Would you be my boyfriend? PV Hayden

Hayden avait très bien conduis vers le stationnement que je lui avais mentionner. Le service de Valet se situait sous l’hôtel la plus chic de Boston. Il y avait beaucoup de clients aisés qui y séjournait ainsi que de magnifiques voitures. J’avais extrêmement confiance à ce stationnement. Par contre, c’était un peu cher. Pour se garer une journée c’était environ 60$, ce qui n’était pas très léger comme somme. L’argent pour moi était le dernier de mes soucis. Quand nous arrivions, je sortis et Hayden aussi. Hayden donna les clés au valet, pendant que je parlais au valet, il s’éloigna un petit peu. Quand le valet pris la voiture, je rejoignis Hayden. Il me demanda ce que je voulais faire. J’avais envie de magasiner un petit peu. Nous n’étions pas très loin des magasins luxueux. « On pourrait faire tous cela. On peut commencer à aller magasiner. » Nous marchions vers la rue où se trouvait tous les magasins pour les riches comme Prada, Dolce & Gabanna, Gucci et plusieurs autre. Ma carrière de mannequin était en plein essor et j’avais déjà poser pour Armani, peut-être allait-il y avoir des affiches de moi. Hayden ne savait pas tout sur moi, cela ne faisait pas très longtemps qu’on se connaissait. Aujourd’hui nous allions apprendre à nous connaître d’avantage. Hayden savait maintenant que j’avais beaucoup d’argent, mais c’était presque tout. Je ne voulais tellement pas le faire fuir ou qu’il prenne avantage de moi comme j’avais l’habitude en Allemagne. Nous étions près de la boutique de Dolce & Gabanna, je tirai sa main et nous entrions. Nous nous firent saluer, mais la dame de la boutique était un peu snob. Cela ne me dérangeait, car j’étais aussi snob. Nous regardions un peu les vêtements et Hayden semblait attirer par une paire de short. Les shorts étaient très beaux. «Va les essayer !» Bien entendu, il n’y avait pas de prix, mais ce n’était pas grave, j’allais gâter Hayden aujourd’hui, j’allais payer tout pour lui.

Nous avions décidé d'aller à Boston. Apparemment, là-bas, nous serrions tranquilles. J'avais conduis la voiture de Lukas et l'avais laissé à un valet qui était en bas d'un hôtel luxueux. J'avais jeté un petit coup d'œil à celui-ci avant de m'éloigner, laissant mon petit ami discuter avec le valet. Je n'étais vraiment pas habitué à ce genre d'endroit. Nous étions dans un quartier assez riche, et même si j'avais de l'argent, je ne fréquentais pas ce genre d'endroit. Lukas, lui, avait l'air de bien connaître les lieux. Je lui demandais ce qu'il voulait faire. Je lui avais proposé plusieurs possibilités et il me dit que l'on pouvait faire les trois. C'est vrai, nous n'étions pas pressés. Il me dit que l'on pouvait commencer par faire un peu de shopping. Pourquoi pas. Je pris sa main et hochais la tête, lui faisant comprendre que j'étais d'accord . Il m'emmena alors dans la boutique de Dolce & Gabanna. Je le suivais, un peu fasciné et perdu. Je n'étais jamais entré dans ce genre de boutique. La vendeuse me paraissais vraiment snob. Je lâchais sa main pour aller regarder des vêtements. Même si j'étais sûr de ne rien acheter, je pouvais au moins regarder. J'avais flashé sur des shorts. Ils étaient vraiment beaux. Lukas me dit d'aller les essayer. Je grimaça, lui faisant comprendre que je ne voulais pas trop, mais face à sa détermination, je céda. D'accord. Je pris les shorts et allas dans une des cabines d'essayage. Je les enfilas et sortis de la cabine, me regardant dans le miroir de celle-ci. Ils m'allaient bien. Il n'y avait pas de prix dessus mais je savais très bien qu'ils étaient trop chères pour moi. La vendeuse nous regardait ce qui me mettais un peu mal à l'aise. Je savais que ce genre de personne n'aimait pas quand l'on essayait des vêtements et que l'on ne les acheter pas. Ils sont très beaux, mais beaucoup trop cher pour moi. Je me sentais vraiment pas à ma place pour le coup. Certes, j'avais beaucoup d'argent. Mon père était riche et nous donnait, à moi et mon frère, beaucoup d'argent tout les mois. Mais, je n'allais pas dans des boutiques telle que celle-ci. J'allais acheter mes vêtements dans les mêmes endroits que les autres. Je me tournais vers Lukas. Lui était habitué à ce genre d'endroit surement, mais pas moi. Puis, le regard fixe de la vendeuse me rendait encore plus mal à l'aise. Je me mis à rougir. C'était débile de rougir de la sorte. C'est pas un endroit pour moi ici, Lukas. Je le regardais. Cela me faisait plaisir de passer du temps avec lui et de découvrir son monde, là n'était pas le problème. J'aurais été très content de le voir essayer des vêtements que lui pourrait se payer.

