Marshall & Prudence - And now I will start living [Hot]

⊹ « Comment ça quelque chose en échange? C’est toi qui goûte mes abdos et tu me proposes d’en demander plus? » Je me méfiais des autorisations aussi facile. « Alors si tu insistes, tu peux aussi aller vérifier la qualité de la marchandise un peu plus bas! » Il rêvait debout celui-là ! Merci, mais non merci. Je ne voulais pas jouer les jeunes vierges effarouchés, mais ce genre de phrase me déplaisait fortement. Je levais les yeux au ciel tout en me retenant de rire. « Je suis sûr que ta marchandise se porte très bien. Vaut mieux ne pas la déranger » Je revenais à ma place initiale. Peut-être qu’il avait l’habitude d’avoir toutes les filles qu’il voulait facilement, mais avec moi ça ne se passerait pas comme ça.

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Prue semblait découragé par une telle remarque de ma part. Mais en même temps, ça avait été plus fort que moi. Après le pseudo romantique, je jouais les gros lourds. À croire que je ne savais pas comment me tenir en sa présence. « Je suis sûr que ta marchandise se porte très bien. Vaut mieux ne pas la déranger » Je souris et elle reprit sa place. Je me tournai sur le côté, m’appuyant sur mon coude, la tête dans ma main. « Non franchement, je disais ça en blague, je ne croyais même pas que tu allais lécher mes abdominaux alors bon.. » Je regardai au loin un moment, me sentant stupide. Il fallait que je trouve un moyen de remettre en marche ce petit jeu que nous avions plus tôt dans la salle de bain des femmes. Je reportai mon attention sur elle et souris malicieusement à nouveau. « Alors.. tu comptes attendre qu’on gèle jusqu’à la moelle ou bien tu vas reprendre où on avait laissé tout à l’heure? »

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⊹ « Non franchement, je disais ça en blague, je ne croyais même pas que tu allais lécher mes abdominaux alors bon.. » Je ne lui en voulais pas. Je n’étais pas comme ça. Je l’avais pris au sérieux comme une parfaite débutante. « Alors.. tu comptes attendre qu’on gèle jusqu’à la moelle ou bien tu vas reprendre où on avait laissé tout à l’heure? » Je me redressais à moitié, plongeant mes yeux dans les siens avec sérieux. Puis, j’enlevais ma chemise histoire de réchauffer l’ambiance. Ma réaction avait lancé un froid et je n’en voulais pas. Ce soir, je voulais juste m’amuser. « Tu attends quoi alors ? » disais-je en souriant légèrement.

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Prue ne se fit pas prier avant de retirer sa chemise. En temps normal, j’aurais eu froid pour elle. Mais là, c’était plutôt le contraire. J’avais chaud et je sentais que ça n’irait qu’en augmentant! « Tu attends quoi alors ? » Je souris largement, content de voir que, malgré ce qui était arrivé, elle ne perdait pas totalement le moral. Je posai la main sur sa hanche et attirai son corps vers le mien, remontant sa cuisse par-dessus la mienne et vins plaquer mes lèvres contre les siennes sans me faire prier. Ah comme j’adorais sa façon de jouer, ça me rendait fou!

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⊹ Il n’attendit pas longtemps pour m’attirer à lui. Je sentie qu’il soulevait ma cuisse pour que je vienne sur lui. J’acceptais son baiser et entourait son cou de mes bras. Pressant son corps contre le sien, j’approfondissais notre baiser. Ma langue se mêlant à la sienne avec fougue. J’avais besoin de ça pour me sentir vivante. C’était le sexe qui me rendait aussi bien. Je ne voulais pas penser aux parasites extérieurs ni à ce qu’il m’attendait à l’extérieur de cette bulle. Je me décollais légèrement de lui, mettant fin à notre baiser. Un sourire coquin au bord des lèvres, je déboutonnais sa chemise pour pouvoir caresser son corps.

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Que nous soyons dehors en pleine nature et que n’importe qui passant dans le coin puisse nous voir était le dernier de mes soucis. D’ailleurs, je savais qu’il y avait peu de chance que ça arrive et c’est pourquoi je me plaisais à prendre tout mon temps avec elle. Enfin, tout mon temps, faut pas pousser non plus, disons que le jeu était intéressant, mais que j’avais hâte d’obtenir la surprise à la fin. Sa langue s’entremêla à la mienne et elles dansèrent un moment avant qu’elle ne se recule un peu, brisant notre contact pour défaire ma chemise. Je la laissai faire avant de me redresser un peu pour pouvoir la retirer. Je la laissai tomber sur le sol près de nous et me retournai vers Prue, l’attirant à nouveau vers moi, appuyant mon corps légèrement au-dessus du sien, remontant à nouveau sa jambe contre le mienne et en profitant pour palper ses fesses bien rebondis. Mes lèvres retrouvèrent rapidement les siennes et je l’embrassai goulument durant de longues secondes.

