TG 1.1 ❥ jour n°2 à 21h00 ❥ Feu de camp

Oh comme il était poétique! C’était presque charmant tout ça. Venant d’une fille, on aurait directement dit : trainé. Mais venant d’un Winthrop, on applaudissait. C’était ridicule. Mais qu’importe. Voilà qu’il me disait plus chaude que la braise. Et quoi encore? Son idée n’était pas si mauvaise par contre, parce que bon, l’embrasser ici c’était une chose, mais je ne comptais pas me donner en spectacle si ses mains commençaient à se balader sur mon corps voyez? J’hochai donc la tête, bien heureuse de me relever pour m’enlever tout ce sable. Je me secouai les fesses sans aucune gêne –quelle gêne est-ce que j’aurais saoule comme j’étais?- et j’attendis qu’il nous trouve un coin sympa. Derrière un rocher peut-être ou un palmier pourquoi pas!?

OUT

Ca fait longtemps que je n'avais plus rigoler avec lui. C'était une situation assez marrante surtout que lorsque quelqu'un était bourré, il avait le rire facile. " Allez tu peux le faire, concentre-toi. " je l'encourageais en lui offrant un joli sourire, limite le plus beau que je puisse faire. Je me collais de nouveau à lui et il fit un effort pour enfin réussir après un long moment. " Merci. " dis-je d'une voix douce en laissant mon dos tomber sur son torse. Je prenais ses mains et je jouais avec, je caressais ensuite ses avants-bras, je lui apportais un peu d'affection et de douceur comme je pouvais. Heureusement qu'il était là ce soir, il restait juste près de moi, rien que pour moi. Je m'apprêtais à lui dire que j'étais contente d'être près de lui lorsque je sentis quelque chose toucher mes fesses. " Aaaah y'a un poisson ÉNORME qui vient de me toucher les fesses!" m'écriai-je terrifiée. Et si c'était un requin? Je me retournais pour faire face à Marshall et je descendis mon regard en-dessous de son ventre. Ha d'accord.

HJ: TU M'AS TUÉ XD

Enfin! Tu vois Reilly, c’était pas si compliqué! J’avais réussi comme un grand et j’avais même droit à une récompense. Elle se colla à nouveau contre moi, passa mes bras autour d’elle et les caressa doucement, traçant les muscles de mes avant-bras. Je ne passai aucun commentaire, me concentrant plutôt sur la suite des choses. Seigneur Marshall, t’as baisé y’a pas si longtemps, reprend toi. Mais non, voilà, elle gueule au poisson énorme, un requin peut-être même. J’devrais jouer le jeu ou pas? Elle se retourne et me regarde un moment, apeuré comme jamais avant de baisser les yeux vers l’eau… vers mon teub bien évident dans mon short pas si ample finalement. Je me passe une main sur la nuque en souriant bêtement. Qu’est-ce que je suis censé lui dire? « J’ai pas vraiment de contrôle sur lui quand je bois… pardon. » Je baissai la tête, j’aurais pu lui dire qu’elle était canon, qu’elle m’excitait rien qu’en riant comme une gamine, mais je ne crois pas qu’elle l’aurait très bien pris alors j’optai pour les excuses.

Je lui faisais des petites attentions, je le caressais avec tendresse et je venais de prendre son sexe pour un poisson énorme. J'avais l'air aussi conne que lui en fait. Je me forçais à regarder vers le ciel, les mais appuyées contre mes hanches. " Marshall, arrête tout de suite, c'est trop gênant. " je me forçai à ne pas éclater de rire car je voulais pas me moquer et puis c'était des choses qui arrivaient, mais sur moi, comme ça, c'était vraiment weird. Puis comment pouvait-il faire cela avec cette eau glacée? C'était qu'il avait vraiment envie, c'était un champion. Non mauvaise idée Blaise, ne profite pas de la situation pour t'envoyer en l'air avec un beau gosse comme message d'adieu à Ethan. J'étais même pas saoule c'est ça le pire. Je plongeai mon regard dans celui du winthrop et je voyais bien qu'il mourrait d'envie de moi, ce regard de braise je le connaissais bien. Je grimaçais en posant ma main sur son torse. Il était vraiment chaud de partout. Je finis par laisser glisser mes doigts sous l'élastique de son maillot et je pouvais constater qu'il n'attendait que ça. Je craquais, tant pis, spring break mother fucker. Je retirai ma main et je venais attraper sa nuque pour l'attirer vers moi et déposer mes lèvres sur les siennes.  

hj: je rie aussi

HJ: On devrait peut-être aller terminé nos rps en pv XD Déjà qu'on a monopoliser je-sais-pas-combien de page --> Un pv Davina/Royve et l'autre Marshall/Blaise?

Facile à dire ça arrête! J’venais pas de lui dire que j’avais aucun contrôle sur tout ça quand j’étais saoul?! Il me semble à moi que j’avais été suffisamment clair. J’essayais de regarder partout sauf dans sa direction, mais son regard croisa le miens et j’y restai scotché. Elle me déchiffrait comme un livre ouvert, ça se voyait à son expression. Après, elle avait déjà été dans une situation semblable avec moi alors il lui suffisait d’avoir un minimum de mémoire pour se souvenir. Sa main se posa sur mon torse et glissa jusqu’à mon maillot. Elle faisait exprès là, c’était pas du jeu. J’étais prêt, elle l’avait bien remarqué, pas la peine d’aller vérifier pour empirer la situation. Elle retira sa main et un soupir de soulagement m’échappa avant qu’elle ne prenne ma nuque pour plaquer ses lèvres contre les miennes. Wô! Une minute papillon…. Qu’est-ce qu’elle fait là? Elle va le regretter, je le sens! Elle ne devrait pas faire ça… mais qui suis-je pour l’en empêcher? Elle sait ce qu’elle fait, non? C’est moi qui est saoul, pas elle! Enfin, saoul, c’est un grand mot, j’suis réchauffé –chaud comme la braise plutôt. Alors j’attrape ses hanches  et plaque son corps au mien, caressant la descente de ses reins d’une main et sa fesse de l’autre.