Nous étions dans un magasin de luxe et nous regardions des vêtements. Je voyais un peu qu’Hayden n’était pas trop à l’aise. Il devait s’habituer, car cela était mon monde et quand nous sommes en couple, nous devrions être capable de partager ces deux mondes. Malgré le fait qu’il soit mal à l’aise, je lui fis essayé des shorts. Hayden les pris et alla à la cabine d’essayage. Il ressortit pour me les montrer et je trouvais qu’il lui allait parfaitement. Ne manquait qu’à savoir si Hayden les aimait. La vendeuse nous regardait, je ne savais pas si c’était pour être à notre service ou juste pour vendre et avoir la commission, mais je m’en foutais d’elle.  Mon petit ami me confirma qu’il les aimait, mais que cela était trop cher pour lui. Le prix je m’en foutais aussi. Je fis signe à Hayden pour qu’il aille mettre ses vêtements d’origine. Quand Hayden ressortit, il me dit que ce n’était pas un endroit pour lui ici. Je comprenais, surtout si c’était la première fois qu’il entrait dans une boutique luxueuse. Je pris les shorts de sa main et les donna à la vendeuse. « Pouvez-vous mettre ça à la caisse, pendant que nous continuons notre visite» Après, je retourna voir Hayden et lui donna un petit bisou rapidement. Je pris sa main et le tira vers une étagère avec pleins de souliers. Je voulais une paire. « Lesquels aimes-tu ? J’ai besoin de nouvelle baskets» La surconsommation était un des défauts de Lukas. Mais ceci était un défaut que presque tout les riches avaient.

J'aimais vraiment ces shorts, ils étaient très beaux et m'allaient bien. Malheureusement, ils étaient trop cher pour moi. Il n'y avait pas le prix dessus, mais je le savais. J'avais essayé de faire comprendre à mon petit ami que je n'étais pas à ma place ici. Je ne voulais pas qu'il se sente mal de m'avoir emmener ici, je voulais juste lui partager mes sentiments. Il me fit signe de retourner dans la cabine. J'hochais la tête et le fis. Je remis mes vêtements et sortis de la cabine. Lukas était avec la vendeuse. Il revint vers moi et me donna un baiser. Il me prit la main et m'emmena vers une étagère. Je serrais sa main, regardant l'étagère qui se trouvait en face de nous. Il me demanda quelles chaussures j'aimais car il avait besoin de nouvelles baskets. Il avait compris que je n'aimais pas essayer des choses trop chères pour toi, du coup nous faisions du shopping pour lui désormais. Je ne savais pas ce qu'il avait fait des shorts. Je caressa le dessus de sa main, regardant le chaussures. Je lui montrais une paire du doigts puis je tournais la tête, en voyant d'autres qui étaient belles. Celles-ci aussi sont jolies. Je tournais la tête vers lui et déposais un baiser sur sa joue. Je suis sur qu'elles te vont toutes super bien. Je ne lâchais pas sa main. Je tournais la tête et remarquais que la vendeuse avait choisi de s'occuper, nous laissant tranquille.

