(+ Declan) motorcycle romance

« Mais ai-je dis ça ? Je ne crois pas non ! » rétorqua-t-elle aussitôt car Mallory n’avait pas changé d’avis, pas même une seconde en vérité. Comment le pourrait-elle alors que depuis leur rencontre, elle n’avait fait que revivre cette dernière dans ses rêves les plus profonds ? Declan n’avait pas quitté ses pensées une seconde, et la jolie anglaise avait l’impression de perdre la tête. Elle pensait, naïvement sans doute, qu’une fois qu’elle lui aurait donné sa virginité alors il cesserait de la hanter mais elle se leurrait dans les grandes largeurs. « Alors possède-moi Declan… je suis toute à toi » fit-elle non sans sentir un large frisson lui parcourir l’échine sans qu’elle ne cherche une seconde à le stopper tandis qu’il défaisait la fermeture de sa combinaison de cuir. De son côté, non seulement ses lèvres avaient repris celles de l’irlandais mais elle commençait doucement et sûrement à déboutonner la chemise de Declan, ses mains frôlant sa peau nue de façon de plus en plus franche, partant à la découverte d’un terrain de jeu des plus délectables…

Il ne fallait pas plus pour m'encourager à continuer mais hors de question de lui prendre son innocence sur ce vieux divan usé par le temps. Aussi, glissant mes bras autour de sa taille, je me relevais pour la conduire sur le lit situé non loin de nous, l'allongeant avant de me dégager pour terminer de déboutonner ma chemise, l'enlevant dans la foulée avant de m'occuper de ses chaussures puis de sa combinaison que je fis lentement glisser sur son corps. "Tu es magnifique" murmurais-je avant de revenir m'allonger sur elle, prenant ses lèvres dans les miennes avant de partir à la découverte de ce corps que j'avais entraperçu dans la cabine de douche. Je voulais prendre mon temps, la savourer, faire monter l'envie en elle mais également le plaisir. Il fallait absolument que je la détende au maximum pour qu'elle vive sa première fois le plus agréablement possible. "Si tu as envie de quelque chose, si tu es mal à l'aise avec quelque chose aussi, je veux que tu me le dises"la priais-je tandis que j'embrassais sa poitrine au-dessus du tissu de son soutien-gorge.

Mallory laissa son visage s’éclairer d’un joli sourire alors que Declan la complimentait sur sa beauté, après l’avoir délicatement déposée sur son lit et après lui avoir ôté ses chaussures ainsi que sa combinaison. Rien que le fait d’avoir une vue imprenable sur son torse la fit frissonner violemment, au moins autant que les baisers qu’il lui donnait ou les attentions. Il était… attentionné, c’était le mot. « Je ne suis pas mal à l’aise… je te veux » avoua-t-elle en toute sincérité, car elle était nettement plus détendue que précédemment. A vrai dire, dès qu’il la touchait, ses soucis semblaient s’envoler d’un coup sans qu’elle ne sache pourquoi. Mais autant dire qu’il n’était pas question que Declan soit le seul à œuvrer ou à donner du plaisir… après avoir ôté sa ceinture d’un geste vif qui la fit rire, la demoiselle déboutonna légèrement son jean pour mieux le lui ôter en utilisant sa souplesse ainsi que sa dextérité de ses hanches. Pendant ce temps, et non sans s’emparer de ses lèvres avec une passion légèrement moins dosée, elle frôla du bout de ses doigts la virilité de Declan au dessus de son boxer.

 « Ça tombe bien alors ! » murmurais-je sur un ton amusé tandis que je poursuivais mes attentions sur ce corps délicieusement féminin. Comment avait-elle fait pour rester vierge aussi longtemps ?! Merde, les mecs étaient-ils tous aveugles à son charme ou n’avait-elle jamais trouvé chaussure à son pied avant moi ? Je me sentais bêtement fier d’être celui ayant réussi à lui donner tellement envie qu’elle envisage de se donner pour la première fois à un homme. Fier et heureux. Je ne voulais pas trop me pencher sur mes sentiments pour le moment, préférant de loin profiter de l’instant présent et de ce qu’elle m’offrait, arquant un sourcil amusé alors qu’elle faisait voler ma ceinture.  « Sauvageonne va ! » plaisantais-je tandis que je me maitrisais du mieux possible pour ne pas trop faire parler justement mon côté sauvage. Pas pour sa première fois.  « Tu peux toucher, ça ne va pas te mordre » l’encourageais-je ainsi à poursuivre sa caresse, glissant une main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, le lui enlevant avec délectation pour mieux honorer sa poitrine de mes lèvres, narguant ses pointes dressées du bout de ma langue avant de les mordiller chacune à leur tour.

