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Jour 13
Heure : 21h30
Lieu : Sur la plage au lancer de lanterne
Contexte : Camille s'isole pour allumer sa lanterne quand Walter vient la saluer
Participants : Walter C. R.-Kovalevski & Camille L. Dickens
Lieu : Sur la plage au lancer de lanterne
Contexte : Camille s'isole pour allumer sa lanterne quand Walter vient la saluer
Participants : Walter C. R.-Kovalevski & Camille L. Dickens
Ça me rend dingue, ça me fout en l'air,
quand je sais que tu t'envoie en l'air
w/ Walter & Camille
quand je sais que tu t'envoie en l'air
w/ Walter & Camille
Camille n'avait pas grand chose à faire ce soir là, et c'est pour cette raison qu'elle s'était décidée à aller à la soirée organisée sur la plage, qui consistait à un lancer de lanternes en faisant un vœux et tout le tralala. A vrai dire, au moment où elle rejoignit les autres sur la plage, elle était plutôt d'humeur morose. Le spring break était bientôt terminé et dans quelques jours, ils seraient de retour à Cambridge pour reprendre les cours, et leur vie "normale". Il y avait aussi le fait qu'elle n'avait pas vu Walter depuis plusieurs jours - depuis le soir où elle avait finit dans sa chambre complètement droguée en fait - et qu'elle se détestait de voir qu'il lui manquait, elle détestait se rendre compte qu'elle n'arrivait tout simplement à ignorer cette sextape comme elle l'aurait fait avec n'importe quel mec. Elle s'en voulait un peu, aussi, d'être tombée si facilement dans les bras de Ricardo simplement pour se prouver qu'elle pouvait faire comme lui et aller coucher ailleurs. Elle s'énervait de voir que Demyan lui manquait, aussi, et que pour la première fois en six ans il avait été absent le jour de son anniversaire. Si Isaline était là, elle l'aurait frappée, puisque apparemment c'est ce qu'elle devait faire dès qu'elle pensait à son demi-frère. Se rapprochant du groupe, Camille saisit une lanterne, un bout de papier et un stylo, et marcha un peu plus loin, pour s'installer à l'écart dans le sable. Le ciel était totalement noir, et le lieu était faiblement éclairé, pour que les lanternes se voient un maximum. A peine assise, elle s'amusa à enfoncer ses pieds dans le sable froid, jouant avec les grains qui dégringolaient le long de sa cheville. Elle avait toujours aimé aller sur la plage le soir. Le bruits, les odeurs avaient ce don de l'apaiser. Débouchant le feutre noir qu'elle avait en main, elle se mit à dessiner à l'intérieur de son poignet gauche, ne sachant pas quoi écrire sur son bout de papier.
(Invité)