Hayden ne savait pas encore que j’avais mis les shorts de côté pour les acheter. Je voulais lui en faire la surprise et j’espérais qu’il allait apprécier. La dame avait arrêté de nous regarder, car maintenant elle devait penser qu’on était des clients sérieux et non des clients qui étaient venus que pour faire de la lèche vitrine. Nous étions entrain de regarder des chaussures et Hayden me montra deux paires qu’il pensait qui m’irait bien. J’étais d’accord. Elles étaient belles. Je voulais les essayer. J’appelai la dame pour qu’elle m’apporte ma taille. Je m’assis sur un des sofas prévus pour l’essayage des chaussures. Ce ne fut pas trop long que la dame m’apporta les deux paires. Je l’ai essaya en faisant quelques pas avec chacun. Je l’ai aimait. Je dis donc à la dame que j’allais prendre les deux paires. Je regarda Hayden et lui demanda s’il voulait une paire et il me fit un sourire et déclina. Je souris de nouveau et nous nous dirigions vers la caisse. La dame passa les deux paires de souliers au scanner et la paire de shorts. Hayden avait bien vue maintenant que j’allais acheter les shorts. Je sortis mon porte-carte Burberry et présenta ma carte de crédit noir de la Deutsche Bank, Couleur noir qui signifiait que j’étais un client privé et assez riche, et régla la somme de 1700 $. Nous étions enfin devant la boutique et je regardais Hayden avec un gros sourire. « Bienvenue dans mon monde, j’espère que ce n’est pas trop.»

Nous regardions désormais les chaussures car Lukas voulait s'en acheter une nouvelle paire. La femme avait arrêté de nous surveiller, ce qui me m'était un peu plus à l'aise. Je restais près de lui, lui montrant les chaussures qui me plaisaient. J'aimais bien qu'il me demande mon avis pour ses vêtements. Il essaya les deux paires que je lui avais conseillé. Je m'étais assis sur un siège en attendant. Il prit les deux paires. Il faisait bien, elles lui allaient vraiment bien. Il me demanda si je voulais une paire. Je refusais d'un signe de la tête avant de me lever et de le suivre à la caisse. Je regardais la femme tandis qu'il payait. Je remarqua qu'il payait les shorts. Je n'eu pas le temps de lui dire que je ne voulais pas qu'il gaspille de l'argent pour moi, qu'il avait déjà payé. Nous sortions dehors. Je me tournais vers lui, remarquant son sourire. Il me souhaita la bienvenue dans son monde et qu'il espérait que ce n'était pas trop. Je souris. Merci beaucoup. Je le pris dans mes bras, déposant un baiser sur sa joue. Je t'aime. Je pris sa main et lui fis un sourire. On va boire un chocolat? Je ne savais pas où s'était. J'attendais qu'il me guide là bas.

Je lui avais acheté les shorts et il avait bien vue. Quand nous étions sortis du magasin je lui dit bienvenue dans mon monde. Je ne voulais pas que cela l’éloigne. Je ne voulais pas que cela soit trop. Il me remercia pour les shorts et je lui souri. «Ça me fait grandement plaisir, de t’offrir ce que tu veux.» Hayden me pris par la main et me demanda pour aller boire un chocolat chaud. Hayden me disais très souvent je t’aime. Cela faisait bizarre, car nous les allemand nous n’étions pas très fort à dire je t’aime. Un truc culturel quoi ? Je connaissais un petit café indépendant non loin d’ici. J’avais le sac de Dolce & Gabanna dans mon autre main et nous marchions vers le café. Je commençai la conversation pour qu’on puisse apprendre à bien se connaître. « Je ne voulais pas de le dire toute suite, mais mon père est le PDG de la Deutsche Bank, j’ai eu beaucoup de déception à cause de cela. » Deutsche Bank était une banque assez importante à travers le monde. Nous passion devant le magasin Armani et tout d’un coup je me vis sur une affiche. Je le savais, mais je ne l’avais pas encore dit à Hayden. J’espérais que toute ces surprise n’allait pas l’éloigner. «Je dois te parler aussi de cela». Je lui pointai l’affiche de moi en sous-vêtement Armani. J’espérais qu’il allait être fier de moi. Peut-être allait-il être fâche que je ne lui aille pas tout dis au début de notre relation. Je devais lui parlé de ma carrière de mannequin, car je commençai à avoir beaucoup plus de contrat et à être de plus en plus connus.

