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Justin & Tamarafiche par ©century sex« Donc t'es en train de me dire que même si on était restés ensemble, ton père t'aurait demandé d'épouser ce gars ? » Non mon père n'irait pas jusqu'à briser le bonheur de sa fille pour le sien, s'il avait décidé cela, c'était parce que j'étais célibataire et qu'il avait trouvé une bonne occasion pour mettre ses plans à exécutions, mais il n'irait pas vraiment jusqu'à priver sa fille de son bonheur si c'était le cas. « Non, bien sûre que non, il n'irait pas jusqu'à briser mon bonheur et tant bien même qu'une mouche l'aurait piqué pour décider de cela malgré qu'on était ensemble, t'crois que je l'aurais laissé faire ?. Jamais. » Et là c'était encore plus awkward de le rassurer à ce propos alors que je ne connaissais pas à l'époque, l'ampleur de mes sentiments à son égard. Quand je l'avais conseillé à propos de son père, j'avais senti un regard à la fois triste et sombre émaner de son visage. Je ne savais pas ce qui avait pu se passer avec son père, du moins peut-être que la moi d'avant le savait, mais là non, j'en avais aucune idée et je ne voulais pas insister si parler de son père, le rendait ainsi. « Ouais, c'est compliqué. J'aurais jamais dû m'impliquer dans une histoire de jumelles. » J'accompagnais ses rires, car je comprenais... les histoires de jumelles ça craint et ce n'est pas de tout repos. Je posais une main sur ma bouche pour étouffer mes rires, mais j'espérais tout de même qu'il s'en sorte. « Il n'est jamais trop tard, t'as encore le temps de monter dans une fusée et d'aller sur Saturne ou Jupiter ou n'importe ! Ouai, carrément changer de planète t'vois ! Le nouveau Armstrong alias Justin !. » Rajoutais-je en tapotant doucement son épaule et stoppant petit à petit mon rire. Me rendant compte de mon geste, je baissais rapidement la main assez gênée, je ne pensais pas avoir ce genre de gestes tout naturels, comme ci on se connaissait depuis toujours, ah ouai, mais on se connait petite barge...quelle ironie du sort me direz-vous. Je me pinçais la lèvre inférieure levant la tête pour me rendre compte qu'on était apparemment arrivée, vu qu'il me guida à l'intérieur d'un immeuble. Je ne savais guerre ce que j'allais ressentir en regardant ces photos, c'est pourquoi j'avais le cœur qui s'était mis à battre à une vitesse lumière. J'avais comment dire...le trac.
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