Marshall & Prudence - And now I will start living [Hot]

M’agenouillant devant Prue, elle prit quant à elle une position à quatre patte qui me laissait largement la chance de fantasmer sur les courbes de son dos et le galbe de ses fesses bien serrées. Seigneur, j’avais hâte d’y être. Mais pour l’instant, je la laissais engloutir ma queue dans sa bouche dans un soupir d’aise mêler à un grognement. Je fermai les yeux et posai la main derrière sa tête un moment jusqu’à ce qu’elle commence plutôt à me branler, mon gland toujours prisonnier de ses lèvres. Là, j’ouvris les yeux pour la voir faire et mon excitation –que je croyais déjà à son zénith- augmenta d’avantage. C’en était trop, je ne pouvais tout bonnement plus attendre. Je pris ma verge d’une main pour lui faire comprendre qu’elle pouvait arrêter et la fis se remonter un peu histoire que je puisse l’embrasser. Ma main glissa sur son corps, caressant sa poitrine avant de faire de même avec sa fesse pour finir sur son sexe que je vins titiller un peu. De ma main libre, je m’étirai jusqu’à mon pantalon qui trainait plus loin, en extirpai une capote et l’enfilai rapidement. Puis, revenant à Prue, je passai les deux mains sous ses cuisses pour la prendre dans mes bras, la soulevant un peu et glissant ses jambes de chaque côté de moi. Ainsi, j’enfonçai mon pénis en elle, le poussant aussi loin que possible pour l’entendre gémir dans mon oreille.

Ses ongles se plantèrent dans mon dos et je grognais, content de voir que ça lui plaisait. Elle était toute petite et très serrée, c’était d’autant plus excitant et je sentais que ma queue touchait à toutes ses parois à la fois. De mes bras puissants, je la faisais rebondir sur mon membre, montant et descendant en rythme avec cette musique qu’on entendait toujours derrière. Penchant la tête, je glissai mes lèvres dans son cou et mordillai sa peau entre deux baisers. Comment nous en étions venus là? Je ne m’en souvenais plus. Mais quelle importance ça faisait au final? Aucune. L’allongeant finalement sur le dos, je me retirai doucement d’elle avant d’entrer violemment jusqu’au fond pour mieux me retirer à nouveau. Un sourire espiègle étira mes lèvres et je lui demandai : « Retourne-toi. » Je voulais avoir droit à cette courbe parfait formée par son dos et ses fesses juste devant moi et pas plus tard que maintenant.

Prue obtempéra rapidement, dévoilant son magnifique cul à mes yeux. Je souris et j’attrapai ses hanches, la pénétrant à nouveau. C’était l’extase! Sans que j’ai à lui demander, elle recula, remontant un peu ses fesses pour que je puisse la pénétrer plus profondément. Cette fille était-elle donc parfaite? J’augmentai donc la cadence, écartant un peu ses fesses pour avoir une vue prenante et une prise ferme. Le sexe avait elle était facile, une chose toute naturelle et délicieusement bonne. Limite, j’étais déçu de ne pas l’avoir connu plus tôt. Et, malheureusement, j’avais bien peur que ce ne soit que l’affaire d’une fois. Enfin, nous verrions bien. Pour l’instant, je prenais mon pied. D’une main, je glissai vers son ventre avant de descendre sur son intimité, caressant son clitoris en même temps de la pénétrer. Si j’en croyais mes habitudes, elle ne résisterait pas très longtemps à autant de stimuli.

Comme prévu, Prue semblait en avoir beaucoup trop en même temps et ça me faisait sourire. Pourtant, elle ne se laissait pas avoir aussi facilement. Sans prévenir, elle s’avança, me forçant à me retirer d’elle et je la regardai sans rien dire, perplexe. Est-ce qu’elle voulait qu’on arrête tout d’suite? Je ne croyais pas non. Surtout pas avec la lueur dansant dans ses yeux. Elle me poussa rapidement sur le dos et vint s’installer au-dessus de moi. Je souris, satisfait par cette entreprise. Posant les mains sur ses hanches et l’accompagnant dans ses mouvements plus délicieux les uns que les autres. Elle savait réellement s’y faire.

Alors que je pensais que j’avais vu tout ce dont elle était capable –et j’étais loin d’être déçu, Prue me surpris d’avantage, prenant mes poignets qu’elle remonta au dessus de ma tête. Je souris, content de voir qu’elle prenait autant d’initiative avec moi alors que c’était la première –et malheureusement probablement la dernière- fois que nous couchions ensemble. Si j’avais été un tant soit peut sympa, jamais je n’aurais couché avec une amie de Leyna… encore une fois. Mais que voulez vous, j’allais pas commencé à éviter toutes les meufs qu’elle connaissait, j’allais devoir rayé la moitié des bonasses d’Harvard sinon! Un grognement de plaisir quitta ma gorge et je plaquai les mains sur les fesses de Prue qui remontait sensuellement à chacun de ses mouvements. Si elle continuait comme ça, je n’allais plus tenir bien longtemps.