Marshall & Prudence - And now I will start living [Hot]

⊹ Après plusieurs secondes, je réussissais défaire son bouton. Il m’aidait à enlever tout le reste, avant de venir se repositionner au-dessus de moi. Je sentais qu’il soulevait ma jupe, mais honnêtement, je n’y faisais pas attention. J’étais concentré sur autre chose. Je regardais la bosse formé par son sexe et me mordillais la lèvre en imaginant ce qu’il allait me faire avec. Il relevait une de mes jambes pour avoir un accès plus libre. Lorsque je sentie son sexe touché mon clitoris en feu, je ne peux que gémir, me dandinant légèrement. C’était un supplice délicieux et en même temps c’était une torture. Je poussais mon intimité à la rencontre de son sexe, ondulant des hanches avec envie. A présent, ce n’était plus moi qui avait le contrôle et il avait tout prévu pour que je me sente dans cet état. C’était machiavélique et en même temps, c’était terriblement excitant.

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Mon membre glissait lentement sur son clitoris brûlant, se voulant de plus en plus insistant. J’avais une envie folle de la pénétrer immédiatement, mais j’avais l’impression que ce serait de gâcher tout ce pourquoi je l’avais fait patienter. Aussi décidai-je de lui montrer de quoi j’étais capable. Je me reculai un peu, remontant mon boxer par-dessus mon membre qui devrait attendre un peu avant de retirer à nouveau du plaisir de son corps. Puis, tout en l’embrassant, je passais les mains sous son corps et lui murmurai finalement à l’oreille : « Tu me fais confiance? » Je ne lui laissai pas le plaisir de répondre avant de la lever du sol, la soulevant jusqu’à venir la poser sur le capot de ma magnifique voiture. Un sourire espiègle étira mes lèvres et je lui arrachai carrément sa petite culotte, laissant tomber le lambeau de vêtement sur le sol avant de plonger vers son entre jambe tout chaud. Remontant ses deux jambes, j’embrassai chacune de ses cuisses, me rapprochant dangereusement du fruit de mon désir, m’arrêtant finalement tout en haut de son pubis, glissant un seul et unique coup de langue dans sa fente. Elle allait me supplier, croyez-moi.

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⊹ Ce qu’il me faisait subir était un supplice. Je voulais qu’il vienne en moi, mais il n’avait pas l’air d’être pressé. Sans prévenir, il se relevait et remettait son boxer, couvrant ainsi, l’objet de mon désir. « Tu me fais confiance? » Ma réponse aurait n’aurait rien changé, car déjà il me soulevait pour me venir me poser sur le capot de sa voiture. Il se mettait entre mes jambes pour les écarter davantage. Bordel, qu’allait-il me faire ? Je déglutissais difficilement, l’observant avec attention. Son sourire ne me disait rien qui vaille. Il arrachait ma petite culotte et la faisait tomber par terre. Enfin, ce qu’il restait de ma culotte. Il embrassait mes cuisses, se rapprochant dangereusement de ma zone sensible. Une fois son but atteint, il s’arrêtait. Je retenais mon souffle, mon corps tendu, attendait avec méfiance ce qu’il allait me faire. Je sentie sa langue sur mon intimité. Je gémissais, alors qu’il venait d’augmenter la tension de mon corps. Pourquoi est-ce qu’il ne continuait pas ? Ça lui faisait plaisir de me voir offerte à lui, sans que je puisse bouger davantage ? J’étais à la fois frustré et excité. Un mélange de sensations contradictoires qui était déconcertant. J’ondulais des hanches pour en réclamer plus. « Encore… » J’avais murmuré ses mots, mon corps parlant à ma place.

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Tout son corps était tendu dans l’attente et l’appréhension. « Encore… » Elle avait à peine murmuré ce mot, si je n’avais pas été attentif, je ne l’aurais même pas entendu. Je souris, remontant juste assez pour croiser son regard. « Quoi? Je crois que j’ai pas bien entendu.. » Je glissai une main sur son sexe et fis quelques rotations du pouce sur son clitoris. « C’est ça que tu veux? » J’embrassai à nouveau ses cuisses, mordillant la peau et remontant vers son ventre, dérivant au dernier moment pour retourner vers sa chatte bien moite. J’ouvris ses lèvres avec l’index et le pouce de ma main droite et donnai un nouveau coup de langue bien placé sur son petit point de plaisir. « C’est de ça dont tu as envie Prue..? » dis-je dans un murmure avant de souffler sur cette zone érogène de son corps. Je mourrais d’envie de me mettre à la tâche, mais la voir au supplice était tellement excitant que j’avais peur d’en pété mon boxer.

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⊹ « Quoi? Je crois que j’ai pas bien entendu.. » Mince, il m’avait entendu. A ses mots, il recommençait à me toucher, mais avec son pouce cette fois-ci. J’haletais, alors qu’il prenait un malin plaisir à me faire languir. « C’est ça que tu veux? » Il recommençait son manège. Sauf que cette fois-ci, il me mordillait l’intérieur des cuisses, ce qui eut le don de provoquer une sensation agréable au creux de mon ventre. A nouveau, il me léchait le point sensible. Gesticulant sur le capot glacé de sa voiture, j’essayais d’en avoir plus, mais il est clair que cela n’était pas dans ses intentions. « C’est de ça dont tu as envie Prue..? » Croyait-il vraiment que j’allais tenir, s’il soufflait sur mon clitoris ? Je refusais de le supplier, mais c’était plus fort que moi. Mon corps avait entièrement prit le contrôle. « Oui… » ma respiration était saccadé. « J’en veux plus.. » disais-je en plantant mon regard noir de désir sur lui.