OUT

Pour tout vous dire, je m'emmerdais un peu. C'était chiant, de ne connaître personne personnellement dans le groupe qui s'élargissait pourtant. Tout le monde profitait du jeu pour régler ses petits comptes par question interposée et j'avais l'impression d'être de retour en seconde. Alexys me sortit de mes pensées dans une tentative de me faire participer à leurs petites conversations. Je répondis sans même réfléchir. Vérité dis-je. Je disais toujours ça. Les actions se résumaient en général à se mettre à poil et a faire quelque chose et on pouvait pas dire que c'était fondamentalement mon genre.

(c) darkdreams/marine

« Hé je te pris de ne pas dénigrer les Magyars, ce n’est même pas un jeu de chez nous, laisse les Hongrois où ils sont.» rit la jeune femme. Qu’elle ne s’imagine pas que les Hongrois sont chiants, quand même ! La réflexion du jeune homme à la plainte de la demoiselle amusait la jeune femme. Oui il se lave d’accord mais quand même, ce n’est pas une raison pour que lécher son torse soit le fantasme numéro un. Mais d’un coup la russe lui saute dessus, l’allonge, le lèche. Elsy est surprise c’est le moins que l’on puisse dire. « Bande de malades ! » rit-elle. Mais Royce ne l’entendait même plus, le regard rivé sur les lèvres de Davina. Comme son ami ne semblait même plus la voir, Elsy se leva et planta les deux jeunes gens un tantinet vexée. Pour ça il aurait mieux fait de la laisser partir tout à l’heure. Un verre à la main, il n’y avait plus qu’à chercher de nouveaux amis à retrouver.

Ce mec au bout ( Augusto ) qui venait d'être interroger par Alexys ne connaissait personne et personne ne le connaissait non plus. Regardant les gens présent dans le cercle tu sentais qu'il y avait une tension entre a peu près tous. Et toi tu ne connaissais pas vraiment beaucoup de monde ici a pars Alexys et Charlie. C'est donc pourquoi, alors qu'Alexys n'avait toujours pas poser sa question au jeune homme ( Augusto ) tu te levais pour aller t'installer à côté de lui. «  Grace St-James enchanté.  » Tu lui souriais franchement. «  Je sais que je ne suis pas vraiment le genre de personne que tu fréquentes habituellement enfin je me doute mais c'est le Spring Break et moi j'aime bien rencontrer des gens différents des mathers.  » Tu avais également tendu ta main histoire de faire plus officiel. «  Tu te fais chier n'est-ce pas ?  » Tu faisais une petite moue compatissante avant de tourner ton regard vers les autres qui ne pouvait pas suivre votre discussion vu que tu ne parlais pas bien fort.

IN

Sam était venu au feu de camp avec Jackie, c’était le première fois qu’il participait à un Spring Break en étant en couple, ça allait forcément être différent des autres années mais surement tout aussi bien. Durant la soirée ils s’étaient rapidement séparés pour aller parler à des potes à droite à gauche, il restait mather et elle cabot donc ils n’avaient pas vraiment les mêmes amis mais il gardait quand même un œil sur elle parce qu’il comptait bien la rejoindre rapidement et il surveillait les autres mecs car il était assez jaloux et il connaissait suffisamment bien le comportement des gars pendant le SB pour se méfier … mais alors qu’il discutait tranquille avec un pote il se rendit vite compte que ce ne serait pas des mecs qu’il allait devoir faire attention mais tout simplement de sa meilleure amie Swan. Sam ne les avait jamais officiellement présenté l’une à l’autre mais elles se connaissaient quand même et soit elles deviendraient les meilleures amies du monde soit les pires ennemies … et malheureusement c’était le deuxième choix qu’elles avaient l’air d’avoir choisi. Sam n’était pas encore intervenu mais il allait devoir les séparer, il s’excusa auprès de son pote avec qui il était et se dirigea vers les deux femelles en chaleur …

IN

Les pieds dans le sable, j’avançais sans but précis. Si mes collègues étaient occupés pour certains au dîner, j’avais décidé de faire un tour à la fête sur la plage, davantage dans le but de voir s’il n’y avait pas de dérapage. Pour tout avouer, je me sentais seul. J’avais décidé de participer au Spring Break alors que je ne connais presque personnes, à part quelques étudiants. Cependant, je me laissais du temps. En attendant, je profitais de la douce brise de la plage et des bonnes températures. Vêtu légèrement, d’un simple jeans et d’un T-shirt blanc, je laissais mes yeux clairs se déposer sur les étudiants qui semblaient profiter comme il se doit de la fête. Un sourire se dessina sur mes lèvres. Les études sont certainement la meilleure période d’une vie. Une main dans la poche de mon jeans, l’autre tenait une cigarette que je portais à mes lèvres. Je passais à côté de quelques étudiantes, parfois me devais de les enjamber car ils étaient presque sur le point de faire un petit sur le sable. Ah la jeunesse…