la voiture dans la circulation… Tout en conduisant, il reporta son attention sur elle. Sa situation était parfaite en fait ! Il avait une superbe voiture, une cavalière des plus sexy et il avait du fric à gogo : le rêve de tout mec en gros ! Elle retira sa main de sa cuisse tandis qu’elle lui demandait ce qui le tracassait et pourquoi il avait besoin de calme. Il ne répondit pas de suite parce qu’il venait de doubler des voitures un trop lentes à son goût (heureusement que c’était une quatre voies la route) puis une fois qu’il reprit une allure normale, il reporta son attention sur elle afin de répondre d’une voix calme : « Toi… Je n’arrête pas de penser à toi et à ce qu’il s’était passé pendant la première soirée à Hawaï… »

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Nous venions d’entrer dans sa voiture, lorsque je sentis l’habitacle se chargé d’une électricité soudaine. Il y avait quelque chose qui m’attirait irrémédiablement vers lui. C’est pourquoi, je ne pus m’empêcher de poser ma main sur sa cuisse durant un court instant. Ses muscles c’étaient contractés d’une délicieuse façon, me laissant comprendre quel effet je lui faisais. Alors, qu’il me demandait où je souhaitais aller, je lui répondais qu’il devait me surprendre. Puis, comme si ce geste n’avait jamais existé, je retirais ma main de sa cuisse, détournant par la même occasion mon regard. La voiture vrombissait sous l’effort de l’accélérateur. Aussitôt, je me sentis envahis par l’adrénaline. Elle roulait vite, étalant toute sa puissance. Observant le ciel s’assombrir au-dehors, je demandais clairement à Andrew ce qui le tracassait. Nous n’avions pas pour habitude de parler de ce genre de choses, mais le lien qui nous unissait avait clairement évolué et cela même, si je me refusais à y croire. Néanmoins, il était mise en évidence, nous rappelant la teneur de notre lien si fragile soit-il. Je devais avouer, que cela me faisait atrocement peur et que je tentais de l’ignorer du mieux que je le pouvais. S’ensuivit un long silence, emplis de concentration de la part de mon interlocuteur. Attendant une réponse de sa part, j’observais le mouvement fluide de sa voiture, qui se mouvait avec perfection entre les grosses berlines. Passant distraitement un doigt dans mes cheveux, je ne m’attendais plus à aucune réponse, lorsqu’il brisait le silence : « Toi… Je n’arrête pas de penser à toi et à ce qu’il s’était passé pendant la première soirée à Hawaï… » Durant un instant, je crus défaillir, ne sentant plus aucun mouvement autours de moi comme si le temps c’était arrêter. Mon souffle restait coincé dans ma poitrine, alors que je n’osais me tourner vers lui. Je me rappelais parfaitement de cette soirée. Sans aucune raison, il c’était montré jaloux envers d’autres hommes. Chose qu’il n’avait jamais faite auparavant. De là, quelque chose d’étrange c’était passé entre nous. Un moment insoupçonné et d’une profonde délicatesse. Depuis ce soir-là, il avait réussis à semer un doute au fond de moi, dépoussiérant d’ancienne sensation qui jusque-là, m’avait paru inoffensive et sans importance. Soudain, j’eue le besoin de sortir d’ici et de respirer. Je savais que ce n’était que de simple mot, mais de sa part, cela équivalait à une sorte de déclaration ou alors, me faisais-je des films ? Reprenant mon calme, j’inspirais un bon coup, avant de répondre. « C’était une bonne soirée… » disais-je avec un sourire qui se voulait confiant. « Ça faisait longtemps que l’on ne c’était pas amusé comme ça, étant donné que la dernière fois au club, nous avons été interrompue… » J’essayais de trouver des excuses, mais je me voilais la face.
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