Nous étions désormais devant la boutique. Il m'avait acheté des shorts hors de prix et même si je n'aimais pas que l'on gaspille de l'argent pour moi, cela m'avais touché et m'avais vraiment fais plaisir. Je l'avais remercié. Il m'avait dit que ça lui faisait plaisir de m'offrir ce que je voulais. Je souris. Il était vraiment adorable, j'avais beaucoup de chance de l'avoir.  Je lui avais demandé d'aller boire un chocolat car je n'aimais pas boire du café l'après midi. Le matin, c'était ce que je buvais pour me réveiller, mais c'était tout. Nous marchions désormais en direction d'un café surement. Je regardais la rue tandis qu'il me parlait de lui. Je tournais la tête vers lui lorsque j'entendis que son père était le PDG de la Deutsche Bank et qu'il avait eu beaucoup de déception à cause de cela. Cela expliquait pourquoi c'était un habitué des boutiques de luxe et sa carte bleu. Tu sais, que tu sois riches ou pas, ça ne change rien à ce que je ressens pour toi. C'était totalement sincère. Il m'avait plus bien avant de savoir qu'il était riche. Nous passions devant une boutique et Lukas me dit qu'il devait me parler d'une chose. Je regardais en direction du bout de son doigts et le vit en sous-vêtements sur une affiche pour la boutique Armani. Je fus surpris, je ne m'y attendais pas. J'arrêtais de marcher. Il se tourna vers moi et je le tirais contre moi. Wow, mon petit ami est une star. Je   lui fis un sourire. Cela aussi ne changeait pas ce que je ressentais pour lui, même si l'idée que tout les hommes puissent le voir en sous-vêtements ne me plaisais pas tant que ça, j'étais quand même très content pour lui.

J’avais commencé à parler à Lukas de mon passé. Je sentais que c’était le moment qu’Hayden sache un peu plus sur moi. Il m’affirma qu’il s’en foutait que je sois riche ou pas et que cela ne changerait rien à ses sentiments pour moi. Cela me fit sourire et je sentais que c’était sincère même si beaucoup de gens m’avaient dit cela. J’espérais ne pas tomber dans le piège encore une fois. « Beaucoup de gens chez moi, en Allemagne, ne voulait être mon ami seulement, car j’avais beaucoup d’argent. Un peu pour cette raison que je suis venu au USA, J’ai eu beaucoup de peine avec ses gens. Je n’ai qu’un seul ami qui n’a pas été comme cela et c’est d’ailleurs pourquoi je lui parles encore. Tu va voir que c’est pour cela que je n’ai pas beaucoup de vrais amis et que je suis devenu parfois un peu snob et méfiant en amitié.» Je me vidai un peu le cœur. Normalement je gardai ça pour moi.  Après que je lui aille montrer l’affiche de moi, Hayden me tira vers lui et me dis que j’étais une star. Je n’étais pas encore très connu, mais cela allait venir un jour, car ma carrière était grandissante.  Nous continuons à marcher vers le café. « Je ne suis pas une star encore». Je rigolai. « Tu va devoir t’habituer au paparazzi» et j’éclatai encore de rien avant de lui donner un bisou rapide sur la joue.

Il se confiait à moi, ce que j'aimais vraiment. Je m'en foutais qu'il soit riche. Je l'aimais comme il était. Il avait surement peur que je me serve de lui mais je n'étais pas comme ça. Il m'expliquait que beaucoup de gens en Allemagne voulait être son ami seulement pour son argent. Il y avait beaucoup de gens comme ça, ici aussi. Il disait qu'il était méfiant en amitié et un peu snob. J'avais peu le remarqué dans le magasin, mais ça ne me gênais pas, parce qu'il ne s'était pas montrer capricieux. Je comprends, moi je n'ai jamais eu de véritable ami. Il est vrai qu'à part mon ancien petit ami et mon frère, je n'avais pas eu de véritables amis. Après qu'il m'est montré l'affiche de lui pour Armani, je lui dis que mon petit ami était une star ce qui le fit rire. Il me dit qu'il n'était pas encore une star. Mais tu le deviendras, j'en suis sûr enfin, si c'est le métier que tu veux faire. Il éclatait de rire après m'avoir dit que j'allais devoir m'habituer aux paparazzis. Je m'y habituerais. Je souris en sentant ses lèvres sur ma joue. On entra dans un café.