« Tu n’as pas idée… » répliqua-t-elle avec amusement lorsqu’il la traita de sauvageonne car la vérité était là : Mallory savait parfaitement faire preuve d’imagination, et elle le lui avait prouvé lors de leur première rencontre dans les douches. Cette fois-ci, cueillie par la douceur de l’instant, elle éprouvait un peu plus de mal à se lâcher mais ce n’était qu’une question de minutes avant que cette peur ne s’efface définitivement de son esprit pour lui permettre de savourer pleinement ce que Declan s’apprêtait à lui offrir… « T’es sûr que ça mord pas ? Non parce qu’avec toi je me prépare à tout ! » ironisa-t-elle non sans laisser son corps se tendre légèrement sous l’effet du plaisir alors qu’il titillait sa poitrine, devenue subitement d’une sensibilité rare. De son côté, Mallo s’amusa un temps avec l’élastique du boxer de l’irlandais, le provoquant de cette manière, avant de le lui enlever d’un geste lent, caressant son fessier musclé et désirable au passage avant d’avoir toute marge de manœuvre possible pour caresser plus franchement sa virilité fièrement tendue pour elle. Elle lui appliqua un long massage avant de se laisser glisser contre le matelas, appliquant ses lèvres contre son torse offert dont elle mordilla la peau par endroits avant que sa langue n’aille titiller à son tour la marque la plus franche de sa masculinité. Il n’était pas question qu’elle soit seule à ressentir un plaisir certain ce soir…

 « Non, je te promets que ça mord pas ! » rigolais-je avant de mordiller la pointe d’un sein, le taquinant du bout de ma langue avant de l’aspirer entre mes lèvres pour entendre cette mélodie douce à mes oreilles qu’étaient ses gémissements. Je désirais tellement lui donner le maximum de plaisir que je fus surpris quand elle m’allongea sur le matelas pour mieux venir embrasser mon torse, descendant peu à peu vers la bête comme j’aimais la surnommer. On se donner les surnoms qu’on peut hein ! D’ordinaire dans ma famille, on appelait ça un junior, personnellement, je préférais la bête. Bien plus viril, bien plus dangereux -bien que ça ne mordait réellement pas. Je glissais mes doigts dans ses cheveux, l’encourageant dans sa caresse en fermant les yeux. Bon sang, elle était peut-être vierge mais elle n’avait pas à rougir de ses capacités à mener un homme au septième ciel.  « Arrête toi » terminais-je toutefois par lui dire, la forçant gentiment à remonter jusqu’à mon visage pour embrasser ses lèvres qui venaient de me donner un plaisir fou.  «Allonge toi et laisse toi porter ma belle » murmurais-je avant de reprendre mon exploration, terminant rapidement par lui enlever sa petite culotte pour venir embrasser et flatter sa féminité, me jouant d’elle avec mes doigts pour mieux la préparer à ce qui allait suivre. Je me laissais totalement guider par ses gémissements pour déterminer le moment où, elle serait enfin prête.

Mallory avait beau être vierge, elle se laissait également porter par ses instincts les plus primaires et face aux gémissements qu’elle obtenait de Declan, ses gestes n’étaient pas les mauvais. Au contraire, elle serait même tentée de se croire douée en la matière même si l’ordre du jeune homme la fit paniquer quelques secondes. Ce n’est que lorsqu’il l’embrassa que la jolie anglaise se détendit à nouveau, ne craignant plus d’avoir mal fait les choses. L’appréhension avait complètement déserté son corps et docilement, elle s’allongea à son tour pour savourer les attentions de l’irlandais. « Je me laisse porter… » répéta-t-elle comme pour lui assurer qu’elle avait pleinement confiance en lui, et n’émettrait aucune condition, aucune hésitation. Pire, elle dû rapidement se retenir à la couverture à portée de sa main lorsqu’il commença à flatter sa féminité, lui arrachant des gémissements de plus en plus virulents s’apparentant bientôt à des cris. Merde, c’était trop bon… « Tu me tues ! »