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Je relevai mon regard vers elle en ne cessant pas de souffler doucement sur son clitoris. Bientôt, elle n’aurait plus d’autre choix. « Oui… » Oh.. la voilà! Elle était haletante, je souris largement. « J’en veux plus.. » Il ne m’en fallu pas d’avantage de sa part pour passer à l’action. Ma langue glissa sur cette protubérance de désir à une vitesse incroyable. Mes mouvements étaient justes et calculés. Si j’avais aimé l’entendre gémir d’appréhension, je voulais cette fois qu’elle gémisse de plaisir et rien d’autre. De ma main libre, j’enfonçai un doigt puis un autre à l’intérieur d’elle remontant mes vas-et-viens vers son ventre pour atteindre le point G. Appliquant une légère succion sur son clitoris, je passai ensuite ma langue dessus en faisant des ronds, variant son plaisir au maximum. Lorsque je sentis qu’elle était sur le point d’exploser, je ralentis un peu la cadence, mais je ne comptais pas arrêter pour autant. Je savais pertinemment que les femmes pouvaient avoir plusieurs orgasmes à la suite et je comptais bien vérifié la théorie avec elle.

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⊹ Au moment où ses mots franchirent mes lèvres, je sus que j’étais à sa merci. J’avais dit les mots qu’il voulait entendre et il allait me récompenser pour ça. Oh oui. Il entamait sa tâche. Sa langue caressait mon clitoris sans pitié, à une allure rapide. J’essayais de m’accrocher à quelque chose, mais le capot était lisse. Lorsqu’il entrait plusieurs doigts en moi, je jouissais sans retenu. J’étais agréablement surprise. Il quoi faire exactement. Plus il allait vite et plus je m’enfonçais dans un néant de plaisir sans fin. Au bas de mon ventre, je sentais cette boule de plaisir grossir. Elle se répandait dans tout mon être. Je ressentais des picotements dans le corps, tandis que la vague de plaisir, se faisait de plus en plus imposante. Mon corps s’arcboutait et tout explosa autours de moi. Je jouissais sans pouvoir m’arrêter. J’avais la sensation de flotter dans les airs. Au bout de quelques minutes, je m’avachissais sur le capot. C’était tellement bon que je pourrais recommencer à l’infini.

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Lorsque je sentis le corps de Prue s’arcbouter violemment, je su que j’avais réussi à obtenir ce que je désirais tant. Elle venait d’avoir son premier orgasme. Je souris largement et me léchai les lèvres avant de remonter lentement vers elle, la prenant dans mes bras pour coller son corps au miens. Même si elle devait avoir chaud, le capot de la voiture demeurait très froid pour son corps. J’embrassai passionnément ses lèvres, sachant pertinemment qu’elle goûterait ainsi à ses propres sucs et la portai à nouveau sur la couverture, lui retirant au passage sa jupe et son soutien-gorge, la déshabillant totalement. Maintenant, elle s’offrait toute entière à moi et je ne pus m’empêcher de sourire en la voyant ainsi. « Putin Prue… » Je l’embrassai à nouveau fougueusement, caressant sa poitrine et ses hanches en collant toujours son corps au mien, m’allongeant près d’elle.

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⊹ Mes membres devenaient lourd, mais je ne voulais pas m’endormir. Aussi, je rouvrais ls yeux, alors que Marshall me portait dans ses bras. Je savourais ce léger instant de plénitude, avant qu’il ne m’allonge et me retire le peu de vêtement qui me restait sur le corps. « Putin Prue… » » J’ouvrais les yeux en grand pour bien l’observer. Le regard qu’il portait sur mon corps en ferait rougir plus d’une. Il plaquait ses lèvres contre les miennes, caressant ma poitrine dénudé au passage, ainsi que mes hanches. Ses gestes suffirent à réveiller mon ardeur. J’approfondissais notre baiser. Pressant mon corps contre le sien, je pus sentir son sexe en érection. Alors qu’il était au-dessus de moi, je glissais une main le long de son corps pour venir empoigner son sexe dans ma main, commençant sans pitié à le branler. Maintenant, c’était à mon tour de me venger, à moins qu’il m’en empêche.

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À peine l’avais-je dénudé que Prue reprenait ses esprits. En même temps, j’espérais qu’elle ne s’endorme pas maintenant! Lentement, sa main glissa le long de mon corps et trouva mon sexe bien dure et au garde à vous. Elle l’empoigna fermement et m’arracha un soupir. Je fermai les yeux en ne quittant pas ses lèvres –l’embrasser m’empêchait d’être trop expressif. Ma langue cherchait sans relâche la sienne alors qu’elle me branlait d’une main de fer. Elle voulait me faire payer, ça se voyait, mais je ne comptais pas l’en empêcher. Pas tout de suite en tous cas. J’avais envie d’en profiter, de voir de quoi elle était capable avant de reprendre les rênes.

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