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⊹ Je sentie ses mains toucher mes fesses, provoquant une sensation de plaisir au creux de mon ventre. Peut-être que j’avais décidé d’arrêter de jouer. J’avais envie de lui, alors pourquoi me retenir plus longtemps ? Il avait bien mérité sa récompense après ce qu’il avait fait pour moi ce soir. La chaleur de son corps contaminait le mien en quelques secondes. Il continuait de m’embrasser comme si j’allais le fuir et le mettre à nouveau au défi. Seulement, je ne savais pas si j’en avais envie. Je posais une main sur sa nuque et le caressais lascivement. Je pus sentir son corps frissonner à ce contact. Je me perdais dans cette étreinte. En contre bas, de la musique ce fit entendre. Plutôt étonnant dans cet endroit désert. La musique remontait jusqu’à nous. Les basses pulsaient en rythme en réponse au désir qui ne cessait de s’accroitre. Je l’embrassais avec plus de vigueur tout en roulant du bassin à chaque pulsation de basse.

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D’où venait cette musique ? Encore un gosse de riche qui faisait la fête chez lui? Peu importe, c’était agréable à entendre en bruit de fond. D’ailleurs, Prue semblait apprécier aussi puisque son corps se mit à bouger en rythme, ondulant chaque fois qu’une basse cognait. Je souris entre deux baisers et ondulai à mon tour, donnant des coups de reins contre sa simple petite culotte ayant remonté depuis longtemps sa jupe. Déjà, elle devait pouvoir sentir mon membre gonflé au travers de mon jeans qui devenait rapidement inconfortable. Mais peu importe, c’était excitant. Je n’avais plus envie de jouer maintenant ou même d’attendre. J’avais envie d’elle un point c’est tout. Sans plus attendre, ma main toujours sur ses fesses glissa jusqu’à son intimité humide et prête pour moi. Je la caressai par-dessus son vêtement, lui donnant de plus en plus envie pour qu’elle en redemande, pour qu’elle me supplie. Aussi mes lèvres glissèrent dans son cou où je vins faire un léger suçon qui partirait sûrement au matin.

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⊹ En dessous de lui, je pouvais sentir la bosse causé par son érection. Il me donnait quelque coup de rein ce qui m’arrachais de légers soupire. Sans plus de préambule, sa main glissait jusqu’à mon intimité pour venir caresser. Je mouillais davantage à chaque mouvement. Mon corps s’arcboutait en réponse à ses caresses. Je poussais mon intimité vers son doigt, demandant plus de plaisir. Je me mordillais la lèvre fortement, alors que des vagues de plaisirs assaillaient ardemment mon corps. S’il continuait, j’allais exploser. Je sentais cette délicieuse douleur au bas de mon ventre. Elle augmentait comme un ballon d’eau prêt à exploser. Ma main sur sa nuque, descendait à la naissance de son dos, enfonçant mes ongles à chaque gémissement. Je voulais qu’il me libère de son emprise. Mon corps en ébullition, ne supportait plus chaque parcelle de vêtement. Néanmoins, il fallait que je garde le contrôle même si c’était très difficile. Dans un mouvement de désespoir, je glissais une de mes mains jusqu’à la fermeture de son pantalon. J’entreprenais la difficile tâche de le déboutonner avec une main.

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Prue commençait à gémir et à mes oreilles il n’y avait pas plus belle musique. Je sentais mon membre qui gonflait au rythme de ses gémissements alors que mes mouvements s’accentuaient sur son sexe bien humide, cherchant à lui en faire demander plus toujours. Son corps tout entier tendait vers le miens, mais je l’ignorais, la faisant attendre encore et encore. Bientôt, sa main se faufila jusqu’à mon pantalon qu’elle entreprit de détacher. Heureusement pour elle, ce n’était qu’un jeans avec un bouton et la fermeture éclair. Lorsqu’elle y arriva enfin, je lui donnai un coup de main pour retirer le tout et balançai mon jeans à côté de nous, retirant au passage mes chaussures et mes bas. Lorsque je repris place au-dessus d’elle, je remontai sa jupe un peu plus haut afin de pouvoir bouger librement ses jambes et remontai l’une de celle-ci de façon a bien appuyé mon membre contre son intimité. Le libérant de sa dernière prison en baissant juste un peu mon boxer, je vins le frotter son sexe, tirant sur le tissu de sa petite culotte vers le côté pour avoir accès à son clitoris bien gonflé. Un long soupir quitta mes lèvres alors que nos chairs se touchaient enfin, mais ce n’était que le commencement.

HJ: faudrait mettre hot dans l'titre XD

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