Oh non Mallory ne faisait rien de mal bien au contraire et si je lui avais demandé –certes, un peu abruptement ; de stopper ses attentions, c’était surtout parce que je me trouvais au bord de l’implosion et que je ne voulais pas me libérer de cette manière. Je ne voulais pas la choquer ni même faire quelque chose qui lui déplairait surtout que je la savais totalement inexpérimentée bien que je doutais un peu du fait qu’elle n’ait jamais touché un homme de sa vie car soit elle avait un talent inné et était faite pour la sensualité ; soit, elle avait au moins entrepris les phases de préliminaires avec un homme.  « Oui, laisse-moi te montrer tout ce qu’un homme peut faire ressentir à une femme » lui dis-je en douceur avant d’entreprendre des caresses audacieuses, jouant de sa féminité comme un musicien se délecterait de son instrument pour en faire sortir les plus belles notes. Ses gémissements puis ses cris m’encourageaient à me montrer davantage audacieux, sensuel et passionné jusqu’à la sentir se tendre au bord de la limite. Je déposais alors un baiser sur son ventre plat, remontant légèrement pour l’embrasser tandis que j’attrapais un préservatif dans le tiroir de ma table de nuit.  « Tu veux le mettre ? » lui demandais-je avec un léger sourire. Autant parfaire son éducation sexuelle jusqu’au bout.

Pour lui faire ressentir des choses, Declan y parvint avec un brio proche du génie. Mallory se sentait prête à exploser également de son côté et il lui fallut tout son self control pour ne surtout pas se laisser aller. Par chance, l’irlandais saisit rapidement le message, déposant un baiser sur son ventre plat et lui offrant une seconde d’accalmie pendant laquelle elle reprit son souffle avant de rougir de plus belle face à sa question. Celle-là, Mallo ne l’avait clairement pas vue venir et esquissa donc un petit sourire légèrement gêné avant d’enchaîner, d’une voix parfaitement assurée : « Oui. » Autant apprendre à faire ces choses là aussi et bien qu’au départ ses mains furent légèrement tremblantes, elle finit par se ressaisir, déchirer délicatement l’emballage pour mieux l’enfiler en une délicieuse caresse à Declan sans le lâcher des yeux, lui offrant un regard brûlant avant de l’embrasser avec une passion dévorante. « Viens en moi » l’invita-t-elle en se rallongeant à nouveau, l’entraînant avec elle.

Elle accepta et je lui tendis le petit sachet carré pour qu’elle se débrouille, m’amusant gentiment de ses mains légèrement tremblantes. Elle était adorable lorsqu’elle était aussi gênée. Peut-être n’aurais-je pas dû lui imposer cela mais je voulais qu’elle participe, qu’elle se fasse réellement une expérience en la matière bien que je savais par avance que je n’arriverais pas à me détacher d’elle aussi facilement. J’avais pourtant connu des maitresses mais aucune ne m’avait donné envie de bien plus, d’aller voir au-delà de l’aspect physique. Avec cette femme, c’était différent. D’une part, je serais son premier amant et qu’on le veuille ou non, cela créait un lien et d’autre part… Elle m’attirait et pas uniquement physiquement. Je voulais parler avec elle, la découvrir, voir ce qui se cachait derrière son regard brûlant, ses sourires tantôt ravageurs, tantôt intimidé lorsqu’elle ne contrôlait plus la situation. Je déposais alors un baiser sur ses lèvres, la laissant s’allonger pour mieux la suivre, glissant une main sur sa cuisse pour mieux la lui faire écarter, me glissant entre ses jambes.  « N’hésite surtout pas à m’arrêter si cela te fait trop mal » lui dis-je avant de commencer à lier nos corps, ne la quittant pas du regard. Rapidement, je sentis cette fine barrière, son innocence. Aussi, pour l’empêcher de trop réfléchir, de trop se focaliser là-dessus, je l’embrassais passionnément, lui volant son innocence pour la faire devenir femme à part entière.